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et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
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eh beh jérémy tu fais!!!!
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je l'aime beaucoup
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Vénus et Mars, c 1483.
Vénus et Mars est une peinture de l'Italien Renaissance maître Sandro Botticelli , datant de c. 1483. 1483. Le travail montre les dieux romains Vénus et Mars dans une allégorie de la beauté et la vaillance. Mars dort, regardé par Vénus, tandis que trois nourrissons satyres jouer avec son armure et hest une autre sous le bras. On souffle un coquillage à son oreille dans un effort pour le réveiller.
La scène se déroule dans une forêt, la distance arrière-plan montre la mer où Vénus était née. Un essaim de guêpes autour de planer "la tête de Mars, peut-être comme un rappel sombre que l'amour sera souvent accompagnée de douleurs
La Calomnie d'Apelle
La Calomnie d'Apelle (en italien : La Calunnia di Apelle) est un tableau de Sandro Botticelli, peinte aux alentours de 1495. Cette œuvre d'art, réservée à un public d'esthètes initiés lors de sa conception, est conservée à Florence, dans la Galerie des Offices.
Cette peinture dont le sujet est la calomnie, est une allégorie. Les allusions mythologiques sont nombreuses : sur les frises dorées, sur les statues antiques, et bien sûr, par les personnages eux-mêmes.
Apelle, peintre de l'Antiquité, attira Sandro Botticelli par ses œuvres sur le thème de la Vénus sortie des eaux, étudié énormément par le peintre de la Renaissance. On retrouve d'ailleurs Vénus en tant que personnage le plus à gauche de la Calomnie, invoquant le jugement du Ciel par son doigt levé.
Botticelli en vient donc à conter un épisode supposé de la vie d'Apelle, l’histoire d’un rejet de la part de ses pairs. Il est fortement probable que le message qu'il voulut donner s'adressait à ses contemporains, et s'appliquait à son époque.
Illustrant cette dureté, la Vénus a perdu ses formes et belles rondeurs dont Sandro l'avait dotée lors de sa naissance. Cette évolution, peut-être indépendante du reste du tableau, est vraisemblablement le résultat de l’influence de Savonarole sur le peintre, qui alla jusque mettre au pilori certaines peintures de sa période précédente pour mieux se mettre en accord avec ses nouveaux crédos.
Le tableau est si mouvementé que la scène est impossible à imaginer dans la réalité. Ici sont décrits les personnages et leurs postures.
De gauche à droite, on observe :
Botticelli
Saint Augustin dans son cabinet de travail
Saint Augustin dans son cabinet de travail (en italien : Sant'Agostino nello studio) est une fresque réalisée aux environs de 1480 dans l'Église Ognissanti de Florence.
Détachée de son emplacement d'origine lors d'une rénovation effectuée en 1564, elle se trouve depuis cette date sur le côté droit de la nef de l'église, face-à-face avec le Saint Jérôme dans son cabinet de travail, réalisé par Domenico Ghirlandaio.
Botticelli montre saint Augustin assis à son pupitre, dans une attitude extatique, son regard dirigé vers le haut, sa main droite posée, d'un geste émouvant, sur son cœur. De sa main gauche, il tient l'encrier dans lequel il vient de poser sa plume, interrompu dans l'écriture de sa lettre à saint Jérôme, alors mourant à Bethléem, par la voix de ce dernier à l'instant de sa mort, accompagnée d'une vive lumière et de parfum. Saint Augustin relate cet épisode dans une lettre apocryphe à saint Cyriaque et le premier auteur moderne à soutenir la représentation de cette vision par Botticelli est Helen I.
Le cabinet de travail où figure, sur l'architrave, le blason des Vespucci évoque une bibliothèque humaniste avec ses livres, traité de géométrie, sphère armillaire. Un grand soin est apporté à ces éléments de nature morte et à la description des détails, notamment ceux de l'ornementation de la mitre.
Facétieusement, dans la page de gauche du traité de géométrie ouvert, où sont reportés les théorèmes de Pythagore, Botticelli insère une phrase, la seule lisible et précédée d'une croix : Dov'è Frate Martino? È scappato. E dov'è andato? È fuor dalla Porta al Prato » (Où est frère Martin ? Il s'est échappé. Où est-il allé ? En-dehors de la Porta al Prato). Selon Umberto Baldini, Botticelli, pendant son travail, aurait surpris la conversation de deux moines relative à « une véritable escapade de ce frère qui, enfreignant de toute évidence les règles du couvent, s'en est allé à travers champs »
Botticelli
Pallas et le Centaure (1482)
Pallas et le Centaure fait partie des œuvres profanes de Sandro Botticelli peinte en 1483. C'est une scène mythologique qui marque un tournant dans la carrière de l’artiste. L’artiste s'attachait surtout à une peinture riche en symboles où se mêle Antiquité et religion, alors que la Renaissance mettait alors au jour la perspective et l'humanisme
Ce tableau en tempera sur toile fut commandé à Botticelli par Laurent le Magnifique, prince de Florence, pour le mariage[1] de son cousin Lorenzo di Pierfrancesco avec Sémiramis d'Appiamo. Référencé dans un inventaire de 1499 (découvert en 1975), il faisait partie des œuvres de la Villa Medicea di Castello. Il est aujourd'hui conservé et exposé à la Galerie des Offices de Florence.
Centaure à gauche, équipé d'un arc et d'un carquois, accoté à une architecture de ruines, Pallas à droite, portant des feuillages et une robe brodée de l'insigne (trois ou quatre bagues à diamant entrelacées) de Laurent le Magnifique, tenant une hallebarde, devant un fond paysagé. Pallas porte la main sur la tête de Centaure inclinée, en signe d'apaisement ou de soumission. Une barrière à droite indique qu'il s'agit d'un jardin clos.
Le thème moral (la Raison incarnée par Pallas, épiclèse d'Athéna) est à destination de Pierfrancesco, de sombre réputation, violent et débauché, incarné par le Centaure (la bestialité), une allégorie à thème mythologique de la sagesse (Pallas) qui domine l'instinct (Le Centaure). Centaure qui s'est introduit dans le jardin, équipé d'un arc, à la main, prêt à tirer, est surpris par Pallas, gardienne des lieux.
Les regards ne se croisent pas, chacun des personnages restant irréel.
Certains analystes de l'art y voient aussi une illustration politique : Rome pour le Centaure et Pallas pour Florence.
Jean Baptiste Jouvenet
Jean Jouvenet - Autoportrait
Jean Baptiste Jouvenet dit le grand, né à Rouen à la fin d’avril 1644 et mort à Paris le 5 avril 1717, est un peintre et décorateur français.
Ayant commencé ses études avec son père Laurent Jouvenet, il monte à Paris en 1661 où il rejoint le studio de Le Brun qui, l’estimant beaucoup, l'associe à quelques ouvrages importants commandés par le roi en l'intégrant à l’équipe des décorateurs des résidences royales : le château de Saint-Germain-en-Laye, la Galerie des Tuileries, le château de Versailles (peinture murale de la tribune de la nouvelle chapelle royale en 1709) et les douze apôtres du dôme de la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides en 1704.
Ses premières œuvres sont dans le style de son maître et d'Eustache Le Sueur. Il est probablement, avec La Fosse, le plus talentueux du groupe d’artistes qui contribuèrent à la décoration du Trianon et des Invalides, bien qu’il soit maintenant principalement connu pour ses œuvres religieuses.
Durant la querelle du coloris, il se range du côté des coloristes tout en gardant une certaine fermeté du trait dans ses œuvres.
S’éloignant du classicisme plus tard dans sa carrière, il incorpore dans son style l’influence du baroque et un traitement réaliste des détails, allant par exemple jusqu'à observer les pêcheurs au travail à Dieppe pour sa Pêche miraculeuse en 1706.
Jean Baptiste Jouvenet
Vénus a la forge de Vulcan
Reçu en 1675 membre de l’Académie de peinture, dont il devient directeur en 1705 et recteur perpétuel en 1707, il peut à peine, à partir de cette époque suffire aux nombreux travaux dont il est chargé et le roi, de plus en plus satisfait de ses ouvrages, augmente considérablement la pension de 1 200 livres dont il le gratifiait depuis longtemps. Mais en 1713, il a la main droite paralysée à la suite d’une attaque d’apoplexie. Se désolant d’« être privé de travailler dans un temps que je ne fais que commencer à connaître les difficultés de mon art », il réussit à se rendre assez habile de la main gauche pour peindre, de cette main, plusieurs toiles dont le Magnificat ou l’Innocence poursuivie par le mensonge et cherchant un refuge dans les bras de la Justice et le plafond du Parlement de Rouen. Plusieurs de ses œuvres sont exposées au musée du Louvre, notamment la Résurrection de Lazare, ainsi qu’au Musée des Beaux-Arts de Rouen.
Sa sœur ayant épousé Jean Ier Restout, il est l'oncle de Jean II Restout qui fut son élève. Il a également formé Cayot, Collin de Vermont et Nattier.
Jean Baptiste Jouvenet
Saint Francis
Tableaux majeurs
Apollon et Thétis, 1701, Trianon
. Jésus Christ chez Saint Simon le pharisien (1699) huile sur toile église Notre-Dame à 02 Vervins
Jean Baptiste Jouvenet
Magnificat