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et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
Par Séverine Roi, le 21.05.2025
eh beh jérémy tu fais!!!!
Par Anonyme, le 12.04.2025
je l'aime beaucoup
Par Anonyme, le 31.03.2025
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La légende de l'hellébore(rose de Noël)
La nuit de la naissance du Christ, Madelon, une petite bergère qui gardait ses moutons, vit les rois mages et divers bergers, chargés de cadeaux, traverser le champ couvert de neige où elle se trouvait. Les rois mages portaient l'or, la myrrhe et l'encens, les bergers des fruits, du miel et des colombes. Madelon pensa qu'elle n'avait rien, pas même une simple fleur, pour ce nouveau-né d'exception. Un ange voyant ses larmes frôla la neige, révélant ainsi une très belle fleur blanche ombrée de rose : la rose de Noël.
La légende des flocons de neige
Il était une fois, il y a longtemps, habitaient de petits moutons argentés dans le ciel ! St-Pierre les avaient adoptés pour passer le temps ! Il les surnommaient flow ou flo ! Cela voulait dire "enfants" car ceux-ci n'arrêtaient pas de courir et de jouer partout.
Ils étaient très doux mais aussi très capricieux. Parfois, ils allaient courir dans le ciel. Mais de petites étoiles restaient accrochées à leur laine. Un jour, Dieu décida d'emmener le froid au monde !
Mais les petits moutons, très capricieux et nécessitant un petit confort chaud et douillet, se mirent à courir dans tous sens sur les nuages ! Si vite que les étoiles se décollèrent de leur laine et tombèrent du ciel !
Dieu était très ravi et donna à ces petites étoiles blanches, le nom de flocon (mélange de flow et de moutons). C'est depuis ce jour qu'on peut apercevoir des petits flocons tomber du ciel !!!
La legende du pére Noël
Le père Noël original fut Saint-Nicolas, né en Asie Mineure,
la Turquie d'aujourd'hui, il y a 1600 ans.
Le petit Nicolas était bon et généreux.
Il devint évêque de Myre, et plusieurs belles légendes sont connues à ce sujet.
L'une de ces légendes raconte
comme il eut pitié des trois jolies filles d'un noble
qui étaient trop pauvres pour fournir la dot nécessaire à leur mariage.
A trois reprises, le bon saint Nicolas lança par leur fenêtre des sacs d'or
qui leur permirent de trouver de bons époux et d'être heureuses.
A travers les siècles, on perpétua la légende du généreux évêque
à la barbe blanche qui volait au-dessus des maisons sur un cheval blanc
et jetait des cadeaux par la cheminée.
Les premiers émigrants hollandais qui arrivèrent aux États-Unis
appelaient saint Nicolas "Sinter klaas" qui devint ensuite Santa Claus.
Les enfants suisses croyaient qu'un ange de Noël
appelé "Kriss Kringle" arrivait sur un traîneau tiré par six rennes.
Les lutins du père Noël viennent du folklore norvégien.
Plus tard, au 19ème siècle, en, 1822, un professeur de séminaire,
le docteur Clément C. Moore écrivit pour ses enfants "une visite de Saint Nicolas".
Il y rassemblait toutes les légendes mentionnées plus haut,
les confondant dans une seule merveilleuse histoire
qui est devenue un classique de la littérature sous le titre "la nuit avant Noël".
En 1863, le caricaturiste Thomas Nast reçut la mission d'illustrer cette histoire.
De sa plume émergea le père Noël que nous connaissons aujourd'hui,
avec son habit rouge, sa tuque et ses bottes luisantes.
Les peuples préhistoriques adoraient la lumière
et ils avaient construit des temples
qui aidaient à comprendre l'arrivée des saisons
pour les premiers agriculteurs européens, les hommes du néolithique.
Dans le temple mégalithique de New grange en Irlande,
la lumière du soleil ne rentre que le jour du solstice d'hiver, le 25 décembre.
De même dans le temple de Stonehenge en Angleterre,
le soleil ne se lève dans une pierre percée que le 21 juin, jour du solstice d'été.
Les Égyptiens adoraient à cette période, le fils du Dieu Osiris,
Aïnou surnommé le soleil renaissant et marqué au front d'une étoile d'or.
Les Celtes faisaient de grands feux aux solstices pour lutter contre les ténèbres.
Ils avaient très peur de ces périodes sombres avec le jour plus court
mais en même temps, ils savaient que le soleil allait réchauffer le sol et les plantes.
Au 6ème jour qui suivit le solstice d'hiver, notre 1er janvier,
ils coupaient en grande cérémonie le gui sacré qui montrait
que la nature revivait sur les chênes qui semblaient morts ;
le druide criait alors: "o ghel an heu!"
qui signifiait "que le blé lève" et qui est devenu "Au gui , l'an neuf".
Les Romains fêtaient les Saturnales du 17 au 25 décembre,
les hommes et les femmes portaient alors des guirlandes autour du cou
et s'offraient toutes sortes de cadeaux.
Un peu plus tard, sous l'empire romain,
le 25 décembre devint la fête du "soleil invaincu"
avec une des divinités solaires représentée par un enfant nouveau-né.
La religion chrétienne qui célébrait jusqu'au 3ème siècle
la naissance du Christ le 6 janvier (anciennes saturnales romaines)
décida en 354 que le 25 décembre deviendrait la date de la naissance de Jésus Christ.
Le 25 décembre est une fête
qui regroupe de nombreuses croyances très anciennes
avant de devenir une des dates les plus importantes du calendrier chrétien.
Legende de Noël
Couronne de l'Avent - couronne de noël
L'Avent, du latin adventus, qui signifie « arrivé, venue », est une période de 4 semaines avant la veille de Noël durant laquelle les Chrétiens devaient s'imposer le plus souvent en jeûnant, à l'approche d'une fête. Pendant ce temps, on préparait le repas, on nettoyait et décorait la maison.
L'Avent représente les 4 semaines précédant la fête de Noël, mais ce sont les 4 dimanches de ces semaines qui importent le plus. Depuis le pape Grégoire I er (XIème siècle) c'est la période de la préparation à la venue du Christ, et le début de l'année liturgique pour les Chrétiens.
L'avent commence le premier dimanche qui suit le 26 novembre, et chaque dimanche de l'Avant, on allume une bougie.
La couronne de l'Avent est née au XVIème siècle en Allemagne pour que les Chrétiens se préparent à la grande fête de Noël. La couronne de l'avent est un cercle qui rappelle aux Chrétiens que chaque année est la période où Jésus revient.
Mais la légende raconte que la couronne de l'Avent aurait été créée à Hambourg vers 1850 dans un orphelinat par le pasteur Heinrich WICHERN. Elle est faite de plusieurs branches de sapin, de laurier, de houx, de gui, de pommes de pin et de rubans de couleur. Elle porte 4 bougies, une pour chaque semaine de l'Avent ; au cours de la première semaine, on en allumait une, deux la deuxième semaine et ainsi de suite.
Cette tradition qui nous vient d'Allemagne s'est ensuite répandue dans les pays scandinaves avant de gagner l'Amérique du Nord et une bonne partie de l'Europe. La couronne de Noël pouvait alors être suspendue au plafond, servant ainsi de luminaire, ou déposée sur une table.
Pour certains sa forme ovale évoque la couronne d'épines que portait Jésus sur la Croix, pour d'autres elle est plutôt le symbole du temps qui ne s'arrêtera jamais.
Légende de l'arbre de Noël
Il était un fois, en Allemagne, il y a très longtemps, un bûcheron. En rentrant chez lui, par une nuit d'hiver claire mais glaciale, l'homme fut ébahi par le merveilleux spectacle des étoiles qui brillaient à travers les branches d'un sapin recouvert de neige et de glace.
Pour expliquer à sa femme la beauté de ce qu'il venait de voir, le bûcheron coupa un petit sapin, l'apporta chez lui, et le couvrit de petites bougies allumées et de rubans.
Les petites bougies ressemblaient aux étoiles qu'il avait vues briller, et les rubans, à la neige et aux glaçons qui pendaient des branches.
Des gens virent l'arbre et s'en émerveillèrent tant, surtout les enfants, que bientôt chaque maison eut son arbre de Noël.
Légende des guirlandes du sapin de Noël
Il y a très longtemps en Allemagne, une maman s'affairait à préparer les décorations de Noël; l'arbre était dressé, la maison nettoyée et les araignées chassées. Le soir, le calme et la sérénité revenus, les araignées revinrent et découvrirent le sapin, elles entreprirent aussitôt l'assaut de l'arbre, le recouvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses.
Lors de l'arrivée du Père Noël pour la distribution des cadeaux, il fut ravi de découvrir les araignées heureuses et satisfaites de leur travail de décoration du sapin, mais il ne pu s'empêcher de penser à la tristesse de la mère qui allait retrouver son arbre décoré de toiles.
C'est pourquoi, pour satisfaire tout le monde le Père Noël transforma la décoration de fils grisâtres en fils d'or et d'argent. L'arbre de Noël se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux !
C'est pour cette raison que depuis, les décorations de nos sapins de Noël sont constituées de belles et brillantes guirlandes.
C'est aussi pour cette raison, que la légende dit qu'il faudrait toujours glisser, au milieu des branches de nos arbres de noël, de gentilles petites araignées.
Légende de Noël |
Il était une fois, une pauvre veuve qui avait trois petits garçons. On était à la veille de Noël et les enfants demandèrent à leur mère:
Est-ce qu’on aura un arbre de Noël, maman, cette année?
Hélas, non, mes chers petits, nous sommes trop pauvres.
Mais nos petits amis étaient très débrouillards. Ils décidèrent d’aller dans la forêt pour chercher un petit sapin. Hélas, malgré toutes leurs recherches, les petits garçons ne trouvèrent aucun sapin. Ils allaient revenir à la maison, lorsqu’ils aperçurent une brebis qui avait une patte prise dans un tronc d'arbre creux.
Après bien des efforts, les enfants réussirent à libérer la brebis. Juste à ce moment-là, un berger apparut sur les lieux.
Dites-moi, mes enfants, que faites-vous dans cette grande forêt?
Nous cherchons un petit sapin, monsieur, mais nous n’en avons pas trouvé!
Eh bien, puisque vous avez secouru ma brebis, je vais vous aider.
Le berger, qui connaissait bien la forêt eut tôt fait de découvrir le plus beau petit sapin qui soit et le remit aux enfants
Oh merci monsieur ! Grâce à vous, nous aurons un bel arbre de Noël
Puis, nos trois petits garçons retournèrent à la maison avec leur sapin en chantant. Le soir, avant de se mettre au lit, ils placèrent le petit sapin près de la cheminée et s’endormirent en pensant au Père Noël.
Le lendemain matin, quand les enfants se réveillèrent, ils trouvèrent leur sapin rempli de cadeaux merveilleux.
Oh voici des patins pour moi! s’écria l’aîné. Que je suis content!
Et moi, j’ai un baton de hockey! ajouta le cadet en sautant de joie.
Quant à moi, le plus petit, j’ai un avion! Puis un gros livre de contes. Que je suis content!
La maman ne comprenait rien à tout cela et murmura:
Mais qui a bien pu donner tous ces beaux cadeaux à mes enfants!
Juste à ce moment-là, le Père NOËL apparut dans la maison et s’adressant à la maman, il lui dit:
Mais c’est moi, Madame, qui ai apporté ces étrennes à vos petits, parce que je sais qu’ils sont charitables envers les bêtes.
Puis, le PÈRE NOËL raconta à la maman comment ses enfants avaient se couru la brebis de son vieil ami, le berger de la forêt. Ceci dit, le PÈRE NOËL embrassa les enfants, sans oublier la maman et s’en alla en disant: JOYEUX NOËL Â TOUS!
Les créches du monde Origine du mot "créche"
Dans l'évangile de Luc, l'endroit où est déposé Jésus à sa naissance est désigné par le mot de mangeoire, qui se dit "cripia" en latin, d'où est issu le mot "crèche". Par extension, la crèche s'apparente à l'étable toute entière. Il semble que la naissance de Jésus ait eu lieu dans une grotte aménagée en étable, comme il en existait beaucoup en Palestine à cette époque.
Dès le IIIe siècle, les chrétiens vénèrent une crèche dans une grotte de Bethléem, supposée être le véritable lieu témoin de la Nativité.
Au Moyen Age, les pièces de théâtres et les représentations scéniques étaient très appréciées en Europe. Elles étaient en général assez crues, animées et équivoques. Les débordements qui les entouraient étaient incontrolables. Leur contenu, symbolique, puisait souvent dans les traditions et les rites païens.
Au lieu d'interdire formellement ces pratiques païennes, l'Eglise tenta de leur opposer des pièces et tableaux vivants qui avaient pour thème principal la naissance du Sauveur selon les données des Evangiles de Matthieu et de Luc.
Ces pièces étaient jouées au cours de la célébration lithurgiques pour la rendre plus présente aux yeux des fidèles et attiser la foi.
Les premières crèches ressemblant à celles que nous connaissons font leur apparition dans les églises au XVIe siècle.
Conscient du pouvoir de ces compositions, les Jésuites réalisent des crèches d'église, notamment à Prague en 1562, qui figurent parmi les plus anciennes connues.
Progressivement les crèches entrent dans le maisons. Elles sont d'abord constituées de petites figurines de verre filé de Nevers, de porcelaine, de cire, de mie de pain ou de bois sculpté.