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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Publié à 18:07 par lusile17 Tags : hiver femme france travail collection jeux couture
Peintre célèbre - Jean Francois Millet

Jean Francois Millet

Le Berger

 

1870-1875 : derniers souvenirs du Cotentin

Le Prieuré de Vauville.

Alors que les Prussiens envahissent la France, Millet part avec sa famille à Cherbourg, le 27 août 1870, séjour normand prolongé jusqu'en novembre 1871 du fait de la Commune de Paris, durant laquelle nait la Fédération des artistes de Paris, présidée par Courbet, et dans laquelle est nommé Millet, qui refuse par une lettre adressé à la Vigie de Cherbourg et au Gaulois.

Installé au 25 rue Tour-Carrée, il est rejoint à Cherbourg par Sensier le 3 octobre. Ils arpentent ensemble la Hague pendant trois jours : Beaumont, Jobourg, Vauville, Gréville, Éculleville … Il croque et dessine des bateaux, les églises d'Eculleville et Gréville, et les fermes-manoirs de la Hague : la Ferme de Grimesnil, la Vieille maison de Nacqueville, le Lieu Bailly, celles de Gruchy... À Gréville, la ferme familiale vendue, il loge à l'auberge Polydor.

Peu à peu, il délaisse les seules scènes de travail paysan pour s'intéresser davantage aux ambiances et aux paysages. À cette époque, il peint des marines, travaille davantage les jeux de lumière, la pénombre et le clair-obscur, signant un travail annonciateur de l'impressionnisme, à travers les tableaux de L'Église de Gréville, Le Prieuré de Vauville, La côte de Gréville, vue de Maupas, Le Bateau de pêche en rade de Cherbourg ou la nouvelle version du Castel-Vendon.

De retour à Barbizon le 7 novembre 1871, il met sur toile ses souvenirs du Cotentin, tels la Porteuse de lait, les Falaises de Gréville, la Vieille maison de Nacqueville... Il achève en 1872 l’Église de Gréville, peint Le parc à moutons, clair de lune, et commence le Vacher rappelant ses vaches. En 1873, il se consacre au Prieuré de Vauville pour un couple de Boston, les Shaw, et aux paysages des quatre saisons destinés à M. Hartman.

La reconnaissance permet à Millet de quitter la précarité financière. Les commandes sont multiples, le prix des ventes grimpe, les critiques se taisent. Le 7 avril 1873, lors de la vente Laurent-Richard, la Femme à la lampe est cédée pour 38 500 francs, la Lessiveuse, 15 350 francs. Pour la collection du marquis de La Rocheb., le 5 mai, le Troupeau d'oies est vendue pour 25 000 francs, et la Baratteuse 14 000.

Mais il est de plus en plus souffrant, frappé de migraines qu’il traine depuis des années. En juin 1873, un accident engendre une grave hémorragie qui l’affaiblit, suivie d’une toux, déclarée en septembre 1873. Fatigué, il achève en 1874 pour Hartman, Le Printemps, Les Meules, et des Batteurs de sarrasin, et à l’automne, le Prieuré de Vauville.

Le 12 mai 1874, le ministre des Beaux-Arts, De Chennevières, alloue 50 000 francs à Millet pour peindre en huit tableaux, le Miracle des ardents et la Procession de la châsse de sainte Geneviève, destinée à orner la chapelle Sainte-Geneviève du Panthéon à Paris. Mais il ne peut qu'en commencer l'étude. Ses derniers tableaux sont L’Âne dans une lande, d’après le souvenir de la Hague et la Leçon de couture.

Alité depuis décembre, il épouse religieusement Catherine Lemaire le 5 janvier 1875, et meurt deux semaines plus tard.

Commentaires (2)

Roland
Pâle étoile du soir, messagère lointaine,
Dont le front sort brillant des voiles du couchant,
De ton palais d'azur, au **** du firmament,
Que regardes-tu dans la plaine ?
La tempête s'éloigne, et les vents sont calmés.
La forêt, qui frémit, pleure sur la bruyère ;
Le phalène doré, dans sa course légère,
Traverse les prés embaumés.
Que cherches-tu sur la terre endormie ?
Mais déjà vers les monts je te vois t'abaisser ;
Tu fuis, en souriant, mélancolique amie,
Et ton tremblant regard est près de s'effacer.
Étoile qui descends vers la verte colline,
Triste larme d'argent du manteau de la Nuit,
Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine,
Tandis que pas à pas son long troupeau le suit, -

Étoile, où t'en vas-tu, dans cette nuit immense ?
Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux ?
Où t'en vas-tu si belle, à l'heure du silence,
Tomber comme une perle au **** profond des eaux ?
Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ta tête
Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux,
Avant de nous quitter, un seul instant arrête ; -
Étoile de l'amour, ne descends pas des cieux !


Anonyme
celui qua fait un poeme ferme ta geule stp gros


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