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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Paysage d'hiver en Somme -Mes photos
Hiver, tu emprisonnes sous la tente de toile,
l'enfant qui s'abandonne, en rêvant de l'étoile.
Un glaçon pour lumière, qui glisse sur la peau,
des gerçures amères, des frissons dans le dos.
Hiver, lorsqu'il s'éveille, l'enfant a encore froid,
et sous les couvertures, il reste aux abois,
du moindre courant d'air, qui relève les bords,
de la toile de tente... car, il gèle dehors !
Hiver, quand tu t'installes, et toujours sans remord,
tu étends tes morsures, tu meurtris là encore !
tu fais sortir les loups, qui hurlent, ils ont faim !
Alors que des enfants, vont en mourir demain.
Hiver de tes gerçures, tu glaces les rivières,
tu fais des engelures, tu givres les paupières,
et tu fais éclater les doigts, sous ta brûlure,
de l'enfant se cachant, là, sous les couvertures.
Hiver, tu nous reviens, comme aux neiges d'antan,
quand les petits sabots, grelottaient dans les vents,
quand les hautes congères, fabriquaient de longs murs,
et quand le froid mordait, sans douceur les figures..
Puis tu ouvres l'abcès, qui crêve, dégorgeant
l'eau pure emprisonnée, dans le bac de fer blanc,
tu fais fumer l'haleine, le souffle des naseaux,
les crinières de crin, des troupeaux de chevaux.
Puis, lorsque la nuit vient, les toiles fument alors,
engloutissant avides, la chaleur de leurs corps.
Sont encore trop nombreux, ceux qui ont décidé,
de dormir dehors, pour être en LIBERTE.
(aubépine monique)