jardin martine fille mort concours douceur enfant douceur
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
vvvvvvvvgghhft ggg
Par Anonyme, le 21.11.2024
je t 'invité à mon anniversaire
Par Anonyme, le 18.11.2024
fgerhz
Par Anonyme, le 30.10.2024
w2ww2
Par Ww, le 07.10.2024
ww
Par Anonyme, le 23.09.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Martine
Sainte Martine
vierge et martyre
Une troisième Vierge romaine, le front ceint de la couronne du martyre, vient partager les honneurs d'Agnès et d'Emérentienne, et offrir sa palme à l'Agneau. C'est Martine, dont le nom rappelle le dieu païen qui présidait aux combats, et dont le corps glorieux repose au pied du mont Capitolin, dans un ancien temple de Mars, devenu aujourd'hui la somptueuse Eglise de Sainte-Martine. Le désir de se rendre digne de l'Epoux divin que son cœur avait choisi, l'a rendue forte contre les tourments et la mort, et sa blanche robe a été aussi lavée dans son sang. " L'Emmanuel est le Dieu fort, puissant dans les combats "; mais comme le faux dieu Mars, il n'a pas besoin de fer pour vaincre. La douceur, la patience, l'innocence d'une vierge lui suffisent pour terrasser ses ennemis ; et Martine a vaincu d'une victoire plus durable que les plus grands capitaines de Rome. Martine, Vierge romaine, de naissance illustre, était fille d'un père consulaire. Dès ses plus tendres années, elle perdit ses parents, et embrasée du feu de la piété chrétienne, elle distribua aux pauvres, avec une admirable libéralité, les richesses abondantes dont elle jouissait. Sous l'empire d'Alexandre Sévère, on lui ordonna d'adorer les faux dieux ; mais elle repoussa ce crime horrible avec une noble liberté. C'est pourquoi on la frappa de verges à plusieurs reprises, on la déchira avec des crocs, des ongles de fer, des têts de pots cassés, on lui lacéra tous les membres avec des couteaux aigus ; puis elle fut enduite de graisse bouillante, enfin condamnée aux bêtes de l'amphithéâtre. Mais avant été miraculeusement protégée contre elles, on la jeta sur un bûcher ardent, d'où elle sortit saine et sauve par un nouveau prodige. Quelques-uns de ses bourreaux, frappés de la nouveauté de ce miracle, et touchés de la grâce de Dieu, embrassèrent la foi de Jésus-Christ ; et, après plusieurs tourments, ils eurent la tête tranchée, et méritèrent ainsi la palme glorieuse du martyre. Aux prières de la Sainte, il y eut des tremblements de terre ; des feux tombèrent du ciel au milieu des tonnerres, renversèrent les temples des faux dieux, et consumèrent leurs statues. Tantôt l'on voyait couler de ses blessures du lait avec du sang, et de son corps s'échappait une très brillante splendeur et une odeur très suave ; tantôt elle semblait élevée sur un trône royal, chantant les louanges de Dieu avec les Saints. Ces merveilles, et surtout la fermeté de la Vierge, exaspérèrent le juge, qui ordonna de lui trancher la tête. Aussitôt après, l'on entendit une voix d'en haut qui appelait au ciel la Vierge ; toute la ville trembla, et plusieurs adorateurs des idoles se convertirent à la foi de Jésus-Christ. Martine souffrit sous le Pontificat de saint Urbain Ier ; et sous celui d'Urbain VIII, on trouva son corps dans une antique église, avec ceux des saints martyrs Concordius, Epiphane et leurs compagnons, près de la prison Mamertine, sur le penchant du mont Capitolin. On disposa cette église dans une forme plus digne, on la décora convenablement, et on y déposa le corps de la Sainte, avec une pompe solennelle, en présence d'un grand concours de peuple, et aux cris de joie de la ville entière.