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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Leonard de Vinci
La Cène ( 1495 - 1498)
La plus célèbre peinture de Léonard pour la période des années 1490 est La Cène. Elle est peinte directement sur un mur du couvent Santa Maria delle Grazie à Milan. La peinture représente le dernier repas partagé par Jésus et ses disciples avant sa capture et sa mort. Il montre précisément le moment où Jésus déclare : « l'un de vous va me trahir ». Léonard dépeint la consternation que cette déclaration a causé à l'ensemble des douze disciples de Jésus.
Matteo Bandello a observé Léonard au travail et il écrit, dans une de ses nouvelles, que, certains jours, il peint de l'aube au crépuscule sans même s'arrêter pour manger, et puis ne peint plus les trois ou quatre jours suivants. Selon Vasari, cela provoque l'incompréhension du père supérieur, le prieur, qui chasse le peintre, jusqu'à ce que Léonard demande au duc de Milan Ludovic Sforza d'intervenir. Vasari décrit également comment Vinci doute de sa capacité à peindre proprement les visages de Jésus et de Judas, disant au duc qu'il a peut-être utilisé le moine pour modèle.
Lorsque la fresque est achevée, elle est saluée comme un chef-d'œuvre de conception et de caractérisation, obtenant même plus tard l'admiration de Pierre Paul Rubens et de Rembrandt. L'œuvre a été restaurée sans cesse, la peinture se détachant du support en plâtre. La peinture s'est détériorée rapidement, de telle sorte qu'avant même le centième anniversaire de sa création, elle a été décrite par un témoin comme « totalement dévastée ». Léonard, au lieu d'utiliser la technique éprouvée de la fresque, a utilisé la « technique de la tempera », un procédé de peinture utilisant le jaune d'œuf comme médium pour lier les pigments, alors que le support est principalement « gesso », un type de craie fait de carbonate de calcium minéral, ce qui a produit une surface sujette à la moisissure et à l'écaillage. Malgré ces déboires, la Cène est restée l'une des œuvres d'art les plus reproduites.
Leonard de Vinci
La Madone à l'œillet( 1476)Cette œuvre représente Marie, debout, avec un Œillet à la main et l'enfant Jésus, attiré par la fleur, assis sur un coussin.
Les habits de la Vierge sont très ornementés, rappelant ceux d'une reine, et sont peints avec de nombreux détails. La coiffure est également très travaillée rappelant les études de la tête de Leda menées par le maître.
C'est l'une des première œuvres de Leonardo et l'on peut noter l'influence du style de Verrocchio et de l'œuvre de Lorenzo di Credi.
La figure de la Vierge semble ressortir de l'ombre de la pièce qui contraste avec le lumineux paysage qui apparaît au fond, à travers les fenêtres. Les montagnes de ce paysage semblent refléter la lumière du soleil. On peut noter, dans ce paysage, l'utilisation de la couleur et de la perspective, spécialités de Leonardo.
Postérité de Léonard de Vinci
Postérité de Léonard de Vinci Léonard de Vinci incarne parfaitement l’esprit de la Renaissance, époque des « Grandes Découvertes ». Génie universel, curieux de tout, parfois vu comme un personnage entre Faust et Platon, il a consacré sa vie à la recherche de la connaissance. Il imagine de multiples appareils et machines, dont la première « machine volante », qui resteront au stade de dessins. Plus qu’en tant que scientifique proprement dit, Léonard de Vinci a impressionné ses contemporains et les générations suivantes par son approche méthodique du savoir, du savoir apprendre, du savoir observer, du savoir analyser. La démarche qu’il déploie dans l’ensemble des activités qu’il aborde, aussi bien en art qu’en technique — les deux ne se distinguant d’ailleurs pas dans son esprit — notamment en horlogerie, procède d’une accumulation préalable d’observations détaillées, de savoirs disséminés çà et là, qui tend vers un surpassement de ce qui existe déjà, avec la perfection pour objectif. Bon nombre des croquis, notes et traités de Léonard de Vinci ne sont pas à proprement parler des trouvailles originales, mais sont le résultat de recherches effectuées dans un souci encyclopédique, avant l’heure. Léonard de Vinci se classe mal et c'est en ce sens qu'il a paru exceptionnel. De son vivant, Léonard a déjà une renommée telle que le roi de France l'a ramené dans son pays comme un trophée, et a affirmé l'avoir accompagné dans sa vieillesse et l'avoir tenu dans ses bras quand il est mort ; affirmation qui semble néanmoins fausse quant à sa mort, malgré le tableau de Dominique Ingres sur ce thème. L'intérêt pour de Vinci n'a jamais diminué depuis cette période. Giorgio Vasari, dans Le Vite, dans son édition de 1568 introduit son chapitre sur Léonard de Vinci avec les mots suivants : « Dans le cours normal des événements, beaucoup d'hommes et de femmes sont nés avec des talents remarquables ; mais, parfois, d'une manière qui transcende la nature, une seule personne est merveilleusement dotée par le paradis avec beauté, la grâce et le talent dans une telle abondance qu'il laisse les autres hommes loin derrière. Tous ses actes semblent inspirés et, de fait, tout ce qu'il fait vient clairement de Dieu plutôt que de compétences humaines. Tout le monde reconnaît que c'était vrai pour Léonard de Vinci, un artiste d'une beauté physique étonnante, qui a affiché une grâce infinie dans tout ce qu'il a fait et qui cultivait son génie si brillamment que tous les problèmes qu'il a étudiés, il les résolvait avec facilité. »
Leonard de Vinci
La Vierge aux Rochers (Entre 1483 et 1486)
La Vierge aux rochers est un tableau de Léonard de Vinci dont il existe deux versions. La plus ancienne, réalisé entre 1483 et 1486, est conservée au musée du Louvre à Paris. La seconde se trouve à la National Gallery de Londres. Peinte pour une église de Milan, La Vierge aux rochers se distingue par son contenu symbolique complexe. Elle célèbre le mystère de l’Incarnation à travers les figures de Marie, du Christ et de saint Jean le Baptiste. Les figures divines, baignées d’une douce lumière, prennent place pour la première fois dans un paysage animé par les saillies des rochers. Le milieu naturel aux rochers est d'une originalité absolue, avec sa fascinante multiplication des sources lumineuses, des reflets et des brouillards lointains. Cette iconographie résolument nouvelle connut un succès immense, attesté par le grand nombre de copies contemporaines du tableau.
Ce tableau résultait d'une commande faite à Léonard de Vinci par la congrégation des sœurs de l'Immaculée Conception, qui lui avaient demandé ce tableau pour le triptyque surmontant l'autel de l'église Saint-François-Majeur de Milan. Elles avaient imposé des dimensions précises ; ainsi que les personnages de la scène : la Vierge Marie, l'Enfant Jésus, le petit Jean-Baptiste et l'ange Uriel, en mémoire à une légende - tirée des Évangiles apocryphes et non canoniques - selon laquelle l'Enfant Jésus aurait rencontré son cousin dans une caverne pendant son séjour en Egypte. L'artiste avait rempli le contrat mais les sœurs auraient été saisies d'effroi lors de la livraison car la composition de la scène et la disposition des personnages peuvent prêter à confusion, certains détails étaient relativement étranges et dérangeant pour l'église comme le fait que la Vierge enveloppe de sa main Jean et non Jésus ou encore le geste d'Uriel qui pointe du doigt le Baptiste et regarde le spectateur... Léonard de Vinci a donc exécuté ou a fait exécuter une nouvelle peinture des années plus tard en expurgeant tous ces détails dérangeants. Cette peinture beaucoup plus orthodoxe est désormais exposée au National Gallery de Londres.
Les quatre personnages forment un triangle au centre de l'œuvre, géré par un jeu de mains et de directions explicites. La Vierge Marie, parée de son traditionnel habit bleu (tradition médiévale), pousse de sa main droite Jean-Baptiste enfant, à parler à l'enfant Jésus, béni par sa main gauche. L'ange Uriel assiste à la scène, et montre du doigt Jean-Baptiste, avec un regard pour le spectateur, comme pour lui suggérer d'entrer à son tour dans la scène. Il est un intermédiaire entre le spectateur et les autres figures du tableau. Au loin, le paysage sombre permet de jouer sur le clair-obscur, et de faire ressortir avec plus d'importance les zones de lumière qui dirigent notre regard : les visages notamment, mais aussi les mains et les trouées dans les rochers, qui sont comme un appel au lointain et à l'horizon, donnant une certaine profondeur à la scène, grâce aux sfumatos chers à Léonard.
Leonard de Vinci
La Madone aux fuseaux (copie)
Œuvres notables
La Madone aux fuseaux est un tableau (aujourd'hui disparu) peint par Léonard de Vinci vers 1501. Il est connu aujourd'hui par différentes copies.
Fra Pietro da Novellara fait état dans une lettre à Isabelle d'Este datée du 14 avril 1501 d'un tableau que Léonard de Vinci est en train de peindre pour Florimond Robertet. Il s'agit d'« une Vierge en train de dévider un fuseau tandis que l'enfant pose le pied sur la corbeille de fuseaux et regarde attentivement les quatre branches en forme de croix. » Le tableau décrit dans cette lettre est identifié à la version originale de la Madone aux fuseaux, due à la main même de Léonard.
Parmi les copies qui nous sont parvenues, deux sont particulièrememnt remarquables:
D’autres versions existent, entre autres, celle du Louvre (legs du baron Basile de Schlichting), celle du Musée des Beaux-Arts de Dijon, de la collection Locker-Lampson (Londres), du prince Ruprecht de Bavière.
Leonard de Vinci
Madone Litta (v. 1490)L’attribution du tableau a toujours fait problème.
La Madone Litta est un tableau représentant une Vierge à l'Enfant allaitant .Il est attribué à Giovanni Antonio Boltraffio, d’après un dessin préparatoire de Léonard de Vinci.
La Madone Litta est gravée dès le XVIe siècle par Zoan de Andrea. Marcantonio Michiel parle en 1543 d’une Vierge allaitant de Léonard de Vinci qu’il aurait vu dans la collection Contarini, à Venise. Peut-être s’agit-il du tableau de Saint-Pétersbourg.
On peut suivre avec certitude l’histoire de la Madone Litta à partir de 1784, quand le prince Alberico Belgioioso d’Este l’achète à Giuseppe Rho. En 1813, à la mort du prince, elle entre dans les collections de la famille Litta (d’où elle tire son nom) à Milan. En 1865, le duc Antonio Litta la vend au tsar Alexandre II. À cette occasion, elle est transposée sur toile, ce qui a altéré son état.
La Madone Litta pourrait être deMarco d'Oggiono
En décembre 1515 il rencontre à Bologne le roi François 1er.
En 1516 il part travailler en France avec son assistant artiste peintre Francesco Melzi où son nouveau mécène et protecteur, le roi de France François Ierl'installe au Clos Lucé près d'Amboise (Indre-et-Loire) en tant que "premier peintre, ingénieur et architecte du roi".
François Ier est fasciné par Léonard de Vinci et le considère comme un père. Projet de construction d'un nouveau palais à Romorantin avec détournement d'un fleuve dans la Sauldre.
Le 2 mai 1519, après avoir fait son testement le 23 avril devant le notaire d'Amboise, malade depuis de longs mois, Leonard de Vinci est emporté par la maladie au Clos Lucé à l'âge de 67 ans. Vasari, son premier biographe, prétend qu'il est mort dans les bras de François Ier mais cela est contesté.Sa tombe est située à la chapelle Saint-Hubert, dans l'enceinte du château d'Amboise.
Léonard de Vinci, toute sa vie célibataire et abstinent, n'ayant jamais eu ni femme ni enfant, lègua l'ensemble de son œuvre considérable pour les faire publier. Ses manuscrits, carnets, documents et instruments furent offerts à son disciple préféré, Francesco Melzi. Melzi est son élève depuis l'âge de 10 ans.
Après l’avoir accompagné en France, il resta près de Léonard de Vinci jusqu’à son décès et géra son héritage pendant les 50 années suivant la mort de son maître. De nombreuses peintures (parmi lesquelles la Joconde, la Vierge, l'Enfant et Sainte Anne, le S. Gerolamo...), qui se trouvaient encore en sa possession dans son atelier, furent transmises à un autre élève et disciple très apprécié par de Vinci, Giacomo Caprotti, aussi appelé Salai, entré à son service à l'âge de 15 ans. Les autres biens de de Vinci furent remis à ses serviteurs.
En 1570 le décès de Francesco Melzi qui a conservé son héritage toute sa vie sans le publier. À cette date commence la dispersion et la perte des deux tiers des 50 000 documents originaux multi-disciplinaires rédigés en vieux toscan, crypté par Léonard de Vinci.
Chaque carnet, manuscrit, page, croquis, dessin, texte, note, etc. est considéré comme une œuvre d'art à part entière. Il ne resterait que 13 000 documents environ, dont une majeure partie est archivée au Vatican.
Leonard de Vinci
Madonna Benois (v. 1478-80)
Il est probable que la Madonna Benois a été le premier travail exécuté par Léonard comme peintre indépendant de son maître Andrea del Verrocchio. Il existe deux études préparatoires de ce tableau, conservées au British Museum de Londres.
Durant des siècles, le tableau a été considéré comme perdu. C'est seulement en 1909 que l'architecte Leon Benois l'a sensationnellement exposé à Saint-Pétersbourg, avec une partie de la collection de son beau-père :
Vers 1790, la Madonna Benois est en possession du général Alexandre Korsakov et elle quitte l'Italie pour la Russie. À la mort du général, son fils vend le tableau pour 1 400 roubles à un certain Sapozhnikov, un marchand d'Astrakhan. Léon Benois (qui donne son nom au tableau) en devient le propriétaire lorsqu’il épouse la petite-fille de Sapozhnikov.
En 1908, la revue Starye Gody (Старые годы) organise la première exposition publique du tableau. À cette occasion, le conservateur de l’Académie Impériale de peinture de Saint-Petersbourg, Ernest de Liphart est le premier à l'attribuer à Léonard de Vinci : « J'ai le courage de mon opinion malgré le tollé que soulèvera cette attribution. Le tableau n'est pas plaisant à première vue, j'en conviens ; mais étudiez-le et vous vous laisserez gagner peu à peu par le charme mystérieux de cette œuvre de jeunesse, toute modeste, de celui qui fut plus tard le grand, l'unique Léonard. » Leon Benois vend le tableau en 1914 au musée impérial de l'Ermitage.
Leonard de Vinci
Portait de Ginevra de’Benci (1478-1480), sœur d'un célèbre astronome, ami de Léonard .
Le tableau est décrit par deux des premiers biographes de Léonard : l’Anonyme Gaddiano : « il peignit d’après nature Ginevra d’Amerigo Benci si bien réussie qu’on n’aurait pas dit le portrait, mais Ginevra elle-même », et Giorgio Vasari : « il fit le portrait de Ginevra, fille d‘Amerigo Benci, un fort bel ouvrage ». Il a été la propriété des princes du Liechtenstein jusqu‘à son achat en 1967 par la National Gallery of Art de Washington (pour plus de 5 millions de dollars).
Le bas du tableau a malheureusement été scié, sans doute en raison de son mauvais état. On juge en général que le format originel du tableau devait être de 3 x 4 (soit 38,8 x 58 cm).
Le dos du tableau est également peint. Le fond imite le porphyre ; trois rameaux de palmier, de laurier et de genévrier s‘entrelacent, sur lesquels se détache un ruban où est inscrite la devise « Virtutem forma decorat » (« la beauté orne la vertu »).
Le modèle
La famille Benci était une des grandes familles de Florence. Ginevra Benci (1457-1520) était la fille d’Amerigo Benci, celui la même qui avait fait don à Marsile Ficin, d’un manuscrit de Platon (un de ses parents, homonyme, conservera plus tard l‘Adoration des Mages inachevée de Léonard). Sa vertu avait été célébrée par Laurent le Magnifique lui-même dans deux de ses sonnets.
Le 15 janvier 1474, Ginevra Benci avait épousé Luigi di Bernardo Nicollini . Le buisson de genévrier (en italien, ginepro) sur lequel se détache le buste de Ginevra Benci est une métaphore de son prénom.
Lorenzo di Credi, l’ancien compagnon de Léonard de Vinci dans l’atelier de Verrocchio, peignit plus tard (vers 1490) un portrait de Ginevra, devenue veuve. Ce portrait figure aujourd’hui dans les collections du Metropolitan Museum de New York.
Leonard de Vinci
Leda et le Cygne(Vers 1505-1515)
Léda et le Cygne est un tableau perdu de Léonard de Vinci que nous connaissons par des études préparatoires de sa main et par plusieurs copies.
Léda dans la mythologie grecque est l’épouse du roi déchu de Sparte, Tyndare. Zeus prend la forme d’un cygne pour la séduire. Une fois leur étreinte terminée, le cygne disparaît en laissant deux œufs d’où naîtront Hélène et Clytemnestre, et Castor et Pollux.
Les copies que nous connaissons associent (sauf celle de Giampietrino) deux moments différents, celui de la rencontre de Léda et du cygne, et celui de la naissance des quatre enfants, une fois les œufs éclos. Léonard aurait travaillé sur deux versions : l'une agenouillée et l'autre debout (postérieure).
On ignore le commanditaire de ce tableau. On ne possède aucun document d’archives, ni contrat, ni trace de paiement à Léonard. Peut-être faut-il y voir un travail personnel, sans commanditaires, de Léonard. Daniel Arasse note bien l’originalité du sujet : « mis à part le relief marginal de Filarete sur la porte de bronze de Saint-Pierre de Rome, Léonard est le premier à faire de Léda et du cygne les figures centrales d’une composition importante.»
Leonard de Vinci
Portrait de Franchino Gaffurio (1490), portrait d'un musicien.
C’est le seul portrait masculin de Léonard
L'homme représenté devrait être, avec une forte probabilité, Franchini Gaffurio qui a été maître de chapelle du Dôme de Milan (1484). L'hypothèse se base sur le fait que Gaffurio fréquentant la cour du Duché de Milan, connaissait probablement Léonard.
Sur le carton tenu par la main du musicien, mis au jour avec la main suite à la restauration effectuée en 1904 ayant nécessité le décollement d'une couche de peinture déposée par Léonard même, on peut lire « Cant...Ang... » suivi par une partition musicale.
Des recherches récentes font supposer que le sujet du tableau puisse être le compositeur franco-flamand Josquin Desprez, contemporain de Léonard et actif à Milan.
La naissance de vénus (1755)
Avec Fragonard et Goya, il 'y a plus d'absolu dans la beauté, elle devient subjective et multiple. En 1764 Voltaire écrivait qu'il était impossible de faire un traité du beau car il est trop divers. La beauté est fait de moments de rencontre,comme entre Goya et sa marquise qui était aimée d'un autre homme et qui mourra en 1802.