Publié à 16:10 par lusile17
Avoir un ami
C'est pour la vie
Ne jamais le decevoir
Si on ne veut pas lui dire au revoir
Etre toujours present
Surtout dans les pires moments
Fille ou garçon
De toute facon
L'amitier c'est important
Et ça dure avec le temps
Avoir un ami
Partager ses ennuis
Ne jamais le decevoir
Même dans le pire desespoir
Amitié
Publié à 14:50 par lusile17
"Une petite boîte à baisers "
Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir
inutilement dépensé un rouleau de papier doré.
L'argent se faisait rare et il ne put supporter
que la fillette utilisa le papier pour décorer une boite
à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël.
Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau
à son père en lui disant " C'est pour toi Papa ! "
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction.
Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand
il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille
" Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau,
il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite ? "
La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit :
" Mais Papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi, Papi !"
Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.
Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette.
Le père garda longtemps la boîte, tout près de son lit.
À chaque fois que le découragement l'assaillait,
il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire
et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun
de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée,
remplie d'amour inconditionnel et des baisers de nos enfants,
de nos amis, de notre famille ou de Dieu.
Existe-t-il plus grand avoir ?
Les enfants sont comme des anges qui nous remettent en position quand nos ailes ne se souviennent plus comment voler.”
Auteur (e) inconnu(e)
Publié à 13:54 par lusile17
Aimer.
C’est un coup de téléphone, c’est une lettre,
c’est une petite surprise, c’est une invitation du cœur,
c’est aller prendre une marche ensemble…
C’est faire des choses pour l’autre, sans raison, sans calcul…
C’est accueillir l’autre tel qu’il est, l’écouter avec son cœur,ne pas presser…
C’est aussi regarder l’autre avec les yeux du cœur et de l’âme.
La parole peut mentir mais le regard ne ment pas…
Aimer…
C’est simplement être là, non seulement avec son corps
mais aussi avec son âme…
C’est dire: « Je t’aime’'»
Pourquoi faut-il attendre après la mort de quelqu’un
pour lui dire qu’on l’aimait?...
Aimer,
C’est de ne pas critiquer, de ne pas juger, de ne pas condamner.
C’est être capable de dire:
« Si j’aurais été à ta place, je n’aurais pas fais mieux »
C’est pouvoir aussi dire sans envie:
« C’est beau ce que tu as fait »
Aimer,
c’est aussi simple que cela,
mais si l’amour ne nous habite pas,
il nous manque tout dans la vie....
Quand quelqu’un a le privilège d’aimer et d’être aimé,
la vie est extraordinaire.
Cette chaleur qui rayonne, cette lumière dans l’âme
et dans les yeux…
C’est cela l’amour!
Merveilleux auteur inconnu.
Publié à 01:53 par lusile17
Publié à 01:51 par lusile17
comme j'aimerai m'endormir dans tes bras
resentir la chaleur de nos deux corps
peau contre peau, sentir mon coeur qui bat
ne plus craindre ni peines, ni remords
comme j'aimerai m'ouvrir dans tes bras
gouter cet amour si doux et pur
ne plus être effrayée par ces blessures
jouir pleinement dans la fureur de nos ébats
comme j'aimerai vivre dans tes bras
bercée par leurs force et leur tendresse
couvée par leur protection et leurs caresses
ne plus sentir mon âme qui se débat
comme j'aimerai mourir dans tes bras
elle ne serai ni froide ni cruelle
mais douce, aimante et sensuelle
elle rendrai éternels mes combats
je me réveille dans tes bras
je sens la douceur de cette renaissance
sous ton tendre regard, insouciance
grâce a toi, plus jamais je n'entend le glas
Trouvé sur le net
Publié à 01:27 par lusile17
Je respire où tu palpites
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
A quoi bon vivre, étant l'ombre,
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
Je suis la fleur des murailles,
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles,
Pour qu'il ne reste plus rien.
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles,
Pour que je m'envole aussi.
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche,
Tu tiens ce sauvage oiseau.
Que veux-tu que je devienne,
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne,
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe,
Qui vient boire au lac d'azur.
L'amour fait comprendre à l'âme,
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme,
Seule éclaire l'infini.
Sans toi, toute la nature,
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme,
Qui chantes dans mes rameaux !
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie,
Si tu n'es plus près de moi ?
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
Que dirai-je aux champs que voile,
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
Que dirai-je au bois morose,
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose,
Disant : ” Où donc est ma soeur ?”
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses,
Qu'elle ne regarde plus ?
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
Victor Hugo
Publié à 01:01 par lusile17
Pénétrer dans ton cœur,
S'y faire une petite place,
T'ouvrir la porte du bonheur,
Où tout brille et rien ne glace.
Être toujours à tes côtés,
Quand tu n'as pas le moral,
Te soutenir, t'aider,
Pour diminuer ton mal.
Te donner la clé de mon cœur,
Pour que tu viennes t'y installer,
M'ouvrir la porte du bonheur,
Où tout brille, pour l'éternité.
Trouvé sur le net "poémes0408"
Publié à 17:03 par lusile17
Le bal picard des Cassandres de Lucheux (Somme)
Groupe de chants et danses Picardes
Publié à 16:39 par lusile17
Hortillons et Marché sur l’eau d'Antan
Il conserve ce nom, car autrefois les maraîchers venaient au marché par l'eau et transportaient leurs primeurs sur de grandes barques à fond plat. On appelle en Picardie ces producteurs les "hortillons", un mot dérivé d’"hortillonnages", du nom des marais entrecoupés de canaux, où l'on pratique la culture des légumes. Ceux d'Amiens s’étendent sur 300 hectares à l'est de la ville. Il ne reste aujourd'hui qu'une dizaine d'exploitations encore en activité
- Reconstitution du marché sur l’eau dans les hortillonnages
Une seule fois par an, fin juin, le marché sur l'eau se déroule comme au XIXe siècle. Les hortillons, en costume traditionnel, descendent la Somme dans des barques chargées de légumes, de fruits rouges et de fleurs jusqu'à la place Parmentier, à Amiens, où ils installent leurs étals.
Publié à 16:15 par lusile17
UN PEU D'HISTOIRE :
Quand apparut l'hortillon ? : on ne le sait pas mais il devait être bien vieux déjà quand il fut baptisé de ce nom gracieux par les soldats de César.
Au temps des Gaulois, Amiens qui s’appelait Samarobriva (Pont sur le Somme) était la capitale des Belges-Ambiens.
En 57 avant J.C., Jules César y établit sa chancellerie et, devant la nécessité de nourrir une grande quantité d’hommes, les Romains ont peut-être commencé à cultiver le fond de la vallée et donc créer les Hortillonnages.
Il faut ensuite attendre le Moyen-âge pour avoir trace de l’existence des Hortillonnages. On retrouve dans les archives des documents écrits concernant des transactions ; certaines sont d’ailleurs antérieures au XII ème siècle, elles attestent le fait qu’elles étaient cultivées pour la production de légumes.
Au temps de la féodalité, le chapitre de la Cathédrale d' Amiens accorde aux villages de Camon et de la Neuville de larges franchises municipales qui permirent aux habitants de cultiver les hortillonnages.
Dès le XII ème siècle, le quartier Saint Leu se construit et repousse les jardins. A cette époque, Amiens compte parmi les plus grandes villes du Royaume : elle a 10 à 15 000 habitants.
Au XVII ème siècle,à défaut de corporation, les Hortillons avaient formé une communauté avec à sa tête "un capitaine"
On voit apparaître cette communauté en 1636. Elle soutient un "fameux" procès contre le Chapitre de la Cathédrale au sujet de la dîme à payer sur les aires.
Le 14 août 1666, par arrêt du Parlement, les Hortillons sont condamnés à payer, avec l'arriéré, une dîme en nature ou en livres, à leur choix, soit 600 livres. Les frais du procès, qui a duré 30 ans, s'élèvent à 1218 livres avec les intérêts.
Cette dîme à payer est supprimée à la Révolution de 1789.
Le capitaine répartit les impôts et les charges, faucardement des rieux, curage etc.
Les hortillons apportaient là leurs "herbes" (légumes) le plus près possible du marché "aux herbes".
Les Hortillons devaient alors être les uniques fournisseurs en légumes et fruits de l’agglomération.
En 1651, Bonnefond dans « le jardinier français » disait : « les hortillons picards méritent l’honneur d’être appelés les plus fameux jardiniers que tous les autres de toutes les provinces de France »
Les hommes ont une jaquette, une culotte normalement courte, des bas, des souliers et un chapeau rond :
c'était le costume des paysans du nord sous Henri IV
L'hortillonne avait sur la tête une sorte de mouchoir qui lui enveloppait négligemment la tête ; sa robe plate sur le devant, forme par derrière des plis nombreux.
Rien de plus naturel que l'hortillonne soit représentée dans la galerie des stalles de la cathédrale d'Amiens.