Caen( les alentours)
Publié à 18:08 par lusile17
Abbaye St. Martin de Mondaye
Transept de la Vierge
Publié à 17:48 par lusile17
Mondaye, Abbaye St. Martin
Les Orgues
Publié à 17:37 par lusile17
Abbaye de Mondaye
L'orgue--Entrée avec vue sur l'orgue
L'orgue de Mondaye, bel exemple de l'art au temps de Louis XV, est du facteur lorrain Claude Parisot. Le buffet de l'orgue a été sculpté par l'artiste flamand Melchior Verly. Réalisé en 1741, l'instrument a été restauré en 1965 et en 2004 par les facteurs d'orgues Jean-Baptiste Boisseau et Jean-Marie Gaborit. Fait de vingt-sept jeux, il est régulièrement utilisé pour des concerts.
Publié à 17:28 par lusile17
Abbaye de Mondaye
L'église -Nef de l'église
Elle a été entièrement conçue par Eustache Restout. L'artiste est l'auteur des peintures et du dessin des boiseries du choeur.
D'une longueur de soixante mètres, l'édifice présente un portail aveugle, la place étant laissée à l'orgue. La nef a cinq travées, de gros piliers soutenant des arcs en plein cintre. Le côté sud est illuminé par deux fois plus d'ouverture que le côté nord. L'autel est au centre et les bras de transept sont grands, selon la tradition prémontrée. Au dessus de l'autel, la coupole est une copie de celle de la chapelle du château de Sceaux, peinte par Charles Le Brun. La chapelle de Sceaux ayant disparu, il ne reste que cette copie à admirer.
Publié à 17:24 par lusile17
Abbaye Saint-Martin-de-Mondaye
Saint-Martin de Mondaye est une abbaye de l'ordre des Prémontrés, située sur la commune de Juaye-Mondaye, Calvados, France, édifiée dans la campagne du Bessin, à neuf kilomètres au sud de Bayeux. Fondée en 1200, elle est la seule abbaye canoniale de l'ordre des Prémontrés encore en activité de Normandie.
L'église devint paroissiale après le concordat et les bâtiments utilisés comme collège, puis par des trappistines auxquelles succédèrent en 1859 des prémontrés, dispersés en 1880; sont réoccupés par des prémontrés depuis 1921.
L'église
Elle a été entièrement conçue par Eustache Restout. L'artiste est l'auteur des peintures et du dessin des boiseries du choeur.
D'une longueur de soixante mètres, l'édifice présente un portail aveugle, la place étant laissée à l'orgue. La nef a cinq travées, de gros piliers soutenant des arcs en plein cintre. Le côté sud est illuminé par deux fois plus d'ouverture que le côté nord. L'autel est au centre et les bras de transept sont grands, selon la tradition prémontrée. Au dessus de l'autel, la coupole est une copie de celle de la chapelle du château de Sceaux, peinte par Charles Le Brun. La chapelle de Sceaux ayant disparu, il ne reste que cette copie à admirer.
Le cloître, commencé au XVIIIe siècle par l'aile est et une partie de l'aile sud, fut continué et vitré au XIXe siècle mais inachevé. Il ne donne donc pas cette impression bien connue de jardin fermé. L'escalier menant à la bibliothèque et aux cellules a des rampes en fer forgé.
La salle des pas-perdus comporte un auto-portrait d'Eustache Restout.
La bibliothèque
Elle contient environ 40 000 volumes dont quelques-uns du XVIe siècle.
Aujourd' hui en extension, la communauté vient d' acquérir un bâtiment agricole (ancienne grange avec pressoir dépendant de la ferme à l' ouest de l' abbaye), où elle envisage un projet d' hôtellerie. C' est un des monuments majeurs de la Basse-Normandie.
Publié à 16:32 par lusile17
Eglise orthodoxe Saint-Serge
Vue vers l'iconostase et l'autel
L'intérieur de l'église, les murs sont recouverts d'icônes peintes par Fostov et Khvostov.
Publié à 16:28 par lusile17
Église orthodoxe Saint-Serge de Colombelles
Cet édifice est la seule église orthodoxe de l' ouest de la France, édifiée en 1926 par des ouvriers russes venus travailler dans les usines de la Société Métallurgique de Normandie (groupe Schneider), dont les usines alors situées sur le plateau de Colombelles ont été détruites à partir de 1994. La construction de l' église, partiellement financée par l' entreprise, suit des plans fournis par un colonel de l' armée russe, imitant le style des églises de Saint-Petersbourg. Les icônes ont été exécutées par les peintres Fostov et Khvostov. Une bibliothèque d' ouvrages en langue russe est accolée à l' église. Endommagée par les bombardements de juin 1944, l' église a été restaurée en 1946, toujours avec l' aide de la Société Métallurgique de Normandie.
Le site comprend l'église à proprement parler, avec son bulbe vert posé sur le faîte du toit, le pavillon des cloches, couvert d'un toit à deux pans, abritant deux cloches et bâti au-dessus du logement du prêtre et enfin, parallèle à l'église, le petit bâtiment de la bibliothèque religieuse. L'église étant sur un mamelon à 1 km au sud du bourg de Colombelles, elle est visible de loin, y compris du canal de Caen à la Mer.
Publié à 16:07 par lusile17
Publié à 15:49 par lusile17
Notre Dame de Pontmain - Reine de la paix du monde et de l’amour
Image qui représente l'apparition de la Vierge Marie aux enfants de Pontmain
"Mais priez mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps.
Mon Fils se laisse toucher."
Publié à 15:22 par lusile17
Notre Dame de Pontmain
À cinquante kilomètres au nord-ouest de Laval, en bordure de la Normandie et de la Bretagne, Pontmain est un petit hameau d'une quinzaine de maisons, moins de cent habitants. Répondant à la “ levée en masse ”, trente-huit hommes en sont partis depuis le 23 septembre.
En 1871, c'est la guerre et les prussiens sont proches de Laval (Mayenne).
A Pontmain, petit village mayennais, un soir d'hiver, par une belle nuit étoilée, la sainte Vierge
apparaît aux enfants, avec, inscrit dans le ciel, cet unique message ...
MAIS PRIEZ MES ENFANTS, MON FILS SE LAISSE TOUCHER.
DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS.
Tout commence devant la grange de la famille Barbedette (une famille pieuse).
Ce sont uniquement les enfants qui ont vu la Sainte Vierge et son message (quelques rares enfants n'ont pas vu).
Après le doute et l'étonnement des villageois, malgré le froid, s'ensuit un intense moment de prière, de ferveur et de joie. Les prussiens sont tous près ... et "mystérieusement", le lendemain,ils se retirent, la guerre est finie !
Quelques jours après, l'armistice est signé avec la Prusse et les habitants de Pontmain et des alentours y voient une grâce de l'apparition
Du village, aucun des enfants partis durant cette guerre n'a été ni blessé ni tué...
À la suite de l'apparition et de sa reconnaissance canonique, l'abbé Guérin, curé de Pontmain, assure l'accueil des pèlerins avec les religieuses de l'école,après sa mort en 1872 ,Monseigneur Wicart pose la première pierre de la basilique de Pontmain le 18 juin 1873, mais meurt peu après. Ses successeurs suivent sa voie et la basilique est consacrée le 15 octobre 1900 par monseigneur Pierre Geay.
L'affluence des pèlerins à Pontmain a été rapide. Pour le premier anniversaire des apparitions, le 17 janvier 1872, on comptait déjà 8 000 personnes.
Notre Dame de Pontmain est aussi invoquée sous le vocable de Notre Dame de l'Espérance.