Cathédrale Saint Pierre et Saint Paul de Troyes

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes, est une cathédralecatholique romaine française, située dans la ville de Troyes du département de l'Aube en région Champagne-Ardenne.

La fondation d’une cathédrale à Troyes est difficile à préciser. La christianisation de la région pourrait dater du IIIe siècle. Au milieu du siècle suivant, une cathédrale existait dont rien ne subsiste. La cathédrale gothique que nous voyons, dédiée à saint Pierre et saint Paul, a eu une histoire longue et mouvementée. Commencée par les chapelles du déambulatoire vers 1200, elle a été achevée en 1634 avec les deux clochetons qui surmontent l’unique tour qui a été construite, la tour Saint Pierre. De plus, l’édifice a subi d’importantes restructurations au XIXe siècle. Décorée intérieurement de peintures et de sculptures, son ornement le plus important réside dans ses vitraux presque entièrement conservés, grâce à de multiples restaurations. Toutes les époques y sont représentées depuis le XIIIe jusqu’au XIXe siècle. L’ensemble du décor vitré de la cathédrale constitue un résumé de l’histoire du vitrail.
D’une manière générale, tous les vitraux sont colorés. Ceux du XIIIe siècle dans le chœur et ceux de la fin du XVe et du début du XVIe siècle dans la nef, d’une grande intensité, ont des gammes de couleurs voisines, de sorte que le visiteur qui découvre le vaisseau central est baigné dans une lumière unifiée qui se combine à l’harmonie architecturale avec le plus grand bonheur.
L’iconographie, variée, illustre la liturgie qui se déroule dans l’édifice. Plusieurs ensembles de vitraux s’organisent en programmes cohérents. Ceux du transept représentent de saints personnages. Malgré les siècles qui les séparent, ceux du chœur, dans ses chapelles rayonnantes et dans ses baies hautes d’une part, ceux des baies hautes de la nef d’autre part, célèbrent l’histoire du salut de l’homme par la rédemption du Christ sur la croix pour aboutir à la vision du Paradis de la grande rose occidentale.

 La façade ouest, chef d’œuvre de Martin Chambiges, maître maçon parisien, est achevée en 1554 avec la base de la tour Saint-Pierre (celle-ci ne sera terminée qu’en 1634).

La tour Saint-Paul, elle, ne sera jamais élevée en raison d’une crise de la foi et d’un manque de financement.

 Cathédrale Saint Pierre et Saint Paul de Troyes

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes, est une cathédralecatholique romaine française, située dans la ville de Troyes du département de l'Aube en région Champagne-Ardenne.

La fondation d’une cathédrale à Troyes est difficile à préciser. La christianisation de la région pourrait dater du IIIe siècle. Au milieu du siècle suivant, une cathédrale existait dont rien ne subsiste. La cathédrale gothique que nous voyons, dédiée à saint Pierre et saint Paul, a eu une histoire longue et mouvementée. Commencée par les chapelles du déambulatoire vers 1200, elle a été achevée en 1634 avec les deux clochetons qui surmontent l’unique tour qui a été construite, la tour Saint Pierre. De plus, l’édifice a subi d’importantes restructurations au XIXe siècle. Décorée intérieurement de peintures et de sculptures, son ornement le plus important réside dans ses vitraux presque entièrement conservés, grâce à de multiples restaurations. Toutes les époques y sont représentées depuis le XIIIe jusqu’au XIXe siècle. L’ensemble du décor vitré de la cathédrale constitue un résumé de l’histoire du vitrail.
D’une manière générale, tous les vitraux sont colorés. Ceux du XIIIe siècle dans le chœur et ceux de la fin du XVe et du début du XVIe siècle dans la nef, d’une grande intensité, ont des gammes de couleurs voisines, de sorte que le visiteur qui découvre le vaisseau central est baigné dans une lumière unifiée qui se combine à l’harmonie architecturale avec le plus grand bonheur.
L’iconographie, variée, illustre la liturgie qui se déroule dans l’édifice. Plusieurs ensembles de vitraux s’organisent en programmes cohérents. Ceux du transept représentent de saints personnages. Malgré les siècles qui les séparent, ceux du chœur, dans ses chapelles rayonnantes et dans ses baies hautes d’une part, ceux des baies hautes de la nef d’autre part, célèbrent l’histoire du salut de l’homme par la rédemption du Christ sur la croix pour aboutir à la vision du Paradis de la grande rose occidentale.

 La façade ouest, chef d’œuvre de Martin Chambiges, maître maçon parisien, est achevée en 1554 avec la base de la tour Saint-Pierre (celle-ci ne sera terminée qu’en 1634).

La tour Saint-Paul, elle, ne sera jamais élevée en raison d’une crise de la foi et d’un manque de financement.

 Cathédrale Saint Pierre et Saint Paul de Troyes

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes, est une cathédralecatholique romaine française, située dans la ville de Troyes du département de l'Aube en région Champagne-Ardenne.

La fondation d’une cathédrale à Troyes est difficile à préciser. La christianisation de la région pourrait dater du IIIe siècle. Au milieu du siècle suivant, une cathédrale existait dont rien ne subsiste. La cathédrale gothique que nous voyons, dédiée à saint Pierre et saint Paul, a eu une histoire longue et mouvementée. Commencée par les chapelles du déambulatoire vers 1200, elle a été achevée en 1634 avec les deux clochetons qui surmontent l’unique tour qui a été construite, la tour Saint Pierre. De plus, l’édifice a subi d’importantes restructurations au XIXe siècle. Décorée intérieurement de peintures et de sculptures, son ornement le plus important réside dans ses vitraux presque entièrement conservés, grâce à de multiples restaurations. Toutes les époques y sont représentées depuis le XIIIe jusqu’au XIXe siècle. L’ensemble du décor vitré de la cathédrale constitue un résumé de l’histoire du vitrail.
D’une manière générale, tous les vitraux sont colorés. Ceux du XIIIe siècle dans le chœur et ceux de la fin du XVe et du début du XVIe siècle dans la nef, d’une grande intensité, ont des gammes de couleurs voisines, de sorte que le visiteur qui découvre le vaisseau central est baigné dans une lumière unifiée qui se combine à l’harmonie architecturale avec le plus grand bonheur.
L’iconographie, variée, illustre la liturgie qui se déroule dans l’édifice. Plusieurs ensembles de vitraux s’organisent en programmes cohérents. Ceux du transept représentent de saints personnages. Malgré les siècles qui les séparent, ceux du chœur, dans ses chapelles rayonnantes et dans ses baies hautes d’une part, ceux des baies hautes de la nef d’autre part, célèbrent l’histoire du salut de l’homme par la rédemption du Christ sur la croix pour aboutir à la vision du Paradis de la grande rose occidentale.

 La façade ouest, chef d’œuvre de Martin Chambiges, maître maçon parisien, est achevée en 1554 avec la base de la tour Saint-Pierre (celle-ci ne sera terminée qu’en 1634).

La tour Saint-Paul, elle, ne sera jamais élevée en raison d’une crise de la foi et d’un manque de financement.

 Cathédrale Saint Pierre et Saint Paul de Troyes

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes, est une cathédralecatholique romaine française, située dans la ville de Troyes du département de l'Aube en région Champagne-Ardenne.

La fondation d’une cathédrale à Troyes est difficile à préciser. La christianisation de la région pourrait dater du IIIe siècle. Au milieu du siècle suivant, une cathédrale existait dont rien ne subsiste. La cathédrale gothique que nous voyons, dédiée à saint Pierre et saint Paul, a eu une histoire longue et mouvementée. Commencée par les chapelles du déambulatoire vers 1200, elle a été achevée en 1634 avec les deux clochetons qui surmontent l’unique tour qui a été construite, la tour Saint Pierre. De plus, l’édifice a subi d’importantes restructurations au XIXe siècle. Décorée intérieurement de peintures et de sculptures, son ornement le plus important réside dans ses vitraux presque entièrement conservés, grâce à de multiples restaurations. Toutes les époques y sont représentées depuis le XIIIe jusqu’au XIXe siècle. L’ensemble du décor vitré de la cathédrale constitue un résumé de l’histoire du vitrail.
D’une manière générale, tous les vitraux sont colorés. Ceux du XIIIe siècle dans le chœur et ceux de la fin du XVe et du début du XVIe siècle dans la nef, d’une grande intensité, ont des gammes de couleurs voisines, de sorte que le visiteur qui découvre le vaisseau central est baigné dans une lumière unifiée qui se combine à l’harmonie architecturale avec le plus grand bonheur.
L’iconographie, variée, illustre la liturgie qui se déroule dans l’édifice. Plusieurs ensembles de vitraux s’organisent en programmes cohérents. Ceux du transept représentent de saints personnages. Malgré les siècles qui les séparent, ceux du chœur, dans ses chapelles rayonnantes et dans ses baies hautes d’une part, ceux des baies hautes de la nef d’autre part, célèbrent l’histoire du salut de l’homme par la rédemption du Christ sur la croix pour aboutir à la vision du Paradis de la grande rose occidentale.

 La façade ouest, chef d’œuvre de Martin Chambiges, maître maçon parisien, est achevée en 1554 avec la base de la tour Saint-Pierre (celle-ci ne sera terminée qu’en 1634).

La tour Saint-Paul, elle, ne sera jamais élevée en raison d’une crise de la foi et d’un manque de financement.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.

Cathédrale Saint Just et Saint Pasteur de Narbonne

La cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur est le monument le plus prestigieux de la ville de Narbonne. C'est une construction d'architecture gothique qui a remplacé des lieux de culte édifiés à cet endroit dès le iv^e siècle. Sa particularité réside dans le fait qu'elle est inachevée (seul le chœur est présent) et que sa hauteur sous voutes en fait la quatrième plus haute de France (41 mètres sous voûte, après Beauvais à 48 m et Amiens et Metz à 42 m.) Ce monument presque disproportionné au regard du reste de la ville, fut l'un des chantiers les plus ambitieux de la France post-médiévale et l'une des œuvres les plus savantes des débuts du xiv^e siècle 

Cette église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Le cloître fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 18 avril 1914. Un ensemble de sites archéologiques attenants fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 juillet 1937 

La construction de la cathédrale St-Just et St-Pasteur a débuté en 1272. Elle a été édifiée à l'emplacement de trois anciennes églises successives, dont la première était une basilique constantinienne. En 1340, l'achèvement de cette cathédrale nécessitait la démolition d'un rempart d'origine romain. Les consuls de la ville s'y opposèrent et la cathédrale ne put jamais être achevée, malgré la nouvelle tentative d'un archevêque au début du XVIIIe siècle.

L'histoire a donné raison aux consuls puisque les remparts ont permis de protéger la ville des Anglais. Les créneaux et les tourelles rappellent par ailleurs que la cathédrale avait également pour fonction de participer à la défense de la ville. L'édifice actuel ne comprend que le chœur du monument prévu et il ne possède donc pas de nef. Considérant la grandeur de cette cathédrale, on réalise l'ambition de ce projet. Depuis 1803, la cathédrale est devenue une église paroissiale, le siège de l'évêché du département de l'Aude ayant été transféré à Carcassonne.