amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
joyeux noël
Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
· chezwindy
· manuella13
· monjardinsecret59
· lesmontagesdagnes
· animo-services
· noeletconfety
· jessiedarko
· luciecreadore
· rosannette
· depannageelectromenagerparis
· marzou2
· cmjg1954
· galeriedesreves
· pouce83
· fabi2033
· mon-album-d-images
· chezguylou
· saisistachance
· mavieen-mots
· mesangebleu
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Les peuples de l'eau - Les Ondines
Les Ondines, dont le nom dérive de « onde » sont des créatures vivant dans les eaux douces, généralement les lacs, les rivières ou les chutes d’eau.
Elles sont surtout présentes dans le mythologies germaniques et scandinaves. Leurs compagnons, les Ondins, jouent un rôle plus effacé.
Contrairement aux sirènes, les ondines ont des corps de femmes parfaitement conformés, dont la partie inférieure n’est pas recouverte d’écailles de poissons. Les Ondines attirent à elles les jeunes hommes pour les séduire et les entraîner sous l’onde, dans leurs magnifiques palais de cristal, d’où ils revienne rarement.
Les Ondines sont toujours jolies, malicieuses, parfois cruelles. Coiffées de plantes aquatiques, elles viennent peigner leurs cheveux à la surface de l’eau; ces cheveux sont tantôt blonds, tantôt d’un vert de mer. Elles tournent vers le passant leur figure ou brillent deux lèvres de corail et des yeux d’un vert étincelant. Le jeune homme qui les voit est séduit par tant de beauté. Il suit l’ondine dans son, palais de cristal pour y vivre avec elle.
Mais là-bas au fond de l’élément liquide, les jours passent comme des minutes. L’homme ignore cette particularité, et, quand il revient sur cette terre, quelle n’est pas sa stupéfaction de rencontrer les arrière-neveux des personnes qu’il à connues! Tout le monde se moque de lui : il porte des vêtements ridicules, passés de mode depuis longtemps.
Une fois mariée à un mortel, l’ondine ne doit jamais retourner sur l’eau, au risque d’en périr, on dit que celui qui a une Ondine pour femme doit éviter de la conduire sur l’eau et surtout de la fâcher quand elle se trouve sur cet élément. Si ces conditions ne sont pas remplies, l’ondine retourne pour toujours dans les flots, sans que le mariage soit dissous, si le mari abandonné se remarie l’ondine le tue
Les images et textes proviennent de mes recherches sur le net , si ils vous appartiennent, n'hésitez pas à me le signaler je les enlèverais de mon blog. Merci
Les peuples de l'eau - Les Ondines
Les Ondines, dont le nom dérive de « onde » sont des créatures vivant dans les eaux douces, généralement les lacs, les rivières ou les chutes d’eau.
Elles sont surtout présentes dans le mythologies germaniques et scandinaves. Leurs compagnons, les Ondins, jouent un rôle plus effacé.
Contrairement aux sirènes, les ondines ont des corps de femmes parfaitement conformés, dont la partie inférieure n’est pas recouverte d’écailles de poissons. Les Ondines attirent à elles les jeunes hommes pour les séduire et les entraîner sous l’onde, dans leurs magnifiques palais de cristal, d’où ils revienne rarement.
Les Ondines sont toujours jolies, malicieuses, parfois cruelles. Coiffées de plantes aquatiques, elles viennent peigner leurs cheveux à la surface de l’eau; ces cheveux sont tantôt blonds, tantôt d’un vert de mer. Elles tournent vers le passant leur figure ou brillent deux lèvres de corail et des yeux d’un vert étincelant. Le jeune homme qui les voit est séduit par tant de beauté. Il suit l’ondine dans son, palais de cristal pour y vivre avec elle.
Mais là-bas au fond de l’élément liquide, les jours passent comme des minutes. L’homme ignore cette particularité, et, quand il revient sur cette terre, quelle n’est pas sa stupéfaction de rencontrer les arrière-neveux des personnes qu’il à connues! Tout le monde se moque de lui : il porte des vêtements ridicules, passés de mode depuis longtemps.
Une fois mariée à un mortel, l’ondine ne doit jamais retourner sur l’eau, au risque d’en périr, on dit que celui qui a une Ondine pour femme doit éviter de la conduire sur l’eau et surtout de la fâcher quand elle se trouve sur cet élément. Si ces conditions ne sont pas remplies, l’ondine retourne pour toujours dans les flots, sans que le mariage soit dissous, si le mari abandonné se remarie l’ondine le tue
Les images et textes proviennent de mes recherches sur le net , si ils vous appartiennent, n'hésitez pas à me le signaler je les enlèverais de mon blog. Merci
Les Mari Morgan
Les Mari Morgan sont des fées d’eau de Bretagne en tous points semblables à des femmes. On ne les trouve jamais en pleine mer, mais dans le voisinage des côtes, à l’entrée des cavernes ou à l’embouchure des rivières.
Le folkloriste Paul Sébillot en dit ceci : «Très effrontées et versées dans la science des maléfices, elles poursuivaient les jeunes pêcheurs de leurs sollicitations amoureuses : ceux qu’elles parvenaient à séduire étaient entraînés sous les eaux et on ne les revoyait jamais.»
Les Mari Morgan habitent de somptueux palais sous-marins dans lesquels elles entraînent leurs amants, généralement des marins, qui demeurent à jamais prisonniers de ces filles de la mer.
En Haute-Bretagne, on dit que les royaumes des Mari Morgan sont aussi étendus que des contrées ; on y trouve des campagnes, des montagnes, des vergers et des jardins.
Les châteaux sont ornés de tentures d’algues et de parements de coraux. Les habitants et les visiteurs de ces abysses ne manquent ni d’air ni de lumière, et on y voit presque aussi bien que sur terre.
Des poissons font en permanence la navette entre le fond de la mer et la surface ; ils emmagasinaient dans leur bouche l’air, qu’ils expulsent ensuite dans une gigantesque bulle qui alimente le royaume sous-marin, à la façon d’une cloche de plongée.
On dit que de nombreux marins de Basse-Bretagne ont cédé à la séduction des Mari Morgan, et les ont suivies dans leurs palais de nacre et de cristal, où ils ne manquaient de rien et pouvaient jouir de plaisirs de toutes sortes.
Ils épousaient les Mari Morgan, en avaient de nombreux enfants, et s’accommodaient si parfaitement de cette vie sous-marine qu’ils en oubliaient totalement leur existence terrestre.
«Des Mari Morgan vivent encore dans une grotte près de Crozon, souvent inaccessible à cause de la mer. Un seigneur du voisinage, désolé de ne pas avoir d’enfants, vit un soir sur le chemin de son château une mignonne fillette abandonnée dans un panier de jonc. Il l’emporta à son logis, et sa femme et lui l’élevèrent comme si elle eût été leur fille. Mais c’était une Mari Morgan : bien souvent, la nuit, l’enfant disparaissait du berceau où on l’avait couchée, sans que l’on pût savoir ce qu’elle était devenue. Lorsqu’elle fut grande, on entendit souvent, le soir, dans la cour du château le pas d’un cheval : c’était un folgoat qui appelait la Mari Morgan. On voyait une lumière éblouissante ; c’était le jeune fille qui répondait à cet appel ; elle s’en allait et était quelquefois absente pendant des semaines. Ceux qui l’avaient élevée essayèrent en vain de la retenir, elle les quittait, et un jour elle ne revint plus. Les gens du pays assurent qu’elle est encore dans cette grotte, la dernière qui soit la demeure des Mari Morgan.»
Les Mari Morgan
Les Mari Morgan sont des fées d’eau de Bretagne en tous points semblables à des femmes. On ne les trouve jamais en pleine mer, mais dans le voisinage des côtes, à l’entrée des cavernes ou à l’embouchure des rivières.
Le folkloriste Paul Sébillot en dit ceci : «Très effrontées et versées dans la science des maléfices, elles poursuivaient les jeunes pêcheurs de leurs sollicitations amoureuses : ceux qu’elles parvenaient à séduire étaient entraînés sous les eaux et on ne les revoyait jamais.»
Les Mari Morgan habitent de somptueux palais sous-marins dans lesquels elles entraînent leurs amants, généralement des marins, qui demeurent à jamais prisonniers de ces filles de la mer.
En Haute-Bretagne, on dit que les royaumes des Mari Morgan sont aussi étendus que des contrées ; on y trouve des campagnes, des montagnes, des vergers et des jardins.
Les châteaux sont ornés de tentures d’algues et de parements de coraux. Les habitants et les visiteurs de ces abysses ne manquent ni d’air ni de lumière, et on y voit presque aussi bien que sur terre.
Des poissons font en permanence la navette entre le fond de la mer et la surface ; ils emmagasinaient dans leur bouche l’air, qu’ils expulsent ensuite dans une gigantesque bulle qui alimente le royaume sous-marin, à la façon d’une cloche de plongée.
On dit que de nombreux marins de Basse-Bretagne ont cédé à la séduction des Mari Morgan, et les ont suivies dans leurs palais de nacre et de cristal, où ils ne manquaient de rien et pouvaient jouir de plaisirs de toutes sortes.
Ils épousaient les Mari Morgan, en avaient de nombreux enfants, et s’accommodaient si parfaitement de cette vie sous-marine qu’ils en oubliaient totalement leur existence terrestre.
«Des Mari Morgan vivent encore dans une grotte près de Crozon, souvent inaccessible à cause de la mer. Un seigneur du voisinage, désolé de ne pas avoir d’enfants, vit un soir sur le chemin de son château une mignonne fillette abandonnée dans un panier de jonc. Il l’emporta à son logis, et sa femme et lui l’élevèrent comme si elle eût été leur fille. Mais c’était une Mari Morgan : bien souvent, la nuit, l’enfant disparaissait du berceau où on l’avait couchée, sans que l’on pût savoir ce qu’elle était devenue. Lorsqu’elle fut grande, on entendit souvent, le soir, dans la cour du château le pas d’un cheval : c’était un folgoat qui appelait la Mari Morgan. On voyait une lumière éblouissante ; c’était le jeune fille qui répondait à cet appel ; elle s’en allait et était quelquefois absente pendant des semaines. Ceux qui l’avaient élevée essayèrent en vain de la retenir, elle les quittait, et un jour elle ne revint plus. Les gens du pays assurent qu’elle est encore dans cette grotte, la dernière qui soit la demeure des Mari Morgan.»
Les lavandières de nuit
(Laveuses de nuit, blanchisseuses de nuit, lessiveuses de la mort, femmes de nuit, chanteuses de nuit, pâles de la nuit [Franche-Comté], bugadiero [Provence])
Les lavandières surnaturelles apparaissent la nuit près des eaux mortes ou des lavoirs, et manifestent leur présence par des chants et des coups de battoir sur le linge mouillé.
Leur rencontre est toujours de mauvais augure, et présage souvent une mort imminente. Contrairement aux fées de l’eau, qui viennent faire leur lessive au bord des rivières, et obtiennent un linge si pur que l’on dit «blanc comme le linge des fées», aux sirènes, qui blanchissent leur linge dans l’écume de la mer, ou aux incantados, créatures mi-anges mi-serpents qui viennent plonger leur linge dans les sources sacrées, les lavandières de nuit sont des créatures aux instincts morbides dont il vaut mieux se garder.
Il s’agit le plus souvent de sorcières, de mortes qui n’ont pas été ensevelies dans un linceul propre - c’est pour cela qu’elles reviennent la nuit le laver - ou de fantômes revenus sur terre pour expier un châtiment.
Leurs fautes les plus communes sont d’avoir osé faire de leur vivant leur lessive le dimanche, défiant ainsi la règle du repos dominical, d’avoir trop économisé le savon ou d’avoir tué leurs propres enfants : dans ce cas, elles sont condamnées à laver jusqu’à la fin des temps les langes sanglants de leurs poupons sans vie.
En Basse-Bretagne, le linge qu’elles tendent aux passants contient un nourrisson ensanglanté. A Dinan, les laveuses de nuit blanchissent les os des enfants morts sans baptême.
En Provence, les bugadiero sont des sorcières, des «masques», qui invitent les jeunes hommes à venir danser avec elles, mais c’est pour mieux les pousser au fond de l’eau, où elles les dévorent ensuite.
Ismaël Mérindol, natif de Provence, eut plusieurs fois l’occasion de croiser les silhouettes décharnées de ces monstrueuses lavandières lorsqu’il était enfant.
Déjà initié aux contre-sortilèges des fées, il les faisait fuir par cette comptine :
Vé la Bugadiero, va la Masco !
Va prendro moun pied au derriero !
En Bretagne, on les appelles ar kannerez-noz, «les chanteuses de nuit». Elles apparaissent aux heures impaires de la nuit et filent des draps et des suaires avec leurs cheveux blancs puis les lavent dans la rivière.
Si elles voient un promeneur passer près d’elles aux alentours de minuit, elles le hèlent afin qu’il vienne les aider à tordre leur linge pour mieux l’essorer.
Mais elles le tordent à toute vitesse, si bien que le malheureux finit bientôt les membres brisés. Collin de Plancy voit dans ces monstres une variété de Dames blanches : «On appelle lavandières ou chanteuses de nuit des femmes blanches qui lavent leur linge en chantant, au clair de lune, dans les fontaines écartées ; elles réclament l’aide des passants pour tordre leur linge et cassent le bras à qui les aides de mauvaise grâce.»
Au lavoir d’Oberbronn, en Alsace, une Dame blanche se tenait jadis à l’écart des autres lavandières pour laver en silence les chemises des trépassés.
Cambry confirme que ces laveuses de nuit «vous invitent à tordre leur linge, vous cassent les bras si vous les aidez de mauvaise grâce, et vous noient si vous les refusez.»
Le récit suivant, conté par Emilie Souvestre et rapporté par Paul Sébillot, illustre bien la cruauté des lavandières de nuit : «Un garçon du pays de Léon qui, au lieu de prier pour les défunts, avait passé joyeusement la nuit de la Toussaint, vit, en arrivant à un douez, les kannerez-noz qui frappaient leurs draps mortuaires en chantant leur triste refrain ; elles accoururent à lui, en lui présentant leurs suaires et en lui criant de le tordre. Il accepta, et pour éviter d’être broyé, il tordit d’abord dans le même sens qu’elles ; mais pendant ce temps, d’autres lavandières, parmi lesquelles il reconnut ses parentes défuntes, lui reprochèrent de les avoir laissées manquer de prières. Troublé par ces paroles, il tordit de l’autre côté : le linceul serra à l’instant ses mains, et il tomba mort, broyé par les mains de la lavandière.»
On dit aussi que, «au lieu de se serrer, comme c’est naturel, le linge vient à s’enfler, ce n’est plus l’eau du lavoir qui en égoutte, et vous distinguez en ce linceul un cadavre ; et la fée tourne plus vite, elle vous attire, elle vous jette sur l’épaule un pli du suaire et elle vous ensevelit.»
Paul Féval, dans Les Dernières Fées, cite le refrain suivant, chanté par les lavandières :
Tors la guenille,
Tors
Le suaire des épouses des morts.
Quant aux lavandières du Berry, elle lavent «une espèce de vapeur d’une couleur livide, d’une transparence terne qui rappelle celle de l’opale. Cela semble prendre quelque apparence de forme humaine et l’on jurerait que cela pleure. On pense que ce sont des âmes d’enfants trépassés sans baptême ou d’adultes morts avant d’avoir reçu le sacrement de confirmation ; elles s’acquittent de leur besogne avec une sorte d’acharnement, presque toujours en silence.»
Mais il suffit de faire le signe de croix pour voir ces âmes damnées s’envoler
Les lavandières de nuit
(Laveuses de nuit, blanchisseuses de nuit, lessiveuses de la mort, femmes de nuit, chanteuses de nuit, pâles de la nuit [Franche-Comté], bugadiero [Provence])
Les lavandières surnaturelles apparaissent la nuit près des eaux mortes ou des lavoirs, et manifestent leur présence par des chants et des coups de battoir sur le linge mouillé.
Leur rencontre est toujours de mauvais augure, et présage souvent une mort imminente. Contrairement aux fées de l’eau, qui viennent faire leur lessive au bord des rivières, et obtiennent un linge si pur que l’on dit «blanc comme le linge des fées», aux sirènes, qui blanchissent leur linge dans l’écume de la mer, ou aux incantados, créatures mi-anges mi-serpents qui viennent plonger leur linge dans les sources sacrées, les lavandières de nuit sont des créatures aux instincts morbides dont il vaut mieux se garder.
Il s’agit le plus souvent de sorcières, de mortes qui n’ont pas été ensevelies dans un linceul propre - c’est pour cela qu’elles reviennent la nuit le laver - ou de fantômes revenus sur terre pour expier un châtiment.
Leurs fautes les plus communes sont d’avoir osé faire de leur vivant leur lessive le dimanche, défiant ainsi la règle du repos dominical, d’avoir trop économisé le savon ou d’avoir tué leurs propres enfants : dans ce cas, elles sont condamnées à laver jusqu’à la fin des temps les langes sanglants de leurs poupons sans vie.
En Basse-Bretagne, le linge qu’elles tendent aux passants contient un nourrisson ensanglanté. A Dinan, les laveuses de nuit blanchissent les os des enfants morts sans baptême.
En Provence, les bugadiero sont des sorcières, des «masques», qui invitent les jeunes hommes à venir danser avec elles, mais c’est pour mieux les pousser au fond de l’eau, où elles les dévorent ensuite.
Ismaël Mérindol, natif de Provence, eut plusieurs fois l’occasion de croiser les silhouettes décharnées de ces monstrueuses lavandières lorsqu’il était enfant.
Déjà initié aux contre-sortilèges des fées, il les faisait fuir par cette comptine :
Vé la Bugadiero, va la Masco !
Va prendro moun pied au derriero !
En Bretagne, on les appelles ar kannerez-noz, «les chanteuses de nuit». Elles apparaissent aux heures impaires de la nuit et filent des draps et des suaires avec leurs cheveux blancs puis les lavent dans la rivière.
Si elles voient un promeneur passer près d’elles aux alentours de minuit, elles le hèlent afin qu’il vienne les aider à tordre leur linge pour mieux l’essorer.
Mais elles le tordent à toute vitesse, si bien que le malheureux finit bientôt les membres brisés. Collin de Plancy voit dans ces monstres une variété de Dames blanches : «On appelle lavandières ou chanteuses de nuit des femmes blanches qui lavent leur linge en chantant, au clair de lune, dans les fontaines écartées ; elles réclament l’aide des passants pour tordre leur linge et cassent le bras à qui les aides de mauvaise grâce.»
Au lavoir d’Oberbronn, en Alsace, une Dame blanche se tenait jadis à l’écart des autres lavandières pour laver en silence les chemises des trépassés.
Cambry confirme que ces laveuses de nuit «vous invitent à tordre leur linge, vous cassent les bras si vous les aidez de mauvaise grâce, et vous noient si vous les refusez.»
Le récit suivant, conté par Emilie Souvestre et rapporté par Paul Sébillot, illustre bien la cruauté des lavandières de nuit : «Un garçon du pays de Léon qui, au lieu de prier pour les défunts, avait passé joyeusement la nuit de la Toussaint, vit, en arrivant à un douez, les kannerez-noz qui frappaient leurs draps mortuaires en chantant leur triste refrain ; elles accoururent à lui, en lui présentant leurs suaires et en lui criant de le tordre. Il accepta, et pour éviter d’être broyé, il tordit d’abord dans le même sens qu’elles ; mais pendant ce temps, d’autres lavandières, parmi lesquelles il reconnut ses parentes défuntes, lui reprochèrent de les avoir laissées manquer de prières. Troublé par ces paroles, il tordit de l’autre côté : le linceul serra à l’instant ses mains, et il tomba mort, broyé par les mains de la lavandière.»
On dit aussi que, «au lieu de se serrer, comme c’est naturel, le linge vient à s’enfler, ce n’est plus l’eau du lavoir qui en égoutte, et vous distinguez en ce linceul un cadavre ; et la fée tourne plus vite, elle vous attire, elle vous jette sur l’épaule un pli du suaire et elle vous ensevelit.»
Paul Féval, dans Les Dernières Fées, cite le refrain suivant, chanté par les lavandières :
Tors la guenille,
Tors
Le suaire des épouses des morts.
Quant aux lavandières du Berry, elle lavent «une espèce de vapeur d’une couleur livide, d’une transparence terne qui rappelle celle de l’opale. Cela semble prendre quelque apparence de forme humaine et l’on jurerait que cela pleure. On pense que ce sont des âmes d’enfants trépassés sans baptême ou d’adultes morts avant d’avoir reçu le sacrement de confirmation ; elles s’acquittent de leur besogne avec une sorte d’acharnement, presque toujours en silence.»
Mais il suffit de faire le signe de croix pour voir ces âmes damnées s’envoler
Les peuples de l'eau
Les peuples de l'eau sont essentiellement féminins. Sirènes à la voix enchanteresse, Mari Morgan aux cheveux blonds, Nymphes fécondes des eaux douces, Ondines se baignant nues dans les rivières, Naïades mutines des fontaines, envoûtantes nixes des mares isolées, les créatures aquatique sont des amoureuses sensuelles qui ne songent qu'à séduire les mortels pour les entraîner au fond de leur palais sous-marins. Mais leur amour est souvent fatal, et bien des hommes, à fréquenter trop assidûment ces filles de l'eau, y ont laissé leur santé, leur vie et même leur âme. Sans parler des malheureuses victimes des effrayantes lavandières de nuit, des vouivres à queue de serpente, des cruelles groac'h et autres sorcières d'eau.
Les peuples de l'eau
Les peuples de l'eau sont essentiellement féminins. Sirènes à la voix enchanteresse, Mari Morgan aux cheveux blonds, Nymphes fécondes des eaux douces, Ondines se baignant nues dans les rivières, Naïades mutines des fontaines, envoûtantes nixes des mares isolées, les créatures aquatique sont des amoureuses sensuelles qui ne songent qu'à séduire les mortels pour les entraîner au fond de leur palais sous-marins. Mais leur amour est souvent fatal, et bien des hommes, à fréquenter trop assidûment ces filles de l'eau, y ont laissé leur santé, leur vie et même leur âme. Sans parler des malheureuses victimes des effrayantes lavandières de nuit, des vouivres à queue de serpente, des cruelles groac'h et autres sorcières d'eau.
Les peuples de l'eau
Les peuples de l'eau sont essentiellement féminins. Sirènes à la voix enchanteresse, Mari Morgan aux cheveux blonds, Nymphes fécondes des eaux douces, Ondines se baignant nues dans les rivières, Naïades mutines des fontaines, envoûtantes nixes des mares isolées, les créatures aquatique sont des amoureuses sensuelles qui ne songent qu'à séduire les mortels pour les entraîner au fond de leur palais sous-marins. Mais leur amour est souvent fatal, et bien des hommes, à fréquenter trop assidûment ces filles de l'eau, y ont laissé leur santé, leur vie et même leur âme. Sans parler des malheureuses victimes des effrayantes lavandières de nuit, des vouivres à queue de serpente, des cruelles groac'h et autres sorcières d'eau.
Les peuples de l'eau
Les peuples de l'eau sont essentiellement féminins. Sirènes à la voix enchanteresse, Mari Morgan aux cheveux blonds, Nymphes fécondes des eaux douces, Ondines se baignant nues dans les rivières, Naïades mutines des fontaines, envoûtantes nixes des mares isolées, les créatures aquatique sont des amoureuses sensuelles qui ne songent qu'à séduire les mortels pour les entraîner au fond de leur palais sous-marins. Mais leur amour est souvent fatal, et bien des hommes, à fréquenter trop assidûment ces filles de l'eau, y ont laissé leur santé, leur vie et même leur âme. Sans parler des malheureuses victimes des effrayantes lavandières de nuit, des vouivres à queue de serpente, des cruelles groac'h et autres sorcières d'eau.