amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
bonjours cath gros bisous pour une journée de fête.
Par le Bris, le 25.11.2024
vvvvvvvvgghhft ggg
Par Anonyme, le 21.11.2024
je t 'invité à mon anniversaire
Par Anonyme, le 18.11.2024
fgerhz
Par Anonyme, le 30.10.2024
w2ww2
Par Ww, le 07.10.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Lisieux 2012
Les Buissonnets
Un Autel Merveilleux de la Petite Thérèse
En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.
C’est, en effet, aux Buissonnets qu’elle a vécu l’entrée au Carmel de ses deux grandes sœurs qui avaient joué auprès d’elle le rôle de seconde maman après la mort de Madame Martin.
Un des Autels que la "petite Thérèse" appelait "merveilleux"
reconstitué par ses soeurs à cette place où elle les dressait elle-même.
Tout y est authentique, sauf la verdure. Les mêmes statuettes de la Sainte Vierge et de Saint Joseph lui servaient à dresser d'autres petits autels en différentes circonstances.
Lisieux 2012
Les Buissonnets
Un Autel Merveilleux de la Petite Thérèse
En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.
C’est, en effet, aux Buissonnets qu’elle a vécu l’entrée au Carmel de ses deux grandes sœurs qui avaient joué auprès d’elle le rôle de seconde maman après la mort de Madame Martin.
Un des Autels que la "petite Thérèse" appelait "merveilleux"
reconstitué par ses soeurs à cette place où elle les dressait elle-même.
Tout y est authentique, sauf la verdure. Les mêmes statuettes de la Sainte Vierge et de Saint Joseph lui servaient à dresser d'autres petits autels en différentes circonstances.
Lisieux 2012
Les Buissonnets ,coté jardin
En novembre 1877, Louis et ses cinq filles s’installent à Lisieux pour se rapprocher d’Isidore Guérin, frère de Zélie, qu’un conseil de famille a désigné subrogé tuteur des enfants. Isidore et son épouse sont en effet persuadés que c’est la solution la plus sage et ils sont parvenus à convaincre Louis, d’abord réticent, de faire ce voyage. Pour accueillir la famille Martin, ils ont trouvé une maison bourgeoise entourée d’un parc : les Buissonnets.
Louis, qui a vendu le commerce familial d’Alençon et vit désormais de ses rentes, se consacre à ses filles, et en particulier à Thérèse, qu’il appelle sa « Reine » et elle son « Roi ». Marie, âgée de dix-sept ans, prend en main le fonctionnement de la maison, avec l’aide d’une domestique. Pauline, seize ans, s’occupe de l’éducation des deux petites, spécialement de Thérèse. Louis, coupé de ses amis d’Alençon, se renferme dans sa solitude : il lit, écrit, médite.
La vie est austère aux Buissonnets, à la différence de la vie animée d’Alençon. Les filles grandissent et les plus jeunes : Léonie, Céline puis Thérèse, font à leur tour leurs études au pensionnat des bénédictines de Lisieux. En 1882, Pauline entre au Carmel de Lisieux, au grand désarroi de Thérèse qui se sent abandonnée. Thérèse en effet, sans doute la plus touchées par la mort de Zélie, est devenue une enfant hypersensible, toujours prête à fondre en larmes. En février 1886, Louis se résout à la retirer de son école et à lui faire donner des leçons particulières. En août 1886, à la surprise de toute la famille, l’aînée des filles, l’indépendante Marie, décide à son tour d’entrer au Carmel de Lisieux. Louis, qui perd sa fille préférée, son « diamant », doit cacher sa peine. C’est également un choc pour Thérèse, dont Marie était devenue la confidente. D’autant qu’en octobre, Léonie se fait admettre au couvent des Clarisses. La chaude atmosphère des Buissonnets est en train de disparaître. Il ne reste autour de Louis que Thérèse et Céline, qui est alors promue maîtresse de maison à dix-sept ans et demi.
Début décembre 1886, Léonie est de retour, la vie des Clarisses est trop éprouvante pour sa santé et, au printemps 1887, elle entre à la Visitation de Caen. Le 1er mai 1887, Louis Martin subit une petite attaque qui le laisse paralysé du côté gauche pendant quelques heures, mais il se tire d’affaire.
.
1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».
Lisieux 2012
Les Buissonnets ,coté jardin
En novembre 1877, Louis et ses cinq filles s’installent à Lisieux pour se rapprocher d’Isidore Guérin, frère de Zélie, qu’un conseil de famille a désigné subrogé tuteur des enfants. Isidore et son épouse sont en effet persuadés que c’est la solution la plus sage et ils sont parvenus à convaincre Louis, d’abord réticent, de faire ce voyage. Pour accueillir la famille Martin, ils ont trouvé une maison bourgeoise entourée d’un parc : les Buissonnets.
Louis, qui a vendu le commerce familial d’Alençon et vit désormais de ses rentes, se consacre à ses filles, et en particulier à Thérèse, qu’il appelle sa « Reine » et elle son « Roi ». Marie, âgée de dix-sept ans, prend en main le fonctionnement de la maison, avec l’aide d’une domestique. Pauline, seize ans, s’occupe de l’éducation des deux petites, spécialement de Thérèse. Louis, coupé de ses amis d’Alençon, se renferme dans sa solitude : il lit, écrit, médite.
La vie est austère aux Buissonnets, à la différence de la vie animée d’Alençon. Les filles grandissent et les plus jeunes : Léonie, Céline puis Thérèse, font à leur tour leurs études au pensionnat des bénédictines de Lisieux. En 1882, Pauline entre au Carmel de Lisieux, au grand désarroi de Thérèse qui se sent abandonnée. Thérèse en effet, sans doute la plus touchées par la mort de Zélie, est devenue une enfant hypersensible, toujours prête à fondre en larmes. En février 1886, Louis se résout à la retirer de son école et à lui faire donner des leçons particulières. En août 1886, à la surprise de toute la famille, l’aînée des filles, l’indépendante Marie, décide à son tour d’entrer au Carmel de Lisieux. Louis, qui perd sa fille préférée, son « diamant », doit cacher sa peine. C’est également un choc pour Thérèse, dont Marie était devenue la confidente. D’autant qu’en octobre, Léonie se fait admettre au couvent des Clarisses. La chaude atmosphère des Buissonnets est en train de disparaître. Il ne reste autour de Louis que Thérèse et Céline, qui est alors promue maîtresse de maison à dix-sept ans et demi.
Début décembre 1886, Léonie est de retour, la vie des Clarisses est trop éprouvante pour sa santé et, au printemps 1887, elle entre à la Visitation de Caen. Le 1er mai 1887, Louis Martin subit une petite attaque qui le laisse paralysé du côté gauche pendant quelques heures, mais il se tire d’affaire.
1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».
Lisieux 2012
Les Buissonnets ,entrée
En novembre 1877, Louis et ses cinq filles s’installent à Lisieux pour se rapprocher d’Isidore Guérin, frère de Zélie, qu’un conseil de famille a désigné subrogé tuteur des enfants. Isidore et son épouse sont en effet persuadés que c’est la solution la plus sage et ils sont parvenus à convaincre Louis, d’abord réticent, de faire ce voyage. Pour accueillir la famille Martin, ils ont trouvé une maison bourgeoise entourée d’un parc : les Buissonnets.
Louis, qui a vendu le commerce familial d’Alençon et vit désormais de ses rentes, se consacre à ses filles, et en particulier à Thérèse, qu’il appelle sa « Reine » et elle son « Roi ». Marie, âgée de dix-sept ans, prend en main le fonctionnement de la maison, avec l’aide d’une domestique. Pauline, seize ans, s’occupe de l’éducation des deux petites, spécialement de Thérèse. Louis, coupé de ses amis d’Alençon, se renferme dans sa solitude : il lit, écrit, médite.
La vie est austère aux Buissonnets, à la différence de la vie animée d’Alençon. Les filles grandissent et les plus jeunes : Léonie, Céline puis Thérèse, font à leur tour leurs études au pensionnat des bénédictines de Lisieux. En 1882, Pauline entre au Carmel de Lisieux, au grand désarroi de Thérèse qui se sent abandonnée. Thérèse en effet, sans doute la plus touchées par la mort de Zélie, est devenue une enfant hypersensible, toujours prête à fondre en larmes. En février 1886, Louis se résout à la retirer de son école et à lui faire donner des leçons particulières. En août 1886, à la surprise de toute la famille, l’aînée des filles, l’indépendante Marie, décide à son tour d’entrer au Carmel de Lisieux. Louis, qui perd sa fille préférée, son « diamant », doit cacher sa peine. C’est également un choc pour Thérèse, dont Marie était devenue la confidente. D’autant qu’en octobre, Léonie se fait admettre au couvent des Clarisses. La chaude atmosphère des Buissonnets est en train de disparaître. Il ne reste autour de Louis que Thérèse et Céline, qui est alors promue maîtresse de maison à dix-sept ans et demi.
Début décembre 1886, Léonie est de retour, la vie des Clarisses est trop éprouvante pour sa santé et, au printemps 1887, elle entre à la Visitation de Caen. Le 1er mai 1887, Louis Martin subit une petite attaque qui le laisse paralysé du côté gauche pendant quelques heures, mais il se tire d’affaire.
1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».
Lisieux 2012
Les Buissonnets
En novembre 1877, Louis et ses cinq filles s’installent à Lisieux pour se rapprocher d’Isidore Guérin, frère de Zélie, qu’un conseil de famille a désigné subrogé tuteur des enfants. Isidore et son épouse sont en effet persuadés que c’est la solution la plus sage et ils sont parvenus à convaincre Louis, d’abord réticent, de faire ce voyage. Pour accueillir la famille Martin, ils ont trouvé une maison bourgeoise entourée d’un parc : les Buissonnets.
Louis, qui a vendu le commerce familial d’Alençon et vit désormais de ses rentes, se consacre à ses filles, et en particulier à Thérèse, qu’il appelle sa « Reine » et elle son « Roi ». Marie, âgée de dix-sept ans, prend en main le fonctionnement de la maison, avec l’aide d’une domestique. Pauline, seize ans, s’occupe de l’éducation des deux petites, spécialement de Thérèse. Louis, coupé de ses amis d’Alençon, se renferme dans sa solitude : il lit, écrit, médite.
La vie est austère aux Buissonnets, à la différence de la vie animée d’Alençon. Les filles grandissent et les plus jeunes : Léonie, Céline puis Thérèse, font à leur tour leurs études au pensionnat des bénédictines de Lisieux. En 1882, Pauline entre au Carmel de Lisieux, au grand désarroi de Thérèse qui se sent abandonnée. Thérèse en effet, sans doute la plus touchées par la mort de Zélie, est devenue une enfant hypersensible, toujours prête à fondre en larmes. En février 1886, Louis se résout à la retirer de son école et à lui faire donner des leçons particulières. En août 1886, à la surprise de toute la famille, l’aînée des filles, l’indépendante Marie, décide à son tour d’entrer au Carmel de Lisieux. Louis, qui perd sa fille préférée, son « diamant », doit cacher sa peine. C’est également un choc pour Thérèse, dont Marie était devenue la confidente. D’autant qu’en octobre, Léonie se fait admettre au couvent des Clarisses. La chaude atmosphère des Buissonnets est en train de disparaître. Il ne reste autour de Louis que Thérèse et Céline, qui est alors promue maîtresse de maison à dix-sept ans et demi.
Début décembre 1886, Léonie est de retour, la vie des Clarisses est trop éprouvante pour sa santé et, au printemps 1887, elle entre à la Visitation de Caen. Le 1er mai 1887, Louis Martin subit une petite attaque qui le laisse paralysé du côté gauche pendant quelques heures, mais il se tire d’affaire.
1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».
Lisieux 2012
Les buissonnets
Notre Dame du Sourire placée dans la chambre de Thérése , réplique de la statuette de la Vierge Marie que possédait la famille Martin (elle-même d'après la Vierge d'argent de 1832 d'Edmé Bouchardon) L'original est placé au-dessus de la châsse du Carmel.
Le 13.05.1883, Marie soigne Thérèse, tombée gravement malade après le départ de Pauline pour le Carmel. Après sa guérison, Marie comprend que Thérèse a été guérie par le sourire de la Vierge.
Thérèse Martin est née le 2 janvier 1873 à Alençon, en Normandie.
Les buissonnets
Thérèse Martin est née le 2 janvier 1873 à Alençon, en Normandie.
En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.
On visite la maison où Thérèse vécut de l'âge de 4 ans et demi à 15 ans. La salle à manger, sa chambre où elle sera miraculeusement guérie à 10 ans, la chambre de son père, une vitrine où sont exposés des souvenirs de l'enfant : robe de première communion, jouets, etc.
Dans le jardin, un groupe statuaire représente Thérèse demandant à son père l’autorisation d’entrer au Carmel.
Les buissonnets
Reconnaissance et remerciements a Sainte Thérèse
Thérèse Martin est née le 2 janvier 1873 à Alençon, en Normandie.
En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.
On visite la maison où Thérèse vécut de l'âge de 4 ans et demi à 15 ans. La salle à manger, sa chambre où elle sera miraculeusement guérie à 10 ans, la chambre de son père, une vitrine où sont exposés des souvenirs de l'enfant : robe de première communion, jouets, etc.
Dans le jardin, un groupe statuaire représente Thérèse demandant à son père l’autorisation d’entrer au Carmel.
Les buissonnets
Reconnaissance et remerciements a Sainte Thérèse
Thérèse Martin est née le 2 janvier 1873 à Alençon, en Normandie.
En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.
On visite la maison où Thérèse vécut de l'âge de 4 ans et demi à 15 ans. La salle à manger, sa chambre où elle sera miraculeusement guérie à 10 ans, la chambre de son père, une vitrine où sont exposés des souvenirs de l'enfant : robe de première communion, jouets, etc.
Dans le jardin, un groupe statuaire représente Thérèse demandant à son père l’autorisation d’entrer au Carmel.