Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Sainte Thérèse aux Roses

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Habit de soeur de Sainte Thérése

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Ste. Thérèse sacristine, le Pain d'Autel

Le pain d'autel se compose d'un mélange de farine et d'eau en quantité égale, que l'on fait cuire en une mince plaque de 1 mm d'épaisseur.
A la fin du XIXe siècle, la vente de pain d'autel (hosties) constitue 10% des revenus de la communauté.

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

"La communauté aux foins" - juillet 1896

 A la fin du XIXe siècle, le pré du monastère fournit l'herbe nécessaire à la nourriture des lapins que la communauté élève pour la vente. Le foin sert aussi de litière pour le poulailler situé au fond du jardin, les oeufs faisant partie du régime alimentaire.

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

  "La communauté à la lessive"

Au lavoir, les lavandières en sabots rincent le linge en le battant, avant de le faire sécher sur des fils de fer, le tout souvent en chantant !
Seuls les vêtements liturgiques sont repassés.
Sabots et tablier ayant appartenus à Thérèse : on y reconnait le roseau qui identifie ses vêtements.

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Ouvrages des Soeurs Martin, à partir de la robe de leur mère

Les 3 soeurs(Pauline, Thérèse et Céline) ont chacune créé quelque chose à partir de la robe de leur mère. Thérèse a réalisé un ornement liturgique dont on voit un morceau, au centre en haut.  

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Facsimilés de pages écrites par Thérèse et des feuilles de musique originales de deux des pièces de Thérèse des RÉCRÉATIONS PIEUSES centrées sur Jeanne d'Arc, dans lesquelles elle joue le rôle principal : "La Mission de Jeanne d'Arc" (1894) et "Jeanne d'Arc accomplissant sa Mission" (1895).   

Thérèse et Céline Jeanne d Arc et Sainte Catherine .

Lisieux 2012

Le musée du Carmel

Autrefois Salle des Reliques

Les Outils de Sœur Thérèse

Au temps de Thérèse (1873-1897), la peinture et l'enluminure d'images constituent un revenu d'appoint pour la communauté. On achète des images, déjà imprimées en noir et blanc, qui sont coloriées et enluminées à la main.

Lisieux 2012

 Les Buissonnets

En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.

C’est, en effet, aux Buissonnets qu’elle a vécu l’entrée au Carmel de ses deux grandes sœurs qui avaient joué auprès d’elle le rôle de seconde maman après la mort de Madame Martin.

1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».

La statue du jardin, elle évoque le jour de Pentecôte 1887 où Thérèse demanda à son père la permission d’entrer au Carmel

Sculpture de Louis Richomme

Lisieux 2012

 Les Buissonnets

En novembre 1877, peu après le décès de Madame Martin à Alençon, la famille s’installe à Lisieux locataire de cette maison située un peu en dehors de la ville, sur la route de Pont-l’Evêque, dans la ruelle « Chemin du Paradis ». Thérèse y passera onze ans de sa vie jusqu’à son entrée au Carmel.

C’est, en effet, aux Buissonnets qu’elle a vécu l’entrée au Carmel de ses deux grandes sœurs qui avaient joué auprès d’elle le rôle de seconde maman après la mort de Madame Martin.

1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu’elle a reçue à Noël 1886 et qui l’a fait sortir de l’enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu’elle se sent appelée par Jésus. Le 8 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n’a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».

La statue du jardin, elle évoque le jour de Pentecôte 1887 où Thérèse demanda à son père la permission d’entrer au Carmel

Sculpture de Louis Richomme