Abbaye Saint-André de Meymac 

 L'abbaye Saint-André Saint-Léger de Meymac est une ancienne abbatiale bénédictine située sur la commune de Meymac dans le département de la Corrèze

.La légende veut qu'un ermite nommé Mamacus ait construit au vi^e siècle une petite église dédiée à l'apôtre saint André. C'est en 546 que Rorice II, évêque de Limoges, vint consacrer la nouvelle église.

Le 3 février 1085, Archambaud III, vicomte de Comborn, fonde le prieuré de Meymac, constitué de quelques moines bénédictins.

En 1146, grâce à la contribution d'Ebles II de Ventadour, le prieuré devient abbaye, autour de laquelle se développe l'un des quatre principaux duchés de Ventadour.

Le 27 janvier 1791, les derniers moines quittent les lieux et l'abbaye est vendue par lots successifs.

Au xix^e siècle, elle devient caserne, grenier à foin, écurie.

Aujourd'hui l'abbaye abrite, dans l'aile qui jouxte l'église, la Fondation archéologique et ethnologique Marius-Vazeilles et, dans l'autre aile (parallèle à l'église), le Centre d'art contemporain

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.

Abbaye Saint-Pierre de Gigny

Fondée en 880, l'abbaye de Gigny (en Franche-Comté, département actuel du Jura) fut la plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle.

L'abbaye de Gigny est à l'origine de celle de Cluny, plus grande église du monde chrétien jusqu'au 16e siècle et centre de la réforme religieuse au Moyen Age. (choeur du Xe siècle, nef du XIe siècle, clocher à arcatures lombardes), Bernon, Comte de Bourgogne, fonda l'abbaye de Gigny vers 890 sur une de ses terres. Il la dota de ses biens propres et des terres dont il était souverrain. Ainsi, la Seigneurerie de Gigny composée de plusieurs villages appartint dès l'origine aux moines de Gigny, eux-même nobles.

En 895, Bernon obtint du pape Formose que sa communauté soit placée directement sous la tutelle de Rome.

En 909, Bernon fonda la grande abbaye de Cluny avec 6 moines de Gigny et 6 moines de Baume-les-Messieurs. Dans son testament, Bernon chargea Cluny, en signe de reconnaissance, de verser un cens annuel de 12 deniers à Gigny. Mais bientôt, le rapport s'inversa et en 1076, le pape Grégoire VII confia à l'abbé Hugues de Cluny, la direction de Gigny qui en 1095 fut réduit au rang de prieuré.

En 1157, l'église échappa à un incendie qui détrui-sit le village et le monastère.

Malgré les guerres, les pillages et les épidémies, le monastère demeura assez peuplé du 12e au 14e siècle (25 à 35 moines).

De 1492 à 1503, le prieuré échut à un illustre prieur commendataire, le Cardinal Julien Della Rovere devenu aussitôt après le Pape Jules II. On lui doit de nombreux travaux dans l'église dont le portail et des colonnes de la nef.

En 1760, Gigny fut sécularisée : les quelques moines restant constituèrent un collège de chanoines. La communauté fut supprimée en 1788.