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Par Anonyme, le 18.12.2024
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bonjours cath gros bisous pour une journée de fête.
Par le Bris, le 25.11.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.
Abbaye de Lachalade
L’ancienne abbaye de la Chalade sise à Lachalade dans le département de la Meuse était de tradition cistercienne
L'abbaye cistercienne de Lachalade, fondée vers 1120, a connu une période de grande prospérité jusqu'au XVe siècle.
L'église abbatiale dont la construction débute au XIIIe siècle, a été achevée vers 1340. Elle a été conservée en grande partie dans son aspect d'origine.
Quant aux bâtiments monastiques dont il reste deux ailes en état remarquable, ils furent reconstruits vers 1680.
On doit aux moines cisterciens de La Chalade le développement industriel de la vallée de la Biesme: tuileries, briqueteries, verreries, forges, moulins... qui ne disparurent, pour la plupart, qu'au XIXe siècle.
En 1785, la communauté, réduite à dix moines, loua la majeure partie des bâtiments à Jean-Marie Bigault de Parfonrut, gentilhomme verrier, qui en obtint la propriété en 1791, lors de la vente des biens du clergé. L'abbatiale redevint église paroissiale, ce qui la sauva de la ruine, son état étant tel, qu'en 1838, le Guide Pittoresque du Voyageur de France fait état d'une église en ruines à La Chalade. Heureusement, en 1851, un curé dynamique, l'abbé Chaput, entreprit sa restauration aux prix de trente années d'efforts et de multiples tracasseries. On lui doit notamment l'intégration, au-dessus du portail Ouest de la magnifique rosace du XVe siècle, échappée de la démolition de l'abbaye Saint Vanne de Verdun.
Victime de sérieux dommages au cours des deux guerres mondiales, l'abbatiale a fait récemment l'objet d'un important programme de restauration.