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magnifique ; est-ce d'après toffoli ?
Par Selingant Olivier, le 15.01.2025
bonjour je voudrais savoir,si cela est possible.le nom de l'arbre pleureur du jardin japonais en vous remercia
Par Alban , le 29.12.2024
joyeux noël
Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbaye Notre-Dame-de-Grâce
L'abbaye Notre-Dame-de-Grâce, fondée au xixe siècle, est une abbaye cistercienne (en activité) située dans la commune de Bricquebec, dans le département de la Manche, région Basse-Normandie.
L'abbaye est fondée le 13 juillet 1824 par l'abbé Bon Onfroy (1777-1857). Prêtre du diocèse de Coutances, curé de Digosville, celui-ci désirait se consacrer à la vie monastique ; son évêque accepta à condition qu'il fonde un monastère dans le diocèse. Celui-ci comptait de nombreuses et belles abbayes abandonnées depuis la Révolution ; mais Bon Onfroy n'avait pas d'argent pour les acheter. Enfin, un terrain inculte et marécageux lui est proposé à Bricquebec. Une affiche de décembre 1813 détaille les biens en présence : 3 moulins (froment, orge, sarrasin) dans le Bois du Pied-Duval pour une surface de 4ha 80a, et une terre, triage des Luzernes, contenant une maison, un cabinet, des chambres, des étables, une grange, un pressoir, un cellier et des cours sur environ 8ha.
En 1834, l'église est construite suivant les plans érigés par l'abbé Robert (1804-1885), chanoine et doyen du Chapitre de Rouen.
En 1836, Rome érige le prieuré en abbaye et son fondateur devient le premier abbé sous le nom de Dom Augustin Onfroy.
Les moines de Bricquebec assèchent les marécages, créent une ferme de vaches laitières, des moulins, une fromagerie, un élevage porcin, un élevage avicole, un laboratoire de charcuterie et un magasin monastique. Ils ont longtemps été célèbres en Normandie pour leur fromage, la Trappe de Bricquebec
Abbaye Notre-Dame-de-Grâce
L'abbaye Notre-Dame-de-Grâce, fondée au xixe siècle, est une abbaye cistercienne (en activité) située dans la commune de Bricquebec, dans le département de la Manche, région Basse-Normandie.
L'abbaye est fondée le 13 juillet 1824 par l'abbé Bon Onfroy (1777-1857). Prêtre du diocèse de Coutances, curé de Digosville, celui-ci désirait se consacrer à la vie monastique ; son évêque accepta à condition qu'il fonde un monastère dans le diocèse. Celui-ci comptait de nombreuses et belles abbayes abandonnées depuis la Révolution ; mais Bon Onfroy n'avait pas d'argent pour les acheter. Enfin, un terrain inculte et marécageux lui est proposé à Bricquebec. Une affiche de décembre 1813 détaille les biens en présence : 3 moulins (froment, orge, sarrasin) dans le Bois du Pied-Duval pour une surface de 4ha 80a, et une terre, triage des Luzernes, contenant une maison, un cabinet, des chambres, des étables, une grange, un pressoir, un cellier et des cours sur environ 8ha.
En 1834, l'église est construite suivant les plans érigés par l'abbé Robert (1804-1885), chanoine et doyen du Chapitre de Rouen.
En 1836, Rome érige le prieuré en abbaye et son fondateur devient le premier abbé sous le nom de Dom Augustin Onfroy.
Les moines de Bricquebec assèchent les marécages, créent une ferme de vaches laitières, des moulins, une fromagerie, un élevage porcin, un élevage avicole, un laboratoire de charcuterie et un magasin monastique. Ils ont longtemps été célèbres en Normandie pour leur fromage, la Trappe de Bricquebec
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.
Abbaye Sainte-Marie de Boulaur
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur est un monastère de moniales cisterciennes sis à Boulaur dans le département du Gers, en région de Midi-Pyrénées . Fondé au xiie siècle, il est supprimé lors de la révolution française. Les moniales le réintègrent à la fin du xixe siècle, et en sont expulsées par les lois anti-religieuses. La vie monastique est définitivement rétablie en 1949. En 2011 la communauté compte une trentaine de moniales. Son architecture est fontevriste et non de type cistercien.
L'abbaye Sainte-Marie de Boulaur fut fondée en 1142 par Pétronille de Chemillé, abbesse de Fontevraud, avec le soutien de l'archevêque d'Auch et de Sanche Ier, comte d'Astarac. Elle dépendait de l'abbaye de Fontevraud. La première abbesse de Boulaur fut Longuebrune, veuve du comte d'Astarac, qui à la mort de son mari avait décidé d'entrer dans les ordres.
Le monastère tire son nom du latin Bonus Locus, le Bon Lieu, et a donné son nom au village de Boulaur qui s'appelait auparavant Saint Germier, du nom d'un évêque de Toulouse qui évangélisa la région.
L'église abbatiale impressionne par sa puissance, masse bardée de contreforts épais. Une file d'arcatures en plein cintre court sous le toit. Son chevet est à pans coupé et possède, lui aussi de puissants contreforts. Une galerie est destinée à la défense et à l'observation. Tout comme le clocher carré.
L'église, romane dans sa base, comprend trois travées de voûtes gothiques et deux travées Renaissance. Des fresques duxive siècle couvrent les voûtes du chœur et de la travée suivante. À l’intérieur, le cloître est du xviie siècle et abrite la statue d'une Vierge à l'Enfant datée fin xiiie siècle - début xive siècle, retrouvée sous un carrelage et baptisée la "Belle Dame" de Boulaur. À voir aussi, les très belles grilles en fer forgé de l'avant-chœur en tôle repoussée datant du xviiie siècle. L’aile Est date de la fin duxiiie siècle, avec une construction de briques et pierres alternées, remaniée au xviie siècle.
Après la Révolution, les moniales réintègrent le monastère et restaurent l'église. Elles sont à nouveau chassées par les lois anticléricales au début du xxe siècle.