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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Abbaye Saint-Germer-de-Fly
L’abbaye Saint-Germer-de-Fly, anciennement abbaye de Flay, est une ancienne abbaye de bénédictins fondée auviie siècle par saint Germer, son premier abbé. Détruite une première fois par les Vikings vers le milieu du ixe siècle, elle est de nouveau ravagée par Rollon au début du xe siècle, puis reconstruite au xiie siècle à l'initiative de l'évêque de Beauvais. L'ancienne abbaye est située en Picardie, dans le département de l'Oise, sur la commune de Saint-Germer-de-Fly. Hormis un certain nombre de vestiges, ne restent de la puissante abbaye du Moyen Âge que l'église abbatiale, de style gothiqueprimitif, et la saint-chapelle, de style gothique rayonnant. La première a été construite entre 1135 et 1206 environ et est devenue l'église paroissiale de l'actuel village de Saint-Germer-de-Fly. D'un point de vue architectural, avec son mélange de styles roman et gothique, elle est considérée comme un exemple caractéristique de la première génération gothique, et ceci, non par ses dimensions ou sa beauté, mais par son caractère novateur. C'est l'un des plus anciens témoignages de l'art gothique en France. La seconde a été construite pendant les années 1260 et n'apporte pas d'innovations architecturales, mais elle représente aujourd'hui l'un des rares exemples des nombreuses saintes-chapelles édifiées partout en France entre1240 et 1260 environ. Par le raffinement de son architecture et la maîtrise remarquable dans son exécution, elle est un chef-d'œuvre de l'art rayonnant et reflète cet art à son apogée. Les deux édifices sont classées monuments historiques très tôt par liste de 1840 , et se retrouvent ainsi parmi les treize tout premiers monuments historiques du département de l'Oise. Les autres vestiges sont inscrits en 1930, puis en 1983 .
Abbaye Saint-Germer-de-Fly
L’abbaye Saint-Germer-de-Fly, anciennement abbaye de Flay, est une ancienne abbaye de bénédictins fondée auviie siècle par saint Germer, son premier abbé. Détruite une première fois par les Vikings vers le milieu du ixe siècle, elle est de nouveau ravagée par Rollon au début du xe siècle, puis reconstruite au xiie siècle à l'initiative de l'évêque de Beauvais. L'ancienne abbaye est située en Picardie, dans le département de l'Oise, sur la commune de Saint-Germer-de-Fly. Hormis un certain nombre de vestiges, ne restent de la puissante abbaye du Moyen Âge que l'église abbatiale, de style gothiqueprimitif, et la saint-chapelle, de style gothique rayonnant. La première a été construite entre 1135 et 1206 environ et est devenue l'église paroissiale de l'actuel village de Saint-Germer-de-Fly. D'un point de vue architectural, avec son mélange de styles roman et gothique, elle est considérée comme un exemple caractéristique de la première génération gothique, et ceci, non par ses dimensions ou sa beauté, mais par son caractère novateur. C'est l'un des plus anciens témoignages de l'art gothique en France. La seconde a été construite pendant les années 1260 et n'apporte pas d'innovations architecturales, mais elle représente aujourd'hui l'un des rares exemples des nombreuses saintes-chapelles édifiées partout en France entre1240 et 1260 environ. Par le raffinement de son architecture et la maîtrise remarquable dans son exécution, elle est un chef-d'œuvre de l'art rayonnant et reflète cet art à son apogée. Les deux édifices sont classées monuments historiques très tôt par liste de 1840 , et se retrouvent ainsi parmi les treize tout premiers monuments historiques du département de l'Oise. Les autres vestiges sont inscrits en 1930, puis en 1983 .
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.
Abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold
L’abbatiale Saint-Nabor se situe en plein cœur de la commune française de Saint-Avold, rue du Général-De-Gaulle.
Seul vestige de l’ancien prieuré des Bénédictins, dont elle était l’église conventuelle .L’abbatiale est utilisée comme église paroissiale depuis 1792 et la désaffectation de l’ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Elle est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en provenance de la Sarre et à destination de Metz.
Saint Sigisbaud, évêque de Metz, fait construire vers 720 une abbaye sous le vocable de saint Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz, y introduit la règle bénédictine desaint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor, officier romain martyrisé sous Dioclétien. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage
Commencée et acceptée dans l’allégresse générale, la Constitution civile du clergé de 1791 va partager les opinions de surcroît déjà irritées après la dissolution des ordres monastiques. La Terreur provoque l’émigration de soixante-trois personnes en 1793. Le Consulat puis l’Empire ramènent le calme dans les esprits et la paix religieuse, grâce à la modération de Jean Nicolas Houllé, archiprêtre de Saint-Avold. Le monastère est réputé pour son scriptorium et placé sous la protection des évêques de Metz.Enguerrand de Metz, trente-sixième évêque de Metz de 766 à 791, y aurait vécu comme simple moine.