Basilique Notre-Dame de Bon-Secours

La basilique Notre-Dame de Bon-Secours se situe au cœur de la cité historique de Guingamp, en Bretagne.

La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

Basilique Notre-Dame de Bon-Secours

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

Basilique Notre-Dame de Bon-Secours

La basilique Notre-Dame de Bon-Secours se situe au cœur de la cité historique de Guingamp, en Bretagne.

La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

Basilique Notre-Dame de Bon-Secours

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

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La première église romane est remplacée entre la fin du XIII^e siècle et le milieu du XIV^e siècle par un édifice gothique à chevet plat qui est complété au XV^e siècle par une abside polygonale. En 1535, toute la partie sud-ouest s'écroule ; sa reconstruction entamée dès 1537 dure cinquante ans. Au lieu de la reconstruire en style gothique selon les plans des frères Beaumanoir, la fabrique fait appel à un jeune maître d'œuvre local, Jean Le Moal. Celui-ci adopte une décoration de style Renaissance, avec des candélabres, des masques, des gargouilles et de nombreuses coquilles Saint-Jacques qui rappellent le rôle ancien de Guingamp, étape des pèlerins en route vers Compostelle. À l'extrémité du transept sud s'ouvre une porte géminée, appelée porte au Duc car, quand il résidait dans le château tout proche, c'est par cette porte que Charles de Blois pénétrait dans l'église.

Basilique Notre-Dame d'Espérance

La basilique Notre-Dame d'Espérance est située à Charleville-Mézières, dans les Ardennes. Cette église de style gothique, bâtie à partir de 1499, est éclairée par une étonnante parure de vitraux modernes réalisés entre 1954 et 1979 sur les cartons du peintre René Dürrbach.

La Basilique de Mézières a été construite entre 1499 et 1626. A la fin du XVe siècle, l’église paroissiale qui existait alors devient trop petite pour accueillir les fidèles de plus en plus nombreux et elle a également besoin d’importantes réparations. En 1498, la décision est prise de restaurer et d’agrandir l’église. La première pierre est posée le 25 Avril 1499. Elle deviendra une église de style gothique flamboyant conservant peu d’éléments de l’ancienne construction. Les matériaux employés sont la pierre de Dom-le-Mesnil et les ardoises de Rimogne. La construction s’étend sur peu plus d’un siècle : le clocher est achevé en 1609. 

Un culte très ancien honore la Vierge Noire de Mézières. Il existait même un pélerinage qui perdura jusqu’en 1962.