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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Basilique Collégiale Notre Dame de Beaune
La collégiale Notre-Dame de Beaune est un ensemble canonial datant de la deuxième moitié du xiie siècle située à Beaune en Côte-d'Or.
La Collégiale Notre-Dame de Beaune fait partie des dernières grandes églises romanes de Bourgogne. Sa construction fut entreprise au milieu du xiie sièclesur le modèle clunysien et fut achevée au début du siècle suivant en conservant une remarquable unité stylistique.
Les chanoines entreprirent de faire bâtir l'édifice au milieu du xiie siècle et la construction, d'est en ouest, ne s'acheva qu'au début du xiiie siècle. Les bâtiments canoniaux datent de la fin du xiie siècle, le porche du milieu du xiiie siècle
Les chapelles furent ajoutées du xiiie siècle au xvie siècle . La flèche gothique de l'église fut remplacée par un toit à l'impériale construit de 1580 à 1588, sur les plans d'Hugues Sambin.
Basilique Collégiale Notre Dame de Beaune
La collégiale Notre-Dame de Beaune est un ensemble canonial datant de la deuxième moitié du xiie siècle située à Beaune en Côte-d'Or.
La Collégiale Notre-Dame de Beaune fait partie des dernières grandes églises romanes de Bourgogne. Sa construction fut entreprise au milieu du xiie sièclesur le modèle clunysien et fut achevée au début du siècle suivant en conservant une remarquable unité stylistique.
Les chanoines entreprirent de faire bâtir l'édifice au milieu du xiie siècle et la construction, d'est en ouest, ne s'acheva qu'au début du xiiie siècle. Les bâtiments canoniaux datent de la fin du xiie siècle, le porche du milieu du xiiie siècle
Les chapelles furent ajoutées du xiiie siècle au xvie siècle . La flèche gothique de l'église fut remplacée par un toit à l'impériale construit de 1580 à 1588, sur les plans d'Hugues Sambin.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.
Basilique du Sacré-Cœur
La basilique romane de Paray-le-Monial, placée sous le vocable du Sacré-Cœur, depuis 1875, donne une image complète, bien que de dimensions réduites, de ce que fut Cluny : trois nefs contre cinq à Cluny, transept simple et non pas double, mais, de l'avant-nef à la cascade des toitures du chevet, étagées dans une subtile harmonie, en passant par les voûtes ordonnées de la même manière qu'à la grande abbatiale. Cette église du Prieuré Notre-Dame de Paray-le-Monial fut lors de sa consécration en 977, placée sous le vocable du Saint-Sauveur, de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste.
Depuis la fin du xixe siècle, Paray-le-Monial et son église sont un des lieux depèlerinage les plus fréquentés de France. L'objet de ces pèlerinages est l'adoration du Sacré-Cœur, due aux visions de Marguerite-Marie Alacoque dans la deuxième moitié du xviie siècle et plus encore à l'action du jésuite Claude La Colombière.
En 1875, l'église est élevée au rang de Basilique mineure, titre papal donné ici pour honorer la ville où Jésus a demandé à Sainte Marguerite-Marie de faire connaitre son message d'amour.