Images pieuses, icones( la vierge Marie)
Publié à 14:06 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
En 1531, une "Dame du Ciel" apparut à un pauvre Indien à Tepeyac, une colline au Nord-Ouest de la Cité de Mexico; Elle se présenta comme la mère du Vrai Dieu, lui donna des instructions pour que l’évêque fit construire une église sur le lieu et laissa une image d’elle même imprimée miraculeusement sur son tilma. Le tilma est un vêtement de pauvre qualité fait à base de cactus qui aurait dû se déteriorer en 20 ans. Aujourd'hui, après 474 ans, il ne montre aucun signe de détérioration et défie toutes les explications scientifiques de son origine.
Apparemment, l’image reflète même dans ses yeux ce qui était en face d’elle en 1531.
Chaque année, une foule, estimée à dix millions de personnes, la visite, faisant de l’église de la Cité de Mexico, le sanctuaire catholique le plus populaire dans le monde après le Vatican.
Sa Sainteté le Pape Jean Paul II visita par deux fois le sanctuaire, se prosterna devant l’image, implora son assistance maternelle et l’invoqua comme la Mère des Amèriques.
Publié à 14:04 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
Notre-Dame demanda à son messager de monter au sommet de la colline voisine et d'y cueillir les roses (un 12 décembre!) qui y poussaient et de les lui apporter. Juan Diego s'exécuta et rapporta à NotreDame les magnifiques roses qu'il y trouva. Elle en fit un joli bouquet qu'elle plaça ellemême dans la « tilma» (manteau fait de fibres de cactus) de son Juanito. Puis elle le lui noua derrière le cou, lui précisant que c'était là le signe que l'évêque lui avait demandé. Pour la troisième fois, Juan Diego se rendit donc chez l'évêque à qui il raconta tout ce qui s'était passé, et lui disant qu'il lui apportait des roses de la part de la Vierge, puis il ouvrit sa tilma. Voyant les roses, l'évêque tomba à genoux, mais il n'était pas au bout de ses surprises, car l'image de Notre Dame était imprimée en couleur sur la tilma, telle qu'elle était apparue à son protégé qui, lui-même, ne se doutait de rien. L'évêque plaça les roses dans sa chapelle, devant le Saint-Sacrement. Le lendemain (13 décembre), la Vierge apparut encore une fois à Juan Diego et se présenta comme «Notre-Dame de Guadalupe». Guadalupe était le nom d'un lieu de pèlerinage espagnol, situé en Estramadoure; en arabe, cela veut dire «Rivière de lumière», nom qui convient tout à fait à la Reine du Ciel, lumière de Dieu. Il est à remarquer qu'en langue aztèque les mots « Coat Lupé» signifient «qui écrase le serpent», nom qui convient tout aussi bien à Marie. Sans tarder, l'évêque fit construire une chapelle. Lors de sa construction, les Indiens tiraient des flèches pour montrer leur joie; or une de ces flèches transperça le cou de l'un d'eux, qui fut tué sur le coup. Animés par leur grande foi, les Indiens posèrent sur lui la tilma, et le mort revint aussitôt à la vie.
Publié à 14:04 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
Le tissu rugueux de la tilma ne se prête pas à la peinture, et il n'y a aucun pigment dans les fibres. L'image de NotreDame a donc été empreinte miraculeusement: on dirait la projection d'une diapositive. Une tilma ne se conserve normalement qu'une vingtaine d'années, trente ans tout au plus. Sa conservation en parfait état jusqu'à notre époque constitue un autre miracle. Notre-Dame y apparaît comme une jeune femme haute d'environ 1,50 m, vêtue comme une princesse aztèque, et ses traits sont très beaux et très vivants. La tilma est bleu turquoise et la robe de Marie d'un brun rose; les couleurs sont brillantes et, après plus de 450 ans, elle sont toujours aussi fraîches. Aujourd'hui, la tilma est conservée dans la basilique de Guadalupe, derrière une vitre blindée, dans un cadre de bronze, d'or et d'argent. Chaque année Notre-Dame est vénérée chez elle par des millions de personnes, mais elle est en quelque sorte «prisonnière» dans sa basilique. Le 13 août 1990, un Américain âgé, et qui souhaite garder l'anonymat, reçut de NotreDame de Guadalupe un premier message lui disant qu'elle désirait que l'on fit voyager son image dans les Amériques, afin qu'elle y répande ses grâces. Depuis cette date, et jusqu'au 28 avril 1992, il reçut cinq autres messages..
Dans le premier d'entre eux, la Vierge dit notamment:
«...Je vous ai donné sur la tilma mon image, qui demeure jusqu'à ce jour un miracle ininterrompu... cependant mes mains ont été liées, j'ai été emprisonnée en ce centre géographique des Amériques ...
... Je vous le redis, Notre Dame de Guadalupe doit voyager parmi tous ses enfants, dans toutes les Amériques... afin d'amener des millions d'âmes à son Fils... Je dois être libre de circuler à ma volonté parmi mes enfants ...
... Lorsque vous m'aurez libérée de mon actuelle captivité, faites-moi parcourir un trajet qui traverse les ÉtatsUnis ...
... Je désire que vous placiez toutes vos forces pro-vie et tous vos efforts, sous ma bannière de Notre-Dame de Guadalupe. Je vous accorderai mon aide et ma puissante protection. Je vous conduirai à la victoire sur les forces de mort qui s'acharnent sur les bébés dans le sein de leur mère. Ensemble, mes chers enfants nous mettrons fin à ce terrible fléau qu'est l'avortement. Il n'y aura pas d'exception. Ensemble, nous verrons une nouvelle ère de protection pour la vie humaine, c'est-à dire pour chaque personne de sa naissance à sa mort naturelle. Je mettrai fin à ces sacrifices humains des plus sanguinaires, comme je l'ai fait chez les païens après le début du miracle de mon image en 1531. »
Publié à 14:03 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
NOTRE DAME SE MANIFESTE A GUADALUPE (MEXICO) Un indien converti avait été baptisé en 1525 à l'âge de 51 ans sous le nom de Juan Diego. Bien qu'il habitât à une quinzaine de kilomètres de Mexico, il s'y rendait chaque jour pour assister à la messe. Le 9 décembre 1531, comme il était en route, passant près du temple de la déesse Tonantzin, il entendit le chant de milliers d'oiseaux. Levant la tête, il vit un nuage blanc entouré d'un magnifique arc-en-ciel. De la lumière blanche qui s'échappait du nuage, il vit apparaître une belle jeune femme, qui l'interpella affectueusement:
- «Juanito, mon fils, où vas-tu?»
- «Je vais à la messe. »
- «Je veux que tu saches avec certitude, mon très cher fils, que je suis la parfaite et toujours Vierge Marie, mère du vrai Dieu, de qui provient toute vie, le Seigneur de toutes choses, maître du Ciel et de la terre. Je désire ardemment qu'une église soit construite ici pour moi. J'y offrirai tout mon amour, ma compassion, mon soutien et ma protection à tout mon peuple. Je suis la Mère de Miséricorde, la Mère de tous ceux qui vivent unis dans ce pays et de toute l'humanité, de tous ceux qui m'aiment, de tous ceux qui m'implorent et de tous ceux qui ont confiance en moi. Ici j'entendrai leurs pleurs et leurs douleurs et je soulagerai leurs souffrances, leurs besoins et leurs malheurs. Afin que puisse se réaliser ma mission, rends-toi chez l'évêque de Mexico et dis lui que je t'ai envoyé et que c'est mon désir qu'une église soit érigée ici. Raconte-lui tout ce que tu as vu et entendu, je te serai toujours reconnaissante et je récompenserai ta diligence. Maintenant que tu as entendu mes paroles, va, mon fils, et fais de ton mieux.»
Notre-Dame venait ainsi de se révéler avec tous ses privilèges. Elle avait manifesté son désir que le temple de la déesse aztèque soit remplacé par une église dédiée au seul vrai Dieu. Juan Diego s'en fut trouver l'évêque, qui eut beaucoup de mal à croire à sa merveilleuse aventure et lui demanda de revenir un autre jour. Le soir même, Juan Diego retourna au lieu de l'apparition et s'adressa à la Vierge, lui demandant d'envoyer quelqu'un de plus digne que lui trouver l'évêque. Mais Notre-Dame lui répondit:
- «Mon très cher fils, écoute-moi et comprends que j'ai plusieurs serviteurs et messagers à qui je pourrais confier mes messages. Mais il est absolument nécessaire que tu sois celui qui entreprenne cette mission et que ce soit par ta médiation et ton assistance que mon désir soit accompli. Je te supplie donc de retourner voir l'évêque. »
Dès le lendemain matin, 10 décembre, notre messager se rendit donc chez l'évêque, qui le fit attendre assez longtemps. Lorsqu'il le reçut enfin, il le pria de demander à la belle Dame un signe avant qu'il puisse entreprendre la construction de l'église. Juan Diego obéit, et la Vierge lui dit qu'elle lui donnerait un signe le lendemain matin. Mais le 11 décembre, notre voyant, qui devait soigner son oncle malade, oublia. Le lendemain, comme l'état de son oncle empirait, il partit pour chercher un prêtre, et comme il était tout honteux d'avoir manqué son rendez-vous avec Notre Dame, il fit un détour pour éviter de rencontrer la Vierge, mais celle-ci l'intercepta, lui disant:
- «Mon cher petit enfant, écoute-moi... Ne crains rien. Ne suis-je pas ici, moi ta mère? N'es-tu pas sous ma protection?... Ne te trouves-tu pas enveloppé dans mon manteau, blotti dans mes bras? Ne suis-je pas comme toi? Ne te laisse pas attrister par la maladie de ton oncle, car il ne va pas mourir; d'ailleurs à l'heure actuelle il est guéri. »
Publié à 14:02 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
Sainte Anne et Saint Joachim ses parents
Publié à 14:01 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
Miracles relatifs au manteau de Notre Dame de Guadalupe
Le premier miracle du manteau de la Vierge Marie a été réalisé par la Mère de Dieu le 12 décembre 1531. La Vierge Marie avait demandé à saint Juan Diego d'aller au sommet du Mont Tepeyac pour y cueillir les fleurs qui s'y trouvaient, afin de les apporter à l'évêque de Mexico qui avait demandé au Ciel un signe pour s'assurer de la véracité de la demande de Marie par l'intermédiaire de son humble messager. La Sainte Vierge demandait en effet que l'on construise une chapelle en son honneur au sommet du mont.
Ainsi, quand Juan Diego se présenta à l'évêque Zumárraga, il ouvrit son poncho et laissa tomber les fleurs qui étaient des roses de Castille. Mais ce qui étonna davantage les témoins fut de les voir disparaître au moment même où ceux-ci les prenaient des mains de Juan Diego.
En déposant son poncho devant l'évêque, on aperçut dessiné l'image de la Très Sainte et toujours Vierge la Mère du vrai Dieu, image qui se conserve toujours aujourd'hui. Le 26 décembre 1531, il y eut une procession au Mont Tepeyac où se réunirent de nombreux indiens chichimèques ; ceux-ci jouaient avec leurs arc et leurs flèches et dansaient selon leurs coutumes. Malheureusement une flèche tirée au hasard transperça la gorge d'un indien qui accompagnait le "Manteau". Il mourut à l'instant. C'est devant l'image que l'on retira la flèche et aussitôt on vit se former une cicatrice et l'indien ressuscita. A partir de ce moment là, les indiens se convertirent au catholicisme au nombre de 9 millions.
En 1751, Michel Cabrera analysa avec Joseph Ibarra le poncho et ils constatèrent que l'image n'avait aucune marque de pinceau.
En 1791, de l'acide muriatique tombé sur le côté droit supérieur avec une proportion de 50 % d'acide nitrique et 50 % d'acide chlorhydrique, faisant un trou de 10 cm de diamètre. Trente jours après le tissu était reformé sans que personne n'intervint pour réparer l'accident. Aujourd'hui encore, il reste une marque de la tache et seulement au moyen d'un instrument de précision on peut observer des traces de brûlure.
Au XVIIIe siècle, on fit une copie très semblable de l'original avec le même tissu de maguey (fibres végétales de cactus) : malgré tout, la copie était réduite en poussière quelques quinze années après, tandis que l'original possède déjà près de 500 ans, ce qui est un phénomène inexplicable. Le manteau mesure 1.71 de haut sur 1.05 de large.
Le 14 novembre 1921, le tailleur de pierre Lucien Perez, un anarchiste, dépose un bouquet de fleurs au pied du manteau de Juan Diego, dans lequel il avait mis une charge de dynamite qui détruisit tout alentour, mais laissa intacte le poncho ainsi que la vitre qui le protégeait.
En 1929, le photographe Alfonso Marcué Gonzalez découvrit une figure humaine dans l'œil droit de la Vierge. En 1936, l'évêque de Mexico fit analyser trois fibres du manteau (ce qui donnera plus tard le prix Nobel de chimie pour l'année 1938 et 1949). Le Dr. Richard Khun d'origine juive découvrit que la peinture de l'image n'avait aucune origine végétale, minérale ni même animale, ni aucun élément des 111 pigments connus dans le monde. Khun en déduit que la peinture n'est pas d'origine humaine.
En 1956, l'ophtalmologue Torruela Bueno découvre qu'en approchant l'œil pour réaliser un fond d'œil, la pupille se ferme et en en retirant la lumière, la pupille se dilate de nouveau comme s'il s'agissait d'un œil humain. En juillet 1956, le Dr. Lavoignet après huit mois d'intense travail découvre le phénomène optique de la triple image de Purkinge-Samson qui correspond à ce que perçoit l'œil humain, c'est-à-dire les trois réfractions de l'objet vu.
En février 1979, le Dr. José Aste Tonsmann, chef du Centre Scientifique d'IBM à Mexico, découvre à son tour, grâce à de puissants ordinateurs des phénomènes inexplicables : dans les pupilles des yeux de la Vierge Marie, qui ont un diamètre de 8 mm., sous forme digitalisée, on peut voir douze personnages qui regardent l'image de la Vierge de Guadalupe. Mais là ne s'arrête pas le côte merveilleux de la surprise. En effet, en agrandissant la pupille de l'un des personnages de la scène, c'est-à-dire de l'évêque Juan de Zumárraga, donc un agrandissement de quelques milliers de fois de ceux de la Vierge, soit 2500 fois plus, on aperçoit alors l'indien Saint Juan Diego montrant le poncho avec l'image de la Vierge de Guadalupe. Ainsi, en un quart de micron qui est la π partie de millionième de millimètre, le Professeur Aste Tonsmann put voir une scène extraordinaire, découverte qui lui ôta le sommeil pendant plusieurs nuits.
Le 7 mai 1979, les scientifiques Jody Brand Smith, professeur d'esthétique et de philosophie et Philipp Serna Callahan, biophysicien de l'Université de Floride et spécialiste en peinture et membres tous deux de la NASA, n'ont pas rencontré de peinture dans l'original du poncho. Ils prouvent que ce n'est pas une photographie qui aurait imprimé le tissu.
Ils découvrirent également que le poncho conserve sans aucune explication la température du corps humain oscillant autour de 36,6°-37°.
Puis le 22 décembre 1981, le RP Mario Rojas, découvre à son tour à l'Observatoire "Laplace" de Mexico que les étoiles du manteau correspondent au solstice d'hiver du 12 décembre 1531 à 10 : 26 sur le territoire de Mexico, c'est-à-dire à l'heure où saint Juan Diego déploya son poncho devant l'évêque. Les astronomes ont certifié le fait.
Deux anges furent peints par la suite à côte de la Vierge en dehors des rayons mais trente jours après ils disparurent et aujourd'hui, grâce à des outils très spécialisés et sophistiqués, on peut en trouver la trace. On aperçoit également les traces d'une couronne peinte sur le chef de la Vierge. Ces différentes peintures dateraient du XVIIIe siècle.
Une peinture a été appliquée sur l'ange de la partie inférieure, sur l'or des rayons et l'argent du cordon et sur le serpent au-dessous des pieds de la Vierge. Cette peinture est en train de disparaître pour restituer les couleurs originales gravées le 12 décembre 1531.
Si l'on approche à moins de 10 cm. de la toile on ne voit que les fibres du manteau sans aucune couleur. Les scientifiques de la NASA découvrirent en outre qu'en passant un rayon laser sur la toile mais de façon latérale le rayon passe sans toucher la peinture ni la toile de telle sorte que l'image est suspendue en l'air à trois dixième de millimètres au-dessus du tissu.
Publié à 13:59 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
Dans ses deuxième et troisième messages (octobre 1990), Notre-Dame répète qu'elle a hâte d'entreprendre son grand voyage à travers les Amériques; elle sait que cela soulèvera quelques difficultés, mais elle assure qu'elle aidera à les surmonter.
Dans son quatrième message (novembre 1990), Notre-Dame dit notamment: «... Vous, mes enfants des Amériques, avez une place toute spéciale dans ma mission de conduire toutes les âmes au Sacré-Coeur de mon Fils Jésus par mon Coeur immaculé. Pour cette mission, le parcours de mon image à travers les Amériques est nécessaire. Préparez-vous dès aujourd'hui. Ne tardez plus. Mes enfants, si vous m'aimez, vous ne me refuserez pas... »
Dans le cinquième message (avril 1991), Marie s'adresse aux évêques du Mexique: «... Comme Reine et Mère de toutes les Amériques, mon souci pour mes pauvres enfants meurtris augmente de jour en jour. Je veux les atteindre par mon image... Je désire que vous invitiez à mon sanctuaire, à Mexico, les évêques de tous les pays, territoires et îles qui composent les Amériques... Produisez une copie de mon image pour les évêques de chaque pays... et que toutes ces copies de mon image parcourent les Amériques... »
Dans son sixième message (avril 1992), Notre-Dame s'adresse au peuple mexicain: «... Le but spécial de ma visite a débuté il y a plus de 460 ans. Des millions d'âmes, qui autrefois adoraient des serpents, se sont converties à l'Église catholique, fondée pur mon divin Fils, Jésus. Au cour de ces premières années, la terrible pratique du sacrifïce humain prit fin .
... Ma visite spéciale se poursuit. Néanmoins, avec le temps, on m'a peu à peu oubliée et ignorée. Mon divin Fils et moi-même sommes profondément blessés par cette négligence. Le résultat de ma mission dépend pour beaucoup de votre coopération...
Vous avez grand besoin de mon amour maternel et de ma protection. Vous et votre demeure, les Amériques, êtes en train de vous faire détruire par des pratiques païennes...
Afin de marquer ma visite spéciale dans vos demeures, j'ai demandé à mes fils, les évêques du Mexique, de donner à chaque pays, chaque territoire et chaque île qui forment les Amériques, une copie de mon image miraculeuse comme image missionnaire... »
Publié à 13:58 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
PHENOMENE INEXPLIQUABLE
En 1936, le Dr Richard Kuhn, prix Nobel de Chimie, constate que les fibres de la "tilma" ne contiennent aucun colorant connu, ni minéral, ni végétal, ni animal, ni, à plus forte raison, synthétique. Les couleurs forment une surface unie, comme sur une photo, comme si le tissus d’agrave avait fonctionné comme une pellicule photographique, en recevant directement l’image et la couleur sur chaque fil, par un effet de projection mystérieux.
En 1951, un dessinateur, Carlos Salinas Chavez, remarque avec une simple loupe un homme barbu dans l’œil droit de l’image. A sa suite, l’examen des yeux va permettre de découvrir plusieurs personnages dans les yeux de la Vierge, dont l’image est imprimée avec la courbure et les trois réflexions d’image, de taille et d’orientation différentes, que l’on trouve dans les reflets d’une pupille réelle (phénomène de Purkinje-Samsom). Et lorsqu’une lumière est approchée, on observe les mêmes reflets que sur un œil vivant, sur la cornée, sur le bord de la pupille et dans le cristallin, qui se déplacent lorsqu’on bouge la source lumineuse (phénomène que l’on peut observer sur des yeux vivants, mais jamais sur des peintures: les toiles planes et opaques n’ont même pas de reflets).
« On est en pleine folie. Mais les images sont là et on ne peut les ignorer » constatent les scientifiques.
Les broderies de la tunique de la Vierge de Guadalupe ont aussi été étudiées et elles contiennent des rébus exprimant le nom de la colline des apparitions et le mystère du Christ dans le langage symbolique des anciens aztèques et la position des étoiles sur le manteau correspond à une projection (et non une représentation : image miroir) de la position exacte des constellations au matin du 12 décembre 1531.
Publié à 13:57 par lusile17
Notre Dame de la Guadeloupe
(1474-1548)
Dix ans après la sanglante conquète du Mexique par les espagnols, la Mère de Dieu apparût à un artisan Astèque appelé Juan Diego. Elle apparût elle-même sous l'aspect d'une femme astèque et lui parla en Nahuatl, la langue astèque, de la manière dont on addresserait un prince. Elle apparût à quelques kilomètres seulement de la ville de Mexico qui était devenue la capital du pouvoir espagnol. Elle insista pourtant que l'on construise un sanctuaire en son honneur au lieu de l'apparition, au milieu du peuple conquis. Elle renvoya Juan Diego parmi le clergé espagnol pour l'évangéliser, parce que ses membres croyaient posséder toute la vérité. De cette manière, elle restaura la dignité et l'espoir parmi les peuples autochtones, qui avaient été déshumanisés par l'oppression étrangère.
Un sanctuaire fut construit plus tard à l'endroit des apparitions. Plus de huit millions d'indiens se convertirent au Christianisme en réponse à ce message.
Publié à 21:39 par lusile17
Notre Dame de Betharram
La Vierge du Beau Rameau
Lestelle-Bétharram, Diocèse de Bayonne, France
Cet antique Sanctuaire est situé à 15 kilomètres de Lourdes, sont bien souvent une étape pour les pèlerins achevant leur pèlerinages à Lourdes. L'histoire de ce sanctuaire est liée à trois légendes et à un très grand Saint, Saint Michel Garicoïts. Des bergers découvrent une statue de la Très Sainte Vierge auprès du Gave, non loin de Lestelle. L'on emmène la statue à l'Eglise de Lestelle, et par deux fois, elle revientau lieu où elle avait été découverte. L'on décide alors de construire une chapelle. Bien des années plus tard, une jeune fille tombée dans le Gave de Pau est sauvée par la Très Sainte Vierge qui, lui apparaissant, lui tend une branche de rameau, le beau rameau, qui en béarnais se traduit: "Beth Aram". En 1619*, une violente tempête abat la croix du calvaire et 5 hommes voient la Croix se relever dans une très grande clarté. Après les guerres de Religion, le Sanctuaire est reconstruit par Hubert Charpentier, qui fondera à Paris les Prêtres du Calvaire au Mont Valérien.
Au 19e siècle, le Saint Père Michel Garicoïts, relevant le sanctuaire de Bétharram reconstruit le chemin de Croix qui fut détruit pendant la Révolution Française et y ajoute pour la première fois une 15e station, celle de la Résurrection du Seigneur.