Images pieuses, icones( la vierge Marie)
Publié à 18:51 par lusile17
Notre Dame de Kibeho
APPARITION DE LA VIERGE MARIE A KIBEHO
La Vierge Marie et le Christ seraient apparus à trois adolescents à partir du 28 novembre 1981 au 28 novembre 1989.
Les trois voyantes s’appelaient :
Alphonsine MUMUREKE, la toute première à voir les apparitions le 28 novembre 1981. Elle est désormais a Abidjan dans un couvent des Sœurs Clarisses ;
Nathalie MUKAMAZIMPAKA, qui se trouve à Kibeho où elle aide les pèlerins qui visitent le sanctuaire ;
Marie Claire MUKANGANGO qui est décédée en 1994 pendant le génocide.
Ces apparitions auraient été accompagnées de manifestations impressionnantes : pleurs, tremblements, comas. Le 19 août 1982, les enfants auraient eu des visions du futur génocide que connaitra le pays dans les années 1990, en particulier dans cette localité. Pendant le génocide les apparitions auraient continués et selon la propagande génocidaire la Vierge Marie se serait montrée compréhensive avec les tueurs.
L’évêque local, contesté pour son rôle dans le génocide, a reconnu officiellement le 29 juin 2001 1es trois premiers cas comme authentiques.
PAROLES DE LA VIERGE MARIE A KIBEHO.
Personne n'arrive au ciel sans souffrir.
L’enfant de Marie ne se sépare pas de la souffrance.
La foi et l'incroyance viendront ensemble sans que l’on s’en aperçoive vent.
Le monde est en rébellion contre Dieu, trop de péchés s'y commettent; il n'y a pas d'amour ni de paix
Publié à 18:40 par lusile17
Notre Dame de l'ile Bouchard
Localité de la Touraine, L'Ile-Bouchard fut le théâtre, en décembre 1947, d'évènements liés à l'apparition de la Vierge Marie, à quatre fillettes de 7 à 12 ans.
Ile Bouchard, un village de 1255 habitants entre deux bras de la Loire, à 42 kilomètres au sud-ouest de Tours, quatre petites filles voient la Vierge, durant une semaine, à partir de ce 8 décembre, date de l'enterrement du Maréchal Leclerc, mort d'un mystérieux accident d'avion, étrangement analogue au déraillement du Paris- Tourcoing après le sectionnement de deux rails, dans la nuit du 2 au 3 décembre.
Ce lundi 8 décembre, vers 12 h.50, Jacqueline Aubry, 12 ans, et sa soeur Jeannette, 7 ans, partent pour l'école, après le déjeuner familial qu'a partagé leur compagne Nicole Robin (10 ans). Elles sont en avance. L'école reprend à 13 h. 30. Ce matin, la Soeur directrice, soucieuse des événements, a invité les enfants à prier pour la France. Les trois filles passent devant l'église.
- Nous sommes en avance. Si on entrait pour prier? suggère Jacqueline. Les deux petites la suivent volontiers. Elles récitent une dizaine de chapelet devant l'autel de la Vierge, avec l'invocation qui répond à la fête du jour: "O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous."
Je vis tout à coup, à ma gauche, entre le vitrail de Notre-Dame de Lourdes et l'autel, une grande lumière, vive et non éblouissante, écrit Jacqueline. Au milieu, apparut une belle dame, se tenant dans une grotte. Elle avait à sa droite un ange." Jacqueline attire l'attention de ses deux compagnes qui s'efforcent à retrouver sur les dalles le porte-chapelet de Jeannette. Toutes deux lèvent la tête et s'écrient:
- Oh! la belle dame! Oh! le bel ange! Au bout de 4 à 5 minutes, elles sortent, saisies de crainte, mais reviennent vite, attirées
- La Dame y est encore, dit Jeannette dès l'entrée, du fond de la nef. Elle annonce ingénument la nouvelle à deux compagnes de classe, qui passent devant l'église: Sergine et Laura Croizon. Laura voit tout de suite. Sergine ne verra pas. La Vierge leur sourit. Elles la regardent. Elle a sur la tête un voile blanc, qui laisse voir quelques cheveux blonds. Sa robe blanche bordée d'or est serrée par une ceinture bleu ciel dont les deux pans étalés descendent jusqu'à hauteur du genou. Elle a les mains jointes. De jolies mains aux doigts longs et fins. Au bras, un chapelet à gros grains très blancs, avec chaîne d'or. Elle est environnée de lumière. Elle apparaît dans une petite grotte. Ses pieds sont posés sur une grosse pierre rectangulaire. Devant elle, des roses. A sa droite, un peu plus bas, un ange au regard bleu, avec des ailes "couleur de lumière". Le rocher qui porte les deux personnages ne touche pas le sol. Un ensemble merveilleusement beau et lumineux. La Dame fait glisser les grains blancs du chapelet, mais on n'entend pas sa voix. .................
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La dame reaparue pendant 7 jours, du 8 au14 décembre
Le dernier jour
La foule grandit encore, gonflée par le temps libre qu'offre le dimanche, malgré un temps sombre: plus de 2000 personnes. L'église déborde, les enfants ne peuvent entrer dans l'église que par la porte de la sacristie, conduites par Soeur Saint-Léon qui leur fraye un passage en enjambant les bancs. Jacqueline porte un bouquet d'arums; Nicole, des oeillets roses; Laura, des violettes de Parme; Jeannette, des roses. Suivent sept prêtres, le maire de l'Ile Bouchard, le Docteur Tabas, puis la Supérieure des religieuses. A 13 heures, Laura murmure:
- La voilà!
Les enfants transmettent un message du curé: Bénir l'archevêque, donner des prêtres à la Touraine. Jacqueline offre les fleurs:
- Prenez-les! supplie-t-elle.
Mais la Vierge ne les prend pas.
- Embrassez-les, insiste-t-elle.
- Je les embrasserai, mais je ne veux pas les prendre. Vous les emporterez. Jacqueline lui présente tour à tour les quatre bouquets à embrasser. Elle se dresse sur la pointe des pieds pour les deux derniers qui sont plus petits. Elle transmet consciencieusement les nombreuses requêtes reçues et demande:
- Madame, que faut-il faire pour consoler Notre-Seigneur de la peine que lui causent les pécheurs?
- Il faut prier et faire des sacrifices.
- Je vous en prie, donnez une preuve de votre présence, insiste-t-elle.
- Avant de partir, j'enverrai un vif rayon de soleil!
La Vierge insiste:
- Priez pour les pécheurs !
Puis, elle fait réciter une dizaine les bras en croix par toute la foule. Cette apparition a été la plus longue: 35 minutes. Vers la fin, malgré le temps couvert, un rayon de soleil pénètre effectivement dans la sombre église. Il part de la deuxième fenêtre du mur méridional, et vient éclairer les voyants et leurs bouquets. Certains croient voir perler d'étincelantes gouttelettes de rosée.
- Quel beau spectacle! s'écrie un témoin.
Cette douce lumière brillera 4 minutes environ. Son parcours ne répond pas à ce qu'eût été la direction normale d'un rayon du soleil en cette saison d'hiver. C'est le signe de la fin.
Publié à 18:39 par lusile17
Notre Dame de l'ile Bouchard
Alors que la France se dirige vers une probable guerre civile, au lendemain de la deuxième guerre mondiale, la Vierge Marie apparaît à 4 enfants, à l'Ile Bouchard (Indre et Loire). Il s'agit de Jacqueline Aubry, 12 ans; Laura Croizon, 8 ans et demi; Nicole Robin, 10 ans, cousine des Aubry; Jeannette Aubry 7 ans et demi, soeur de Jacqueline.
Voici quelles sont les paroles principales de la Vierge Marie :
« Dites aux petits enfants de prier pour la France,
car elle en a grand besoin. »
« Oui, je suis votre Maman du Ciel. »
« Donnez-moi votre main à embrasser. »
« Embrassez la croix de mon chapelet. »
« Chantez le "Je vous salue Marie",
ce cantique que j'aime bien. »
« Récitez une dizaine de chapelet. »
« Baisez ma main. »
« Priez-vous pour les pécheurs ? »
« Je donnerai du bonheur dans les familles. »
« Dites à la foule qu'elle chante le Magnificat. »
Publié à 18:38 par lusile17
Notre Dame de l'ile Bouchard
Publié à 18:36 par lusile17
Notre Dame de l'ile Bouchard
Publié à 18:33 par lusile17
Publié à 18:20 par lusile17
Publié à 18:20 par lusile17
Notre Dame de Beauraing en Belgique
Nous sommes en novembre 1932, entre les deux guerres mondiales. Dans plusieurs pays d'Europe, les totalitarismes s'affirment. La crise économique frappe durement les habitants de Belgique, comme d’ailleurs. C'est dans ce contexte que Marie apparait à Beauraing et invite à la prière et à la redécouverte de la tendresse de Dieu. Entre le 29 novembre 1932 et le 3 janvier 1933, celle qui plus tard sera nommée “Notre Dame au cœur d'or” se laisse voir 33 fois à cinq enfants : Fernande, Gilberte et Albert Voisin, ainsi qu'Andrée et Gilberte Degeimbre.
Alors qu'ils sont devant la porte du pensionnat où était Gilberte, Marie leur apparait pour la première fois au dessus du pont de chemin de fer, puis au bout de quelques jours près de l'entrée du jardin du pensionnat, sous une branche d'aubépine. C'est là qu'elle leur apparaitre près de 30 fois. C'est également de cet endroit qu'elle s'adressera à eux, en leur demandant d'être sages et de prier.
La “belle dame”, selon l'expression des enfants, leur apparait vêtue d’une longue robe blanche, avec de légers reflets bleus. Sa tête est recouverte d’un long voile blanc qui tombe sur les épaules. Des rayons de lumière sortent de sa tête pour former comme une couronne.
Publié à 18:17 par lusile17
Notre Dame de Beauraing
Marie se présente aux enfants comme “la Vierge Immaculée”. Elle leur demande la construction d'une chapelle ainsi que la mise en place d'un pèlerinage. A partir du 29 décembre 1932, les enfants aperçoivent, entre ses bras ouverts, son cœur tout illuminé, tel un cœur d’or. C'est de là que vient le nom “la Vierge au cœur d’or”, invitant l'homme à découvrir la tendresse de Dieu dans les sacrements de l'Eucharistie et de la réconciliation. Marie, qui plusieurs fois a invité les enfants à la prière, leur confiait lors de sa dernière apparition : “Je convertirai les pécheurs”. Le nom sous lequel on la vénère exprime donc la confiance en la sollicitude de la mère de Dieu pour les hommes.
Le 30 : «Priez, priez beaucoup»
Le 1er janvier : «Priez toujours»
Le 3, Marie confie un secret aux trois plus jeunes. Elle promet : «Je convertirai les pécheurs.» Elle se nomme à nouveau : «Je suis la Mère de Dieu, la Reine des cieux.» Elle demande : «Aimez-vous mon Fils ? M’aimez-vous ?... Alors, sacrifiez-vous, pour moi. Adieu.»
Mgr André-Marie Charue, l'évêque de Namur, a autorisé le culte de Notre Dame de Beauraing le 2 février 1943. Six ans plus tard, en 1949, le caractère surnaturel des apparitions a été reconnu par l'Eglise.
Publié à 18:15 par lusile17
Notre Dame de Beauraing
La Reine au Cœur d'Or
Apparitions en 1932
Le soir du 29 novembre 1932, Fernande Voisin et son frère André, accompagnés de leurs amies Andrée et Gilberte Degeimbre, vont chercher leur sœur Gilberte au pensionnant situé en contrebas de la voie du chemin de fer.
Albert sonne à la porte et, en attendant qu'une religieuse vienne ouvrir, il se retourne machinalement: dans la nuit, il voit au-dessus du pont une Dame toute blanche qui va et vient, les mains jointes.
Tous regardent et voient la Dame. Ils ont peur. A ce moment, la porte du pensionnat s'ouvre, et la religieuse, à qui ils en parlent se moque d'eux: comment la statue de la grotte de Lourdes, aménagée près de l'école pourrait-elle voler? Les enfants repartent en courant; ils se retournent, revoient la Dame, courent de plus belle. Ils rentrent chez eux très émus, racontent ce qu'ils ont vu. On ne les croit pas. Le lendemain, l'incident se reproduit, le surlendemain, jeudi 1er décembre, la Dame apparaît quatre fois: la mère Degeimbre et quelques personnes ont accompagné les enfants qui tombent à genoux, comme foudroyés, dès que l'apparition se manifeste. Il se passe décidément quelque chose! Bientôt la nouvelle se répand, des gens viennent se joindre aux cinq voyants; la Vierge – elle a répondu affirmativement quand les enfants lui ont demandé si Elle est l'Immaculée Conception – apparaît désormais dans une aubépine, près de la grille du pensionnat: chaque soir jusqu'au 8 décembre, fête de l'Immaculée Conception, les enfants vont y réciter le Chapelet, en attendant l'apparition; ce soir-là, la Vierge est plus lumineuse que d'habitude.
Puis quatre jours se passent, sans que les enfants ne voient rien.
Le 13 décembre, les apparitions reprennent, se succédant à un rythme irrégulier, souvent silencieuses; mais, tous les soirs, les enfants récitent le Chapelet à l'aubépine, et fidèles et curieux se joignent à eux, de plus en plus nombreux. Le Curé reste sur la réserve, note que le mouvement de ferveur populaire s'amplifie, que des conversions et des retours à la pratique religieuse s'opèrent, notamment dans les familles des voyants, plutôt indifférentes. La presse s'empare de l'évènement, le monte en épingle. Dès médecins interviennent, étudient les extases, une polémique s'ensuit. L'évêque de Namur préconise prudence et discrétion. On écarte toute supercherie, toute suggestion des plus jeunes par les aînées, Andrée et Fernande, qui ont près de 15 ans. La Vierge parle peu: Elle vient pour donner l'exemple de la prière, faire prier une population devenue tiède en matière de religion; le 29 décembre, écartant les mains, Elle dévoile sur Sa poitrine un Cœur d'Or, entouré de rayons; les appels à la prière et au sacrifice se multiplient. La Vierge confie un secret aux enfants, puis c'est la dernière apparition, le 3 janvier 1933.
Des miracles de guérisons ont déterminé Monseigneur Charue à reconnaître, en 1949, au terme d'une enquête rigoureuse, le caractère surnaturel des faits. Actuellement, le sanctuaire de la Vierge au Cœur d'Or est un des pèlerinages les plus importants de Belgique.