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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Les Sirénes

Sirénes-Les peuples de l'eau

Publié à 12:07 par lusile17 Tags : amour fond vie nuit centerblog
Sirénes-Les peuples de l'eau

Les peuples de l'eau- Les Vouivres

 

Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.

 

Sirénes-Les peuples de l'eau

Publié à 12:07 par lusile17 Tags : amour fond vie nuit centerblog
Sirénes-Les peuples de l'eau

Les peuples de l'eau- Les Vouivres

 

Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.

 

Sirénes-Les peuples de l'eau

Publié à 12:07 par lusile17 Tags : amour fond vie nuit centerblog
Sirénes-Les peuples de l'eau

Les peuples de l'eau- Les Vouivres

 

Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.

 

Sirénes-Les peuples de l'eau

Publié à 12:07 par lusile17 Tags : amour fond vie nuit centerblog blog merci
Sirénes-Les peuples de l'eau

Les peuples de l'eau- Les Vouivres

 

Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.

 

 

 

 

Sirénes- Les peuples de l'eau

Publié à 11:58 par lusile17 Tags : centerblog femmes mer douceur
Sirénes- Les peuples de l'eau

Sirénes- Les peuples de l'eau

 

On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)

Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais

passées sous la couronne du soleil.

Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.

Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.


Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du

Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.

Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.

Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".

Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.

Sirénes- Les peuples de l'eau

Publié à 11:58 par lusile17 Tags : centerblog femmes mer douceur
Sirénes- Les peuples de l'eau

Sirénes- Les peuples de l'eau

 

On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)

Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais

passées sous la couronne du soleil.

Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.

Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.


Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du

Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.

Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.

Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".

Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.

Sirénes- Les peuples de l'eau

Publié à 11:58 par lusile17 Tags : centerblog femmes mer douceur
Sirénes- Les peuples de l'eau

Sirénes- Les peuples de l'eau

 

On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)

Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais

passées sous la couronne du soleil.

Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.

Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.


Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du

Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.

Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.

Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".

Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.

Sirénes - Les Peuples de l'eau

Publié à 16:25 par lusile17 Tags : fond homme enfants fille femmes amour coeur nuit mort fleurs mer argent bleu neige
 Sirénes - Les Peuples de l'eau

Les Peuples de l'eau - Les Sirénes des marais

Les sirènes

Les Sirènes chantaient... Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Les flots voluptueux ruisselaient d'harmonie
Et des larmes montaient aux yeux des matelots.

Les Sirènes chantaient... Là-bas, vers les rochers,
Une haleine de fleurs alanguissait les voiles ;
Et le ciel reflété dans les flots pleins d'étoiles
Versait tout son azur en l'âme des nochers,

Les Sirènes chantaient... Plus tendres à présent,
Leurs voix d'amour pleuraient des larmes dans la brise,
Et c'était une extase où le coeur plein se brise,
Comme un fruit mûr qui s'ouvre au soir d'un jour pesant !

Vers les lointains, fleuris de jardins vaporeux,
Le vaisseau s'en allait, enveloppé de rêves ;
Et là-bas - visions - sur l'or pâle des grèves
Ondulaient vaguement des torses amoureux.

Diaphanes blancheurs dans la nuit émergeant,
Les Sirènes venaient, lentes, tordant leurs queues
Souples, et sous la lune, au long des vagues bleues,
Roulaient et déroulaient leurs volutes d'argent.

Les nacres de leurs chairs sous un liquide émail
Chatoyaient, ruisselant de perles cristallines,
Et leurs seins nus, cambrant leurs rondeurs opalines,
Tendaient lascivement des pointes de corail.

Leurs bras nus suppliants s'ouvraient, immaculés ;
Leurs cheveux blonds flottaient, emmêlés d'algues vertes,
Et, le col renversé, les narines ouvertes,
Elles offraient le ciel dans leurs yeux étoilés !...

Des lyres se mouraient dans l'air harmonieux ;
Suprême, une langueur s'exhalait des calices,
Et les marins pâmés sentaient, lentes délices,
Des velours de baisers se poser sur leurs yeux...

Jusqu'au bout, aux mortels condamnés par le sort,
Choeur fatal et divin, elles faisaient cortège ;
Et, doucement captif entre leurs bras de neige,
Le vaisseau descendait, radieux, dans la mort !

La nuit tiède embaumait...Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Et la mer, déroulant ses vagues d'harmonie,
Étendait son linceul bleu sur les matelots.

Les Sirènes chantaient... Mais le temps est passé
Des beaux trépas cueillis en les Syrtes sereines,
Où l'on pouvait mourir aux lèvres des Sirènes,
Et pour jamais dormir sur son rêve enlacé.

Sirénes - Les Peuples de l'eau

Publié à 16:25 par lusile17 Tags : fond homme enfants fille femmes image merci belle nuit centerblog gifs fantastique
 Sirénes - Les Peuples de l'eau

Les Peuples de l'eau - Petite Siréne des riviéres

 

Le Chant des Sirénes



Matelots et marins qui naviguez sur cette vaste océan

Les avez-vous entendus ces cris déchirants

Ceux des sirènes déesses des eaux

Qui vous envoûtent de leur présence sur les flots



Oh! Sirènes, belles sirènes qui venez embrouiller nos rêves la nuit

Votre belle et longue chevelure qui scintillent et votre chant nous éblouit

Oh! Belles sirènes ne partez pas si tôt demeurez encore près de nous

Vos voix si envoûtantes nous émerveillent à nous rendre fous



Comment s’approcher plus près de vous sur ces rochers

Afin d’entendre encore une fois cette mélodie venant nous envoûter

Laissant traîner votre queue de poisson dans l’écume salée

Comme vous êtes resplendissantes oh! Belles sirènes, mes beautés



Pauvres marins, vous êtes tellement confus dans vos têtes tel un enchantement

Divaguant sur le quai en virevoltant innocemment

Plus jamais vous n'oublierez ces mélodies si délirantes

Belles sirènes laissez-les donc repartir, soyez un peu indulgentes



Le vent est accouru pour assister les pauvres marins

Oh! belles créatures divines, libérez donc les miens

Vos chants sont si beaux et si délirants

Il faudra repartir mes belles, l'endroit n’est point sécurisant



Mais quel charmeur ce vent séduisant

Nos belles sirènes s’éloignent en le saluant

Revenez nous voir beaux et vaillants matelots

Nous serons près de ces rochers attendant votre bateau

Oh! Belles sirènes, merci de vos chants si magnifiques

On se reverra bientôt c’est promis, dans ce lieu si fantastique

Sirénes - Les Peuples de l'eau

 Sirénes - Les Peuples de l'eau

Les Peuples de l'eau - Petites Sirénes des Océans

 

Les Sirènes

Mi-femmes, mi-poissons
Mi-anges, mi-démons
Aphrodites pour âmes mortelles
Belles, séduisantes et amantes éternelles
A l'âme d'océan et au cœur de pierre
A l'âme errante et au cœur solitaire.

Un chant sublime s'élève des profondeurs de la mer
Un chant magnifique qui résonne sur les façades côtières.
Que ce soit la Sirène, reine des flots, au superbe chant
Ou l'Ondine des rivières aux cheveux d'argent
L'Océanide vivant dans des palais sous-marins de nacre et de cristal, la belle
La Néréide, la sombre, luxure et cruelle
La Lorelei, fille du Rhin, jouant de la guitare sur un rocher
La Naïade aux écailles nacrées qui aime subtilement se peigner.

Mélodieux et terrible est leur chant
Harmonieux et fatal pour celui qui l'entend
Grâce à leurs charmes, elles entrainent leurs mortels amants
Au fond des abysses, jusque dans le néant
Mais qu'avec eux elles emportent une partie de leur amour
Qu'elles perdent ensuite pour toujours
Je suis mort pour l'amour des Sirènes
Les séductrices fatales, les filles de la mer, les reines
Aussi traitresses que la mer
Entre les rêves et les chimères

Leurs sublimes chansons portées par leurs voix
Ont caressé le cœur que j’avais en moi
La mer de velours noir bercée par leurs voix
Les Sirènes ont chanté pour moi
Et sachez que si la mer est salée
Cela est dû aux larmes des Sirènes en mal d'aimer.

La Galaad