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Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Les peuples de l'eau- Les Vouivres
Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.
Les peuples de l'eau- Les Vouivres
Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.
Les peuples de l'eau- Les Vouivres
Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.
Les peuples de l'eau- Les Vouivres
Les vouivres ont une double apparence; tantôt elles se montrent sous la forme d'une splendide naïade, reconnaissable à l'escarboucle qu'elle porte au front, et tantôt sous la forme d'un dragon ou d'un serpent ailé. Lorsqu'elle se baigne, la Vouivre cache dans l'herbe ou dans le creux d'un rocher sa précieuse escarboucle avant de plonger dans l'onde. Le mortel qui parvient à dérober l'incomparable bijou sans se faire surprendre par la Vouivre devient riche et puissant.
Sirénes- Les peuples de l'eau
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
Sirénes- Les peuples de l'eau
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
Sirénes- Les peuples de l'eau
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
Les Peuples de l'eau - Les Sirénes des marais
Les sirènesLes Sirènes chantaient... Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Les flots voluptueux ruisselaient d'harmonie
Et des larmes montaient aux yeux des matelots.
Les Sirènes chantaient... Là-bas, vers les rochers,
Une haleine de fleurs alanguissait les voiles ;
Et le ciel reflété dans les flots pleins d'étoiles
Versait tout son azur en l'âme des nochers,
Les Sirènes chantaient... Plus tendres à présent,
Leurs voix d'amour pleuraient des larmes dans la brise,
Et c'était une extase où le coeur plein se brise,
Comme un fruit mûr qui s'ouvre au soir d'un jour pesant !
Vers les lointains, fleuris de jardins vaporeux,
Le vaisseau s'en allait, enveloppé de rêves ;
Et là-bas - visions - sur l'or pâle des grèves
Ondulaient vaguement des torses amoureux.
Diaphanes blancheurs dans la nuit émergeant,
Les Sirènes venaient, lentes, tordant leurs queues
Souples, et sous la lune, au long des vagues bleues,
Roulaient et déroulaient leurs volutes d'argent.
Les nacres de leurs chairs sous un liquide émail
Chatoyaient, ruisselant de perles cristallines,
Et leurs seins nus, cambrant leurs rondeurs opalines,
Tendaient lascivement des pointes de corail.
Leurs bras nus suppliants s'ouvraient, immaculés ;
Leurs cheveux blonds flottaient, emmêlés d'algues vertes,
Et, le col renversé, les narines ouvertes,
Elles offraient le ciel dans leurs yeux étoilés !...
Des lyres se mouraient dans l'air harmonieux ;
Suprême, une langueur s'exhalait des calices,
Et les marins pâmés sentaient, lentes délices,
Des velours de baisers se poser sur leurs yeux...
Jusqu'au bout, aux mortels condamnés par le sort,
Choeur fatal et divin, elles faisaient cortège ;
Et, doucement captif entre leurs bras de neige,
Le vaisseau descendait, radieux, dans la mort !
La nuit tiède embaumait...Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Et la mer, déroulant ses vagues d'harmonie,
Étendait son linceul bleu sur les matelots.
Les Sirènes chantaient... Mais le temps est passé
Des beaux trépas cueillis en les Syrtes sereines,
Où l'on pouvait mourir aux lèvres des Sirènes,
Et pour jamais dormir sur son rêve enlacé.
Les Peuples de l'eau - Petite Siréne des riviéres
Le Chant des Sirénes
Matelots et marins qui naviguez sur cette vaste océan
Les avez-vous entendus ces cris déchirants
Ceux des sirènes déesses des eaux
Qui vous envoûtent de leur présence sur les flots
Oh! Sirènes, belles sirènes qui venez embrouiller nos rêves la nuit
Votre belle et longue chevelure qui scintillent et votre chant nous éblouit
Oh! Belles sirènes ne partez pas si tôt demeurez encore près de nous
Vos voix si envoûtantes nous émerveillent à nous rendre fous
Comment s’approcher plus près de vous sur ces rochers
Afin d’entendre encore une fois cette mélodie venant nous envoûter
Laissant traîner votre queue de poisson dans l’écume salée
Comme vous êtes resplendissantes oh! Belles sirènes, mes beautés
Pauvres marins, vous êtes tellement confus dans vos têtes tel un enchantement
Divaguant sur le quai en virevoltant innocemment
Plus jamais vous n'oublierez ces mélodies si délirantes
Belles sirènes laissez-les donc repartir, soyez un peu indulgentes
Le vent est accouru pour assister les pauvres marins
Oh! belles créatures divines, libérez donc les miens
Vos chants sont si beaux et si délirants
Il faudra repartir mes belles, l'endroit n’est point sécurisant
Mais quel charmeur ce vent séduisant
Nos belles sirènes s’éloignent en le saluant
Revenez nous voir beaux et vaillants matelots
Nous serons près de ces rochers attendant votre bateau
Oh! Belles sirènes, merci de vos chants si magnifiques
On se reverra bientôt c’est promis, dans ce lieu si fantastique
Les Peuples de l'eau - Petites Sirénes des Océans
Mi-femmes, mi-poissons
Mi-anges, mi-démons
Aphrodites pour âmes mortelles
Belles, séduisantes et amantes éternelles
A l'âme d'océan et au cœur de pierre
A l'âme errante et au cœur solitaire.
Un chant sublime s'élève des profondeurs de la mer
Un chant magnifique qui résonne sur les façades côtières.
Que ce soit la Sirène, reine des flots, au superbe chant
Ou l'Ondine des rivières aux cheveux d'argent
L'Océanide vivant dans des palais sous-marins de nacre et de cristal, la belle
La Néréide, la sombre, luxure et cruelle
La Lorelei, fille du Rhin, jouant de la guitare sur un rocher
La Naïade aux écailles nacrées qui aime subtilement se peigner.
Mélodieux et terrible est leur chant
Harmonieux et fatal pour celui qui l'entend
Grâce à leurs charmes, elles entrainent leurs mortels amants
Au fond des abysses, jusque dans le néant
Mais qu'avec eux elles emportent une partie de leur amour
Qu'elles perdent ensuite pour toujours
Je suis mort pour l'amour des Sirènes
Les séductrices fatales, les filles de la mer, les reines
Aussi traitresses que la mer
Entre les rêves et les chimères
Leurs sublimes chansons portées par leurs voix
Ont caressé le cœur que j’avais en moi
La mer de velours noir bercée par leurs voix
Les Sirènes ont chanté pour moi
Et sachez que si la mer est salée
Cela est dû aux larmes des Sirènes en mal d'aimer.
La Galaad