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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
On dit que parfois en haute mer, des belles femmes au corps de poisson viennent charme les pêcheurs et les entraîner dans les abîmes de la mer)
Des vieux pêcheurs gaspésiens attardés en mer, le soir, lorsqu'il y avait apparence de tempêtes, furent encerclés par des sirènes de mer, les plus jolies créatures jamais
passées sous la couronne du soleil.
Ces jeunes femmes au corps de poisson avaient la chair couleur de flétan et la chevelure comme de la filasse tombant jusqu'à la ceinture. Gardant toujours dans l'eau le bas de leurs corps, elles s'approchaient de la barge en chantant des refrains pour charmer les pêcheurs.
Par la douceur de leur voix et la grâce de leurs gestes, elles tentaient de retenir les hommes en mer jusqu'à ce que la tempête fasse chavirer leur bateau.
Une fois les hommes noyés, elles retournaient dans les profondeurs du
Saint-Laurent où elles s'étaient jadis "écartées" alors qu'elles se dirigeaient avec d'autres sirènes vers la mer Rouge.
Une fois seulement, une sirène monta sur le pont en se glissant le long des amarres. Elle demanda à un pêcheur d'utiliser son canif pour débarrasser sa peau des sangsues qui la piquaient.
Une autre fois, une sirène demanda aux hommes de s'éloigner des lieux: Vous vous trouvez au-dessus de notre église et vos lignes dérangent un office religieux".
Des pêcheurs du Bas-du-Fleuve, eux, aperçurent des hommes de mer au teint brun et à la "fale"dorée; aux grands yeux bleus et à la tête rasée comme des moines.
La sirène antique aux origines du mythe
La Déesse sirène
Il existe plusieurs cultes attachés à des déesses sirènes : c’est le cas de celui de Yemanja au Brésil et aussi de Mami Wata en Afrique. Ces divinités issues du vaudou et du candomblé symbolisent la mer nourricière comme l'océan naufrageur mais aussi la féminité et surtout la fécondité… (N’ayant pas de connaissance poussée dans ce domaine, je préfère ne pas m’étendre la dessus ^^)
La musique des sphères
La sirène apparait symboliquement dans la théorie pythagoricienne de "L’harmonie des sphères" fondée sur l'idée que l'univers est régi par des rapports numériques harmonieux, et que les distances entre les planètes dans la représentation géocentrique de l'univers sont réparties selon des proportions musicales, les distances entre planètes correspondant à des intervalles musicaux. Théorie que j'essaye de comprendre car elle me fascine malgré mon absence d'esprit mathématique ^^
En conclusion :
La sirène représente pour moi l'attrait du son, sa magie, son pouvoir de fascination, sa douce sensualité, et sa force puissante. Elle représente ce à quoi on ne peut résister et ce à quoi il est tellement délicieux de céder en dépit de tous les danger. Sur son rocher, elle lisse ses écailles ou ses plumes, fille de l'air et de l'eau, dangereuse, belle, inaccessible, gracieuse, c'est elle qui porte le chant des sphères, l'harmonie du monde et sa mémoire dans son chant mystérieux.
La sirène antique aux origines du mythe
On retrouve des traits propres aux sirènes dans certains récits liés à d’autres créatures aquatiques telles que les ondines, les nymphes, les néréides, les océanides, les selkies ou les nixes (comme la séduisante Loreleï qui chantait en se peignant les cheveux sur un rocher en surplomb du Rhin et séduisait les marins qui en oubliaient de manœuvrer et s’écrasaient sur les rocher).
La sirène apparaît aussi dans des cultures éloignées. J’ai eu l’occasion de lire des contes japonais, indiens, chinois, scandinaves et russes dans lesquels il était question de créatures marines, lacustres ou fluviales enchantant par leur beauté et leur voix. Souvent, elles possédaient soit les caractéristiques physiques du peuple de l’eau, soit le pouvoir de se métamorphoser en créature aquatique. Cependant, il est rarement fait mention de la sirène sous sa forme initiale de femme-oiseau.
La fée Mélusine n'était pas une sirène...
On serait tenté de rapprocher Mélusine des sirènes car elle possédait à la fois une queue de serpent (ou d'anguille selon les auteurs) ainsi que des ailes d'oiseaux, mais en approfondissant la symbolique du mythe, il s'avère que Mélusine est liée aux nymphes des fontaines, aux fées et aux salamandres mais pas aux sirènes
C’est au VIIè Siècle qu’apparu la première version d’une sirène à queue de poisson. Le moine anglais Aldhelm de Sherborne, dans son bestiaire, les décrivit comme des « vierges à queue de poisson couverte d'écailles ». La sirène ailée cohabita encore avec sa sœur marine jusqu’au XVème Siècle puis elle disparut du folklore.
Cette époque marqua également un tournant dans sa légende : la séduction de la sirène ne se manifestant plus uniquement dans l’attrait magique de sa voix mais aussi dans la sensualité de son corps. Elle devint ainsi le symbole de la luxure représentée tenant un peigne et un miroir attributs des prostituées.
Les légendes abondent sur ces enchanteresses des mers : gardiennes de trésors ou reines du fond des mers, cruelles ou bienfaitrices pour les marins qui auraient pu s’attirer leurs faveurs.
La sirène perdit définitivement son aspect maléfique sous la plume d’Hans Christian Andersen qui narra l’histoire d’une sirène amoureuse d’un prince humain qui la délaissa dans le conte tragique « la petite sirène » dont la version animée de Disney guimauva totalement l’histoire.
L'origine des confusions
Il existait dans l’antiquité d’autres créatures mythologiques affublées d’une queue de poisson comme Triton, le fils de Poséidon ou encore les nymphes des mers mais sans rapport avec les sirènes. On a aussi fait de nombreuses confusions entre les sirènes et d’autres créatures ailées comme les striges ou les harpies. Les anglophones utilisent deux mots différents pour désigner les sirènes "sirens" pour les femmes-oiseaux de l'antiquité et "mermaids" pour les femmes-poissons du moyen-age.
La sirène antique aux origines du mythe.
L'Odyssée d'Homère relate le retour du héros grec Ulysse en Ithaque après la guerre de Troie. Un retour parsemé d'embûches dont le passage près de l'île des sirènes. Ulysse, informé par la sorcière Circé du danger que représentait la voix des sirènes, demanda à son équipage de se boucher les oreilles avec de la cire et de l'attacher au mat du navire. Ainsi, il put entendre le chant ensorcelant sans toutefois céder à son appel.
Dans le récit de la Toison d'Or, Jason et les argonautes passèrent eux aussi aux abords du dangereux rivage, mais c'est le musicien Orphée qui les sauva des voix ensorceleuses en les couvrant du son de sa lyre.
Une légende raconte comment les sirènes défièrent les muses dans un concours de chant et comment celles-ci s’arrachèrent les plumes de désespoir en perdant le défit et qu’ainsi elles perdirent leur don de voler. (Une autre interprétation est que les muses arrachèrent les plumes des sirènes afin de s’en confectionner une couronne).
La sirène antique aux origines du mythe.
Leur forme évolua au fil des époques et elles acquirent des bras et un buste de femme (toujours avec des ailes et des pattes d'oiseaux), cette nouvelle forme leur permettant de jouer d'un instrument, flûte ou cithare (Souvent, elles étaient représentées par trois, l'une chantant, les deux autres jouant de ces instruments). Par la suite sous les influences romaines et étrusques on les présenta plus simplement sous la forme de femmes ailées.
Même si elles sont souvent représenté par trois, l’antiquité fait mention de quatre, huit ou douze sirènes dont voici les noms :
Aglaopé : celle qui a un beau visage brillant
Aglaophoné : celle qui a une voix superbe
Leucosie : la blanche créature
Ligéia : celle qui pousse un cri perçant
Molpé : celle qui chante des mélopées
Parthénopé : celle qui a un visage de jeune fille
Peisinoé : celle qui est persuasive
Raidné : celle qui est en progrès
Télès : la parfaite
Thelxinoé : celle qui adoucit l'âme par le chant et la musique
Thelxépeia : celle qui prononce des paroles apaisantes
Thelxiopé : celle qui a un visage convaincant
La sirène antique aux origines du mythe.
Dans le mythe grec, les sirènes étaient des êtres mi-femmes mi-oiseaux, elles étaient filles du fleuve Acheloos et de la nymphe Calliope (ou de Terpsichore, la Muse de la danse). Leur chant, envoûtant par son harmonie et surtout ses paroles, attirait les marins vers la mort. On dit qu'elles habitaient une île dont le rivage était blanchis d'ossements humains quelque part dans le détroit de Messine aux abords de la Sicile. Bien que divinités liées à la mer, elles appartenaient par leur forme au plan de l'air. Elles étaient également associées à la mort et aux rites funéraires, tradition qui perdura jusqu’au moyen-age ou des représentations de sirènes ornaient les chapiteaux des cathédrales parfois sous leur forme aérienne parfois sous leur forme aquatique. On peut aussi remarquer certaines similitudes entre la forme des sirènes-oiseaux et la représentation du "ba" esprit du défunt dans la mythologie égyptienne.
Quelques explications quant à cette curieuse apparence :
Les sirènes auraient eu forme humaine aux origines, elles étaient alors les compagnes de Perséphone (Prospérine). Une thèse avance que lorsqu'Hadès enleva Perséphone pour l'emmener aux enfers, les sirènes ne purent empêcher son rapt et furent donc punies de leur manquement par Céres (la mère de Perséphone) qui les changea en femmes-oiseaux. Une autre thèse défend qu'elles demandèrent elles-même ces attributs à Cérès afin de partir à la recherche de Perséphone. Une troisième explication enfin prétend que leur curieux aspect résulterait d'une malédiction que leur avait jetée Aphrodite pour l'orgueil de n'avoir jamais offert leur virginité à un homme
L'origine des sirènes n'est pas établie de façon certaine . On dit toutefois qu'elles sont les filles du fleuve Acheloüs , représenté comme un homme à queue de poisson , et des muses , en tout cas de l'une d'entre elles : selon la mythologie Gerhardt , il s'agirait de Melpomène , la muse du courant harmonieux , Terpsichore , la muse de la danse des ondes , ou de Calliope , à la très belle voix . D'autres chercheurs disent qu'elles sont les filles de la déesse de la memoire , Mnémosyne .
Claude Nicaise , un auteur du XVII°siècle dit qu'elles sont nées du sang de la corne d'abondance , à la suite de la lutte d'Hercule avec Acheloüs .
Dans l'odyssée d'Homère , si Ulysse parvient à écouter sans dommages le chant des sirènes , c'est parce que , sur les conseils de la magicienne Circé , il s'est fait attacher au mât de son bateau , tandis que les marins continuent la manoeuvre , les oreilles bouchées avec de la cire .
Le chant des sirènes est en effet fatal aux marins , qui se laissent séduire par lui . Perdant instantanément l'esprit , ils se jettent à l'eau et se noient . Les cruelles sirènes dévorent leur coeur et emportent leur âme , tandis que les bateaux laissés à la dérive vont se fracasser sur les rochers ...
Mais toutes ne furent pas métamorphosées en roches . Les survivantes , sous la forme de femmes poissons , demeurèrent au bord des rivages ou près des récifs à fleur d'eau pour guetter les marins et les séduire par leur chant afin de mieux les attirer au fond de l'eau .
Car les sirènes sont de grandes amoureuses . D'ailleurs , dit-on , si la mer est salée , c'est qu'elle est remplie des larmes des sirènes en mal d'amour .
Les sirènes furent conviées à un concours de chant les opposant aux muses dont elles étaient les filles . Ce concours , présidé par Héra , fut favorable aux sirènes , dont la voix était plus belle . refusant d'admettre leurs défaites , les muses se ruèrent sur les sirènes pour leur arracher les ailes et s'en faire des couronnes . Désormais , incapables de voler , les malheureuses sirènes se précipitèrent dans les vagues de la mer .
Apolonios de Rhodes , dans les Argonautiques , narre ainsi la défaite des sirènes :
Les sirènes sur leur rocher neigeux jouaient de la flute et de la lyre . Elles soupirèrent profondément puisque la triste destinée d'une mort fatale approchait , et du haut de leur rocher elles se précipitèrent dans les profondeurs de la mer rugissante . Leur corps prirent eux-mêmes la forme de rochers ...
Une autre légende veut que les sirènes soient les suivantes de Proserpine , la fille de Ceres . Elles avaient laissé enlever leur maîtresse par Pluton pour être conduite aux enfers . Pour punir les sirènes de leur manque de vigilance , Céres les auraient changées en oiseaux à tête de femmes . Ovide , dans ses Métamorphoses , y voit au contraire une récompense des dieux .
Ces sirènes d'air n'étaient pas toujours bienveillantes , loin de là . On dit qu'elles s'abattaient comme des oiseaux de proie sur les soldats en marche ou les marins en mer .
LES ATTRIBUTS DE LA SIRENE
Le mirroir : les sirènes sont souvent occupées à se regarder dans un mirroir . On a voulu y voir un signe de leur vanité , de leur narcissisme et de leur coquetterie . En fait , ce mirroir symbolise la planète Vénus dans la tradition astrologique . Aphrodite , née de l'écume de la mer et déesse grecque de l'amour des arts et de la fécondité est souvent représentée avec un mirroir .
Elle est malgré son absence de queue de poisson , l'ancêtre des sirènes et la protectrice des marins . La chevelure et le peigne d'or :
Les sirènes ont toujours une chevelure opulente et abondante , symbolisant leur fort potentiel érotique et amoureux . Elles passent leut temps à se coiffer avec des peignes d'or , symbolisant le sexe féminin . Les mots kteis en grec , pecten en latin et pettigone en italien désignent à la fois le peigne et le pubis ...
l'extremite de la presqu'île de Sorrente se trouvait des sirènes , là où les anciens localisaient la résidence habituelle des filles de la mer , sur des rochers nommés îles Sirénuses , citées par Aristote . Claude Nicaise situe plutot le séjour des sirènes sur la ville de Naples .
Dans les légendes du folklore marin , les sirènes vivent dans un monde sous marin où se tiennent leurs palais merveilleux , dans lesquels elles entraînent leurs amants mortels ...
Les sirènes sont de jeunes vierges marines qui séduisent les marins à l'aide de leurs formes splendides et de leurs chants merveilleux . De la tête jusqu'au milieu du torse elles ont des corps en tout point identique à ceux des femmes ; pourtant , elles ont en dessous des queues écailleuses de poisson , qu'elles gardent toujours cachées dans l'eau , dans les vagues .
Vouées à l'érotisme et à la sexualité , mais aussi à l'art , à la musique , au chant et à la divination , ces créatures ne sont pas immortelles ; selon Hésiode elles peuvent tout de même vivre 291 600 ans dans un état de perpetuelle jeunesse ...