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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Hommage a Mére Térésa de Calcutta

Mére Térésa

Publié à 18:18 par lusile17 Tags : femme mort anniversaire voiture dieu
Mére Térésa

Mére Térésa_ Lady Diana

Il y a déjà 14 ans que Mère Teresa est morte d’une crise cardiaque à l’âge de 87 ans, le 5 septembre 1997 à Calcutta.  Le lendemain de sa mort, elle était supposée présider un service de prière à Calcutta pour son amie, Diana, Princesse de Galles, qui avait été tragiquement tuée dans un accident de voiture une semaine auparavant.

La Princesse fut tuée par l’horrible accident de voiture à Paris. Une semaine après, Mère Teresa fut appelée à rejoindre Dieu dans sa demeure.

La pompe, la précision et la sombre majesté de l’adieu londonien à la Princesse Diana, présenté une semaine avant, était presque inaperçu dans les scènes chaotiques du passage du cercueil de bois de Mère Teresa transporté sur un attelage à canon à travers les rues affairées et encombrées par les foules lors de ses funérailles d’État.

La vie de Mère Teresa n’était pas ordinaire, mais plutôt une métaphore d’altruisme et de sainteté. Ses fameuses oeuvres débutèrent en 1950 avec l’inauguration à Calcutta de la première maison pour les personnes mourantes et les démunis  Nirmal Hriday (Cœur tendre). Les mots de Mères Teresa demeurent inscrits sur les murs de cette maison : « De nos jours l’épidémie la plus horrible n’est pas la lèpre, ni la tuberculose. C’est le sentiment d’être indésirable, rejeté, abandonné par tous. »

 Il existe des critiques au sein de l’Église, et bon nombre de religieux et de religieuses, qui disent que Mère Teresa personnifiait une vue « Concile-pré-Vatican » de la foi et n’adressait pas les maux systémiques. Ils la critiquent et critiquent ses disciples pour leur condamnation acharnée de l’avortement. Certains on dit qu’il n’y avait pas d’élément de critique prophétique dans l’enseignement et le train de vie de Mère Teresa. Plutôt que d’agir raisonnablement en soumettant des demandes pour recevoir des dons du gouvernement afin de créer des programmes pour l’éradication de la pauvreté, Mère Teresa et ses sœurs emménagèrent dans des quartiers et se liaient d’amitié avec les gens. Leurs maisons devenaient souvent des oasis d’espérance et de paix, comme celles du Canada et spécialement celui du Centre Ville de Toronto. Lorsque Mère Teresa parle du ‘partage de la pauvreté,’ elle défie la logique des institutions qui préfèrent les agendas pour les pauvres au lieu de la communion avec les individus démunis. Les agents et les instruments de communion sont souvent jugés par le monde comme hors de propos.

Bien qu’elle ait quitté ce monde il y a quatorze ans, cette petite nonne a encore fait la une il y a plusieurs années, avec la publication de ses lettres. Beaucoup de journalistes, d’éditeurs de magazines, des présentateurs de télévision ainsi que des bloggeurs avaient mal compris l’histoire en publiant leurs manchettes sensationnelles : « La vie secrète de Mère Teresa : crise et obscurité, » ou « La Sainte de Calcutta était une athée, » ou encore « La Mère et l’Absente. » Certains commentateurs écrivaient : « Elle a perdu sa foi et l’Église la récompense. » Ces gens semblent ne pas être au courant du fait que les personnes qui avaient préparé sa béatification en 2003 avaient cité les lettres comme preuve de sa foi exceptionnelle, et non pas l’absence de cette dernière.

Mère Teresa nous explique dans ces messages intimement personnels qu’il lui est arrivé de sentir la puissante présence de Dieu et d’avoir entendu Jésus parler avec elle. Ce que Mère Teresa vécût par la suite c’était la foi dénuée de toute consolation émotionnelle. À la fin elle devait dépendre de la foi brute, sur l’espérance et la charité. Telles sont les vertus de tous les chrétiens, non seulement de l’élite spirituelle. Après tout, elle était une de nous.

 

Mére Térésa

Publié à 14:50 par lusile17 Tags : mer voyage
Mére Térésa

Mére Térésa Adolescant

Il semble que tout le monde connaît le nom et quelques unes des nombreuses actions de cette bienfaitrice religieuse… et médiatisée. Cependant, malgré les nombreuses biographies, la vie de Mère Teresa reste toujours aussi mystérieuse pour bon nombre d’entre nous, y compris les spécialistes !

Née à l’aube du XXème siècle en Albanie, Mère Teresa, alors prénommée Anjezë (Agnès), doit vite fuir le pays avec sa famille, pour s’installer en Macédoine afin d’être en sécurité (son père étant impliqué en politique, il avait peur de représailles). Il est difficile de savoir si c’est lors de ce premier départ qu’elle acquiert le goût du voyage, mais aussi loin que remontent les traces historiques, Mère Teresa semble toujours avoir manifesté le souhait de visiter le monde, et surtout celui d’aller en Inde. Élevée dans la foi catholique par sa mère, après le décès de son père, Agnès est convaincue très tôt par les actions des missionnaires dans le monde entier. Elle est persuadée, dès l’âge de 12 ans, que sa vie sera ainsi faite. C’est donc à 18 ans qu’elle rejoint un couvent catholique Irlandais, avant de prendre la mer un an plus tard pour enfin accoster en Inde…