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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Paysage d'hiver
De gros flocons de neige estompent le ciel gris,
Le vent, de son haleine éternelle, les chasse,
Balayant et fouettant les champs couverts de glace
Qui, contre son courroux, ne trouvent point d'abris.
Les oiseaux font effort pour retrouver leurs nids,
Dans les branches, couverts, que la bise entrelace
De ses grands bras gelés et qui toujours menace
La frêle créature aux membres engourdis
Alors qu'a fui le jour, les étoiles scintillent
Dans le ciel de la nuit. Et ces astres qui brillent
Éveillent d'un frisson le froid piquant du soir.
La lune au Levant en étalant ses voiles,
Dentelles d'or que berce et soulève le noir
Et qui, de leur clarté, éteignent les étoiles.
(poème publié par Apostrophe
Paysage d'hiver
Hiver immaculé, ton blanc manteau de neige,
recouvre encore la terre, d'un long linceul glacé,
sous tes doigts les oiseaux, ne font plus de solfège,
ta peau blême est de nacre, et ton sourire figé.
ton souffle âcre et dur, fait courber les roseaux,
et transforme l'étang, en un miroir d'argent,
tu endors toute vie, et même le ruisseau,
sommeille dans ton grand lit, au creux de tes draps blancs.
Sous ton fard de marbre, la nature s'émerveille,
de voir tant de rubis, tant de pierres scintiller,
car tes flocons légers, à des larmes pareilles,
font pleuvoir de ton ciel, des étoiles par millliers...
Ô parure de soie, Ô parure du soir,
lorsque le jour s'achève, abandonnant la nuit,
la terre illuminant tous les arbres aux troncs noirs,
vêtus de capes blanches, chaussés de botte noires.....
(poème publié par Monalemam)
Paysage d'hiver
Les arbres blancs entonnent un chant
Dans la plus pure veillée d'antan
Celle où le houx et le sapin
Se mêlent aux notes et aux refrains
En couronne d'if à l'odeur d'huile
De ma grand-maman
Vive le vent, vive la neige!
La lune en une brise scintillante
Tantôt blanc calme, tantôt glissante
Se fraie un chemin dans le cortège
Elle me séduit, elle me protège
Cette maîtresse tiède du firmament
Tandis qu'en haut, le coeur battant
Le temps me force à l'acquérir
L'esprit des Fêtes je l'attends
J'attends qu'il vienne m'éblouir!
J'y aspire, soupire! Viens-t'en!
(poème publié par jasonM)
Paysage d'hiver
Larmes de givre
Larmes de givre, joues blanches
Symbolique, magique, étrange
Yeux bleus, quasi synthétiques
Visage d’ange, électrique
Sourire inexistant
Lèvres noires bleutées
Rayonnantes, puretés
Cheveux, funeste
Au mille éclats dorés
Soufflé par vent d’est
Image scarifier
Sur matière grise endeuillée
Souvenir éternel
Douloureux, cruel
(poème publié par sisyphe
Paysage d'hiver
Hiver immaculé, ton blanc manteau de neige,
recouvre encore la terre, de ton linceul glacé,
sous tes doigts, les oiseaux, ne font plus de solfège
la peau blême est de nacre, et ton sourire figé ...
Ton souffle apre et fort, fait courber les roseaux,
et transforme l'étang en un miroir d'argent,
tu endors toute vie, et même le ruisseau,
sommeille en ton grand lit, au creux de tes draps blancs.
sous ton fard de marbre, la nature s'émerveille,
de voir tant de rubis, tant de pierres scintiller,
car tes flocons légers, à des larmes pareilles,
font pleuvoir de ton ciel, des diamants par milliers.
Ô parure de soie, Ô parure du soir !
lorsque le jour s'achève, alors l'on peut voir,
que tout, en bas s'éclaire... même ici les troncs noirs,
sont tous en manteaux blancs ....chaussés de bottes noires.
(monalemam)
Paysage d'hiver
Mon vieux chêne, cette nuit, a perdu sa parure
Au milieu des souvenirs d’un champ d’asphodèles.
Les brebis, depuis peu, avaient fui les pâtures
Dans ce froid qui terrasse même les plus rebelles !
L’hiver, désolé, est entré dans nos vies
Car il sait que sans lui, le printemps est mirage
Mais pour l’heure, dans ces lignes je m’invente un abri
Une bergerie de pierre, bien loin de tout village
Pendant que dehors on retourne la glèbe
Que des chevaux ossus s’embourbent dans la fange
Par la vitre embuée, je distingue quelques grèbes
Dans une eau qui se ferme et se teinte d’étrange
Au chaud, près d’un mur décoré par l’usure
Des bûches rougies m’emmènent vers un Graal
Aspiration première, inutile mais vitale
Qu’est l’étreinte d’une femme,lovée dans la fourrure !
(poème publié par Azerzo )
Paysage d'hiver
Ce bois sous la neige est frais comme un cimetière,
Il y fait bon se laisser tenter par la mort,
Elle a revêtu là sa plus belle crinière,
De longues cornes tordues comme des ressorts,
Seuls les vampires résistent à ce sourire.
Pas la moindre bise même un souffle de vent
Ne semble vouloir oser caresser ces griffes,
Ces vipères figées statufiant les passants.
Mes os frissonnent, eux aussi veulent se tordre,
S’extirper de ma peau, de mon corps tortillard
Qui se mue à la vue de ces êtres bâtards
Qu’une biche et un lynx assoiffés de désordre,
Méprisant la terre de l’étreinte adultère,
Une nuit d’hiver enfantèrent sous un hêtre
Paysage d'hiver -Hamelet- Somme
Les yeux brûlés et les pieds gelés
Près du trou noir, arraché à la glace
Sous un soleil qui se pense en été
Ça fait deux heures que ligne en main
Au fond, j'agace
Quelques dorés
Ils ont volé la moitié des appâts
Avant que l'un mordre pour de bon
Quarante pieds de ligne à monter
Les doigts glacés
Finalament j'ai triomphé
J'aurai ce soir dans la friture
Le résultat de ma capture
Deux heures d'efforts à grelotter
Pour un doré
Qui fait un pied
(poème publié par squaw255)
Paysage d'hiver-Albert -Somme
Ivresse blanche
Comme une très grande épée de Damoclès,
Une femme vêtue de blanc dans cet épais brouillard,
Me rejoint et me glace de détresse,
M’emprisonnent dans ces grands yeux noirs.
Mon âme se pétrifie dans un moule à image,
La tristesse engloutit mon cerveau,
Mon Corps se raidit mettent mon esprit en cage,
La dame fusionne nos lèvres sans un mot...
Elle passe sa main sur mes joues rougeâtre,
Quelles est ce personnage infâme qui m'étrangle d'amour,
Le chromosome x m'assène sont coup de matraque,
Me trainant d'illusion en mirage sans détours....
je hisse ma voile dechirée par les saissons,
les marrais de bisous endormie s'abatte sur les flots,
je me sent seul a espere une enieme raison,
pour ne pas finir par dessus bord noyer par mes sanglots...
je suis repecher par un vaisseau fantome,
le parfum de leurs depouille m'atire et m'ennivre,
les cadavres des marrins m'enrole,
leur chaires purulente me rend ivre...
(poème publié par audessus-des -nuages)
Paysage d'hiver-Hortillonnages-sous-la-neige-Amiens
Hivernal
Les flocons délicats, légers et cotonneux,
S’épandent sur l’humus comme un caftan platine,
Somptueux et princier dans la vallée alpine,
Dont les flancs, aux sommets, ont un manteau laineux.
Fièrement couronné par le blanc lumineux
Dans l’atmosphère fraîche, exquise et cristalline,
Le noble bois noueux des sapins s’acoquine
Au cortège divin d’un firmament crayeux.
L’aurore à la couleur de gaze diaphane,
En la saison d’hiver, dans le grand val perdu :
Et, au dessus du toit d’une vieille cabane,
S’échappe une fumée, immobile, abondante,
Qui, de l’agreste chaume, en un voile assidu,
Diffuse sa volute au ciel qu’elle charpente.
ANDRÉ