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lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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François Boucher
Les trois Graces levant Cupidon
L'apogée (1736 – v. 1760)suite
Dès 1735, Boucher exécute en camaïeu le plafond de la chambre de la reine à Versailles (les Vertus royales,in situ). On lui confie deux tableaux pour la galerie des Petits Appartements de Versailles (Chasse au tigre,1736, musée d'Amiens, et Chasse au crocodile,1739, id.).Découvrant à ce moment, à côté d'Oudry, le site champêtre des environs de Beauvais, il introduit dans ces compositions la prééminence du paysage, non plus à l'italienne, mais au naturel (Scène de forêt, 1740, Louvre). Entre 1743 et 1746, il travaille pour la Bibliothèque du roi à Paris (l'Histoire,B. N.) et, à la même époque, pour Choisy et pour l'appartement du Dauphin à Versailles (Légende d'Énée,1747, dont Vénus et Vulcaindu Louvre, placé dans la chambre du roi à Marly). Mme de Pompadour joue alors un rôle particulièrement important dans la carrière de Boucher, lui obtenant le logement au Louvre en 1752, lui commandant une décoration pour la salle à manger de Fontainebleau (1748), le plafond du cabinet du Conseil (1753, en place) et des projets de tapisserie pour La Muette, et l'utilisant surtout à Bellevue (la Lumière du monde,1750, musée de Lyon) et à Crécy (dessins des statues du parc, petites allégories anacréontiques, série des Saisons,où l'on retrouve maintes réminiscences de Watteau [les Amusements de l'hiver,1755, New York, Frick Coll.]).
C'est surtout un répertoire de mythologie galante et d'allégorie (hôtel de Soubise, Paris), et de fantaisie réaliste parfois teintée d'intimisme (le Déjeuner,1739, Louvre ; la Marchande de modes,1746, Stockholm, Nm, 1746), que Boucher met au point dès 1739 : Tessin emporte la Lédaet le Triomphe de Vénusen 1740 (Stockholm, Nm) et commande ensuite les Quatre heures du jour(seul le Matinest exécuté en 1746 ; Stockholm, Nm), et le duc de Penthièvre la série d'Aminteen 1755 (Paris, Banque de France).
François Boucher
Pan et Syrinx
L'apogée (1736 – v. 1760)
Sa réception à l'Académie (Renaud et Armide,1734, Louvre) inaugure pour lui une longue carrière officielle de professeur (1737), directeur de l'Académie et premier peintre du roi (1765). C'est une période d'intense activité pour l'artiste, qui partage son temps entre les manufactures royales, les décors de théâtre et d'opéra, les commandes du roi et de Mme de Pompadour et celles, moins importantes, de ses amis amateurs. Les manufactures sont Beauvais, dirigée par Oudry depuis 1734, et les Gobelins, dont Boucher devient inspecteur (1755-1765). Dès 1736, il entreprend une série de Pastoralesen 14 pièces ; en 1739, c'est l'Histoire de Psyché(Psyché recevant les honneurs divins,musée de Blois). La fiction et l'invraisemblance du sujet lui assurent un succès immédiat (entre 1741 et 1770, l'Histoire de Psychéest reprise huit fois pour le roi de Suède, pour celui de Naples, pour l'ambassadeur d'Espagne...). Boucher montre ici une réelle originalité, transformant l'art grandiose de Le Brun en une décoration où la mise en page est volontairement décentrée, où courbes et contre-courbes jouent sur des perspectives très étudiées, où enfin les coloris pâles se trouvent beaucoup plus proches de l'effet obtenu par les soieries que ceux de J.-B. Oudry.
Pour les Gobelins, ce sont essentiellement les deux séries célèbres des Amours des dieux,dont certaines compositions seront reprises dans les Métamorphosesen 1767 (Apollon et Issé,1749, musée de Tours), et la série d'Aminte(1755-56, musée de Tours et Paris, Banque de France). La tenture des Divertissements chinois(offerte en 1764 par Louis XV à l'empereur K'ien Lung ; esquisses au musée de Besançon, 1742), les dessins d'ornements pour la manufacture de Sèvres (1757-1767) et les très nombreux ensembles qu'il dut réaliser pour le théâtre et l'opéra font de lui le décorateur le plus fantaisiste du siècle. De 1742 à 1748, en effet, Boucher reprend à Servandoni la charge de l'Opéra : il réalise Issé,de Destouches (le Hameau d'Issé,1742, musée d'Amiens), les Indes galantes,de Rameau et Fuzelier (1735), Persée,de Lulli et Quinault (1746), Atys,de Lulli (1747).
François Boucher
L'Odalisque brune 1745
Le tableau serait un portrait de Mme Boucher. Tout le tableau est fondé sur le pli : pli à la fesse, pli au cou selon le même Y, pli de l’étoffe de velours bleu, pli du tapis, que le pied de la table vient d’agripper lorsque la jeune femme l’a approchée d’elle. Le pli s’oppose à la régularité géométrique du mur et du coussin. Le pli fait scène et concentre tous les plaisirs que la toile offre à l’œil : le pli apporte à l’œil la satisfaction scopique. La jeune femme se retourne, surprise, dérangée par nous, spectateurs. Nous pénétrons dans un espace intime qui ne nous était pas destiné... Mais juste avant elle avait roulé du dos sur le ventre pour s’approcher de la table. Ce pivotement est suggéré par la position des bras, qui semblent tournoyer autour de l’oreiller. La transgression de l’espace restreint par le regard du spectateur est métaphorisée par le franchissement des lignes horizontales du premier plan : le pied de la jeune femme à droite traverse la ligne formée par la frontière du tapis rose et du divan.
François Boucher
Putti avec des oiseaux
La jeunesse (1720-1735)
Ces travaux lui valent d'être choisi par le collectionneur Jullienne pour reproduire les Figures de différents caractères de paysages et d'étudesde Watteau (1726-1728). Entre-temps, Boucher obtient le premier prix à l'Académie (Evilmérodach délivre Joachim prisonnier de Nabuchodonosor,1723, perdu). Au retour d'un séjour en Italie (1728-1731 ?) dont on sait peu de choses, il épouse Marie-Jeanne Buseau qui lui servira très souvent de modèle, continue de publier des gravures (Molière,1734-1737 ; Cris de Paris,1737), et commence à recevoir de grandes commandes (modèles des Fêtes italiennescommandées par Oudry pour la manufacture de Beauvais, 1734). Ces premières années sont toutes consacrées au dessin, à la copie et à la gravure qui lui donnent une facilité qui lui permet, d'emblée, d'affirmer son talent dans la diversité que sert une incroyable puissance de travail ; et, sa carrière durant, l'artiste ne cessera de fournir des dessins à des éditeurs, participant au Boccacede 1757, au Rodogunede 1760 et à l'Ovidede 1767
François Boucher
Le jugement de Suzanne
Le Jugement de Suzanneest l'un des premiers tableaux historiques de Boucher, et de loin la plus impressionnante de ses œuvres produites dans les années 1720. Jusqu'à tout récemment, son existence n'était connue que grâce à une mention dans la notice nécrologique de l'artiste (publiée anonymement en 1771); depuis sa découverte en 1985, elle n'a été reproduite qu'une seule fois. Œuvre d'une vigueur extraordinaire et d'une ambition considérable, Le Jugementreprésente un début formidable pour un artiste âgé de 17 ans à peine. Sa compétence technique est ahurissante pour une œuvre d'une telle complexité, mais ses ambitions intellectuelles dans cette narrative multifigurative n'impressionnent pas moins. Plusieurs des expériences et des solutions picturales ébauchées pour la première fois dans cette composition ont établi des modèles ou des motifs dont Boucher s'est inspiré et qu'il a raffinés au cours des décennies subséquentes.
Une myriade de détails suggèrent que Boucher était familier avec le texte de l'histoire, sujet biblique plutôt rare dans la peinture française. D'autres représentations de Suzanne dans la collection européenne, celles de Jacopo Bassano (vers 1510-1592) et de Cornelis Cornelisz van Haarlem (1562-1638), illustrent des épisodes antérieurs plus populaires de l'histoire de Suzanne où, prenant son bain, elle est confrontée par deux vieillards qui menacent de l'accuser d'adultère si elle refuse de s'étendre avec eux. Dans l'œuvre de Boucher, Suzanne, après avoir été jugée, s'apprête à être exécutée lorsque le jeune prophète Daniel vient la sauver en invoquant la grâce de Dieu.
Le Jugement de Suzanne ajoute à la collection européenne une œuvre importante des débuts du célèbre peintre français du XVIIIe siècle. L'œuvre de Boucher s'inscrit dans la foulée du portrait de la famille de Jean Le Juge et sa famille de Rigaud et de la Vénus présentant les armes à Énée de Restout, et préfigure les développements subséquents qui sont apparus au cours du siècle avec Chardin, David et Drouais.
François Boucher
La marquise de Pompadour
Il fit une carrière brillante, connut tous les honneurs, reçut d'incessantes commandes royales et jouit de l'amitié de nombreux amateurs (outre Mme de Pompadour, citons Tessin, ambassadeur de Suède à Paris, le duc de Chevreuse, l'abbé de Saint-Non, le banquier Eberts ou le garde des Joyaux Blondel d'Azaincourt, qui possédait 500 dessins de l'artiste) ; et pourtant, dès 1760, le public du Salon ne se presse plus autour de cet art élégant qui lui semble facile et qui ne l'émeut pas (v. le Salonde Diderot de 1763). Dès lors, la critique boude l'artiste pour un siècle. Au moment où l'impératrice Eugénie réinvente un XVIIIe s. à son goût, Thoré Bürger et les Goncourt en redécouvrent le peintre le plus représentatif. Une série de livres paraît à la charnière du XIXe s. et du XXe s. : Mantz, Michel, Nolhac, Kahn, Fenaille remettent le peintre en honneur et donnent bonne conscience à un public qui l'a toujours apprécié. La monographie de G. Brunel et l'exposition (New York, Detroit, Paris, 1986-1987) ont permis de mesurer l'importance du peintre admiré de Chardin, Oudry et David.
François Boucher
Dès le début du XVIIe siècle, les paysages de la Marne et leurs moulins inspirent les artistes. Au XVIIIe siècle, François Boucher et Jean-Honoré Fragonard, qui habita Charenton, perpétuent cet engouement fort précieux puisque seules leurs oeuvres témoignent de ce que furent les moulins de Charenton. Ce tableau, acquis par la mairie en 1985, peut être rapproché du Moulin de Quinquengrogne à Charenton, peint par François Boucher. Le cadre date du XIXe siècle.