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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Veules-les-Roses
Victor Hugo séjourna plusieurs années(1879,1880 et 1882)chez son ami et exécuteur testamentaire Paul Meurice qui habita Veules les Roses de 1868 à
1905.
La maison de ce dernier, qui se trouvait sur la plage, a été détruite par une tempête.
On peut également visiter l'endroit où Victor Hugo
aimait se rendre pour admirer la mer dans une grotte dite de Victor Hugo (un trou béant dans la falaise).
Veules - les - Roses
La source de la Veules est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et se jétte dans la mer
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Le passage de l'abreuvoir et son bassin
Veules au point dit du "gué de l'abreuvoir". C'était autrefois la seule entrée du village. Elle débouche sur un long bassin bordé par une somptueuse maison Normande. Les éleveurs y amenaient boire leur bétail, tandis que les habitants de Veules-les-Roses s'y approvisionnaient en eau.
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
C’est à partir du XVIIe siècle que les habitants de Veules-les-Roses (qui s’appela Veules-en-Caux jusqu'en 1897) utilisèrent le petit cours d’eau à des fins économiques. Une dizaine de moulins furent édifiés (un tous les 100 mètres) pour moudre le blé et le colza dont on extrayait l’huile, pour fouler le lin fournissant ainsi la matière première aux ateliers de tisserands. Dès le XIIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Veules, un moulin de mer qui fonctionnait grâce à un bassin fermé par une porte à marée haute et que l'on ouvrait à marée descendante. À sa source, les habitants cultivaient le cresson, plante aquatique par excellence, commercialisé à Paris. Au XIXe siècle, l'activité des moulins déclina en même temps que le village devenait un lieu de villégiature pour le milieu intellectuel parisien; Paul Meurice, Alexandr Dumas fils, Jules Michelet firent de fréquents séjours sur les bords du petit fleuve.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Veules-les-Roses est une petite station balnéaire cauchoise habitée par 691 Veulais. Dès 1840, une actrice de la Comédie-Française, Anaïs Aubert, entraîne dans son enthousiasme le célèbre comédien Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Les 11 et 12 juin 1940, Veules subit l'avancée destructrice de la Panzerdivision de Rommel touchant surtout le front de mer.
La particularité de Veules-les-Roses est d’être baignée par la Veules, fleuve célèbre pour être le plus petit fleuve de France (1 194 m). Sa source est localisée à 20 mètres d'altitude environ au nord du lieu-dit la Cavée d'Iclon et son embouchure se situe à l'ouest de l'ancien blockhaus. De nombreux moulins jalonnaient les rives du cours d'eau où les habitants cultivaient du cresson commercialisé dans la capitale.
Ancien port de pêche jusqu’en 1753, l'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres aux pieds des falaises. C’est aussi la ville du lin et des roses.
Aujourd’hui, le lieu est toujours prisé des touristes qui, après avoir respiré l’air iodé de la Manche, peuvent accomplir d’agréables promenades leur permettant de découvrir quelques uns des anciens moulins, restaurés avec soin.
Veules - les - Roses
Voici l'un des plus anciens villages du Pays de Caux que j'ai eu grand plaisir de visiter dernièrement.
J'espère vous avoir donné l'envie de visiter ce joli village !
Une promenade pleine de charme qui vous permettra de partir à la découverte de l'histoire et du patrimoine de ce charmant village.
Veules - les - Roses
Voici l'un des plus anciens villages du Pays de Caux que j'ai eu grand plaisir de visiter dernièrement.
J'espère vous avoir donné l'envie de visiter ce joli village !
Une promenade pleine de charme qui vous permettra de partir à la découverte de l'histoire et du patrimoine de ce charmant village.