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Date de création : 29.05.2008
Dernière mise à jour : 08.01.2020
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*Les Pensées/Méditations-8 au 13 Mars inclus*

Pensée du dimanche 13 mars 2016

Faire le bien sans attendre de récompense -

Combien de fois vous hésitez à manifester votre bonté en vous disant que personne n’appréciera votre geste : les humains sont ingrats et même méchants Combien de fois vous hésitez à manifester votre bonté en vous disant que personne n’appréciera votre geste : les humains sont ingrats et même méchants, ça ne vaut donc pas la peine de chercher à faire quelque chose pour eux. Eh bien, voilà une façon de penser très pernicieuse, car elle vous paralyse dans ce que vous avez de meilleur. Vous avez fait du bien à quelqu’un et non seulement vous n’en avez pas été récompensé, mais vous avez même été trompé ? C’est possible. Mais votre conduite n’a pas à dépendre de l’attitude des autres. Faites le bien et n’attendez rien, comptez seulement sur Celui qui voit tout, qui sait tout. Lui seul peut apprécier vos actions bonnes et généreuses. C’est donc de Lui que viendra la récompense, et sous une forme différente que celle que vous attendiez. Vous serez peut-être en meilleure santé, plus fort, plus sage, plus heureux : n’est-ce pas la meilleure récompense ?

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Pensée du samedi 12 mars 2016

« Moi, c’est Lui » signification de cette formule -

Si vous avez les qualités nécessaires Si vous avez les qualités nécessaires, rien ne vous empêche de vous imposer aux humains et de les impressionner par votre savoir, votre autorité. Mais devant le Seigneur, vous devez au contraire vous effacer, jusqu’à vous fondre en Lui pour ne faire qu’un avec Lui. En devenant petit devant le Seigneur jusqu’à disparaître, en réalité vous devenez grand et puissant, tandis que si vous vous dressez en face de Lui, vous vous affaiblissez et vous n’êtes bientôt plus rien. Qu’est-ce qui en vous doit se diminuer devant le Seigneur ? Votre nature inférieure. C’est elle qui doit disparaître en tant qu’élément séparé du Tout, afin que par votre nature supérieure vous puissiez vivre la vie illimitée de ce Tout. Alors, ce n’est plus vous qui vivez, mais le Seigneur qui vit en vous. Le but de toute discipline spirituelle est que l’homme se connaisse un jour comme étant Dieu Lui-même, et c’est là le sens de cette formule du Jnani-yoga : « Moi, c’est Lui ».

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Pensée du vendredi 11 mars 2016

la Vie - la préserver, car elle est la source de toutes nos richesses

Si les humains pensaient à protéger leur vie, à la conserver dans la plus grande pureté, ils auraient tellement plus de possibilités pour réaliser leurs aspirations ! Car c’est la vie illuminée, éclairée, qui est la source de toutes les richesses. Malheureusement, très peu connaissent cette vérité. Ce que beaucoup appellent « vivre » n’est en réalité qu’un éparpillement, un gaspillage de leurs énergies, et quand ils se retrouvent complètement épuisés, sans plus de goût ni de forces pour entreprendre quoi que ce soit, ils ne comprennent pas et ils se plaignent. Qu’ils reconnaissent plutôt leurs erreurs et décident de se conduire plus intelligemment à l’avenir. Si les humains ont besoin d’une science, la seule, la vraie, c’est bien celle-ci : comment garder leur vie pure et lumineuse. Qu’ils n’oublient jamais que la qualité de leurs pensées et de leurs sentiments agit sur leurs réserves d’énergies, sur la quintessence de leur être. Et la meilleure façon de préserver et d’enrichir sa vie est de la mettre au service du monde divin.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Pensée du jeudi 10 mars 2016

l’Autorité s’acquiert par un travail d’unification intérieure -

Avant d’exercer son autorité sur les autres Avant d’exercer son autorité sur les autres, il faut commencer par un travail sur soi-même. Quand un être qui a tout d’abord travaillé sur ses propres enfants (les cellules de son organisme) doit s’occuper d’autres enfants, à l’extérieur, en tant que parent, enseignant, etc., ou même exercer des responsabilités qui lui donnent de l’autorité sur des adultes, ses paroles, ses gestes les impressionnent par leur accent d’authenticité. Ceux qu’il instruit, éduque ou dirige sentent qu’il ne joue pas un rôle, mais qu’il est tout entier dans ce qu’il dit comme dans ce qu’il fait. C’est pourquoi sa présence est magique et il obtient des résultats. Ses habitants au-dedans de lui le soutiennent et lui donnent des forces, parce qu’il s’est habitué depuis longtemps à travailler dans une direction unique : le bien, la lumière. Un être n’a de véritable autorité que lorsque toutes ses cellules dégagent quelque chose d’unifié, d’harmonisé. Sinon, tandis que la partie qui parle fait entendre un certain son, tout le reste de la personne crie le contraire, et les autres, qui le sentent, ne peuvent pas le prendre au sérieux.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Pensée du mercredi 9 mars 2016

le Sentiment religieux est inscrit dans la structure de l’être humain -

Vouloir combattre la religion au nom de l’objectivité Vouloir combattre la religion au nom de l’objectivité, de la science, de la raison, est une entreprise vouée d’avance à l’échec. On ne peut pas plus supprimer le sentiment religieux qu’on ne peut supprimer les autres sentiments, car c’est là un domaine où la seule raison n’a pas sa place. Le sens du sacré, ce besoin qu’éprouve l’être humain de se sentir relié à un monde supérieur, le monde divin dans lequel il a son origine, est inscrit dans sa structure même. On peut essayer de le nier, de le combattre, d’en extirper les racines, et pendant un moment il arrive même qu’on y réussisse. Mais ces succès ne durent pas, et tôt ou tard on est aussi obligé de constater tous les dégâts qu’une telle entreprise a produits, non seulement sur les individus, mais aussi dans les sociétés.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Pensée du mardi 8 mars 2016

le Bonheur véritable est un bonheur sans cause -

Quelqu’un dit : « Je suis heureux Quelqu’un dit : « Je suis heureux, parce que… » Eh bien, le seul fait de donner une cause à son bonheur prouve qu’il ne possède pas le bonheur véritable ! Car le véritable bonheur est un bonheur sans cause. Oui, vous êtes heureux et vous ne savez même pas pourquoi. Vous trouvez qu’il est merveilleux de vivre, de respirer, de manger, de parler, de marcher… Rien ne vous est arrivé, ni succès, ni cadeaux, ni héritage, ni un nouvel amour… Ce qui vous rend heureux, c’est (oui, car il y a quand même une raison) cette sensation que quelque chose venu d’en haut s’ajoute à tout ce que vous faites, un élément spirituel qui ne dépend même pas de vous… Comme une eau qui coule du Ciel et qui vous traverse. Pour la majorité des humains le bonheur est lié à des possessions : des maisons, de l’argent, des décorations, la gloire… ou bien un mari, une femme, des enfants. Non, le vrai bonheur ne dépend d’aucun objet, d’aucune possession, d’aucun être ; il vient d’en haut et vous êtes étonné de découvrir en vous-même, sans arrêt, cet état de conscience supérieur. Vous vous réjouissez et vous ne savez même pas pourquoi. Voilà le vrai bonheur.

Omraam Mikhaël Aïvanhov 

*Bonjour, agréable mercredi - Biz*

Publié à 07:13 par marieandree

*Solennité de Saint-Joseph & samedi 19 Mars*

Publié à 01:00 par marieandree Tags : nuit dieu annonce divers chez homme background monde moi vie centerblog amour blog livre

 

Solennité de saint Joseph, époux de la Vierge Marie, patron de l'Église universelle

Deuxième livre de Samuel 7,4-5a.12-14a.16.

Cette nuit-là, la parole du Seigneur fut adressée au prophète Nathan : « Va dire à mon serviteur David : Ainsi parle le Seigneur : Quand tes jours seront accomplis et que tu reposeras auprès de tes pères, je te susciterai dans ta descendance un successeur, qui naîtra de toi, et je rendrai stable sa royauté. C’est lui qui bâtira une maison pour mon nom, et je rendrai stable pour toujours son trône royal. Moi, je serai pour lui un père ; et lui sera pour moi un fils. Ta maison et ta royauté subsisteront toujours devant moi, ton trône sera stable pour toujours. »

 

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Psaume 89(88),2-3.4-5.27.29.

L'amour du Seigneur, sans fin je le chante ; ta fidélité, je l'annonce d'âge en âge. Je le dis : C'est un amour bâti pour toujours ; ta fidélité est plus stable que les cieux. « Avec mon élu, j'ai fait une alliance, j'ai juré à David, mon serviteur : J'établirai ta dynastie pour toujours, je te bâtis un trône pour la suite des âges. » « Il me dira : “Tu es mon Père, mon Dieu, mon roc et mon salut !” Sans fin je lui garderai mon amour, mon alliance avec lui sera fidèle. »

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Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 4,13.16-18.22.

Frères, ce n’est pas en vertu de la Loi que la promesse de recevoir le monde en héritage a été faite à Abraham et à sa descendance, mais en vertu de la justice obtenue par la foi. Voilà pourquoi on devient héritier par la foi : c’est une grâce, et la promesse demeure ferme pour tous les descendants d’Abraham, non pour ceux qui se rattachent à la Loi seulement, mais pour ceux qui se rattachent aussi à la foi d’Abraham, lui qui est notre père à tous. C’est bien ce qui est écrit : J’ai fait de toi le père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant Dieu en qui il a cru, Dieu qui donne la vie aux morts et qui appelle à l’existence ce qui n’existe pas. Espérant contre toute espérance, il a cru ; ainsi est-il devenu le père d’un grand nombre de nations, selon cette parole : Telle sera la descendance que tu auras ! Et voilà pourquoi il lui fut accordé d’être juste.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 1,16.18-21.24a.

Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ. Or, voici comment fut engendré Jésus Christ : Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ; avant qu’ils aient habité ensemble, elle fut enceinte par l’action de l’Esprit Saint. Joseph, son époux, qui était un homme juste, et ne voulait pas la dénoncer publiquement, décida de la renvoyer en secret. Comme il avait formé ce projet, voici que l’ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse, puisque l’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve), car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. » Quand Joseph se réveilla, il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit.

Commentaire du jour :

Saint Jean-Paul II La primauté de la vie intérieure chez Saint Joseph ©Evangelizo.org 2001-2016

 

*Dimanche des Rameaux et de la Passion/20 Mars*

 

 

 

 

 

Dimanche des Rameaux et de la Passion 

Livre d'Isaïe 50,4-7.

Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute. Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.

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 Psaume 22(21),8-9.17-18a.19-20.22c-24a.

Tous ceux qui me voient me bafouent, ils ricanent et hochent la tête :

« Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre !

Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! »

Oui, des chiens me cernent, une bande de vauriens m'entoure.

Ils me percent les mains et les pieds ; je peux compter tous mes os.

Ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement.

Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin : ô ma force, viens vite à mon aide !

Tu m'as répondu !

Et je proclame ton nom devant mes frères,

je te loue en pleine assemblée.

Vous qui le craignez, louez le Seigneur.

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 Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 2,6-11.

Le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu. Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect, il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix. C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers, et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la gloire de Dieu le Père.


 Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 22,14-71.23,1-56.

Quand l’heure fut venue, Jésus prit place à table, et les Apôtres avec lui. Il leur dit : « J’ai désiré d’un grand désir manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ! Car je vous le déclare : jamais plus je ne la mangerai jusqu’à ce qu’elle soit pleinement accomplie dans le royaume de Dieu. » Alors, ayant reçu une coupe et rendu grâce, il dit : « Prenez ceci et partagez entre vous. Car je vous le déclare : désormais, jamais plus je ne boirai du fruit de la vigne jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. » Puis, ayant pris du pain et rendu grâce, il le rompit et le leur donna, en disant : « Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites cela en mémoire de moi. » Et pour la coupe, après le repas, il fit de même, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang répandu pour vous. Et cependant, voici que la main de celui qui me livre est à côté de moi sur la table. En effet, le Fils de l’homme s’en va selon ce qui a été fixé. Mais malheureux cet homme-là par qui il est livré ! » Les Apôtres commencèrent à se demander les uns aux autres quel pourrait bien être, parmi eux, celui qui allait faire cela. Ils en arrivèrent à se quereller : lequel d’entre eux, à leur avis, était le plus grand ? Mais il leur dit : « Les rois des nations les commandent en maîtres, et ceux qui exercent le pouvoir sur elles se font appeler bienfaiteurs. Pour vous, rien de tel ! Au contraire, que le plus grand d’entre vous devienne comme le plus jeune, et le chef, comme celui qui sert. Quel est en effet le plus grand : celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Eh bien moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Vous, vous avez tenu bon avec moi dans mes épreuves. Et moi, je dispose pour vous du Royaume, comme mon Père en a disposé pour moi. Ainsi vous mangerez et boirez à ma table dans mon Royaume, et vous siégerez sur des trônes pour juger les douze tribus d’Israël. Simon, Simon, voici que Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le blé. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas. Toi donc, quand tu seras revenu, affermis tes frères. » Pierre lui dit : « Seigneur, avec toi, je suis prêt à aller en prison et à la mort. » Jésus reprit : « Je te le déclare, Pierre : le coq ne chantera pas aujourd’hui avant que toi, par trois fois, tu aies nié me connaître. » Puis il leur dit : « Quand je vous ai envoyés sans bourse, ni sac, ni sandales, avez-vous donc manqué de quelque chose ? » Ils lui répondirent : « Non, de rien. » Jésus leur dit : « Eh bien maintenant, celui qui a une bourse, qu’il la prenne, de même celui qui a un sac ; et celui qui n’a pas d’épée, qu’il vende son manteau pour en acheter une. Car, je vous le déclare : il faut que s’accomplisse en moi ce texte de l’Écriture : Il a été compté avec les impies. De fait, ce qui me concerne va trouverson accomplissement. » Ils lui dirent : « Seigneur, voici deux épées. » Il leur répondit : « Cela suffit. » Jésus sortit pour se rendre, selon son habitude, au mont des Oliviers, et ses disciples le suivirent. Arrivé en ce lieu, il leur dit : « Priez, pour ne pas entrer en tentation. » Puis il s’écarta à la distance d’un jet de pierre environ. S’étant mis à genoux, il priait en disant : « Père, si tu le veux, éloigne de moi cette coupe ; cependant, que soit faite non pas ma volonté, mais la tienne. » Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le réconfortait. Entré en agonie, Jésus priait avec plus d’insistance, et sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient sur la terre. Puis Jésus se releva de sa prière et rejoignit ses disciples qu’il trouva endormis, accablés de tristesse. Il leur dit : « Pourquoi dormez-vous ? Relevez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation. » Il parlait encore, quand parut une foule de gens. Celui qui s’appelait Judas, l’un des Douze, marchait à leur tête. Il s’approcha de Jésus pour lui donner un baiser. Jésus lui dit : « Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? » Voyant ce qui allait se passer, ceux qui entouraient Jésus lui dirent : « Seigneur, et si nous frappions avec l’épée ? » L’un d’eux frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l’oreille droite. Mais Jésus dit : « Restez-en là ! » Et, touchant l’oreille de l’homme, il le guérit. Jésus dit alors à ceux qui étaient venus l’arrêter, grands prêtres, chefs des gardes du Temple et anciens : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus avec des épées et des bâtons ? Chaque jour, j’étais avec vous dans le Temple, et vous n’avez pas porté la main sur moi. Mais c’est maintenant votre heure et le pouvoir des ténèbres. » S’étant saisis de Jésus, ils l’emmenèrent et le firent entrer dans la résidence du grand prêtre. Pierre suivait à distance. On avait allumé un feu au milieu de la cour, et tous étaient assis là. Pierre vint s’asseoir au milieu d’eux. Une jeune servante le vit assis près du feu ; elle le dévisagea et dit : « Celui-là aussi était avec lui. » Mais il nia : « Non, je ne le connais pas. » Peu après, un autre dit en le voyant : « Toi aussi, tu es l’un d’entre eux. » Pierre répondit : « Non, je ne le suis pas. » Environ une heure plus tard, un autre insistait avec force : « C’est tout à fait sûr ! Celui-là était avec lui, et d’ailleurs il est Galiléen. » Pierre répondit : « Je ne sais pas ce que tu veux dire. » Et à l’instant même, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre. Alors Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : « Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras renié trois fois. » Il sortit et, dehors, pleura amèrement. Les hommes qui gardaient Jésus se moquaient de lui et le rouaient de coups. Ils lui avaient voilé le visage, et ils l’interrogeaient : « Fais le prophète ! Qui est-ce qui t’a frappé ? » Et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres blasphèmes. Lorsqu’il fit jour, se réunit le collège des anciens du peuple, grands prêtres et scribes, et on emmena Jésus devant leur conseil suprême. Ils lui dirent : « Si tu es le Christ, dis-le nous. » Il leur répondit : « Si je vous le dis, vous ne me croirez pas ; et si j’interroge, vous ne répondrez pas. Mais désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la Puissance de Dieu. » Tous lui dirent alors : « Tu es donc le Fils de Dieu ? » Il leur répondit : « Vous dites vous-mêmes que je le suis. » Ils dirent alors : « Pourquoi nous faut-il encore un témoignage ? Nous-mêmes, nous l’avons entendu de sa bouche. » L’assemblée tout entière se leva, et on l’emmena chez Pilate. On se mit alors à l’accuser : « Nous avons trouvé cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empêche de payer l’impôt à l’empereur, et il dit qu’il est le Christ, le Roi. » Pilate l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui le dis. » Pilate s’adressa aux grands prêtres et aux foules : « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. » Mais ils insistaient avec force : « Il soulève le peuple en enseignant dans toute la Judée ; après avoir commencé en Galilée, il est venu jusqu’ici. » À ces mots, Pilate demanda si l’homme était Galiléen. Apprenant qu’il relevait de l’autorité d’Hérode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là. À la vue de Jésus, Hérode éprouva une joie extrême : en effet, depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu’il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle. Il lui posa bon nombre de questions, mais Jésus ne lui répondit rien. Les grands prêtres et les scribes étaient là, et ils l’accusaient avec véhémence. Hérode, ainsi que ses soldats, le traita avec mépris et se moqua de lui : il le revêtit d’un manteau de couleur éclatante et le renvoya à Pilate. Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis, alors qu’auparavant il y avait de l’hostilité entre eux. Alors Pilate convoqua les grands prêtres, les chefs et le peuple. Il leur dit : « Vous m’avez amené cet homme en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple. Or, j’ai moi-même instruit l’affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l’accusez, je n’ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation. D’ailleurs, Hérode non plus, puisqu’il nous l’a renvoyé. En somme, cet homme n’a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » […] Ils se mirent à crier tous ensemble : « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. » Ce Barabbas avait été jeté en prison pour une émeute survenue dans la ville, et pour meurtre. Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole. Mais ils vociféraient : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pour la troisième fois, il leur dit : « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n’ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le relâcheraprès lui avoir fait donner une correction. » Mais ils insistaient à grands cris, réclamant qu’il soit crucifié ; et leurs cris s’amplifiaient. Alors Pilate décida de satisfaire leur requête. Il relâcha celui qu’ils réclamaient, le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, et il livra Jésus à leur bon plaisir. Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu’il la porte derrière Jésus. Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. Il se retourna et leur dit : « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours où l’on dira : “Heureuses les femmes stériles, celles qui n’ont pas enfanté, celles qui n’ont pas allaité !” Alors on dira aux montagnes : “Tombez sur nous”, et aux collines : “Cachez-nous.” Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que deviendra l’arbre sec ? » Ils emmenaient aussi avec Jésus deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter. Lorsqu’ils furent arrivés au lieu dit : Le Crâne (ou Calvaire), là ils crucifièrent Jésus, avec les deux malfaiteurs, l’un à droite et l’autre à gauche. Jésus disait : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. » Puis, ils partagèrent ses vêtements et les tirèrent au sort. Le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient : « Il en a sauvé d’autres : qu’il se sauve lui-même, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! » Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait : « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! » Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c’est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. » Et il disait : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » Jésus lui déclara : « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » C’était déjà environ la sixième heure (c’est-à-dire : midi) ; l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure, car le soleil s’était caché. Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu. Alors, Jésus poussa un grand cri : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Et après avoir dit cela, il expira. À la vue de ce qui s’était passé, le centurion rendit gloire à Dieu : « Celui-ci était réellement un homme juste. » Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblés pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s’en retournaient en se frappant la poitrine. Tous ses amis, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, se tenaient plus loin pour regarder. Alors arriva un membre du Conseil, nommé Joseph ; c’était un homme bon et juste, qui n’avait donné son accord ni à leur délibération, ni à leurs actes. Il était d’Arimathie, ville de Judée, et il attendait le règne de Dieu. Il alla trouver Pilate et demanda le corps de Jésus. Puis il le descendit de la croix, l’enveloppa dans un linceul et le mit dans un tombeau taillé dans le roc, où personne encore n’avait été déposé. C’était le jour de la Préparation de la fête, et déjà brillaient les lumières du sabbat. Les femmes qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée suivirent Joseph. Elles regardèrent le tombeau pour voir comment le corps avait été placé. Puis elles s’en retournèrent et préparèrent aromates et parfums. Et, durant le sabbat, elles observèrent le repos prescrit.

Commentaire du jour :

Saint André de Crète

« Voici ton roi qui vient vers toi » (Za 9,9 ; Mt 21,5)

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* Nature et image féérique *

Publié à 16:11 par marieandree Tags : centerblog

* Citation ; et, Anges *

Publié à 16:06 par marieandree

* Bonjour, belle semaine & Amitiés. *

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*Bonjour, bon lundi & Fleurs et Amitiés*

Publié à 15:58 par marieandree

*Pas tout à fait rétablie,blog en Pause,au moinsCeW.E.*

Publié à 08:00 par marieandree Tags : blog amitié roman

 Pas encore tout à fait réablie, besoin de prendre repos, et des forces (n'ayant peu mangé depuis 2 à 3 jours),  la faiblesse se fait ressentir ;  et faire attention à l'alimentation,  je mets mon blog en "pause au moins pour le week-end" ,  n'ayant pas le courage de reprendre actuellement les activités. 

   Je viendrais sur vos blogs,  dès que je peux.

    Et, vous remercie sincèrement de votre amitié, visites;

et vos Coms , qui font très plaisir.

  JE  VOUS SOUHAITE UN BON VENDREDI.

   AINSI QU'UN AGREABLE WEEK-END, AVEC LE SOLEIL .

     A M I T I E S . 

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*13 Mars 2016 & Cinquième dimanche de Carême *

Publié à 23:58 par marieandree Tags : chevaux pouvoir livre femmes dieu mort femme mer background monde moi centerblog blog photos

 

Cinquième dimanche de Carême

Livre d'Isaïe 43,16-21.

Ainsi parle le Seigneur, lui qui fit un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes, lui qui mit en campagne des chars et des chevaux, des troupes et de puissants guerriers ; les voilà tous couchés pour ne plus se relever, ils se sont éteints, consumés comme une mèche.

Le Seigneur dit :

« Ne faites plus mémoire des événements passés, ne songez plus aux choses d’autrefois. Voici que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert, des fleuves dans les lieux arides. Les bêtes sauvages me rendront gloire – les chacals et les autruches – parce que j’aurai fait couler de l’eau dans le désert, des fleuves dans les lieux arides, pour désaltérer mon peuple, celui que j’ai choisi. Ce peuple que je me suis façonné redira ma louange. »

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Psaume 126(125),1-2ab.2cd-3.4-5.6.

Quand le Seigneur ramena les captifs à Sion,

nous étions comme en rêve !

Alors notre bouche était pleine de rires,

nous poussions des cris de joie.

Alors on disait parmi les nations :

« Quelles merveilles fait pour eux le Seigneur ! »

Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous :

nous étions en grande fête !

Ramène, Seigneur, nos captifs,

comme les torrents au désert.

Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie.

Il s'en va, il s'en va en pleurant, il jette la semence ;

il s'en vient, il s'en vient dans la joie, il rapporte les gerbes.

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Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 3,8-14.

Frères, tous les avantages que j'avais autrefois, je les considère comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur.

À cause de lui, j’ai tout perdu ; je considère tout comme des ordures, afin de gagner un seul avantage, le Christ, et, en lui, d’être reconnu juste, non pas de la justice venant de la loi de Moïse mais de celle qui vient de la foi au Christ, la justice venant de Dieu, qui est fondée sur la foi. Il s’agit pour moi de connaître le Christ, d’éprouver la puissance de sa résurrection et de communier aux souffrances de sa passion, en devenant semblable à lui dans sa mort, avec l’espoir de parvenir à la résurrection d’entre les morts.

Certes, je n’ai pas encore obtenu cela, je n’ai pas encore atteint la perfection, mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir, puisque j’ai moi-même été saisi par le Christ Jésus. Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela. Une seule chose compte : oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant, je cours vers le but en vue du prix auquel Dieu nous appelle là-haut dans le Christ Jésus.

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 8,1-11.

En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.

Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser.

Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.

Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »

Commentaire du jour :Syméon le Nouveau Théologien « Moi non plus, je ne te condamne pas... Moi, je suis la lumière du monde » (Jn 8,11-12)