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PARTAGE § IMAGES-PHOTOS §
BISOUS &
très beau blog. magnifiques images. bisous
bon samedi.
Par Anonyme, le 24.07.2021
bonne fête de l'ascension et du ramadan
Par Anonyme, le 13.05.2021
j'adore
Par Anonyme, le 05.04.2021
très bonne application
Par Anonyme, le 05.04.2021
*mamieeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eee*
ta visite m'a fait super plaisir
je te re s
Par *coxi*, le 04.01.2021
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BONJOUR §
Date de création : 29.05.2008
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08.01.2020
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PAYSAGE D'HIVER ET UN POEME DE SAISON .
L'HIVER ET SON CORTEGE.
Offrant à la brise sa haute stature,
Le sapin secouait sa verte ramure,
Il pliait la pointe de ses branches poudrées,
''''''''''''''''''----''''''''''''''''''
Rejetant vers le sol des diamants étoilés,
Aux pieds de ce géant jouaient des animaux,
Laissant dans la poudreuse des traces de sabots,
Le mufle relevé la biche humait le vent,
''''''''''''''''----'''''''''''''''''''
Et le lièvre transi se faisait plus méfiant,
Du faîte d’un refuge sortait une fumée,
Trahissant la présence des hommes fatigués,
Le ciel d’un bleu d’acier retenait un soleil,
''''''''''''''''----''''''''''''''''''
Qui baignait de rayons ce tableau irréel,
Et la Montagne fière conservait ses secrets,
Rajoutant le mystère aux histoires contées,
Les guides devant l’âtre en servant le café,
''''''''''''''''-----''''''''''''''''''
Relataient aux skieurs des histoires enchantées,
Lorsque le soir tombait recouvrant la vallée,
Le bruissement du vent doucement s’estompait,
Les seigneurs de la nuit se faisaient plus présents,
'''''''''''''''''----''''''''''''''''''
La chouette et le loup unissaient leurs hurlements,
Enfin l’heure venue le coucou du chalet
Signifiait à chacun qu’il fallait se coucher,
Une dernière bûche pour réchauffer la pièce,
''''''''''''''''''----'''''''''''''''''
Un dernier sourire et de la main un geste,
L’hiver et son majestueux cortège avaient envahi
la plaine...
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908)
Février
Aux pans du ciel l'hiver drape un nouveau décor ;
Au firmament l'azur de tons roses s'allume ;
Sur nos trottoirs un vent plus doux enfle la plume
Des petits moineaux gris qu'on y retrouve encor.
Maint coup sec retentit dans la forêt qui dort ;
Et, dans les ravins creux qui s'emplissent de brume,
Aux franges du brouillard malsain qui nous enrhume
L'Orient plus vermeil met une épingle d'or.
Folâtre, et secouant sa clochette argentine,
Le bruyant Carnaval fait sonner sa bottine
Sur le plancher rustique ou le tapis soyeux ;
Le spleen chassé s'en va chercher d'autres victimes ;
La gaîté vient s'asseoir à nos cercles intimes...
C'est le mois le plus court :
passons-le plus joyeux
« En tout ces millénaires, les humains n’ont jamais pu définir l’amour.
Qu’elle est la part physique?
Qu’elle est la part mentale?
Est-ce le fruit du hasard ou du destin?
Pourquoi les unions parfaites sur le papier s’écroulent-elles?
Pourquoi les couples improbables résistent-ils à tout?
Je ne connais pas plus les réponses qu’eux.
L’amour est là, ou pas, c’est tout. »
(Stéphane Meyer)
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
UNE JOLIE POESIE DE DEBUT D'ANNEE § JANVIER
***
Toi,le mois de Janvier, tu arrives avec la nouvelle année
et tu la commences en beauté car on se souhaite bonheur,santé,
joie,amour et sérénité, le tout avec le champagne et la gaieté;
et l'épiphanie va l'acompagner, galettes à la frangipane parfumée
et les petites féves colorées.
Janvier,tu apportes aussi des gelées du verglas,de la neige,du vent glacé
et là,tu es beaucoup moins apprécié car on entend de tous les cotés
vivement le printemps,l'été... mais tu vas t'en aller
fevrier va prendre le relais.
texte trouve sur une revue....
Rêves d'Automne
Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours !
le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
J'aime à revoir encore, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui
Je me retourne encore et d'un regard d'envie
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !
Peut-être l'avenir me gardait-il encore
Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?
Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore
Aurait compris mon âme et m'aurait répondu ? ...
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphyr ;
A la vie, au soleil, ce sont là mes adieux ;
Moi, je meurs et mon âme au moment qu'elle expire,
S'exhale comme un son triste et mélodieux.
Alphonse de Lamartine
AMOURS D'UN JOUR
Ton amour aujourd'hui m'enivre
Car il est à moi tout entier.
Auprès de toi je voudrais vivre
Je ne peux pas ne pas t'aimer.
Je sais bien que ton amour passe
Qu'il ne peut durer qu'un matin
De moi demain tu seras lasse
Et me quitteras sans chagrin.
J'aime ta bouche aux chaudes lèvres
Dont le sourire m'a séduit
Ma bouche y cueille comme un fruit
Le baiser qui guérit mes fièvres.
Mais je sais que ta lèvre rose
Demain ne sera plus à moi
Indifférente à mon émoi
Ta bouche pour moi sera close.
Narcisse Sellier.
Poèmes composés par Narcisse Sellier (1886-1966),
UN BEAU POEME §
" LE JOUR OU JE ME SUIS AIME POUR DE VRAI" ,
de Kim et Alison Mc Millen.
Poème puissant , qui reflète la vérité de notre être.
Valeurs et messages d'amour , de lumière, de paix
" Le jour où je me suis aimé pour de vrai" .
Le jour où je me suis aimé pour de vrai...
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle...Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle,
n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle...Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir
que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir
l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien
que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas
le moment... Aujourd’hui je sais que ça s’appelle...Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer
de tout ce qui ne m’était pas salutaire ...
Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Amour Propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté
de faire de grands plans ,
j’ai abandonné les Méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
quand ça me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison
, et me suis rendu compte de toutes les fois
où je me suis trompé.
Aujourd’hui j’ai découvert l’...Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s’appelle...Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est....Savoir vivre.
“ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter...
Du chaos naissent les étoiles. ”
* A M I T I E S *
UN JOLI POEME § LE MOIS DE MAI / NATURE - LA FLORE - LA FAUNE .
UN ECLAT MERVEILLEUX § LES SENTEURS PARFUMEES DU PRINTEMPS.
Chant de Mai —
Mailied
CHANT DE MAI
Mailied de Goethe
Dans toute la nature
Quel éclat merveilleux !
Tout rit dans la verdure
À l’astre radieux !
Mille fleurs gracieuses
Sortent de leur bouton,
Et mille voix joyeuses
S’élancent des buissons.
La vigueur printanière
Se répand dans mon cœur !
Terre, ciel et lumière
Tout m’invite au bonheur.
Ta beauté m’est divine
Ô ravissant amour !
Comme est sur la colline
L’aurore d’un beau jour.
Ton souffle, qui féconde
La terre de nos champs,
Déjà remplit le monde
De parfums enivrants.
Ô tendre jeune fille,
Comme je t’aime ainsi !
Oh ! que ton regard brille !
Que tu m’aimes aussi !
Comme aime l’alouette
Dans les airs son refrain,
Comme aime la fleurette
Les vapeurs du matin,
Je t’aime avec ivresse,
Je t’aime avec ardeur !
Tu donnes la jeunesse,
Le courage à mon cœur
Pour les chants, les poèmes,
La danse et ses attraits.
Ange ! autant que tu m’aimes
Sois heureuse à jamais !
(Traduit par JULES CAMUS.)
Les jardins de la poésie.
BISOUS.
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Ce doux hiver qui égale ses jours
Ce doux hiver qui égale ses jours
A un printemps, tant il est aimable,
Bien qu’il soit beau, ne m’est pas agréable,
J’en crains la queue, et le succès toujours.
J’ai bien appris que les chaudes amours,
Qui au premier vous servent une table
Pleine de sucre et de mets délectable,
Gardent au fruit leur amer et leurs tours.
Je vois déjà les arbres qui boutonnent
En mille noeuds, et ses beautés m’étonnent,
En une nuit ce printemps est glacé,
Ainsi l’amour qui trop serein s’avance,
Nous rit, nous ouvre une belle apparence,
Est né bien tôt bien tôt effacé.
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Théodore Agrippa d’Aubigné
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LES CORBEAUX.
SEIGNEUR, quand froide est la prairie,
Quand, dans les hameaux abattus,
Les longs angélus se sont tus ...
Sur la nature défleurie
Faites s'abattre des grands cieux
Les chers corbeaux délicieux.
Armée étrange aux cris sévères,
Les vents froids attaquent vos nids !
Vous le long des fleuves jaunis,
Sur les routes aux vieux calvaires,
Sur les fossés et, sur les trous
Dispersez-vous, ralliez-vous !
Par milliers, sur les champs de France,
Où dorment des morts d'avant-hier,
Tournoyez, n'est-ce pas l'hiver,
Pour que chaque passant repense !
Sois donc le crieur du devoir,
Ô notre funèbre oiseau noir !
Mais, saints du ciel, en haut du chêne,.
Mât perdu dans le soir charmé,
Laissez les fauvettes de mai
Pour ceux qu'au fond du bois enchaîne,
Dans l'herbe d'où l'on ne peut fuir,
La défaite sans avenir.
Arthur Rimbaud.
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