amis amitié amour ange anges animaux annonce bébé belle bienvenue bleu blog
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Mes chansons préférées (27)
· Temps des Fêtes chez Marzou (683)
· Tux, mon ami pingouin (161)
· Les joies de l'hiver (238)
· Chevaux de bois pour rêver (48)
· Zoo de Marzou (342)
· Chat chat chat ... (252)
· Sorcière un jour, sorcière toujours (364)
· Saute-mouton (189)
· Fête de l'Halloween (156)
c'est notre kinou ? mais quelle beauté !
Par Alice, le 22.03.2013
chhuuuuttttt, pas de bruit
Par Alice, le 22.03.2013
bonjour marzou je viens par ces quelques mots te souhaiter de passer un bon we, en espérant que tu ,'as pas
Par fleurdeau, le 22.03.2013
ma blagounette
u n homme décide de se faire griller au soleil tout nu sur une plage.
par respect et pour ne
Par violette03, le 19.03.2013
je dit quoi merci non personne et venue je dit quoi bonne nuit demain seras un autre jour je dit quoi je
Par mounee, le 18.03.2013
· Cornes d'abondance ...
· Glisser en traîneaux
· Nids d'oiseaux
· Tux, mon ami pingouin
· Nids d'oiseaux
· brouettes de jardin
· Noms des rennes
· Tux, mon ami pingouin
· ***MIAOU***BIENVENUE CHEZ MARZOU2***MIAOU***
· Tux, mon ami pingouin
· Petit pirate courageux
· Bébé mignon mignon *
· Clown, mon ami
· Le ménage, c'est épuisant !
· Tux, mon ami pingouin
Date de création : 08.12.2007
Dernière mise à jour :
21.03.2013
13987 articles
Ceux qui s'en vont
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Les vieux parent les vrais amis
Ceux qui ont laissé leur jeunesse
Dans un paysage endormi
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Le cœur serré les cheveux gris
Ceux qui n'ont pas laissé d'adresses
Comme s'ils voulaient qu'on les oublie
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Avec le silence et la pluie
Avec la force et la faiblesse
De vouloir être encore en vie
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
En étranger au paradis
Ceux qui emportent leur tendresse
Et leur sourire a l'infini
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Avec des fleurs au bout des doigts
Ceux qui ne tiennent pas leur promesse
Qui sont parti pour qui pourquoi
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Comme des écoliers dans le froid
Les évadés qui disparaissent
Les survivants de l'au-delà
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Avec le silence et la pluie
Avec la force et la faiblesse
De vouloir être encore en vie
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
En étranger au paradis
Ceux qui emportent leur tendresse
Et leur sourire a l'infini
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Ceux qui s'en vont ceux qui nous laissent
Ginette Reno
Un peu plus loin
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller un peu plus loin
Je veux voir comment c'est, là-haut
Garde mon bras et tiens ma main
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller encore plus loin
Laisse mon bras, mais tiens ma main
Je n'irai pas plus loin qu'il faut
Encore un pas, encore un saut
Une tempête et un ruisseau
Prends garde! Prends garde: j'ai laissé ta main
Attends-moi là-bas: je reviens
Encore un pas, un petit pas
Encore un saut et je suis là,
Là-haut, si je ne tombe pas ...
Non! J'y suis! Je ne tombe pas!
C'est beau! C'est beau!
Si tu voyais le monde au fond, là-bas
C'est beau! C'est beau!
La mer plus petite que soi
Mais tu ne me vois pas
Un peu plus loin, un peu plus seul
Je n'veux pas être loin tout seul
Viens voir ici comme on est bien
Quand on est haut, oh! comme on est bien
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je n'peux plus te tenir la main
Dis-moi comment j'ai pu monter,
Comment r'descendre sans tomber
Un peu plus loin, un peu plus fort
Encore un saut! Essaye encore!
Je voudrais te tendre les bras;
Je suis trop haut, tu es trop bas
Encore un pas, un petit pas
Tu es trop loin! Je t'aime!
Adieu! Adieu! Je reviendrai
Si je redescends sans tomber
C'est beau! C'est beau!
Si tu voyais le monde au fond, là-bas
C'est beau! C'est beau!
La mer plus petite que soi
Mais tu ne la vois pas
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller encore plus loin
Peut-être bien qu'un peu plus haut,
Je trouverai d'autres chemins
Ginette Reno
La rue principale
Dans ma p'tite ville on était juste quatre mille
Pis la rue principale à s'appelait St-Cyrille
La coop, le gaz bar, la caisse-pop, le croque-mort
Et le magasin général
Quand j'y retourne ça m'fait assez mal
Y'é tombe une bombe su'a rue principale
Depuis qu'y ont construit le centre d'achat
L'aut' jour j'ai amené ma bien-aimée
Pour y montrer où c'est que j'étais né
Aussitôt arrivé me v'la en beau joualvert
Ça avait l'air de Val-Jalbert
Quand j'y r'tourne ça m'fait assez mal
Y'é tombé une bombe su'a rue principale
Depuis qu'y ont construit le centre d'achat
Une bonne journée j'vas y retourner
Avec mon bulldozer
Pis l'centre d'achat y vas passer
Un mauvais quart d'heure
Avant la v'nue du centre d'achat
Sur la grande rue c'était plus vivant qu'ça
Des ti-culs en bicycle, des cousines en visite
C'tait noir de monde comme en Afrique
Quand j'y r'tourne c'est pathétique
Ça va donc bien mal su'a rue principale
Depuis qu'y ont construit le McDonald
Une bonne journée j'vas y retourner
Avec mon bulldozer
Pis l'centre d'achat y vas passer
Un mauvais quart d'heure
Dans ma p'tite ville y sont pu rien qu'trois mille
Pis la rue principale est devenue ben tranquille
L'épicerie est partie, le cinéma aussi
Et le motel est démoli
Quand j'y r'tourne ça m'fait assez mal
Y'é tombé une bombe su'a rue principale
Depuis qu'y ont construit le centre d'achat
Une bonne journée j'vas y retourner
Avec mon bulldozer
Pis l'centre d'achat y vas passer
Un mauvais quart d'heure
Dans ma p'tite ville on était juste quatre mille
Pis la rue principale à s'appelait St-Cyrille
La coop, le gaz bar, la caisse-pop, le croque-mort
Et le magasin général
Quand j'y retourne ça m'fait assez mal
Y'é tombe une bombe su'a rue principale
Depuis qu'y ont construit le centre d'achat
Le centre d'achat, le centre d'achat,
Le centre d'achat ...
Les Colocs
Tous les arbres sont en fleurs
Et la forêt a ces couleurs
Que tu aimais
Les pommiers roses sur fond bleu
Ont le parfum des jours heureux
Rien n’a changé
Un peu de neige est restée
La neige que tu enlevais
Je m’en souviens
En m’éveillant je ne voyais
Que le printemps qui grandissait
Dans notre jardin
Tu riais comme un enfant
Tu ne faisais jamais semblant
Lorsque tu riais
Quand tes yeux clairs me regardaient
Tu savais lire à travers moi
Chaque pensée
Tu étais si fort et pourtant
Je te berçais comme un enfant
Quand tu pleurais
Je t’ai fait du mal bien des fois
Pourtant toute ma vie c’est toi
Que j’aimerai
Pierre je t’aime
Je n’avais que toi
Mais tu n’es plus qu’une ombre
Qui dort auprès de moi
Lorsque je rentrais tard parfois
Tu ne t’endormais pas sans moi
Tu m’attendais
Tu m’as parlé toute une nuit
De ce que serait notre vie
Si je voulais
Un soir d’orage avant Noël
Tu m’as dit qu’il faisait soleil
Et j’y croyais
Je me souviens, tu me disais
Qu’on ne se quitterait jamais
Et j’y croyais
Pierre je t’aime
Je n’avais que toi
Et tu n’es plus qu’une ombre
Qui dort près de moi
Pourquoi ces fleurs dans le jardin
Cette nuit bleue illuminée
Par les étoiles?
Je sens que le printemps revient
Mais qu’il ne me sert plus à rien
Qu’à me faire mal
Malgré tout, malgré le temps
Je te revois rire et courir
A travers champs
Ce fût mon dernier vrai printemps
Tu t’es endormi pour longtemps
Pour trop longtemps
Dans un autre monde très loin
Y a parait-il un jardin
Plus beau qu’ici
Un grand théâtre où mon amour
Joue et continue chaque jour
D’aimer la vie
Nana Mouskouri
Le plus fort, c'est mon père
Comment t’as fait maman,
Pour savoir que papa
Beau temps et mauvais temps
Il ne partirait pas
Est-ce que t’en étais sûre
Ou si tu savais pas
Est-ce que les déchirures ça se prévoit.
Comment t’as fait maman
Pour trouver le bon gars
Tu l’as connu comment,
Tu l’as aimé pourquoi
Est-ce qu’il y en avait juste un
Dans tout le présent siècle
Et y s’trouve que c’est toi qui dort avec
Refrain
Comment t’as pu trouver,
Un homme qui n’a pas peur
Qui promet sans trembler
Qui aime de tout son cœur
J’le disais y a longtemps
Mais pas d’la même manière
T’as d’la chance maman
Le plus fort c’est mon père
Comment ça s’fait maman
Que dans ma vie à moi
Avec autant d’amants
Avec autant de choix
Je n’ai pas encore trouvé
Un homme comme lui,
Capable d’être ami, père et mari
Comment t’as fait maman
Pour lui ouvrir ton cœur
Sans qu’il parte en courant
Avec c’que t’as de meilleur
Est-ce qu’il y a des mots magiques
Que t’as dits sans t’rendre compte
Explique-moi donc c’qu’y faudrait que j’raconte.
Quand j’ai l’air d’les aimer
Les hommes changent de regard
Si j’ose m’attacher
Y s’mettent à m’en vouloir
Si je parle d’avenir
Y sont déjà loin derrière
J’avais raison d’le dire,
Le plus fort c’est mon père.
Vas-tu m’dire maman
Comment t’as pu savoir
Dès le commencement,
Qu’c’était pas un trouillard
Qu’il allait pas s’enfuir
Et qu’il allait tout faire
Pour que je puisse dire
Le plus fort c’est mon père
Quel effet ça t’as fait
Quand tu l’as rencontré
Est-ce que ça paraissait
Qu’il allait tant t’aimer
Les hommes bien souvent
Paraissent extraordinaires
Mais dis-toi bien maman
Qu’le plus fort ...
c’est mon père.
Paroles et musique Lynda Lemay
Des Comme Lui
Je le reçois chez nous
Comme si de rien n’était
Et j’embrasse ses joues
Comme s’il le méritait
Je le traite comme si
Je n’ savais rien du tout
Je cache mon mépris
Je masque mon dégoût
Puis je souffle à son lobe
"Donnez-moi votre manteau"
Et dans la garde-robe
J’ le place comme il faut
Et je lui offre à boire
Comme à toute la famille
Je lui dis de s’asseoir
Comme pour être gentille
Alors il est bien là
Au cœur du réveillon
Avec maman, papa
Mes sœurs et leurs fistons
Et puis y a les cousines
Et puis y a les plus vieux
Et puis y a leurs copines
Et de lointains neveux
Et dire que des comme lui
Ailleurs on les punit
Ces faiseurs de délits
Ces défaiseurs de lits
Qui s’attaquent aux petits
Qui menacent les nôtres
Dès l’âge des Barbie
Dès l’âge des chaises hautes
Je suis là que j'l’accueille
Ce sale prédateur
J’ m’assure d’ l’avoir à l’œil
Chaque seconde de chaque heure
Et je n’ suis jamais loin
Quand il part au p’tit coin
Je compte les gamins
Je surveille et je crains
D’avoir baissé les yeux
Juste le temps qu’une fillette
Se frappe au vieux monsieur
En allant aux toilettes
Et j’apprends à mon fils
À n’ pas devenir proie
Et je fais la police
Mais je ne l’appelle pas
Je purge une sentence
De trente ans de silence
Depuis les confidences
De mon amie d’enfance
Qui m’a décrit mon oncle
Dans ses moments de rut
Elle tremblait de honte
Elle me répétait "Chut"
Elle m’a tant suppliée
De n’ le dire à personne
Qu’alors moi j’ai juré
Et revoilà cet homme
Encore dans mon espace
Bien assis dans ma chaise
Personne ne sait c'qui s'passe
Ou ceux qui l’ savent se taisent
Et dire qu’y a des comme lui
Que l’on jette en prison
Et qui s’ prennent de jolies
Brutales corrections
Pourtant lui est ici
Dans ma propre maison
Et j’ lui offre un whisky
Avec des p’tits glaçons
Et dire que des comme lui
Ailleurs on les punit
Ils passent menottés
Penauds à la télé
Et tout l’monde s’en réjouit
En ce soir de Noël
Et mon amie m’appelle
Et dès qu’y s’ra parti
J’ la recevrai chez nous
Comme depuis tout l’ temps
J’embrasserai ses joues
Elle le mérite tant
Il y a tant de comme elle
Toujours en thérapie
Il y a tant de comme lui
Qu’on n’ voit pas aux nouvelles
Et moi, comme d’autres, moi
J’accepte sa visite
Il est un hors-la-loi
Je suis une hypocrite
Coincée entre un silence
Où sommeille ma famille
Et l’éternelle souffrance
De ma vieille amie d’fille
Il ressort de chez nous
Comme si de rien n’était
Tout souriant et tout saoul
Il a même pas d’ regrets
Je masque mon dégoût
Et j’attends mon amie
Qui au départ du loup
Vient me rejoindre ici
Un peu comme une brebis
À p’tits pas dans la neige
Qui a peur, qui se protège
Encore de l’ennemi
Et dire que des comme lui
Y en a plein les maisons
Plein les messes de minuit
Et plein les réveillons
J’entends des p’tits chaussons
Qui glissent derrière moi
J’ me r’tourne, y a mon garçon
Dans son p’tit pyjama
Y vient me dire bonne nuit
J’ lui dis "tu dormais pas" ?
Et je vois mon amie
Avoir un grand coup d’froid
Et moi dans un frisson
Qui n’en finira plus
Je vois un p’tit camion
Que je n’avais pas vu
Dans sa main toute menue
Sur son cœur innocent
Ma promesse tenue, ma chère amie,
Je n’la tiens plus maintenant
Linda Lemay
C'est dans les chansons
Du petit bonheur jusqu'au tour de l'île
Félix a semé tout a commencé
Vigneault a grandi avec mon pays
C'est en le chantant que les gens d'ici
Ce sont reconnus se sont retrouvés
Un cœur dans la voix de nos chansonniers car
C'est dans les chansons qu'on apprend la vie
Y a dans les chansons beaucoup de leçons
C'est dans les leçons qu'on apprend t'a lire
Mais c'est dans le lit qu'on vit les chansons d'amour
Et c'est en amour qu'ont fait des chansons
De feuille de gui jusqu'au petit roi
Jean-Pierre a donné aux gens de chez moi
L'espoir d'arriver juste un peu plus loin
On n'y s'ra demain en quelques refrains
Et tous les bozos bozos les culottes
Auront bien grandi grâce à quelques notes car
REFRAIN
C'est dans les chansons qu'on apprend la vie
Y a dans les chansons beaucoup de leçons
Paroles Jean Lapointe