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Date de création : 08.12.2007
Dernière mise à jour : 21.03.2013
13987 articles


Mes chansons préférées

Le pouding à l'arsenic

Publié à 02:04 par marzou2 Tags : mort
Le pouding à l'arsenic

Le pouding à l'arsenic

 

 

 

Un tournevis

Alors mon beau fils, mon maître
Avez vous préparé quelque chose de diabolique ?

haha.. ce sera du gâteau

ah bon

Beignets mortels… non
Clafoutis au curare… classique
Macaron foudroyant… non
Tarte au venin de vipère… pantoute

Le Pudding à l'Arsenic !

Dans un grand bol de strychnine
Diluer de la morphine
Faites tiédir à la casserole
Un grand verre de pétrole

- Je vais en mettre deux

Quelques gouttes de ciguë
De la bave de sangsue
Un scorpion tranché très fin

- Et un peu de poivre en grain
- Non!

Émiettez votre arsenic
Dans un verre de narcotique
Deux cuillères de purgatif
Et faites bouillir à feu vif

- Je vais en mettre trois

Dans un petit plat à part
Tiédir du sang de lézard
Bouillir dans un dé à coudre

- Et un peu de sucre en poudre
- Non !

Le pudding à l'arsenic
Nous permet ce pronostic
Demain sur les bords du Nil
Que mangeront les crocodiles ?

Le pudding à l'arsenic
Nous permet ce pronostic
Demain sur les bords du Nil
Que mangeront les crocodiles ?

Vous versez la mort-aux-rats
Dans du venin de cobra
Pour adoucir le mélange
Pressez trois quartiers d'orange

- Je vais en mettre un seul

Décorez de fruits confits
Moisis dans du vert-de-gris
Tant que votre patte est molle

- Et un peu de vitriol
- Non … Oui !

Le pudding à l'arsenic
Nous permet ce pronostic
Demain sur les bords du Nil
Que mangeront les crocodiles ?

Le pudding à l'arsenic
Nous permet ce pronostic
Demain sur les bords du Nil
Que mangeront les crocodiles ?

Le pudding à l'arsenic
Nous permet ce pronostic
Demain sur les bords du Nil
Que mangeront les crocodiles ?

Des Gaulois !

 

 

Les Colocs

 

J'adorais ce groupe québécois

C'est un beau roman (c'est une belle histoire)

Publié à 14:40 par marzou2 Tags : enfants belle chez roman histoire cadeau
C'est un beau roman (c'est une belle histoire)

C'est un beau roman (c'est une belle histoire)

 

C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain


Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain


(C'est un beau roman, c'est une belle histoire)
Il rentrait chez lui,
Elle descendait dans le midi,
(C'est un beau roman, c'est une belle histoire)
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
(C'est un beau roman, c'est une belle histoire)
Se laissant porter par les courants
Ils n'étaient encore que des enfants
(C'est un beau roman, c'est une belle histoire)
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain

(Salsa)

Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini leur jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main


C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue, là-bas dans le, midi



Michel Fugain

Marie-Louise

Publié à 14:30 par marzou2 Tags : femme histoire nuit mort fille chats
Marie-Louise

Marie-Louise

 

Y paraît qu'ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Qu'ses sous-vêtements se sont soudés su'ceux d'avant
Y paraît qu'elle a des gales su'ses jambes
Et pis qu'a les donnerait à manger à ses soixante-dix-sept chats
Pour qu'y vivent éternellement
C't'écœurant

Marie-Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
J'sais pas si c'est vrai j'sais pas si c'est vrai
Va donc savoir l'histoire de Marie-Louise

Paraît qu'un d'ses chats est si féroce et si vorace
La nuit y faut l'enfermer dans une cage de brass
Y paraît que c'est un énorme matou
Quand y est en diable y saute au corps y saute au cou
Y peut griffer jusqu'à la mort de celui qui ose s'aventurer
Près du décor

De Marie-Louise
La vieille femme des moulins a fait placoter ses voisins
Moé c'est m'sieur l'curé qui me l'a conté y a tellement de oui-dire
Sur Marie-Louise

Pis y paraît aussi qu'ça sent l'pipi pis l'vieux vomi
Quand a t'arrête pour te d'mander quelle heure qu'y peut être
Y paraît qu'a mange d'la bouffe pour les chats
Et pis qu'est pareille à'vieille sorcière dans franfreluche
Petite hutte patte de poule cours petite cours cours cours

Marie-Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
J'sais pas si c'est vrai j'sais pas si c'est vrai
Va donc savoir l'histoire de Marie-Louise

Y paraît qu'ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Qu'ses sous-vêtements se sont soudés su'ceux d'avant
Y paraît quand l'ambulance est arrivée ils l'ont rentrée à l'hôpital
Ils l'ont pognée ils l'ont trempée dans le mazout
Comme une vieille poêle enduite de croûte
Ah oui je l'aurai dans la mémoire longtemps
Marie-Louise a rendu l'âme
Sa carapace était pus là pour la protéger d'la rapace

Marie-Louise
La vieille fille des moulins c'est ben d'valeur a's'est éteint
C'est monsieur l' curé qui me l'a contée
Va donc savoir l'histoire de Marie-Louise
L'histoire de Marie-Louise

 

 

Zébulon

Les Moulins de mon coeur

Publié à 14:14 par marzou2 Tags : merci coeur monde dieu enfant fleur voyage neige automne oiseau chevaux
Les Moulins de mon coeur

Les Moulins de mon coeur

 

 

Comme une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune
Avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne
Un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur


Comme un écheveau de laine
Entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine
Pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige
Comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège
Sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur


Ce jour-là près de la source
Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course
L'oiseau tomba de son nid
Et voila que sur le sable
Nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table
Qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure
Sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent
Aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne
Rencontre des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne
La couleur de tes cheveux


Une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Au vent des quatre saisons
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Michel Legrand

La Valse de Maître Draveur

Publié à 21:12 par marzou2 Tags : chez sourire
La Valse de Maître Draveur

La Valse du Maître Draveur 

 

 

Si vous demandez aux demoiselles du canton
À quoi elles pensent quand le printemps s’annonce
Elles vous diront peut-être:
Mais nous primons la valse du maître draveur

Il sait voltiger sur les billots qui flanchent
Ainsi son corps maîtrise l’art de la valse
Il sait voltiger sur les billots qui dansent
Le maître draveur charme énormément

Quand la drave s’achève, j’aime bien m’en aller
Guetter les gars trimer sur la rivière
Et sachant qu’au soir, ils s’amèneront veiller
Je songe à la valse de mon maître draveur

Il sait voltiger sur les billots qui flanchent
Ainsi son corps maîtrise l’art de la valse
Il sait voltiger sur les billots qui dansent
Le maître draveur charme énormément

J’ai bien dû satisfaire aux voeux de mes parents
Et sourire aux bourgeois et aux fils d’avocats
À ces princes charmant aux pieds d’éléphants
Je préfère les grace de mon maître draveur

Il sait voltiger sur les billots qui flanchent
Ainsi son corps maîtrise l’art de la valse
Il sait voltiger sur les billots qui dansent
Le maître draveur charme énormément

J’ai de beaux prétendants, mais il n’y en a guère
Qui ont le savoir-faire de mon gars de la rivière
Quand la drave sera finie, il n’aura qu’à demander
Pour valser ensemble chez moisieur le curé

Il sait voltiger sur les billots qui flanchent
Ainsi son corps maîtrise l’art de la valse
Il sait voltiger sur les billots qui dansent
Le maître draveur charme énormément

 

?

L'hymne à la beauté du monde

Publié à 20:49 par marzou2 Tags : monde fleur bleu jardin isabelle
L'hymne à la beauté du monde

L'hymne à la beauté du monde



Ne tuons pas la beauté du monde
Ne tuons pas la beauté du monde

Ne tuons pas la beauté du monde
Chaque fleur chaque arbre que l'on tue
Revient nous tuer à son tour

Ne tuons pas la beauté du monde
Ne tuons pas le chant des oiseaux
Ne tuons pas le bleu du jour

Ne tuons pas la beauté du monde
Ne tuons pas la beauté du monde

Ne tuons pas la beauté du monde
La dernière chance de la terre
C'est maintenant qu'elle se joue

Ne tuons pas la beauté du monde
Faisons de la terre un grand jardin
Pour ceux qui viendront après nous
Après nous

Ne tuons pas la beauté du monde
La dernière chance de la terre
C'est maintenant qu'elle se joue

Ne tuons pas la beauté du monde
Faisons de la terre un grand jardin
Pour ceux qui viendront après nous
Après nous

 

 

Isabelle Boulay

L'âme à la tendresse

Publié à 20:38 par marzou2 Tags : vie amis moi amitié mort sourire tendresse
L'âme à la tendresse

L'âme à la tendresse



Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce
Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce

Tresser avec vous ce lien et cette délicatesse
Vous mes amis d'hier et d'aujourd'hui
Cette amitié dans la continuité
Un mot un regard un silence un sourire une lettre

Françoise Allen Claire Patrick Kim Roland Réjean Louise
Et tous les autres que je n'saurai nommer
Vous êtes mes havr's des soirs de détresse
La goutte d'eau qui fait jaillir la source ma lumière

Aujourd'hui pourtant je vous attends en vain, je vous espère
Que faites-vous j'appelle je tends les bras
Nos amitiés se sont-elles évanouies ?
Peut-être n'avons-nous plus rien à nous dire je chavire

Pourtant nous savons que la vie est plus forte que la mort
Le désespoir a dit son dernier mot
Permettez-moi de vous aimer toujours
Riches de nos secrets j'attendrai j'attendrai
J'attendrai j'attendrai j'attendrai j'attendrai
Les amitiés nouvelles.

 

 

Pauline Julien

Ils m'ont tous laissé quelque chose

Publié à 20:28 par marzou2 Tags : livre amour rose enfant tendresse
Ils m'ont tous laissé quelque chose

Ils m'ont tous laissé quelque chose

 


Ils m’ont tous laissé quelque chose
Un enfant un livre une rose
Une chanson ou un secret
Une habitude ou un regret
Ils m’ont tous laissé quelque chose
Une lettre en vers ou en prose
Un bout de cœur un bout de ciel
Un mois d’avril ou un Noël
Quelque soit leur style ou leur âge
Quelque soit le temps qu’ils m’ont aimée
Les fidèles ou bien les volages
Les prudents ou les vite enflammés
Ils m’ont tous laissé quelque chose
Un enfant un livre une rose
Une chanson ou un secret
Une habitude ou un regret
Ils m’ont tous laissé quelque chose
Une lettre en vers ou en prose
Un bout de cœur un bout de ciel
Un mois d’avril ou un Noël
Peu m’importe après ce qu’ils disent
Qu’ils oublient le temps ou l’on s’aimait
Ma tendresse leur est acquise
Car mon cœur lui n’oubliera jamais
Et pour ça je les remercie
Et pour ça je leur pardonne tout
Leurs soupçons et leurs tromperies
Leurs retards a tous nos rendez-vous
Ils m’ont tous laissé quelque chose
Un enfant un livre une rose
Une chanson ou un secret
Une habitude ou un regret
Ils m’ont tous laissé quelque chose
Et cet amour apothéose
Cet amour qui m’attache a toi
C’est à eux tous que je le dois
C’est à eux tous que je le dois

 

 

Ginette Reno

Hier encore

Publié à 18:19 par marzou2 Tags : amour fond vie amis moi nuit monde
Hier encore

Hier encore



Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps

J'ai fait tant de projets
Qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le cœur mis en terre

Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé

Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture

Hier encore
J'avais vingt ans
Mais j'ai perdu mon temps
A faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l'ennui

Car mes amours sont mortes
Avant que d'exister
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j'ai fait
Le vide autour de moi
Et j'ai gâché ma vie
Et mes jeunes années

Du meilleur et du pire
En jetant le meilleur
J'ai figé mes sourires
Et j'ai glacé mes pleurs
Où sont-ils à présent
A présent mes vingt ans ?



Charles Aznavour


La source

Publié à 17:29 par marzou2 Tags : fille vie fleur oiseau isabelle
La source

La source



Elle chante au milieu du bois
La source et je me demande
S'il faut croire en cette légende
D'une fille qu'on y trouva
Elle était blonde elle était douce
Elle aimait à se reposer
Dans les bois couchée sur la mousse
Ecoutant les oiseaux chanter
Un jour qu'elle allait à la ville
Par le bois où elle passait
Elle vit soudain immobile
Trois hommes qui la regardaient
Trois hommes qui la regardaient
Elle chante au milieu du bois
La source et je me demande
S'il faut croire en cette légende
D'une fille qu'on y trouva
Ils étaient là trois à l'attendre
Trois hommes-loups cette bre (2x)
Elle avait la chair bien trop tendre
Ils avaient bien trop d'appétit
Comme elle ne savait pas défendre
Le souffle léger de sa vie
Elle tomba sur l'herbe tendre
Comme un oiseau tombe du nid
Comme un oiseau tombe du nid
Elle chante au milieu du bois
La source et je me demande
S'il faut croire en cette légende
D'une fille qu'on y trouva
Quand on la souleva de terre
Comme une grande fleur coupée
Sa robe blanche et la lumière
On aurait dit une mariée
Quand on la souleva de terre
On aurait dit comme un grand lit
Entre les feuilles entre les pierres
Une claire source a jailli
Une claire source a jailli
Elle chante au milieu du bois
La source et je me demande
S'il faut croire en cette légende
D'une fille qu'on y trouva
Elle chante au milieu du bois
La source et je me demande
S'il faut croire en cette légende
D'une fille qu'on y trouva
Lai lai lai la la la lai la
lai lai lai la la la lai la
Lai lai lai la la la lai la
D'une fille qu'on y trouva.




Isabelle Aubret