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Par Anonyme, le 30.04.2022
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La mère de Jésus dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Jn 2, 5
Car si notre coeur nous condamnait, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît tout. 1 Jn 3, 20
Invoque-moi et je te répondrai; je t'annoncerai des choses grandes et cachées dont tu ne sais rien. Jr 33, 3
Date de création : 24.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai. Mt 11,28
A qui irions-nous seigneur jésus ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jn 6,68
Heureux les coeurs purs car ils veront Dieu. Mt 5, 8
Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils l'aient en abondance. Jn 10,10
En ce temps-là, Jésus appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs,et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture.« Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ.Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. »Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir.Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient.
« Nul n’est prophète dans son pays ». Jésus a donc quitté la synagogue de son village. Quelques siècles plus tôt, le prophète Amos avait été chassé de son pays et de son temps. Vingt siècles plus tard, de nombreux chrétiens doivent quitter leur région parce qu’ils y sont persécutés, ou simplement parce qu’à cause de leur foi, ils ne peuvent trouver du travail.
Dans l’Évangile, nous lisons que Jésus envoie ses disciples deux par deux sur les routes du monde. Ils doivent partir avec un minimum d’équipement. Il est inutile de s’encombrer de choses secondaires. Le vrai missionnaire doit s’attacher à l’essentiel. Rien pour séduire, rien pour attirer, simplement aller à la rencontre des gens pour annoncer la bonne nouvelle, et surtout ne jamais oublier que le Seigneur se sert de ce qui est faible pour réaliser des merveilles.
L’envoi des Douze par Jésus n’est pas seulement l’envoi des apôtres. Le chiffre 12, nombre des apôtres choisis par Jésus, évoque les douze tribus d’Israël. C’est donc le peuple de Dieu tout entier. A travers les Douze, c’est toute l’Église que Jésus envoie en mission. Nous sommes tous concernés. Et pour comprendre ce que le Seigneur attend de nous, il nous faut revenir à l’Évangile : « Etant partis, ils prêchèrent qu’il fallait se convertir, et ils chassaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile sur les malades et les guérissaient » (Marc 6/12-13).
Prêcher qu’il faut se convertir, ce n’est pas seulement faire des sermons, c’est profiter de toutes les occasions pour annoncer l’Évangile. Cette annonce se fait d’abord par le témoignage d’une vie évangélique. Si notre vie n’est pas en accord avec ce que nous voulons annoncer, c’est un mensonge. Bien sûr, la Parole sera toujours nécessaire. Mais elle ne sera pas nécessairement la vocation de tous. Par contre, tous les chrétiens sont appelés à donner le témoignage d’une vie en accord avec l’Évangile. S’ils appellent à la conversion, ils doivent commencer par eux-mêmes. Tout cela se trouve résumé dans cette parole de Jésus : « Convertissez-vous et croyez à ‘Évangile » (Marc 1/5)
« Chasser les démons… » Nous pensons aux exorcistes qui ont reçu cette mission. Jésus est venu vaincre les puissances du mal. Mais il ne veut pas le faire sans nous. Il veut nous associer à son combat contre le mal. Il met en nous sa puissance d’Amour, sa puissance de sainteté. Il nous envoie pour lutter avec lui contre tout ce qui empêche l’homme d’être à l’image de Dieu.
Faire des onctions d’huile sur les malades pour les guérir…Nous pensons bien sûr à l’huile du sacrement des malades. Dans ce cas, c’est le prêtre qui est appelé. Mais nous ne devons pas oublier que cet appel à entourer les malades s’adresse à tous les baptisés. Il s’agit d’être là auprès de celui qui souffre, prendre le temps de l’écouter et de le réconforter. Si nous allons vers eux avec Jésus et Marie, nos visites deviennent des visitations. Tous ne sont pas guéris physiquement, mais quand on est rempli de l’amour qui est en Dieu, ça change tout.
En ce jour, Seigneur, tu veux nous ramener à l’essentiel. Libère nous de tout ce qui nous encombre. Que la force de ta parole et le souffle de ton Esprit nous rendent disponibles pour être les témoins et les messagers de ton message d’amour et de réconciliation.
Source: Dimanche prochain
Prière de guérison intérieure
Seigneur Jésus, je te demande de me manifester ton amour miséricordieux et de venir guérir dans mon existence passée tout ce qui a besoin de l’être. Tu me connais mieux que moi-même car bien avant ma conception tu m’aimais d’un amour unique.
Depuis son commencement, ma vie est dans ta main. Touche-moi à l’instant de ma conception, si celle-ci ne s’est pas fait dans un climat d’amour avec le désir de me donner la vie mais plutôt dans la contrainte, la peur ou la violence, guéris-moi, Dieu de tendresse et de bonté. Libère-moi de tout ce qui a pu avoir une influence négative sur moi et qui me donne le dégout de la vie ou me pousse parfois à souhaiter de mourir.
Bénis-moi à chaque étape de ma croissance d’embryon et de fœtus. Répands ton amour dans chaque recoin de mon cœur.
Si ma mère a éprouvé des peurs, des angoisses ou des traumatismes lorsqu’elle m’attendait, si je me suis senti non désiré (e) ou rejeté (e) par elle, si le père qui m’a engendré ne m’a pas lui aussi désiré, viens me faire ressentir ô mon Dieu, combien je compte pour toi et comment tu veilles sur moi comme la prunelle de l’œil. Que Jésus dans le sein de Marie me fasse moi aussi tressaillir de joie dans l’esprit saint. Donne-moi un grand désir de naître et guéris-moi des chocs physiques et affectifs qui ont pu me nuire à ma naissance, quand j’ai fait irruption dans le monde des hommes. Par la puissance de ton amour et de ta grâce, efface toutes les séquelles physiques ou psychologiques des blessures ou des traumatismes de ce moment-là.
Merci d’avoir été là pour me recevoir dans tes bras rassurants. Je te présente les premières années de mon enfance ; entoure-les de ta lumière. Si j’ai souffert de la froideur de mon père ou de ma mère, s’ils ne m’ont pas donné l’amour et la sécurité dont j’avais besoin, si j’ai manqué d’affection maternelle, de caresses apaisantes, par ton esprit d’amour, envoie ta mère Marie pour m’entourer de ses bras, me bercer et me remplir de sa tendresse. Qu’elle m’accueille tel (telle) que je suis, avec mes faiblesses de petit enfant et que Jésus vienne m’embrasser, me bénir et m’imposer les mains comme il le faisait lorsque les disciples rabrouaient les petits enfants qui venaient à Lui (Mc 10, 13-16). Si je me suis senti étouffé (e) par l’amour trop possessif de ma mère, écrasé (e) par l’autorité de mon père, libère-moi Jésus et guéris aussi les souvenirs pénibles de leurs disputes, des tensions de leur couple qui ont troublé ma sensibilité d’enfant et m’ont effrayé (e) en me faisant craindre qu’ils ne se séparent et m’abandonnent.
De tout cœur, Seigneur, je pardonne à mes parents les blessures que leurs actes, leurs paroles et leurs comportements ont pu provoquer en moi ; je me réjouis et te remercie Seigneur de m’avoir donné l’assurance que si mon père et ma mère m’abandonnent, tu m’accueilleras (Ps 27,10) et que jamais tu ne m’oublieras (Is 49, 15)
Fais, Seigneur Jésus, toi qui m’as donné ton Père, que par l’esprit saint, je sois comblé(e) d’amour, heureux et libre pour crier « Abba ! Papa » avec mon être tout entier. Si je me suis senti seul(e), abandonné(e) et rejeté(e) par les miens ou ceux sur qui je comptais, donne-moi par ton amour qui guérit un nouveau sens de ma dignité et « une sage estime de moi-même » (Rm 12,3). Sois mon réconfort là où les autres n’ont pas été aimables avec moi.
Libère-moi ô père tout-puissant du fardeau de toute malédiction parentale, ancestrale ou maléfique qui pourrait causer mes échecs, mes maladies ou mes frustrations. Donne-moi une confiance et un courage renouvelés pour faire face aux épreuves de ce monde. Je sais que ton amour ô mon père me soutiendra si je trébuche et si je tombe. Guéris les blessures des combats qui m’ont traumatisé et m’ont amené à me refermer sur moi-même et à élever des barrières entre les autres et moi. Guéris les blessures ancrées en moi, qui m’ont endurci(e) et que j’ai refoulé ; celles des jalousies envers ceux que l’on préférait à moi en famille ou à l’école, celles des révoltes, des humiliations, des injustices, de la solitude, de l’amertume d’être mis(e) à l’écart, celles des moqueries, des insultes ou des calomnies.
Seigneur Jésus, donne-moi la grâce de pardonner à ceux qui ne m’ont pas aimé(e), de les délier de toute dette envers moi. Guéris-moi de tous les troubles ou des traumatismes de l’enfance et de la sexualité : inquiétude, honte, culpabilisation. Laves-moi de toutes les souillures du corps et de l’âme et guéris les blessures que l’on m’a faites en abusant de moi, en violant mon intégrité physique, en m’enchainant par des déviations sexuelles qui m’empêchent d’avoir des relations vraies conformes à ta volonté.
Que la Vierge Marie, la mère très pure, l’immaculée conception, prie pour moi et me guérisse de ces troubles. Guéris-moi Seigneur des blessures de mon affectivité liées à des expériences amoureuses rendues impossibles ou qui, pour une raison ou l’autre, ne pouvaient aboutir. Apprends-moi à m’abandonner à ton amour qui comble mon désir d’aimer et d’être aimé(e), à te remettre ce qui a pu être un échec par rapport à ma vocation, à l’engagement professionnel ou social que j’ai pris, par rapport à ma vie sentimentale ou à ma vie de couple.
Merci Seigneur Jésus de m’avoir accompagné(e) durant mon enfance, mon adolescence, par ton amour, ta lumière et ta vérité. Pardonnes-moi s’il m’est arrivé de t’oublier, de penser que tu ne m’aimes pas et que tu n’étais pas présent dans mes souffrances. Guéris-moi des sentiments de culpabilité que j’éprouve vis-à-vis de toi à cause de mes peurs d’être jugé(e) ou puni(e), de mes révoltes contre toi lorsque tu as permis que meure, m’abandonnent ou me trompent des personnes que j’aimais particulièrement.
Pardonnes-moi les expériences destructrices auxquelles j’ai pu me livrer dans le domaine de l’alcool, de la drogue, de la pornographie.
Guéris-moi des liens que j’ai pu contracter à travers les techniques de concentration mentale, la recherche de solution à mes problèmes par l’occultisme, le spiritisme, l’ésotérisme.
Seigneur j’invoque tes plaies très saintes pour me guérir, j’invoque ton sang versé librement par amour pour moi afin d’être pardonné(e) et lavé(e) de mes péchés. Sur la croix, Jésus, tu as eu soif et tu as bu le vinaigre de la haine, de la cruauté et de la dureté de mon cœur. Ainsi, tu as ôté les profondes racines d’amertumes, d’agressivité et de rancune enfouies en moi. En échange par la Vierge Marie, ma mère comblée de grâce, tu m’as libéré et guéris de mes impuretés ; tu m’as donné le vin nouveau de la tendresse, le vin de la bonté douce, fruit de l’esprit.
Fais-moi miséricorde Seigneur ! Je te remercie de ton grand amour pour moi. Restaure-moi et donne-moi une grâce renouvelée pour aimer et m’épanouir dans ton amour. Guéris mon inconscient. Je me donne entièrement à toi, corps, intelligence, esprit. Je remets entre tes mains mes idées, mes sentiments, mes paroles, mes comportements, toutes mes richesses, mais aussi toutes mes fragilités, mes blessures, mes limites, mes tiédeurs, mes duretés de cœur et même la haine qui m’habite. Eclaire-les de ta lumière pour qu’ils deviennent des actes d’amour, de tendresse et de paix.
Jésus ! Mon passé et mes lendemains sont aujourd’hui dans ton cœur miséricordieux. Mes blessures ne seront plus des blessures car ton immense amour les a guéries, mais des expériences pour construire mon avenir avec toi. O merci Jésus de m’avoir si bien fait(e) et de m’avoir sauvé(e) ! Alléluia ! Amen !
Jean Pliya « va en paix et sois guéri… »
En ce temps-là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet.Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. »Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains.Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
Dans l’Évangile de ce jour, nous voyons Jésus qui est confronté au manque de foi des habitants de son village. Il vient de leur annoncer que l’Esprit de Dieu repose sur lui, qu’il est envoyé pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres… Pour ses compatriotes, ces paroles ne sont pas acceptables. Pour qui se prend-il ? Ils l’ont vu grandir et devenir charpentier. Certains ont bénéficié de ses services. De quoi se mêle-t-il en enseignant dans la synagogue ? Ce qu’on lui reproche, c’est de dire la Parole de Dieu sans être qualifié pour cela. Il n’a pas fait d’étude de rabbin ou de scribe. Il est un simple laïc.
Voilà donc le Christ empêché d’être reconnu comme Messie. « Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu ». Nous n’avons pas à les juger. Nous aussi, nous sommes souvent rebelles quand on vient nous parler de la part de Dieu. Mais rien ni personne ne peut arrêter l’annonce de la bonne nouvelle. Devant ce refus, Jésus est parti vers les villages voisins. Les messagers de l’Évangile n’ont pas à être découragés si on refuse de les écouter et de les accueillir. Comme Jésus, ils doivent partir annoncer l’Évangile ailleurs car tous doivent l’entendre.
Le problème des auditeurs de Jésus, c’est qu’ils étaient enfermés dans leurs certitudes et leurs traditions. C’est souvent vrai pour nous aussi. Nous pensons savoir beaucoup de choses sur Dieu. Mais ce que nous pouvons en dire sera toujours insignifiant par rapport à ce qu’il est réellement. La foi n’est pas d’abord une affaire de connaissances et de savoir. Elle est surtout une affaire de questionnement spirituel : Qui est Jésus pour nous ?Voilà la question fondamentale que nous trouvons tout au long de l’Évangile de saint Marc. Et la réponse nous est donnée au pied de la croix par le centurion païen : « Vraiment cet homme était Fils de Dieu. »
Comme le prophète et comme Paul, nous avons conscience de nos faiblesses. Mais le Seigneur compte sur nous pour être les messagers de la bonne nouvelle. Nous pouvons penser à la merveilleuse réplique de sainte Bernadette de Lourdes : « Je ne suis pas chargée de vous faire croire mais de vous dire. » Malgré notre faiblesse, le Seigneur compte sur nous pour être ses porte-paroles. Dans nos diverses rencontres, nous sommes appelés à rendre compte de l’espérance qui nous anime. Nous avons des valeurs à défendre, le partage, la solidarité, le respect de la digité des personnes, surtout les plus faibles. C’est à notre amour que nous serons reconnus comme disciples du Christ.
Avant de nous lancer dans la mission, nous te prions Seigneur : envoie-nous ton Esprit Saint. Qu’il vienne nous rappeler ce que tu as dit. Qu’il nous apprenne à reconnaître que tu nous précèdes dans le cœur de ceux et celles que tu mets sur notre route. Seigneur, sois avec nous pour que nous soyons de vrais témoins de ton amour.
Source:Dimanche prochain
EFFICACE PRIÈRE À JÉSUS MISÉRICORDIEUX DANS LES RELATIONS DIFFICILES AVEC DES COLLÈGUES DE TRAVAIL.
(À faire le 1er jour OBLIGATOIREMENT devant le Tabernacle, puis par la suite chez soi devant l'image du Christ de la Miséricorde Divine)
Vous avez des relations difficiles avec vos collègues ? Vous êtes victime de harcèlements, voire de persécutions ? Ça a des conséquences sur votre moral et votre travail ? Vous ne parvenez pas à supporter ces conflits ? Hé bien, il y a le recours à la prière !!! Jésus ne nous a-t-Il pas dit : "Priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent." ? Alors, FAITES-LE DONC !!!
Ô mon Sauveur, me voici devant Vous pour Vous dire la situation dramatique que je vis au travail ...
Je sais que Vous êtes au courant car Vous voyez tout et que Vous savez tout ...mais Vous aimez que nous nous confions en Vous dans toutes nos difficultés.
"Jésus, j'ai confiance en Vous" : cette phrase Vous nous demandez non seulement de la dire, mais surtout de la vivre en vérité, alors Jésus, mon Sauveur, j'ai confiance en Vous.
Ne décevez pas cette confiance si fragile car Vous savez combien je suis faible, écoutez ma supplique et daignez m'exaucer.
Seigneur Jésus, Vous nous avez dit : "aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez enfants de votre Père qui est dans les cieux."
Alors, me voici devant Votre Tabernacle pour obéir à Votre Parole.
Je Vous prie pour ..(citer les noms de vos collègues persécuteurs) qui me fait la guerre sans raison, qui a décidé d'être mon adversaire, qui me déteste et me dénigre, me causant de la colère, du stress et une grande tristesse. J'en arrive à ne plus vouloir aller au travail ...
Alors, Seigneur Jésus, Roi de Miséricorde, je plonge dans l’immensité de Votre Miséricorde ces collègues de travail qui me font tant souffrir.
Ô très compatissant Jésus, usez de la toute-puissance de Votre Miséricorde et attirez-les dans le brasier même de Votre amour. Donnez-leur l'Amour Divin, car Vous pouvez tout.
Je les bénis et je vais essayer de leur faire bonne figure, de leur rendre des petits services à cause de Vous, Jésus. Par amour pour Vous ...
Faites qu'ainsi ces personnes reviennent très vite à de bons sentiments envers moi et que nous puissions travailler dans Votre sainte Paix.
Jésus, j'ai confiance en Vous.
Ainsi soit-il !
Mer | 01 Juillet 2015 | De la férie | |
Jeu | 02 Juillet 2015 | De la férie | |
Ven | 03 Juillet 2015 | St Thomas, apôtre | |
Sam | 04 Juillet 2015 | Ste Elisabeth, reine du Portugal, †1336 | |
Dim | 05 Juillet 2015 | 14ème dimanche du temps ordinaire | |
Lun | 06 Juillet 2015 | Ste Maria Goretti, martyre, †1902 à Nettuno | |
Mar | 07 Juillet 2015 | De la férie | |
Mer | 08 Juillet 2015 | De la férie | |
Jeu | 09 Juillet 2015 | St Augustin Zhao Rong et ses compagnons, évêques, prêtres, religieux, laïcs, martyrs de 1648 à 1930 en Chine | |
Ven | 10 Juillet 2015 | De la férie | |
Sam | 11 Juillet 2015 | St Benoît de Norcia, fondateur des bénédictins, †547 à Monte Cassino | |
Dim | 12 Juillet 2015 | 15ème dimanche du temps ordinaire | |
Lun | 13 Juillet 2015 | St Henri, empereur d'Allemagne, †1024, et son épouse Ste Cunégonde, †1040 à Bamberg | |
Mar | 14 Juillet 2015 | St Camille de Lellis, fondateur des religieux hospitaliers, †1614 à Rome | |
Mer | 15 Juillet 2015 | St Bonaventure, franciscain, évêque d'Albano, docteur de l'Eglise, †1274 à Lyon | |
Jeu | 16 Juillet 2015 | Notre Dame du Mont Carmel | |
Ven | 17 Juillet 2015 | De la férie | |
Sam | 18 Juillet 2015 | De la férie | |
Dim | 19 Juillet 2015 | 16ème dimanche du temps ordinaire | |
Lun | 20 Juillet 2015 | St Apollinaire, évêque de Ravenna, martyr, †au 2e siècle | |
Mar | 21 Juillet 2015 | St Laurent de Brindisi, prêtre capucin, docteur de l'Eglise, †1619 à Lisbonne | |
Mer | 22 Juillet 2015 | Ste Marie Madeleine, disciple du Seigneur | |
Jeu | 23 Juillet 2015 | Ste Brigitte de Suède, religieuse, †1373 à Rome | |
Ven | 24 Juillet 2015 | St Charbel Maklouf, prêtre moine, †1898 au Liban | |
Sam | 25 Juillet 2015 | St Jacques le majeur, apôtre | |
Dim | 26 Juillet 2015 | 17ème dimanche du temps ordinaire | |
Lun | 27 Juillet 2015 | De la férie | |
Mar | 28 Juillet 2015 | De la férie | |
Mer | 29 Juillet 2015 | Ste Marthe, hôtesse du Seigneur | |
Jeu | 30 Juillet 2015 | St Pierre Chrysologue, évêque de Ravenna, docteur de l'Eglise, †451 | |
Ven | 31 Juillet 2015 | St Ignace de Loyola, prêtre, fondateur des jésuites, †1556 à Rome |
Significations des couleurs:
Le violet dit l'attente, le changement, la pénitence, la conversion. On le porte pendant le Temps de l'Avent et du Carême.
Le blanc est le signe de la fête, de la lumière, de la joie. Le blanc est utilisé pour le Temps de Noël et de Pâques et aussi pour toutes les fêtes du Christ, de Marie, des anges et des saints qui ne sont pas martyrs.
Le vert dit la vie, l'espérance. Il est utilisé pour les Temps ordinaires.
Le rouge dit l'Amour, la passion, le martyr. Il est utilisé pour les fêtes de la Passion (vendredi saint), de l'Esprit saint (Pentecôte), des apôtres et de tous les saints martyrs.
En ce temps-là, Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses piedset le supplie instamment : « Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans… –elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré –… cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement.Elle se disait en effet : « Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. »À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demandait : « Qui a touché mes vêtements ? »Ses disciples lui répondirent : « Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : “Qui m’a touché ?” »Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela.Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité.Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci : « Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? »Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue : « Ne crains pas, crois seulement. »Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris.Il entre et leur dit : « Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. »Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant.
Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! »Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher – elle avait en effet douze ans. Ils furent frappés d’une grande stupeur.Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.
Les textes liturgiques de ce dimanche nous annoncent une bonne nouvelle de la plus haute importance. La première lecture, extraite du Livre de la Sagesse, nous dit que « Dieu n’a pas fait la mort ». Elle n’a pas été créée par lui. Elle est entrée dans le monde par la jalousie du démon.
L’Évangile nous montre Jésus qui a rejoint l’autre rive, celle du monde païen. Il y est accueilli par une grande foule. Dès son arrivée, il rencontre des gens éprouvés par la souffrance. C’est d’abord Jaïre qui le supplie pour sa fille en danger de mort : « Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. » Jésus se met donc en route. Mais voilà que dans cette atmosphère bruyante, une femme atteinte d’hémorragies, s’approche de lui pour être guérie. Jésus ne lui dit pas : « Tu es guérie » mais « tu es sauvée ». Elle pourra donc être réintégrée dans sa communauté et y retrouver toute sa place. Le Christ se présente à nous comme celui qui sauve et qui relève.
Puis c’est l’arrivée chez Jaïre. On lui annonce que sa fille vient de mourir et que ça ne sert plus à rien de déranger le Maître. Mais Jésus l’invite à un acte de foi « Ne crains pas, crois seulement. ». Cette fille dort et il va la réveiller et la relever. C’est comme quand on relève quelqu’un qui s’est couché. Jésus entre dans la maison. Il fait sortir tout le monde. Il ne garde que le père et la mère de l’enfant et quelques disciples. Il ne fait pas sur la jeune fille un geste de guérison. Il lui saisit la main et le dit : « Lève-toi ». Dans le langage du Nouveau Testament, le verbe « se lever » est synonyme de ressusciter.
C’est ainsi que Jésus se révèle au monde comme le Sauveur de tous. S’il est venu dans le monde, c’est pour que tous les hommes aient la vie en abondance.Dimanche dernier, nous avons compris que Jésus est parti vers l’autre rive pour rejoindre le monde païen. Il nous fait comprendre que l’amour de Dieu est sans frontière. Il n’accepte pas de discrimination. Plus tard, Jésus enverra ses apôtres dans le monde entier. C’est pour répondre à cet appel que des prêtres, des religieux, des religieuses et des laïcs ont quitté leur famille, leur pays pour annoncer Jésus Christ à ceux qui ne le connaissent pas.
Il y a dans cet Évangile une parole de Jésus qui risque de passer inaperçue : « Il leur dit de la faire manger ». Oui, bien sûr, elle a besoin de reprendre des forces. Mais ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que le Seigneur est venu nous « ressusciter » dans la foi. Il nous remet debout. Mais si nous voulons vivre de sa vie, nous devons nous nourrir de sa Parole et des sacrements. Si nous ne le faisons pas, la faiblesse reprendra le dessus et nous retomberons.
Le grand désir du Seigneur, c’est que nous soyons réveillés de notre médiocrité, notre égoïsme et de notre désespérance. Il veut nous associer tous à sa mission. En nous nourrissant de sa Parole et de son Corps, il veut nous donner le dynamisme qui transforme les « sauvés » en « sauveurs ». Avec lui, nous pourrons entraîner les malades vers la Source de Vie. Et comme lui, nous tendrons les mains vers les endormis pour les aider à se lever et à marcher. Ils pourront ainsi aller à la rencontre de Celui qui est la vie et la résurrection.
Nous faisons nôtres ce chant de John Littleton :
Allez-vous en sur les places et sur les parvis !
Allez-vous en sur les places,
Y chercher mes amis,…
Allez-vous en sur les places
Et soyez mes témoins chaque jour !
Toute la journée, Jésus avait parlé à la foule. Le soir venu, Jésus dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. » Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient.Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait.Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? »Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Pour comprendre ces textes d’aujourd’hui, il faut savoir que dans le monde de la Bible, la mer c’est le repère des forces du mal.
Dans l’Evangile, nous voyons Jésus qui invite ses disciples à passer vers « l’autre rive ». Nous devons comprendre ici que cette « autre rive » ce n’est pas seulement l’autre côté de la mer. C’est d’abord celle du monde païen. Jésus veut le rejoindre là où il en est pour le libérer des puissances du mal et lui annoncer la bonne nouvelle de l’Evangile. C’est une manière de dire qu’il n’est pas venu pour le seul peuple d’Israël mais aussi pour tous les hommes du monde entier. Il veut que tous aient la vie en abondance.
En lisant cet Evangile, nous pensons aux nombreux prêtres, religieux, religieuses et laïcs qui ont répondu à cet appel du Christ. Ils ont quitté leur famille, leurs amis, leur pays pour aller vers l’inconnu. Ils ont traversé les océans pour annoncer Jésus à des peuples qui ne le connaissaient pas. Et actuellement, nous voyons des prêtres Africains, Indiens ou autres qui ont également quitté leur pays pour venir nous évangéliser. La bonne nouvelle doit être annoncée à tous. Elle est en priorité pour les pauvres, les exclus, les malades, les prisonniers. Dieu les aime tous tels qu’ils sont, et il veut leur salut.
Quitter son pays pour rejoindre « l’autre rive » cela suppose une grande confiance. L’Evangile nous parle de la tempête et de la peur panique des disciples. En calmant cette tempête, le Christ affirme sa victoire sur les forces du mal. Il faut savoir que saint Marc écrit son Evangile bien après la résurrection du Christ (vers les années 60 – 70). Il s’adresse à des chrétiens persécutés et désemparés par cette tempête qui les accable. L’Eglise est un peu comme la barque de Pierre qui est en train de sombrer. Alors, ils appellent au secours : « Sauve-nous ! Nous périssons. » C’est aussi la prière de nombreux chrétiens d’aujourd’hui qui subissent la violence et la persécution. Mais Jésus est là et avec lui, les puissances du mal n’ont pas le dernier mot.
Si nous voulons rester fidèles à l’Evangile, nous serons exposés aux difficultés de notre temps : nous aurons à lutter contre le racisme, à prendre la défense des opprimés, à faire preuve de solidarité avec les plus pauvres. En affrontant le mal, les chrétiens peuvent se mettre en danger ou être tournés en dérision. Mais ils se rappellent qu’avec Jésus, il n’y a rien à craindre car il a vaincu toutes les formes de tempêtes. Avec lui, nous pouvons affronter les mêmes combats contre le mal et maîtriser toutes les tempêtes, celles de l’égoïsme, de la haine, de l’injustice et de la violence. Avec lui, nous avons la ferme assurance que c’est l’amour qui triomphera.
En ce jour, nous pouvons faire nôtre cette prière du chanteur Raymond Fau :
Tu es là au cœur de nos vies
Et c’est toi qui nous fais vivre
Tu es là au cœur de nos vies
Bien vivant, ô Jésus-Christ.
Source: Dimanche prochain
Prière de Saint Jean Eudes à Jésus Enfant
Nous vous adorons, ô Enfant Jésus, notre Roi, nous vous bénissons, nous vous aimons de tout notre coeur, de toute notre âme, de toutes nos forces; nous vous offrons, donnons, consacrons et immolons notre coeur. Recevez-le et gardez-le tout entier, purifiez-le, illuminez-le, afin que vous viviez et régniez en lui, maintenant, toujours et dans la suite des siècles. Ainsi soit-il.
Acte de consécration au saint Enfant Jésus
O saint Enfant Jésus, notre aimable roi, par les mains de votre auguste Mère, je me consacre à Vous. Daignez me prendre sous votre puissante protection, préservez-moi de maladie et de toute influence malsaine, gardez-moi pur et qu'à votre exemple je croisse en grâce et en vertu devant Dieu et devant les hommes!
Saint Enfant Jésus, bénissez-moi!
Prière de Sainte Faustine
L' APÔTRE DE LA Divine Miséricorde
" Je désire me transformer toute entière en Ta miséricorde et être ainsi un vivant reflet de Toi, ô Seigneur; que le plus grand des attributs divins, Ton insondable miséricorde, passe par mon âme et mon cœur sur le prochain.
Aide-moi, Seigneur, pour que mes yeux soient miséricordieux, pour que je ne soupçonne et ne juge jamais d'après les apparences extérieures, mais que je discerne la beauté dans l'âme de mon prochain et lui vienne en aide.
Aide-moi, Seigneur, pour que mon oreille soit miséricordieuse, afin que je me penche sur les besoins de mon prochain et ne reste pas indifférente à ses douleurs ni à ses plaintes.
Aide-moi, Seigneur, pour que ma langue soit miséricordieuse, afin que je ne dise jamais de mal de mon prochain, mais que j'aie pour chacun une parole de consolation et de pardon.
Aide-moi, Seigneur, pour que mes mains soient miséricordieuses et remplies de bonnes actions, afin que je sache faire du bien à mon prochain et prendre sur moi les tâches les plus lourdes et les plus déplaisantes.
Aide-moi, Seigneur, pour que mes pieds soient miséricordieux, pour me hâter au secours de mon prochain, en dominant ma propre fatigue et ma lassitude. Mon véritable repos est dans le service rendu à mon prochain.
Aide-moi, Seigneur, pour que mon coeur soit miséricordieux, afin que ressente moi-même les souffrances de mon prochain. Je ne refuserai mon coeur à personne. Je fréquenterai sincèrement même ceux qui, je le sais, vont abuser de ma bonté, et moi, je m'enfermerai dans le Coeur très miséricordieux de Jésus. Je tairai mes propres souffrances. Que Ta miséricorde repose en moi, ô mon Seigneur (...).
O mon Jésus, transforme-moi en Toi, car Tu peux tout. (163)"