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La mère de Jésus dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Jn 2, 5
Car si notre coeur nous condamnait, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît tout. 1 Jn 3, 20
Invoque-moi et je te répondrai; je t'annoncerai des choses grandes et cachées dont tu ne sais rien. Jr 33, 3
Date de création : 24.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai. Mt 11,28
A qui irions-nous seigneur jésus ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jn 6,68
Heureux les coeurs purs car ils veront Dieu. Mt 5, 8
Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils l'aient en abondance. Jn 10,10
Au matin de Pâques Il faisait sombre dans le cœur de Marie Madeleine et dans le cœur des apôtres. Pendant trois ans, ils avaient suivi Jésus et avaient mis en lui toute leur foi, toute leur confiance et tout leur amour. Ils pensaient qu’avec lui, une ère nouvelle était née, une ère de liberté, de justice et de bonheur. Mais voilà que depuis deux jours tout est fini. Jésus est mort sur la croix le vendredi soir et c’est la fin d’une belle aventure.
Il fait souvent bien sombre aussi dans notre cœur. Dans notre vie, il y a parfois des échecs, des épreuves, des souffrances. Pour certains c’est le chômage, pour d’autres l’accident, la longue maladie, le découragement. Quand tout va mal, on se dit que ça ne sert à rien de continuer et on a envie de tout abandonner. Mais voilà qu’en ce jour de Pâques, quelque chose de nouveau est en train de se passer. Jésus n’est plus dans son tombeau. Le linceul est toujours là, soigneusement plié. Il n’y a pas de trace d’un désordre qui aurait pu être provoqué par des violeurs de sépulture. Alors Jean croit en ce signe avant même d’avoir vu. Puis ce sont les onze apôtres qui voient Jésus leur apparaître, puis les disciples d’Emmaüs, Marie-Madeleine et d’autres encore...
Alors c’est la fête, c’est l’espérance qui renaît ; c’est la joie qui éclate. Non, la mort de Jésus n’est pas une fin mais un passage. La grande aventure va reprendre de plus belle et rien ne pourra l’arrêter. Tout le livre des Actes des Apôtres est là pour en témoigner. Pour nous, aujourd’hui, c’est une bonne nouvelle. Cet événement de Pâques nous dit que nous ne devons jamais nous avouer vaincus. Les échecs, les contrariétés, les difficultés ne doivent pas nous bloquer. Ils sont pour nous l’occasion de repartir d’une autre manière. Oui, un nouveau départ est toujours possible. Les apôtres ont connu cela. Pierre qui avait renié Jésus par trois fois aurait pu se dire :"Maintenant, c’est fini, je ne suis plus bon à rien ; personne ne voudra me faire confiance..." Or voilà que Jésus lui-même va venir à lui et il va lui redonner toute sa confiance. Il lui confiera la responsabilité de son Eglise. C’est ainsi que Pierre va devenir un homme nouveau (renouvelé). De même, les autres apôtres qui avaient abandonné Jésus au moment où il avait le plus besoin d’eux pensaient bien que tout était fini. Eux aussi, Jésus va les rejoindre, non pour leur faire des reproches mais pour leur donner sa paix. Eux aussi vont devenir des hommes nouveaux et ressuscités.
Par la suite, ils partiront proclamer la Bonne nouvelle. Ils ne reculeront ni devant les persécutions, ni devant la mort pour remplir la mission que Jésus leur a confiée. Croire en Jésus ressuscité, c’est croire en des rebondissements possibles, c’est croire en ce nouveau départ de Pâques. Cela veut dire que nous sommes invités à regarder notre vie, nos échecs, nos souffrances à la lumière de l’événement de Pâques. Le Christ ressuscité veut nous entraîner tous dans sa victoire.
Désormais, rien ne peut nous séparer de son amour. Pour lui, il n’y a jamais de situation désespérée. Vivre en ressuscité, c’est faire confiance en Dieu ; c’est être assuré que le monde ne va pas vers la mort mais qu’il est appelé à la vie. C’est être persuadé qu’à tout instant, je peux, devant Dieu, me relever ; Nous sommes tous aimés de Dieu, tels que nous sommes, malgré nos torpeurs, nos désabusements, malgré nos péchés et nos reniements. Vivre en ressuscité c’est aller dire aux autres qu’ils peuvent aussi se relever et marcher vers la lumière. Ils sont tous enfants de Dieu au même titre que chacun de nous. Les uns et les autres sont dignes de Dieu. Lui-même les veut près de lui pour toujours.
Père eternel, en ce jour de Pâques où ton Fils est sorti victorieux du tombeau, donne-nous la grâce de marcher en ressuscité avec lui, d'assumer pleinement notre rôle d'enfants de lumière dans ce monde de ténèbres et de violences.
Chapelet des Saintes Plaies
(sur un chapelet normal)
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Le chapelet des Saintes Plaies ne doit pas être confondu avec le chapelet de cinq plaies. En effet, le chapelet des Saintes Plaies se récite sur un chapelet normal. De plus, il permet de méditer sur l’ensemble des plaies qui furent infligées au corps meurtri de notre Seigneur Jésus-Christ durant tout son calvaire, c’est à dire du moment de son arrestation à sa crucifixion. L’examen du suaire montre ainsi la torture et la mutilation du corps du Christ (voir rubrique suaire)
Par ce chapelet, nous voyons et méditons sur la mort douloureuse du Christ pour nous, en rachat de nos péchés.
Ce chapelet est dû à Soeur Marie Marthe Chambon (1841-1907) qui assurait tenir de Jésus les deux invocations qui le compose. Elle disait avoir reçu du Seigneur la mission de raviver dans le monde la dévotion aux Saintes Plaies. Jésus lui assura entre autres: « Avec mes plaies et mon Coeur, vous pouvez tout obtenir », « Mes Plaies couvriront toutes vos fautes », « Offrez les moi souvent pour les pécheurs, car j’ai faim des âmes ».
Voici comment réciter ce chapelet:
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Sur la croix, on récite la prière suivante:
« O Jésus, divin rédempteur, soyez miséricordieux pour nous et pour le monde entier. Amen.
Dieu Saint, Dieu fort, Dieu immortel, ayez pitié de nous et du monde entier. Amen.
Grâce et miséricorde, mon Jésus, pendant les dangers présents. Couvrez nous de votre sang précieux! Amen.
Père éternel, faites-nous miséricorde par le sang de Jésus-Christ votre Fils unique. Faites-nous miséricorde, nous vous en conjurons. Amen. »
Sur les gros grains:
« Père éternel, je vous offre les Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ. Pour guérir celles de nos âmes. »
Sur les petits grains:
« Mon Jésus, pardon et miséricorde. Par les mérites de vos Saintes Plaies. »
A la fin du chapelet on récite 3 fois:
« Père éternel, faites-nous miséricorde par le sang de Jésus-Christ votre Fils unique. Faites-nous miséricorde, nous vous en conjurons. Amen. »
CONSECRATION AUX PLAIES DE JESUS-CHRIST
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Dieu tout puissant qui avez voulu vous incarner
Sous forme de l’une de vos créatures par amour pour moi,
Afin de supporter l’insupportable,
Je vous consacre ma vie et mon éternité.
O Saintes Plaies des mains de Jésus-Christ,
Je vous consacre mes mains,
Afin de travailler toujours à votre gloire.
O Saintes Plaies des pieds de Jésus-Christ,
Je vous consacre mes pieds,
Afin de marcher toujours à votre suite.
O Saintes Plaies du dos de Jésus-Christ,
Je vous consacre ma chair,
Afin qu’elle soit toujours soumise
A Votre Très Sainte Volonté.
O Saintes Plaies de la tête de Jésus-Christ,
Je vous consacre mon esprit,
Afin que mon intelligence
Ne soit pas un obstacle à ma sanctification.
O Saintes Plaies du Coeur de Jésus-Christ,
Je vous consacre mon coeur,
Afin que, désormais uni au votre,
Il déborde d’amour pour les hommes, mes frères.
O Très Précieux Sang de Jésus-Christ,
Je vous consacre tout mon sang,
Afin que désormais ne coule dans mes veines,
Que Foi, Espérance et Charité.
En ce dimanche des Rameaux nous voyons Jésus acclamé par les foules. Cette acclamation a été pour lui un "triomphe" bien modeste aussitôt contesté. La gloire pleinement réalisée pour Jésus a été son entrée dans la Jérusalem du ciel le jour de son Ascension. C'est à cette gloire que nous sommes tous appelés. Le Christ mort et ressuscité nous en ouvre le chemin. En participant à la procession avec des rameaux en main, nous tentons, maladroitement de célébrer Celui qui est le "Seigneur de gloire". Il ne s'agit pas seulement d'un geste liturgique. Ce qui glorifie le Seigneur, c'est d'en faire le "Roi" de nos vies. C'est un appel à vraiment écouter sa parole et à nous laisser guider par lui. Ses Paroles sont celles de la Vie éternelle.
Le Christ a voulu pour lui le chemin de l'obéissance et du dépouillement. Il s'en est remis totalement à son Père. C'est en passant par ce chemin qu'il est devenu pour l'univers entier le "Seigneur de gloire. La plénitude où Dieu nous convie passe par ce même chemin. C'est un appel de Jésus lui-même : "Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix, et qu'il me suive." La violence s'est déchaînée contre Jésus. Mais lui, il répond par l'amour. Dans sa Passion, il a triomphé du mal et de la mort par la douceur et la compassion. C'est cela la victoire de la Croix.
Nous vivons dans un monde qui souffre de la montée de la violence : actes terroristes, persécutions contre les chrétiens, insécurité dans certains quartiers, violences dans les écoles, les collèges, les lycées. Aujourd'hui, nous recevons cet évangile comme un appel à lutter positivement pour la vie, pour l'éducation et pour la paix. Le Christ nous montre que seul l'amour peut détruire la haine. La Passion selon Saint Luc est un appel très fort à la réconciliation. C'est la Bonne Nouvelle d'un amour qui pardonne et qui nous invite à recevoir le pardon que Dieu nous offre en son Fils. Tournons-nous vers la Croix du Christ. Comme lui nous implorons le Pardon du Père pour tous les hommes de notre temps : "Père, pardonne-leur !".Laissons-nous toucher par cette prière pour devenir à notre tour des témoins de la miséricorde de Dieu.
Bonjour frère et sœur
Aujourd'hui je vous invite à aller au sacrement de la réconciliation (la confession).
C'est très important de se confesser avant Pâques. Ainsi nous ressusciterons avec Jésus renouveler, purifier et un nouveau départ dans la vie. Quel que soit notre péché Dieu est miséricordieux et il pardonne toujours.
Je vous invite à participer à la préparation pénitentielle avant de faire votre confession. C’est très important d’identifier ses péchés sous la lumière de l’esprit saint.
Disons en toute sincérité nos péchés au prêtre car il n’est pas là pour nous juger mais à travers lui Dieu nous donne son pardon. Le Seigneur nous le dit : « je ne veux pas la mort du pécheur mais qu’il se repente et qu’il vive ».
Ne remettez pas à plus tard ce que vous pouvez faire aujourd’hui. Comme ce fils prodigue accourons en toute confiance vers notre Père car il nous attend les bras ouverts, il guette notre retour tous les jours. N’ayez pas peur Dieu n’est qu’amour et Il veut nous combler de sa grâce.
Bon et fructueux carême à tous ! Que maman Marie vous aide à faire le pas et à prendre le chemin de la maison du Père. Amen !
En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers.Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu,
et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? »Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu.Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Les textes bibliques de ce dimanche nous révèlent un Dieu libérateur et sauveur.
Dans son Evangile, saint Jean nous parle de la miséricorde qui libère. Il nous raconte le procès de cette femme coupable d’adultère. Ses accusateurs sont des scribes et des pharisiens, des experts de la loi de Moïse, des personnes reconnues pour leur ferveur religieuse. D’après la loi de Moïse, cette femme devait être lapidée. Mais s’ils se tournent vers Jésus, c’est d’abord pour le piéger. S’il refuse de la condamner, il ne respecte pas la loi de Moïse. Et s’il la condamne, il est en contradiction avec la miséricorde qu’il prêche.
Mais leur propre manœuvre se retourne contre eux : Jésus ouvre un nouveau procès, celui des accusateurs : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre. » Et voilà que chacun est renvoyé à sa propre conscience. Devant Dieu, personne n’est sans péché. D’une manière ou de l’autre, nous sommes tous coupables.
En lisant cet Evangile, nous pensons à tous les scandales, petits ou grands. Certains sont connus seulement de l’entourage familier. D’autres sont répandus par la Presse, la télé et Internet. Alors les langues vont bon train. Bien sûr, on ne lapide plus les pécheurs et les pècheresses. Mais on ricane, on dénonce celui qui a fauté ; on l’enfonce dans sa mauvaise réputation. On ne lui laisse aucune chance de s’en sortir.
C’est alors qu’il nous faut revenir à l’Évangile de ce jour : « Que celui qui n’a jamais péché soit le premier à lui jeter la pierre ». Jésus veut nous faire comprendre que nous sommes tous pécheurs, tous solidaires dans le péché. Avant de faire la leçon aux autres, nous avons besoin d’enlever la poutre qui est dans notre œil. Cette poutre, c’est l’orgueil et le mépris à l’égard de ceux qui ont fauté. Tout cela nous empêche d’accueillir l’amour qui est en Dieu. Nous ne devons jamais oublier que le Christ est venu chercher et sauver tous les pécheurs, mêmeceux qui ont commis le pire. Il veut nous ouvrir à tous un chemin d’espérance.
Comprenons bien : le péché est un mal qu’il faut combattre et rejeter. Mais le pécheur c’est quelqu’un qu’il faut guérir et sauver. Il a besoin d’être aidé pour qu’il puisse retrouver sa place dans la communauté des chrétiens. La vie chrétienne est un combat contre toutes les forces du mal. Mais pour ce combat, nous ne sommes pas seuls : Jésus est avec nous. Il ne nous enferme pas dans le péché que nous avons commis. Il sait que nous valons mieux que ça. Mais parce qu’il nous aime, il nous dit : « Va, et désormais ne pèche plus ! » Nous sommes faits pour l’amour, la liberté et la miséricorde. Nous sommes envoyés pour en être les témoins et les messagers dans ce monde qui en a tant besoin.
En ce jour, nous sommes venus à Jésus avec le désir d’accueillir sa parole et de nous laisser transformer par elle. Il peut changer nos cœurs de pierre en cœurs de chair. C’est avec lui que nous trouverons la joie d’aider, de soutenir, de consoler et d’aimer. Que sa Parole soit lumière pour notre monde et que son amour apaise ceux qui souffrent. Amen !
Chapelet de libération
Début:
je crois en Dieu (CREDO)
Sur les grains du Notre Père
Si Jésus me libère (ou le nom de la personne pour laquelle je prie, ou ma famille) je serais vraiment libre.
Sur les grains du Je Vous Salue Marie
Jésus prends pitié de moi,
Jésus sauve moi,
Jésus protège moi,
Jésus libère moi
A la fin du chapelet
Auguste Reine des cieux et Souveraine Maîtresse des Anges, toi qui, dès le commencement, as reçu de Dieu le pouvoir et la mission d’écraser la tête de Satan, nous te le demandons humblement, envoie les légions célestes pour que sous tes ordres, elles poursuivent les démons, les combattent partout, répriment leur audace et les refoulent dans l’abîme.
Qui est comme Dieu ?
O bonne et tendre Mère, tu seras toujours notre Amour et notre Espérance.
O divine Mère, envoie les Saints Anges pour me défendre et repousser loin de moi le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges, défendez-nous, gardez-nous.
Gloire au Père, et au Fils et au Saint Esprit, au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles.
Amen !
En ce temps de carême et aussi en cette année sainte de la miséricorde le pardon est au centre des enseignements et c’est aussi une des œuvres de miséricorde qui nous est demandé.
Nous avons tous un jour ou l’autre offensé notre semblable ou été offensé par l’un de nos frères. Cette offense a créé une blessure souvent très profonde. Le ressentiment que nous gardons, la colère, la haine nés de ces offenses, creusent un fossé entre nous et notre père céleste.
Notre Dieu est un Dieu d’amour qui pardonne toujours lorsque nous revenons de tout cœur à lui.La parabole du méchant serviteur dans Matthieu 18:23-35 nous montre que Dieu est toujours prêt à nous remettre nos dettes quand nous le supplions.De ce fait en nous accordant son pardon il nous demande d’en faire de même avec nos frères et sœurs. En le refusant comme ce méchant serviteur nous nous condamnons puisque dans le Notre Père nous disons : « Pardonne nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé ». Si nous voulons que le Seigneur nous pardonne et efface nos dettes envers Lui nous devons aussi de tout cœur pardonné aux autres leurs offenses même si c’est douloureux.
Refuser de pardonner nous livre à des tourments.La parabole du serviteur impitoyable se termine dans les tourments. Le maître livre aux bourreaux le serviteur impitoyable qui refuse de pardonner et d'offrir la grâce qu'il a lui-même reçue.
Quels sont les bourreaux qui tourmentent ceux qui ne pardonnent pas ?
L'amertume, la haine, la rancune, le désir de vengeance, la pitié de soi, l'esprit de jugement... "Voilà comment mon Père céleste vous traitera si vous ne pardonnez pas". Vous serez livrés aux tourments de ces bourreaux. Vous serez prisonniers de ces pensées et de ces sentiments que vous ne voulez pas abandonner. Ils vont vous tourmenter et vous détruire. Au départ, ces murs que vous dressez devant la personne qui vous a blessé, vont assurer une certaine protection, mais petit à petit vous allez construire votre propre prison et vos tourments. Ces murs vont aussi vous éloignez des personnes que vous aimez car vous devenez insupportable, facilement irritable et renfermez sur vous-même et vos blessures.
Le manque de pardon engendre bien des maux dans nos vies.Quand nous sommes offensés, nous devons comprendre que le non pardon est un obstacle à nos prières et à la bénédiction de Dieu sur notre vie, alors que le pardon va nous introduire dans une intimité nouvelle avec le Seigneur, rendre nos prières efficaces et libérer l'action de Dieu dans notre situation.
Certains diront : "Je ne peux pas pardonner". La question première n'est pas de pouvoir (c'est la puissance de Dieu) mais de vouloir. Tant que nous résistons à la décision de pardonner, nous résistons à Dieu et Il nous résiste.
Pardonner signifie-t-il oublié ?
Bien-sûr que non. Il est des blessures que l’on n’oublie pas. Dans certaines situations tragiques, le chemin vers la guérison semble passer par une prise de conscience de la profondeur du mal plus que par l’oubli. On n’évacue pas le mal – il reste de toutes façons –, mais on peut ne pas s’y dérober pour le laisser peu à peu s’abîmer dans l’amour, puis se transformer. Si l’Ancien Testament parle de la colère de Dieu, c’est que Dieu a mal et que son amour envers Israël est blessé par les infidélités de son peuple.
Démarches pour pardonner
Le pardon que nous donnons ne doit pas être le résultat de la repentance de celui ou celle qui nous a offensé. Nous devons entrer dans une démarche de pardon car en pardonnant nous sommes libérés et réconciliés avec Dieu et avec nous-même. Faisons cette démarche de pardon et de réconciliation devant le Saint Sacrement.
· Prendre conscience de notre douleur et exposons calmement notre peine au Seigneur.
· Demander pardon à Dieu de nous être centrer sur nous-même, sur nos blessures et d’avoir causé du tort à ceux que nous aimons
· Décider de remettre nos blessures au Seigneurcar le poids de cette souffrance nous écrase et nous empêche d’avancer librement avec notre Seigneur.
· Et enfin : Seigneur Jésus, aujourd’hui devant toi, en ton Nom et par la puissance de ton Esprit Saint je pardonne à toutes ces personnes qui m’ont blessés et j’accueille aussi le pardon que tu me donne. Amen !
· Prier aussi le Seigneur pour la conversion de ces personnes.
Si au contraire c’est nous qui avons causé du tort à autrui et que nous voulons demander pardon : reconnaissons notre péché devant le Seigneur et demandons pardon, confier cette personne au Seigneur afin qu’il touche son cœur et lui rende disponible à notre demande de pardon et allons vers cette personne avec la force et la paix de l’esprit saint et présentons lui notre demande. Si cette personne accueille notre pardon tant mieux pour nous ; mais si elle refuse nous avons fait notre part le reste appartient à Dieu.
Le sacrement de réconciliation ou confession est le lieu par excellence pour recevoir le pardon de Dieu.
Souvent comme preuve du pardon donné Dieu peut nous demander de faire un pas vers celui ou celle qui nous a offensé. Cela peut être douloureux mais c’est par notre obéissance que la gloire de Dieu va se manifester. A la confession de noël pendant la préparation pénitentielle j’ai compris que j’avais offensé le cœur de Dieu en haïssant mon frère qui m’avait rejeté à cause de ma conversion et de mon baptême. J’ai confessé cela au prêtre et j’ai demandé pardon. Après la confession je sentant en mon cœur que je devais faire un pas vers mon frère. Cela était dur mais en lui parlant la première Dieu nous a réconcilié. Aujourd’hui on est redevenu ce frère et cette sœur qui se taquinait avant et discutais beaucoup ensemble. Mais aussi avec un plus il m’accepte avec ma foi.
BON ET SAINT CARÊME A TOUS !
Que Dieu agrée nos efforts et nos pénitences et exauce nos prières. Amen !
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! »Alors Jésus leur dit cette parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : “Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.” Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors il rentra en lui-même et se dit : “Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.” Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.” Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.” Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait.Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.” Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier.Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !” Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »
En ce 4ème dimanche du carême, nous sommes tous appelés à la joie. Le prophète Isaïe nous y invite : « Réjouissez-vous avec Jérusalem. Exultez avec elle vous tous qui l’aimez. Avec elle, soyez dans l’allégresse, vous qui portez son deuil. » La raison de cette joie, c’est la découverte progressive du monde de Dieu, le monde dans lequel Dieu nous appelle tous à vivre.
Le monde nouveau est déjà né. Ce monde c’est celui de la réconciliation et de la paix ; c’est le monde du pardon mutuel et de la tolérance ; c’est le monde du partage fraternel. Tel est le monde de Dieu. Pour y entrer, Le Seigneur nous invite à nous laisser réconcilier avec lui et entre nous. Dieu qui nous manifeste sa miséricorde nous demande d’être miséricordieux avec tous ceux et celles qui nous entourent. Nous sommes sauvés en Jésus et nous travaillons à ce salut qui vient.
Mais pour cela, il nous faut encore redécouvrir le vrai visage de Dieu. L’évangile de ce jour va nous y aider. C’est la parabole du fils prodigue. Nous avons entendu l’histoire de ce garçon qui réclame à son père sa part d’héritage. Un fils qui part loin de sa famille et qui coupe toute relation avec elle, c’est un drame. Il ne peut plus participer aux joies et aux peines des siens parce qu’on ne sait plus où le joindre. Nous connaissons tous des familles qui vivent ce drame.
Ce fils dont nous parle l’Évangile part donc pour un pays lointain. Il dépense toute sa fortune dans une vie de débauche. Il finit par la pire déchéance pour un juif : garder les cochons, ces animaux impurs d’après la loi. Nous pensons aujourd’hui à tous ceux et celles qui se retrouvent à la rue ou en prison. Ce fils prodigue décide donc de revenir vers son père. Ce retour n’est pas dû à une vraie contrition mais à la faim qui le tenaille. Comme le père de la parabole, Dieu fait le premier pas vers nous. Il nous offre son pardon gratuit. Tel est le monde de Dieu, un Dieu qui nous accueille tels que nous sommes, avec nos lèpres et nos souillures, sans nous juger. Il est absolument bouleversé par le mal que nous nous faisons à nous-mêmes.
La grande joie de notre Dieu c’est de nous guérir et de nous accueillir. Il est incapable d’en vouloir à ses enfants, quoi qu’ils aient fait. Dieu est miséricorde. Il n’est que miséricorde, même pour le pire des hommes, ou plutôt celui qui a commis le pire. Nous sommes tous aimés de Dieu. Son Royaume est offert à tous. Il nous appartient de le dire et le redire à ceux qui ne le savent pas.
Il est urgent pour nous d’entrer dans ce monde de Dieu, monde de la miséricorde, de la gratuité et du pardon. Nous ressemblons trop souvent au fils aîné qui se contente de servir son père comme un simple salarié. Au lieu d’accueillir son frère il le juge et le condamne. Au premier abord il a raison : ce frère a fauté ; il a déshonoré sa famille ; il doit assumer les conséquences de ses actes.
Mais Dieu ne voit pas les choses ainsi. Sa grande joie c’est d’abord de retrouver son enfant : « il était mort, il est revenu à la vie. Il était perdu et le voilà retrouvé ! Entre donc dans la joie de ton père ! ». Ce carême de l’année jubilaire nous est proposé comme un temps fort pour expérimenter et célébrer la miséricorde de Dieu.
Entrons dans la joie du pardon et de la réconciliation où l’on oublie le passé. Puissions-nous accueillir cette joie que Dieu nous offre et nous ouvrir à son Royaume.
PRIÈRE DE DELIVRANCE AUX NEUF CHŒURS ANGÉLIQUES
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SÉRAPHINS ARDENTS, vous qui, placés au foyer éternel de l'amour, plongez sans cesse vos regards dans les rayons du Soleil de Justice, allumez dans nos cœurs, par la vertu du Sang divin, le feu sacré dont vous êtes consumés.
CHÉRUBINS TRÈS ÉCLAIRÉS, vous qui êtes admis dans les secrets de Dieu, dissipez les ténèbres de nos âmes ; et, par la vertu du Sang divin, faites briller à nos yeux cette lumière surnaturelle qui nous fait bien comprendre les vérités du salut.
TRÔNES SUBLIMES ET ÉBLOUISSANTS DE BEAUTÉ, vous sur qui repose le Tout-Puissant, et qui intimez Ses ordres aux Anges inférieurs, obtenez-nous, par la vertu du Sang divin, la paix avec Dieu, avec le prochain et avec nous-même.
DOMINATIONS SUPRÊMES, vous qui avez autorité sur tous les chœurs angéliques chargés d'exécuter les ordres de Dieu, régnez sur nos esprits et sur nos cœurs, et, par la vertu du Sang divin, aidez-nous à connaître et à accomplir fidèlement la volonté de Dieu.
PUISSANCES INVINCIBLES, vous qui avez pour mission d'écarter les obstacles et d'éloigner les ennemis qui s'opposent à l'exercice des volontés divines, défendez-nous contre les attaques du démon, du monde et de la chair, et, par la vertu du Sang divin, rendez-nous victorieux dans nos luttes contre cette triple puissance.
VERTUS CÉLESTES, qui veillez à l'harmonie de la création matérielle, vous dont le nom signifie force, ayez pitié de notre faiblesse et obtenez-nous, par la vertu du Sang divin, que nous souffrions avec patience tous les maux de cette vie.
PRINCIPAUTÉS SOUVERAINES, vous qui êtes princes des Nations, nous vous conjurons de veiller d'une manière efficace sur notre patrie, afin qu'elle réalise les desseins de Dieu sur elle. Gouvernez aussi nos âmes et nos corps et, par la vertu du Sang divin, daignez nous faire atteindre nos destinées éternelles.
ARCHANGES TRÈS NOBLES, vous qui, sous le commandement de Saint Michel, gardez et protégez la sainte Église, daignez la délivrer de ses ennemis intérieurs et extérieurs. Veillez aussi sur le Père commun des fidèles, ainsi que sur tous les enfants de cette Épouse immaculée du Christ ; et, par la vertu du Sang divin, faites-nous vivre et mourir dans sa Foi, son Espérance et sa Charité, afin que nous soyons éternellement unis à son divin chef, Jésus-Christ Notre Seigneur.
ANGES TRÈS SAINTS, vous que le zèle des intérêts de Dieu transporte plus rapidement que l'éclair partout où ils doivent être sauvegardés, protégez sa cause dans nos âmes, et, par la vertu du Sang divin, obtenez-nous la grâce insigne de la persévérance finale. Ainsi soit-il.