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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour : 31.01.2016
113496 articles


ce que c est que la mort

Publié à 11:53 par angeoudemongif Tags : homme mort ange neige
ce que c est que la mort

Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;
On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ;
On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ;
On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil,
La sombre égalité du mal et du cercueil ;
Quoique le plus petit vaille le plus prospère ;
Car tous les hommes sont les fils du même père ;
Ils sont la même larme et sortent du même œil.
On vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ;
On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe,
On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe.
Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu
Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu,
Impur, hideux, noué des mille nœuds funèbres
De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ;
Et soudain on entend quelqu’un dans l’infini
Qui chante, et par quelqu’un on sent qu’on est béni,
Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante
L’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante.
On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent
Fondre et vivre ; et, d’extase et d’azur s’emplissant,
Tout notre être frémit de la défaite étrange

Du monstre qui devient dans la lumière un ange.

cadaver

Publié à 11:48 par angeoudemongif Tags : vie enfants amis sourire dieu mort fleur oiseau
cadaver

Ô mort ! heure splendide ! ô rayons mortuaires !
Avez-vous quelquefois soulevé des suaires ?
Et, pendant qu’on pleurait et, qu’au chevet du lit,
Frères, amis, enfants, la mère qui pâlit,
Éperdus, sanglotaient dans le deuil qui les navre,
Avez-vous regardé sourire le cadavre ?
Tout à l’heure il râlait, se tordait, étouffait ;
Maintenant il rayonne. Abîme ! qui donc fait
Cette lueur qu’a l’homme en entrant dans les ombres ?
Qu’est-ce que le sépulcre ? et d’où vient, penseurs sombres,
Cette sérénité formidable des morts ?
C’est que le secret s’ouvre et que l’être est dehors ;
C’est que l’âme — qui voit, puis brille, puis flamboie, —
Rit, et que le corps même a sa terrible joie.
La chair se dit : — Je vais être terre, et germer,
Et fleurir comme sève, et, comme fleur, aimer !
Je vais me rajeunir dans la jeunesse énorme
Du buisson, de l’eau vive, et du chêne, et de l’orme,
Et me répandre aux lacs, aux flots, aux monts, aux prés,
Aux rochers, aux splendeurs des grands couchants pourprés,
Aux ravins, aux halliers, aux brises de la nue,
Aux murmures profonds de la vie inconnue !
Je vais être oiseau, vent, cri des eaux, bruit des cieux,
Et palpitation du tout prodigieux ! —
Tous ces atomes las, dont l’homme était le maître,
Sont joyeux d’être mis en liberté dans l’être,
De vivre, et de rentrer au gouffre qui leur plaît.
L’haleine, que la fièvre aigrissait et brûlait,
Va devenir parfum, et la voix harmonie ;
Le sang va retourner à la veine infinie,
Et couler, ruisseau clair, aux champs où le bœuf roux
Mugit le soir avec l’herbe jusqu’aux genoux ;
Les os ont déjà pris la majesté des marbres ;
La chevelure sent le grand frisson des arbres,
Et songe aux cerfs errants, au lierre, aux nids chantants
Qui vont l’emplir du souffle adoré du printemps.
Et voyez le regard, qu’une ombre étrange voile,
Et qui, mystérieux, semble un lever d’étoile !

Oui, Dieu le veut, la mort, c’est l’ineffable chant
De l’âme et de la bête à la fin se lâchant ;
C’est une double issue ouverte à l’être double.
Dieu disperse, à cette heure inexprimable et trouble,
Le corps dans l’univers et l’âme dans l’amour.
Une espèce d’azur que dore un vague jour,
L’air de l’éternité, puissant, calme, salubre,
Frémit et resplendit sous le linceul lugubre ;
Et des plis du drap noir tombent tous nos ennuis.
La mort est bleue. Ô mort ! ô paix ! l’ombre des nuits,
Le roseau des étangs, le roc du monticule,
L’épanouissement sombre du crépuscule,
Le vent, souffle farouche ou providentiel,
L’air, la terre, le feu, l’eau, tout, même le ciel,
Se mêle à cette chair qui devient solennelle.

Un commencement d’astre éclôt dans la prunelle.

poeme

poeme

Temps futurs ! vision sublime !
Les peuples sont hors de l’abîme.
Le désert morne est traversé.
Après les sables, la pelouse ;
Et la terre est comme une épouse,
Et l’homme est comme un fiancé !

Dès à présent l’oeil qui s’élève
Voit distinctement ce beau rêve
Qui sera le réel un jour ;
Car Dieu dénoûra toute chaîne,
Car le passé s’appelle haine
Et l’avenir se nomme amour !

Dès à présent dans nos misères
Germe l’hymen des peuples frères ;
Volant sur nos sombres rameaux,
Comme un frelon que l’aube éveille,
Le progrès, ténébreuse abeille,
Fait du bonheur avec nos maux.

Oh ! voyez ! la nuit se dissipe.
Sur le monde qui s’émancipe,
Oubliant Césars et Capets,
Et sur les nations nubiles,
S’ouvrent dans l’azur, immobiles,
Les vastes ailes de la paix !

Ô libre France enfin surgie !
Ô robe blanche après l’orgie !
Ô triomphe après les douleurs !
Le travail bruit dans les forges,
Le ciel rit, et les rouges-gorges
Chantent dans l’aubépine en fleurs !

La rouille mord les hallebardes.
De vos canons, de vos bombardes
Il ne reste pas un morceau
Qui soit assez grand, capitaines,
Pour qu’on puisse prendre aux fontaines
De quoi faire boire un oiseau.

Les rancunes sont effacées ;
Tous les coeurs, toutes les pensées,
Qu’anime le même dessein,
Ne font plus qu’un faisceau superbe ;
Dieu prend pour lier cette gerbe
La vieille corde du tocsin.

Au fond des cieux un point scintille.
Regardez, il grandit, il brille,
Il approche, énorme et vermeil.
Ô République universelle,
Tu n’es encor que l’étincelle,
Demain tu seras le soleil !

II

Fêtes dans les cités, fêtes dans les campagnes !
Les cieux n’ont plus d’enfers, les lois n’ont plus de bagnes.
Où donc est l’échafaud ? ce monstre a disparu.
Tout renaît. Le bonheur de chacun est accru
De la félicité des nations entières.
Plus de soldats l’épée au poing, plus de frontières,
Plus de fisc, plus de glaive ayant forme de croix.
L’Europe en rougissant dit : – Quoi ! j’avais des rois !
Et l’Amérique dit. – Quoi ! j’avais des esclaves !
Science, art, poésie, ont dissous les entraves
De tout le genre humain. Où sont les maux soufferts ?
Les libres pieds de l’homme ont oublié les fers.
Tout l’univers n’est plus qu’une famille unie.
Le saint labeur de tous se fond en harmonie
Et la société, qui d’hymnes retentit,
Accueille avec transport l’effort du plus petit
L’ouvrage du plus humble au fond de sa chaumière
Emeut l’immense peuple heureux dans la lumière
Toute l’humanité dans sa splendide ampleur
Sent le don que lui fait le moindre travailleur ;
Ainsi les verts sapins, vainqueurs des avalanches,
Les grands chênes, remplis de feuilles et de branches,
Les vieux cèdres touffus, plus durs que le granit,
Quand la fauvette en mai vient y faire son nid,
Tressaillent dans leur force et leur hauteur superbe,
Tout joyeux qu’un oiseau leur apporte un brin d’herbe.

Radieux avenir ! essor universel !
Epanouissement de l’homme sous le ciel !

III

Ô proscrits, hommes de l’épreuve,
Mes compagnons vaillants et doux,
Bien des fois, assis près du fleuve,
J’ai chanté ce chant parmi vous ;

Bien des fois, quand vous m’entendîtes,
Plusieurs m’ont dit : « Perds ton espoir.
Nous serions des races maudites,
Le ciel ne serait pas plus noir !

» Que veut dire cette inclémence ?
Quoi ! le juste a le châtiment !
La vertu s’étonne et commence
A regarder Dieu fixement.

» Dieu se dérobe et nous échappe.
Quoi donc ! l’iniquité prévaut !
Le crime, voyant où Dieu frappe,
Rit d’un rire impie et dévot.

» Nous ne comprenons pas ses voies.
Comment ce Dieu des nations
Fera-t-il sortir tant de joies
De tant de désolations ?

» Ses desseins nous semblent contraires
A l’espoir qui luit dans tes yeux… »
- Mais qui donc, ô proscrits, mes frères,
Comprend le grand mystérieux ?

Qui donc a traversé l’espace,
La terre, l’eau, l’air et le feu,
Et l’étendue où l’esprit passe ?
Qui donc peut dire : « J’ai vu Dieu !

» J’ai vu Jéhova ! je le nomme !
Tout à l’heure il me réchauffait.
Je sais comment il a fait l’homme,
Comment il fait tout ce qu’il fait !

» J’ai vu cette main inconnue
Qui lâche en s’ouvrant l’âpre hiver,
Et les tonnerres dans la nue,
Et les tempêtes sur la mer,

» Tendre et ployer la nuit livide ;
Mettre une âme dans l’embryon ;
Appuyer dans l’ombre du vide
Le pôle du septentrion ;

» Amener l’heure où tout arrive ;
Faire au banquet du roi fêté
Entrer la mort, ce noir convive
Qui vient sans qu’on l’ait invité ;

» Créer l’araignée et sa toile,
Peindre la fleur, mûrir le fruit,
Et, sans perdre une seule étoile,
Mener tous les astres la nuit ;

» Arrêter la vague à la rive ;
Parfumer de roses l’été ;
Verser le temps comme une eau vive
Des urnes de l’éternité ;

» D’un souffle, avec ses feux sans nombre,
Faire, dans toute sa hauteur,
Frissonner le firmament sombre
Comme la tente d’un pasteur ;

» Attacher les globes aux sphères
Par mille invisibles liens…
Toutes ces choses sont très claires.
Je sais comment il fait ! j’en viens ! »

Qui peut dire cela ? personne.
Nuit sur nos coeurs ! nuit sur nos yeux !
L’homme est un vain clairon qui sonne.
Dieu seul parle aux axes des cieux.

IV

Ne doutons pas ! croyons ! La fin, c’est le mystère.
Attendons. Des Nérons comme de la panthère
Dieu sait briser la dent.
Dieu nous essaie, amis. Ayons foi, soyons cannes,
Et marchons. Ô désert ! s’il fait croître des palmes,
C’est dans ton sable ardent !

Parce qu’il ne fait pas son oeuvre tout de suite,
Qu’il livre Rome au prêtre et Jésus au jésuite,
Et les bons au méchant,
Nous désespérerions ! de lui ! du juste immense !
Non ! non ! lui seul connaît le nom de la -semence
Qui germe dans son champ.

Ne possède-t-il pas toute la certitude ?
Dieu ne remplit-il pas ce monde, notre étude,
Du nadir au zénith ?
Notre sagesse auprès de la sienne est démence.
Et n’est-ce pas à lui que la clarté commence,
Et que l’ombre finit ?

Ne voit-il pas ramper les hydres sur leurs ventres ?
Ne regarde-t-il pas jusqu’au fond de leurs antres
Atlas et Pélion ?
Ne connaît-il pas l’heure où la cigogne émigre ?
Sait-il pas ton entrée et ta sortie, ô tigre,
Et ton antre, ô lion ?

Hirondelle, réponds, aigle à l’aile sonore,
Parle, avez-vous des nids que l’Eternel ignore ?
Ô cerf, quand l’as-tu fui ?
Renard, ne vois-tu pas ses yeux dans la broussaille ?
Loup, quand tu sens la nuit une herbe qui tressaille,
Ne dis-tu pas : c’est lui !

Puisqu’il sait tout cela, puisqu’il peut toute chose,
Que ses doigts font jaillir les effets de la cause
Comme un noyau d’un fruit,
Puisqu’il peut mettre un ver dans les pommes de l’arbre,
Et faire disperser les colonnes de marbre
Par le vent de la nuit ;

Puisqu’il bat l’océan pareil au boeuf qui beugle,
Puisqu’il est le voyant et que l’homme est l’aveugle,
Puisqu’il est le milieu,
Puisque son bras nous porte, et puisqu’à soir passage
La comète frissonne ainsi qu’en une cage
Tremble une étoupe en feu ;

Puisque l’obscure nuit le connaît, puisque l’ombre
Le voit, quand il lui plaît, sauver la nef qui sombre,
Comment douterions-nous,
Nous qui, fermes et purs, fiers dans nos agonies,
Sommes debout devant toutes les tyrannies,
Pour lui seul à genoux !

D’ailleurs, pensons. Nos jours sont des jours d’amertume,
Mais quand nous étendons les bras dans cette brume,
Nous sentons une main ;
Quand nous marchons, courbés, dans l’ombre du martyre,
Nous entendons quelqu’un derrière nous nous dire :
C’est ici le chemin.

Ô proscrits, l’avenir est aux peuples ! Paix, gloire,
Liberté, reviendront sur des chars de victoire
Aux foudroyants essieux ;
Ce crime qui triomphe est fumée et mensonge,
Voilà ce que je puis affirmer, moi qui songe
L’oeil fixé sur les cieux !

Les césars sont plus fiers que les vagues marines,
Mais Dieu dit : « Je mettrai ma boucle en leurs narines,
Et dans leur bouche un mors,
Et je les traînerai, qu’on cède ou bien qu’on lutte,
Eux et leurs histrions et leurs joueurs de flûte,
Dans l’ombre où sont les morts. »

Dieu dit ; et le granit que foulait leur semelle
S’écroule, et les voilà disparus pêle-mêle
Dans leurs prospérités !
Aquilon ! aquilon ! qui viens battre nos portes,
Oh ! dis-nous, si c’est toi, souffle, qui les emportes,
Où les as-tu jetés ?

V

Bannis ! bannis ! bannis ! c’est là la destinée.
Ce qu’apporté le flux sera dans la journée
Repris par le reflux.
Les jours mauvais fuiront sans qu’on sache leur nombre,
Et les peuples joyeux et se penchant sur l’ombre
Diront : Cela n’est plus !

Les temps heureux luiront, non pour la seule France,
Mais pour tous. On verra dans cette délivrance,
Funeste au seul passé,
Toute l’humanité chanter, de fleurs couverte,
Comme un maître qui rentre en sa maison déserte
Dont on l’avait chassé.

Les tyrans s’éteindront comme des météores.
Et, comme s’il naissait de la nuit deux aurores
Dans le même ciel bleu,
Nous vous verrous sortir de ce gouffre où nous sommes,
Mêlant vos deux rayons, fraternité des hommes,
Paternité de Dieu !

Oui, je vous le déclare, oui, je vous le répète,
Car le clairon redit ce que dit la trompette,
Tout sera paix et jour !
Liberté ! plus de serf et plus de prolétaire !
Ô sourire d’en haut ! ô du ciel pour la terre
Majestueux amour !

L’arbre saint du Progrès, autrefois chimérique,
Croîtra, couvrant l’Europe et couvrant l’Amérique,
Sur le passé détruit,
Et, laissant l’éther pur luire à travers ses branches,
Le jour, apparaîtra plein de colombes blanches,
Plein d’étoiles, la nuit.

Et nous qui serons morts, morts dans l’exil peut-être,
Martyrs saignants, pendant que les hommes, sans maître,
Vivront, plus fiers, plus beaux,
Sous ce grand arbre, amour des cieux qu’il avoisine,
Nous nous réveillerons pour baiser sa racine
Au fond de nos tombeaux !

les pays bas dos au mur

Publié à 11:44 par angeoudemongif Tags : monde amis france 2010
les pays bas dos au mur

Match de la dernière chance pour les Pays-Bas, qui affrontent le Portugal, ce dimanche soir, à Kharkov, pour le compte de la troisième journée du groupe B de l'Euro 2012. Finalistes de la dernière Coupe du monde, les joueurs néerlandais n'ont plus leur destin entre les pieds. Voici le pourquoi du comment de cette élimination possible et inattendue.



Malgré un zéro pointé, les Pays-Bas se qualifieront s'ils l'emportent par au moins deux buts d'écart contre le Portugal, ce dimanche soir, à Kharkov, et qu'en même temps l'Allemagne gagne face au Danemark. Chose plus facile à dire qu'à faire, c'est vrai. Surtout quand on sait que les Oranje n'ont remporté qu'un seul de leurs dix matches devant la Selecção (un succès 1-0 à Rotterdam en éliminatoires de l'Euro 1992) et que la sélection portugaise a systématiquement battu son homologue néerlandaise en phase finale d'un tournoi international, aussi bien en Coupe du monde (1-0 en 2006), que lors d'un championnat d'Europe (2-1 en 2004).

Voilà pour les chiffres, pas vraiment favorables aux hommes de Bert van Marwijk. Et les paroles dans tout cela ? "Je suis ici pour devenir champion d'Europe, soutient Wesley Sneijder, qui garde espoir malgré tout. J'y crois encore, mais il faut jouer davantage en équipe, comme les Allemands l'ont fait" mercredi. Quatre jours après avoir buté contre le Danemark (0-1), équipe présumée la plus faible du groupe B, les Pays-Bas, finalistes du dernier Mondial, avaient encore échoué cette fois face à un rival d'un tout autre calibre, en l'occurrence l'Allemagne (1-2), mais auquel ils ont facilité la tâche en ne parvenant pas à parfaire leur expression collective, en n'étant pas assez agressifs en défense ou au milieu et pas assez dangereux sur les ailes.

"Il n'y a aucune cohésion entre nos lignes, déplorait dans la foulée Arjen Robben, qui n'a converti aucun de ses 29 derniers tirs, soit depuis la finale de la Ligue des champions perdue avec le Bayern Munich (club et sélection confondus). Il y a des espaces et nous ne communiquons pas, donc c'est difficile de récupérer le ballon. Nous ne sommes pas aussi forts sur le plan collectif que nous l'étions il y a deux ans". Sneijder abonde dans le même sens que son compatriote: "Nos automatismes semblent avoir disparu. C'est fou ! Je ne comprends pas ce qu'il nous arrive".

Il y a dans cette formation des Pays-Bas arrivée en Ukraine pleine de certitudes quelque chose de l'équipe de France de 2002, éliminée sans gloire de la Coupe du monde en Corée du Sud et au Japon. Ils ont survolé les qualifications et comptent dans leurs rangs le meilleur buteur de Premier League (Robin van Persie, 30) et celui de Bundesliga (Klaas-Jan Huntelaar, 29). D'où, peut-être, une guerre des égos ? "Bien sûr que l'ambiance n'est pas la même qu'en 2010. C'est normal quand on ne gagne pas. Cela dit, il n'est pas nécessaire que nous soyons tous amis pour jouer ensemble et gagner des matches. Et je n'ai pas l'impression qu'il y ait des clans, des petits groupes qui s'opposent. Si c'était le cas, je réagirais", répond Sneijder, patron du vestiaire néerlandais, en guise de conclusion. Mais le mal n'est-il pas déjà fait ?

billet du matin

Publié à 11:37 par angeoudemongif Tags : image moi amour sourire dieu nuit rose coeurs
billet du matin

Si les liens des coeurs ne sont pas des mensonges,
Oh! dites, vous devez avoir eu de doux songes,
Je n’ai fait que rêver de vous toute la nuit.
Et nous nous aimions tant! vous me disiez: -Tout fuit,
-Tout s’éteint, tout s’en va; ta seule image reste.-
Nous devions être morts dans ce rêve céleste;
Il semblait que c’était déjà le paradis.
Oh! oui, nous étions morts, bien sûr; je vous le dis.
Nous avions tous les deux la forme de nos âmes.
Tout ce que, l’un de l’autre, ici-bas nous aimâmes
Composait notre corps de flamme et de rayons,
Et, naturellement, nous nous reconnaissions.
Il nous apparaissait des visages d’aurore
Qui nous disaient: -C’est moi!- la lumière sonore
Chantait; et nous étions des frissons et des voix.
Vous me disiez: -Écoute!- et je répondais: -Vois!-
Je disais: -Viens-nous-en dans les profondeurs sombres;
-Vivons; c’est autrefois que nous étions des ombres.-
Et, mêlant nos appels et nos cris: -Viens! oh! viens!
-Et moi, je me rappelle, et toi, tu te souviens.-
Éblouis, nous chantions: — C’est nous-mêmes qui sommes
Tout ce qui nous semblait, sur la terre des hommes,
Bon, juste, grand, sublime, ineffable et charmant;
Nous sommes le regard et le rayonnement;
Le sourire de l’aube et l’odeur de la rose,
C’est nous; l’astre est le nid où notre aile se pose;
Nous avons l’infini pour sphère et pour milieu,

L’éternité pour l’âge; et, notre amour, c’est Dieu.

o soleil o face divine

Publié à 11:36 par angeoudemongif Tags : coeur nature fleurs
o soleil o face divine

Ô soleil, ô face divine,
Fleurs sauvages de la ravine,
Grottes où l’on entend des voix,
Parfums que sous l’herbe ou devine,
Ô ronces farouches des bois,

Monts sacrés, hauts comme l’exemple,
Blancs comme le fronton d’un temple,
Vieux rocs, chêne des ans vainqueur,
Dont je sens, quand je vous contemple,
L’âme éparse entrer dans mon coeur,

Ô vierge forêt, source pure,
Lac limpide que l’ombre azure,
Eau chaste où le ciel resplendit,
Conscience de la nature,

Que pensez-vous de ce bandit ?

GIF CELINE DION

Publié à 11:35 par angeoudemongif Tags : GIF CELINE DION gif
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Publié à 11:35 par angeoudemongif Tags : GIF CELINE DION gif
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Publié à 11:35 par angeoudemongif Tags : GIF CELINE DION gif
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Publié à 11:28 par angeoudemongif Tags : GIF EVA LONGORIA gif
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