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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour : 31.01.2016
113496 articles


belle image

Publié à 10:59 par angeoudemongif Tags : image belle belle image
belle image

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horror

Publié à 10:58 par angeoudemongif Tags : vie moi chez fond création bienvenue nature nuit femmes mort enfant neige anges chevaux
horror

Esprit mystérieux qui, le doigt sur ta bouche,
Passes… ne t’en va pas ! parle à l’homme farouche
Ivre d’ombre et d’immensité,
Parle-moi, toi, front blanc qui dans ma nuit te penches ;
Réponds-moi, toi qui luis et marches sous les branches,
Comme un souffle de la clarté !

Est-ce toi que chez moi minuit parfois apporte ?
Est-ce toi qui heurtais l’autre nuit à ma porte,
Pendant que je ne dormais pas ?
C’est donc vers moi que vient lentement ta lumière ?
La pierre de mon seuil peut-être est la première
Des sombres marches du trépas.

Peut-être qu’à ma porte ouvrant sur l’ombre immense,
L’invisible escalier des ténèbres commence ;
Peut-être, ô pâles échappés,
Quand vous montez du fond de l’horreur sépulcrale,
Ô morts, quand vous sortez de la froide spirale,
Est-ce chez moi que vous frappez !

Car la maison d’exil, mêlée aux catacombes,
Est adossée au mur de la ville des tombes.
Le proscrit est celui qui sort ;
Il flotte submergé comme la nef qui sombre ;
Le jour le voit à peine et dit : Quelle est cette ombre ?
Et la nuit dit : Quel est ce mort ?

Sois la bienvenue, ombre ! ô ma sœur ! ô figure
Qui me fais signe alors que sur l’énigme obscure
Je me penche, sinistre et seul ;
Et qui viens, m’effrayant de ta lueur sublime,
Essuyer sur mon front la sueur de l’abîme
Avec un pan de ton linceul !

II

Oh ! que le gouffre est noir et que l’œil est débile !
Nous avons devant nous le silence immobile.
Qui sommes-nous ? où sommes-nous ?
Faut-il jouir ? faut-il pleurer ? Ceux qu’on rencontre
Passent. Quelle est la loi ? La prière nous montre
L’écorchure de ses genoux.

D’où viens-tu ? — Je ne sais. — Où vas-tu ? — Je l’ignore.
L’homme ainsi parle à l’homme et l’onde au flot sonore.
Tout va, tout vient, tout ment, tout fuit.
Parfois nous devenons pâles, hommes et femmes,
Comme si nous sentions se fermer sur nos âmes
La main de la géante nuit.

Nous voyons fuir la flèche et l’ombre est sur la cible.
L’homme est lancé. Par qui ? vers qui ? Dans l’invisible.
L’arc ténébreux siffle dans l’air.
En voyant ceux qu’on aime en nos bras se dissoudre,
Nous demandons si c’est pour la mort, coup de foudre,
Qu’est faite, hélas ! la vie éclair !

Nous demandons, vivants douteux qu’un linceul couvre,
Si le profond tombeau qui devant nous s’entr’ouvre,
Abîme, espoir, asile, écueil,
N’est pas le firmament plein d’étoiles sans nombre,
Et si tous les clous d’or qu’on voit au ciel dans l’ombre
Ne sont pas les clous du cercueil ?

Nous sommes là ; nos dents tressaillent, nos vertèbres
Frémissent ; on dirait parfois que les ténèbres,
O terreur ! sont pleines de pas.
Qu’est-ce que l’ouragan, nuit ? — C’est quelqu’un qui passe.
Nous entendons souffler les chevaux de l’espace
Traînant le char qu’on ne voit pas.

L’ombre semble absorbée en une idée unique.
L’eau sanglote ; à l’esprit la forêt communique
Un tremblement contagieux ;
Et tout semble éclairé, dans la brume où tout penche,
Du reflet que ferait la grande pierre blanche
D’un sépulcre prodigieux.

III

La chose est pour la chose ici-bas un problème.
L’être pour l’être est sphinx. L’aube au jour paraît blême
L’éclair est noir pour le rayon.
Dans la création vague et crépusculaire,
Les objets effarés qu’un jour sinistre éclaire
Sont l’un pour l’autre vision.

La cendre ne sait pas ce que pense le marbre ;
L’écueil écoute en vain le flot ; la branche d’arbre
Ne sait pas ce que dit le vent.
Qui punit-on ici ? Passez sans vous connaître !
Est-ce toi le coupable, enfant qui viens de naître ?
Ô mort, est-ce toi le vivant ?

Nous avons dans l’esprit des sommets, nos idées,
Nos rêves, nos vertus, d’escarpements bordées,
Et nos espoirs construits si tôt ;
Nous tâchons d’appliquer à ces cimes étranges
L’âpre échelle de feu par où montent les anges ;
Job est en bas, Christ est en haut.

Nous aimons. A quoi bon ? Nous souffrons. Pour quoi faire ?
Je préfère mourir et m’en aller. Préfère.
Allez, choisissez vos chemins.
L’être effrayant se tait au fond du ciel nocturne,
Et regarde tomber de la bouche de l’urne
Le flot livide des humains.

Nous pensons. Après ? Rampe, esprit ! garde tes chaînes.
Quand vous vous promenez le soir parmi les chênes
Et les rochers aux vagues yeux,
Ne sentez-vous pas l’ombre où vos regards se plongent
Reculer ? Savez-vous seulement à quoi songent
Tous ces muets mystérieux ?

Nous jugeons. Nous dressons l’échafaud. L’homme tue
Et meurt. Le genre humain, foule d’erreur vêtue,
Condamne, extermine, détruit,
Puis s’en va. Le poteau du gibet, ô démence !
O deuil ! est le bâton de cet aveugle immense
Marchant dans cet immense nuit.

Crime ! enfer ! quel zénith effrayant que le nôtre,
Où les douze Césars toujours l’un après l’autre
Reviennent, noirs soleils errants !
L’homme, au-dessus de lui, du fond des maux sans borne,
Voit éternellement tourner dans son ciel morne
Ce zodiaque de tyrans.

IV

Depuis quatre mille ans que, courbé sous la haine,
Perçant sa tombe avec les débris de sa chaîne,
Fouillant le bas, creusant le haut,
Il cherche à s’évader à travers la nature,
L’esprit forçat n’a pas encor fait d’ouverture
À la voûte du ciel cachot.

Oui, le penseur en vain, dans ses essors funèbres,
Heurte son âme d’ombre au plafond de ténèbres ;
Il tombe, il meurt ; son temps est court ;
Et nous n’entendons rien, dans la nuit qu’il nous lègue
Que ce que dit tout bas la création bègue
À l’oreille du tombeau sourd.

Nous sommes les passants, les foules et les races.
Nous sentons, frissonnants, des souffles sur nos faces.
Nous sommes le gouffre agité ;
Nous sommes ce que l’air chasse au vent de son aile ;
Nous sommes les flocons de la neige éternelle
Dans l’éternelle obscurité.

Pour qui luis-tu, Vénus ? Où roules-tu, Saturne ?
Ils vont : rien ne répond dans l’éther taciturne.
L’homme grelotte, seul et nu.
L’étendue aux flots noirs déborde, d’horreur pleine ;
L’énigme a peur du mot ; l’infini semble à peine
Pouvoir contenir l’inconnu.

Toujours la nuit ! jamais l’azur ! jamais l’aurore !
Nous marchons. Nous n’avons point fait un pas encore !
Nous rêvons ce qu’Adam rêva ;
La création flotte et fuit, des vents battue ;
Nous distinguons dans l’ombre une immense statue

Et nous lui disons : Jéhovah !

humiliés mais qualifies

Publié à 10:58 par angeoudemongif Tags : vie monde belle france 2010 cadre
humiliés mais qualifies

Quatre jours après une belle prestation face à l'Ukraine (2-0), l'équipe de France est tombée de haut mardi à Kiev, battue par la Suède (2-0), qui met ainsi fin à une série de 23 matches sans défaite des Bleus. Les hommes de Laurent Blanc finissent du coup deuxièmes du groupe D derrière l'Angleterre, victorieuse de l'Ukraine (1-0), et joueront l'Espagne en quarts samedi à Donetsk.



Un non-match mais les quarts de finale ! L'équipe de France a joué avec le feu en produisant une bien pâle copie du football qu'on lui connaissait ces derniers temps. Peu de mouvements, peu d'idées, des mauvais choix, de grossières erreurs techniques, une défense aux abois, des appels à contresens, bref l'antithèse du jeu prôné par Laurent Blanc. La fin de série d'invincibilité, débutée au lendemain d'un France-Biélorussie en septembre 2010, paraît accessoire pour des Tricolores qui s'en sortent finalement bien en franchissant ce premier tour, seul enseignement de la soirée, de l'aveu même de Laurent Blanc, interrogé sur M6: "La qualification était l'objectif, mais on a été battus dans tous les compartiments du jeu." Evidemment, ce revers a un coût, la deuxième place, renvoyant les Bleus vers Donestk pour un quart de finale face à l'ogre espagnol tant redouté...

Une difficulté qui était évitable en soignant notamment l'entame de match afin d'éviter que les Suédois, même éliminés, ne prennent confiance et viennent jouer les trouble-fête, eux qui n'avaient plus battus les Bleus depuis... le 15 octobre 1969, époque à laquelle aucun international actuel n'était né. Hélas, la première vraie opportunité vient de Toivonen qui se joue de toute la défense mais ne cadre pas sa tête (3e). Dans la minute qui suit, Larsson place une tête suite à un joli déboulé à gauche (4e). On a vu plus rassurant comme début de match...

La réaction ne tarde cependant pas avec Ben Arfa (6e et 9e), préféré (sans succès), à Ménez, et Ribéry dans un angle fermé (8e). La délicate soirée tricolore se poursuit avec une tête manquée de Mexès manque face à Toivonen, Lloris sort bien, le Suédois s'excentre en dribblant mais rabat le ballon sur le poteau (10e). Milner n'avait pas fait mieux avec l'Angleterre et les Bleus peuvent vraiment souffler. Mexès aussi même s'il recevra plus tard un carton qui le privera du quart...

Ibrahimovic met tout le monde d'accord

Toujours est-il que l'équipe de France tarde à jouer en mouvement et ne place que quelques accélérations sporadiques mais jamais dangereuses, par Debuchy, mais M'Vila manque sa reprise (12e), tandis que celle de Benzema s'envole (18e). Il manque un petit quelque chose pour contourner une défense qui coulisse plutôt bien côté suédois. Les Tricolores essayent de loin par Ben Arfa (35e) ou Benzema (42e) mais sans inquiéter un Isaksson assez tranquille. Le dernier mot du premier acte revient à Ribéry pour une frappe légèrement déviée du Munichois (45e). A l'arrivée, que de choix douteux et quel manque de conviction inquiétant !

A la reprise, si Benzema réalise enfin un appel tranchant, il enroule un peu trop sa frappe (50e). L'éclaircie ne dure pas, bien au contraire puisque le meilleur Scandinave, Ibrahimovic, se distingue par une reprise de volée somptueuse qui fait mouche, au nez et à la barbe de son coéquipier milanais, Mexès, au supplice toute la soirée (1-0, 54e). Les Bleus sont clairement à la peine mais restent en vie grâce à deux arrêts de Lloris devant Toivonen (57e) puis Mellberg qui passe entre Rami et Mexès et contraint le portier à une claquette (58e). Il y a clairement le feu au sein d'une équipe qui recule et semble, pour la première fois de l'Euro, dominée. Laurent Blanc intervient et lance Malouda à la place de Ben Arfa afin de donner du liant au jeu français (59e).

Le choix est presque gagnant lorsque le nouvel entrant joue un corner rapidement vers Nasri dont le missile passe de peu à côté (64e). Les Bleus semblent même reprendre petit à petit leurs esprits et se mettent à dominer les débats. Mais là encore les opportunités sont plutôt lointaines et jamais menaçantes, avec Benzema (70e), M'Vila (71e) ou Malouda du gauche (74e). De son côté, Nasri, effectue un dernier centre pour Mexès, dans la boîte, avant que Blanc ne le remplace par Ménez (78e). Le Parisien signe son entrée par une frappe croisée qui oblige Isaksson à la parade (82e). Cela ne suffit pas à Blanc qui remplace M'Vila par Giroud qui se distingue lui aussi d'entrée en reprenant de la tête, juste au-dessus, un corner de Malouda (83e).

Mais il était dit que cette soirée serait pourrie jusqu'au bout puisque les Suédois ont le dernier mot en profitant de cette réussite qui les avait fui jusque-là, ce qui permet à Larsson de doubler la mise, après une reprise de sur la barre de Holmen (2-0, 90e+1). Et encore, heureusement que Wilhelmsson gâche une dernière opportunité énorme pour les Suédois qui ont gagné leur pari et peuvent rentrer au pays la tête haute. Les Bleus, eux, devront rapidement chasser les doutes. Les voilà condamnés à un énorme exploit en quarts...

espagne irlande

Publié à 10:58 par angeoudemongif Tags : 2010 sourire travail sport
espagne irlande

L'Espagne n'a eu aucun mal à vaincre l'Irlande jeudi (4-0), lors de la deuxième journée de l'Euro. Eliminés sans gloire, les Boys in Green ont aussi contribué à relancer Fernando Torres, titulaire et auteur d'un doublé. Les voyants sont au vert pour la Roja, qui devra toutefois finir le travail contre la Croatie pour valider sa qualification en quarts.



La marche était vraiment trop haute. Les Irlandais n'ont pas spécialement moins bien joué que face à la Croatie, puisqu'ils n'ont rien pu montrer. Mais pour eux qui étaient si solides défensivement avant la compétition, l'Euro a l'air d'être de trop. Après leur lourde mais logique défaite face à l'Espagne (0-3), les hommes de Giovanni Trapattoni ont encaissé six buts en deux matches et sont les premiers à être éliminés du tournoi. Et si le football est sans doute le seul sport qui réserve des surprises parfois impensables, il comporte aussi des vérités implacables. La supériorité de l'Espagne sur l'Irlande en est une.

Obligatoire pour la Roja, ce succès porte un nom: celui de Fernando Torres. Finalement titularisé à sa place d'avant-centre, qui lui avait été piquée par Fabregas face à l'Italie, l'attaquant de Chelsea n'a pas mis longtemps à se rassurer enfin. Après quatre minutes de jeu, sa frappe chirurgicale sous la barre laissait Shay Given pantois, et lui permettait d'inscrire son premier but en sélection lors d'un grand tournoi depuis quatre ans. C'était lors de la finale de l'Euro 2008, remportée 1-0 face à l'Allemagne.

Contre la Croatie, il ne faudra pas perdre

Déjà tout près de doubler la mise dès la huitième minute, Torres a ajusté cliniquement Given à 20 minutes de la fin suite à une passe parfaite de David Silva (3-0). Encore remarquable d'aisance technique et de justesse dans ses choix, le milieu de Manchester City avait lui-même inscrit le deuxième but tout en finesse, en jouant le toreador dans la surface face à des défenseurs irlandais tourneboulés (49e). Cesc Fabregas, tout sourire au moment de remplacer Torres dans une symétrie parfaite par rapport au match de l'Italie, a mis à profit son temps de jeu pour finir le boulot d'une puissante frappe croisée (4-0, 83e). L'addition aurait pu être encore plus salée sans quelques arrêts de Given, face à Iniesta deux fois (23e, 45e+1), Xavi (55e) ou Cazorla (82e).

A l'inverse, les Irlandais ne sont apparus qu'une ou deux fois dans la surface de Casillas, qui n'a eu à s'employer vraiment qu'une seule fois, sur un tir de Keane (75e). Désormais, charge aux Espagnols de ne pas perdre contre les Croates pour assurer leur qualification en quarts de finale, et étendre un peu plus leur série d'invincibilité en match officiel, qui dure depuis leur défaite face à la Suisse au Mondial 2010. Pour savoir comment terminer premier ou deuxième, il faudra sortir les calculatrices et procéder à des comptes d'apothicaire. Si les Italiens ne gagnent pas face à l'Irlande, un match nul contraindrait même l'Espagne et la Croatie à une séance de tirs au but. Il faudra aussi gérer les cartons jaunes, avec la menace d'une suspension qui plane sur Jordi Alba, Arbeloa et Torres.

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