>> Toutes les rubriques <<
· BELLE IMAGE CREATION DIVERS BIS (6781)
· CADRE (2357)
· VISAGE DE FEMME (1531)
· Femme (1324)
· Stars (1120)
· Tube cookie (1037)
· FOND D ECRAN DRAGON (575)
· Gif scintillant (556)
· FOND D ECRAN ANGE (418)
· Gif animaux animés (1052)
faut l'attacher et lui couper la tête !
Par Anonyme, le 25.05.2024
coucou
j'aimerai venir avec du soleil mais hélas encore de la pluie
bisous bonne nuit http://delta17 .cen
Par delta17, le 05.03.2024
bonsoir
je viens te souhaiter une très belle nouvelle année
chose rare aujourd'hui, faut de temps, j'ai fai
Par delta17, le 01.01.2024
07 45 68 05 47 whatsapp sms // calikush weed hash livraison : amnesia666 ogkush bluberry gelato g13 critical o
Par CALIKUSH, le 23.08.2023
07 45 68 05 47 whatsapp sms // calikush weed hash livraison : amnesia666 ogkush bluberry gelato g13 critical o
Par CALIKUSH, le 23.08.2023
· tube parchemin
· oiseau gif anime
· belle image
· oiseau gif anime
· generateur de texte defilant
· gif chien
· fond d ecran
· fond d ecran
· BELLE IMAGE
· LES PREMIERS ORDINATEURS
· gif chat
· Coloriage blanche neige
· FOND D'ECRAN CHOPPER ET HARLEY
· cadeau de http://mamiebabou.centerblog.net/ merci
· FOND D ECRAN CHATS
Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
113496 articles
Napoléon le Petit, et qui renferme les calomnies les plus odieuses contre le prince-président.
» On raconte qu’un des jours de la semaine dernière un fonctionnaire apporte ce libellé à Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napoléon le vit, il le prit, l’examina un instant avec le sourire du mépris sur les lèvres, puis s’adressant aux personnes qui l’entouraient, il dit, en leur montrant le pamphlet :
« Voyez, messieurs, voici Napoléon le Petit, par Victor Hugo le Grand. »
(JOURNAUX ÉLYSÉENS, AOUT 1852.)
Ah ! tu finiras bien par hurler, misérable !
Encor tout haletant de ton crime exécrable,
Dans ton triomphe abject, si lugubre et si prompt,
Je t’ai saisi. J’ai mis l’écriteau sur ton front ;
Et maintenant la foule accourt, et te bafoue.
Toi, tandis qu’au poteau le châtiment te cloue,
Que le carcan te force à lever le menton,
Tandis que, de ta veste arrachant le bouton,
L’histoire à mes côtés met à nu ton épaule,
Tu dis : je ne sens rien ! et tu nous railles, drôle !
Ton rire sur mon nom gaîment vient écumer ;
Mais je tiens le fer rouge et vois ta chair fumer.