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Date de création : 07.05.2008
Dernière mise à jour : 30.06.2017
122498 articles


baraques de la foire

Publié à 11:18 par chouky39 Tags : moi nature rose fleurs pensée
baraques de la foire

Lion ! J’étais pensif, ô bête prisonnière,
Devant la majesté de ta grave crinière ;
Du plafond de ta cage elle faisait un dais.
Nous songions tous les deux, et tu me regardais.
Ton regard était beau, lion. Nous autres hommes,
Le peu que nous faisons et le rien que nous sommes,
Emplit notre pensée, et dans nos regards vains
Brillent nos plans chétifs que nous croyons divins,
Nos vœux, nos passions que notre orgueil encense,
Et notre petitesse, ivre de sa puissance ;
Et, bouffis d’ignorance ou gonflés de venin,
Notre prunelle éclate et dit : Je suis ce nain !
Nous avons dans nos yeux notre moi misérable.
Mais la bête qui vit sous le chêne et l’érable,
Qui paît le thym, ou fuit dans les halliers profonds,
Qui dans les champs, où nous, hommes, nous étouffons,
Respire, solitaire, avec l’astre et la rose,
L’être sauvage, obscur et tranquille qui cause
Avec la roche énorme et les petites fleurs,
Qui, parmi les vallons et les sources en pleurs,
Plonge son mufle roux aux herbes non foulées,
La brute qui rugit sous les nuits constellées,
Qui rêve et dont les pas fauves et familiers
De l’antre formidable ébranlent les piliers,
Et qui se sent à peine en ces profondeurs sombres,
A sous son fier sourcil les monts, les vastes ombres,

Les étoiles, les prés, le lac serein, les cieux,
Et le mystère obscur des bois silencieux,
Et porte en son œil calme, où l’infini commence,

Le regard éternel de la nature immense.

aux feuillantines

Publié à 11:14 par chouky39 Tags : moi enfants femmes fleurs livre douceur oiseau
aux feuillantines

Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.
Notre mère disait : — Jouez, mais je défends
Qu’on marche dans les fleurs et qu’on monte aux échelles.

Abel était l’aîné, j’étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d’elles.

Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et, là, tout en jouant, nous regardions souvent,
Sur le haut d’une armoire, un livre inaccessible.

Nous grimpâmes un jour jusqu’à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fîmes pour l’avoir,
Mais je me souviens bien que c’était une Bible.

Ce vieux livre sentait une odeur d’encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir ;
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire !

Nous l’ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et, dès le premier mot, il nous parut si doux,
Qu’oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.

Nous lûmes tous les trois ainsi tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.

Tels des enfants, s’ils ont pris un oiseau des cieux,
S’appellent en riant et s’étonnent, joyeux,

De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.

aux arbres

Publié à 10:58 par chouky39 Tags : moi monde dieu nature oiseaux fleur pensée
aux arbres

Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme !
Au gré des envieux la foule loue et blâme ;
Vous me connaissez, vous ! —— vous m’avez vu souvent,
Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant.
Vous le savez, la pierre où court un scarabée,
Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée,
Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour.
La contemplation m’emplit le cœur d’amour.
Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure,
Avec ces mots que dit l’esprit à la nature,
Questionner tout bas vos rameaux palpitants,
Et du même regard poursuivre en même temps,
Pensif, le front baissé, l’oeil dans l’herbe profonde,
L’étude d’un atome et l’étude du monde.
Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu,
Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu !
Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches,
Nids dont le vent sème au loin les plumes blanches,
Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux,
Vous savez que je suis calme et pur comme vous.
Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance,
Je suis plein d’oubli comme vous de silence !
La haine sur mon nom répand en vain son fiel ;
Toujours, —— je vous atteste, ô bois aimés du ciel ! —-
J’ai chassé loin de moi toute pensée amère,
Et mon cœur est encor tel que le fit ma mère !

Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours,
Je vous aime, et vous, lierre au seuil des antres sourds,
Ravins où l’on entend filtrer les sources vives,
Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives !
Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois,
Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois,
Dans votre solitude où je rentre en moi-même,
Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime !

Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît,
Arbres religieux, chênes, mousses, forêt,
Forêt ! c’est dans votre ombre et dans votre mystère,
C’est sous votre branchage auguste et solitaire,
Que je veux abriter mon sépulcre ignoré,

Et que je veux dormir quand je m’endormirai.

blanc c est rageant

Publié à 10:58 par chouky39 Tags : bonne travail
blanc c est rageant

Les Bleus ont bouclé leur Euro en s'inclinant face à l'Espagne (0-2), samedi à la Donbass Arena. Une défaite logique face à une formation espagnole largement dominatrice. Laurent Blanc s'est expliqué sur ses choix, notamment celui de placer Debuchy en milieu de terrain. Il regrette surtout d'avoir encaissé un but venu d'un côté gauche qu'il souhaitait bloquer et sur la première opportunité. Pour lui, ça a tout changé.



Pourquoi avoir placé Debuchy milieu de terrain ?
Si on analyse la composition de l'équipe d'Espagne, sur leur côté gauche Alba et Iniesta dédoublaient en permanence. C'est rageant d'avoir pris le but de ce côté-là alors qu'on avait justement prévu de les bloquer. Sur le seul centre d'Alba, Xabi Alonso est au deuxième poteau et il marque. On savait que ce côté était dangereux... 0-1 à la mi-temps, ce n'était pas une bonne chose, on voulait arriver à la pause à 0-0.

Quel était votre plan offensif ?
Leur côté gauche était performant, on pensait le nôtre pouvait l'être aussi. On avait beaucoup utilisé la vidéo, on savait que notre côté était plus fort à gauche avec Franck (Ribéry) et Karim (Benzema). On a eu deux ou trois opportunités mais par maladresse ou manque de justesse technique on n'a pas pu les mettre en difficulté. On savait qu'on allait avoir 35% à 40% de possession et quelques occasions, on les a eues mais on n'avait pas prévu de prendre ce but. C'est pénalisant car je pense que si on atteint la mi-temps à 0-0, même s'ils ont eu le ballon, on aurait pu les mettre en difficulté et rester dans le match. Avec ce but, les joueurs savaient qu'il fallait marquer deux buts face à une équipe qui avait 60% de possession, ça devient très compliqué.

Aviez-vous prévu que Fabregas évolue en pointe ?
On avait prévu les deux options, ce n'était pas une surprise. Ils avaient déjà joué comme ça pendant les matches de groupe, avec Fabregas pour aspirer la charnière et apporter une supériorité numérique au milieu. On s'attendait à Torres, on a eu Fabregas... ça aurait peut-être été mieux avec Torres, cela aurait permis à la charnière centrale d'être sur un joueur, là il a fallu constamment sortir et entrer dans la ligne de quatre. On aurait peut-être fait différemment si on avait eu plus de temps pour le travailler. L'Italie a eu le temps car c'était le premier match, on aurait peut-être travaillé avec trois joueurs derrière, là on a constitué équipe pour bloquer le côté gauche. On voulait toucher plus vite nos attaquants mais c'était difficile car ils ont très bien défendu.

Avez-vous des regrets ?
Il faut être réaliste, on n'est pas des rêveurs. Cette équipe, et je le dis sans honte, est meilleure que nous. Elle l'a encore prouvé, j'ai beaucoup de regrets car on a pris le premier but. Même s'ils dominaient, s'ils avaient la maitrise, je sais pour en avoir discuté avec eux qu'ils nous craignaient, notamment dans le domaine offensif. En deuxième période, on a eu une meilleure maîtrise technique, il y a eu des occasions. J'ai des regrets sur le but inscrit sur leur première occasion. En deuxième, mes joueurs ont tout donné, ils se sont énormément dépensés mais c'était très difficile de les mettre en danger.

Pensez-vous rester ?

On vient de se faire sortir, on est déçus. La déception est palpable pour le staff et les joueurs. Il faudra faire le point sur cet Euro, l'analyse. On va tout regarder, c'est un travail normal. Si on avait été qualifié, on l'aurait fait plus tard, je pense qu'il y aura des satisfactions et des déceptions. On va l'analyser avec du temps.

a quoi songeaint les deux cavaliers dans la foret

Publié à 10:40 par chouky39 Tags : vie moi heureux amis dieu nuit ange chevaux
a quoi songeaint les deux cavaliers dans la foret

La nuit était fort noire et la forêt très-sombre.
Hermann à mes côtés me paraissait une ombre.
Nos chevaux galopaient. A la garde de Dieu !
Les nuages du ciel ressemblaient à des marbres.
Les étoiles volaient dans les branches des arbres
Comme un essaim d’oiseaux de feu.

Je suis plein de regrets. Brisé par la souffrance,
L’esprit profond d’Hermann est vide d’espérance.
Je suis plein de regrets. O mes amours, dormez !
Or, tout en traversant ces solitudes vertes,
Hermann me dit : — Je songe aux tombes entr’ouvertes ; -
Et je lui dis : — Je pense aux tombeaux refermés.-

Lui regarde en avant : je regarde en arrière,
Nos chevaux galopaient à travers la clairière ;
Le vent nous apportait de lointains angelus ;
dit : — Je songe à ceux que l’existence afflige,
A ceux qui sont, à ceux qui vivent. — Moi, — lui dis-je,
Je pense à ceux qui ne sont plus !

Les fontaines chantaient. Que disaient les fontaines ?
Les chênes murmuraient. Que murmuraient les chênes ?
Les buissons chuchotaient comme d’anciens amis.
Hermann me dit : — Jamais les vivants ne sommeillent.
En ce moment, des yeux pleurent, d’autres yeux veillent.
Et je lui dis : — Hélas ! d’autres sont endormis !

Hermann reprit alors : — Le malheur, c’est la vie.
Les morts ne souffrent plus. Ils sont heureux ! j’envie
Leur fosse où l’herbe pousse, où s’effeuillent les bois.
Car la nuit les caresse avec ses douces flammes ;
Car le ciel rayonnant calme toutes les âmes
Dans tous les tombeaux à la fois !

Et je lui dis : — Tais-toi ! respect au noir mystère !
Les morts gisent couchés sous nos pieds dans la terre.
Les morts, ce sont les cœurs qui t’aimaient autrefois
C’est ton ange expiré ! c’est ton père et ta mère !
Ne les attristons point par l’ironie amère.

Comme à travers un rêve ils entendent nos voix.

a qui donc sommes nous

Publié à 09:55 par chouky39 Tags : moi fond heureux dieu
a qui donc sommes nous

À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ?
Vautour fatalité, tiens-tu la race humaine ?
Oh ! parlez, cieux vermeils,
L’âme sans fond tient-elle aux étoiles sans nombre ?
Chaque rayon d’en haut est-il un fil de l’ombre
Liant l’homme aux soleils ?

Est-ce qu’en nos esprits, que l’ombre a pour repaires,
Nous allons voir rentrer les songes de nos pères ?
Destin, lugubre assaut !
Ô vivants, serions-nous l’objet d’une dispute ?
L’un veut-il notre gloire, et l’autre notre chute ?
Combien sont-ils là-haut ?

Jadis, au fond du ciel, aux yeux du mage sombre,
Deux joueurs effrayants apparaissaient dans l’ombre.
Qui craindre ? qui prier ?
Les Manès frissonnants, les pâles Zoroastres
Voyaient deux grandes mains qui déplaçaient les astres
Sur le noir échiquier.

Songe horrible ! le bien, le mal, de cette voûte
Pendent-ils sur nos fronts ? Dieu, tire-moi du doute !
Ô sphinx, dis-moi le mot !
Cet affreux rêve pèse à nos yeux qui sommeillent,
Noirs vivants ! heureux ceux qui tout à coup s’éveillent

Et meurent en sursaut !

cadeau de http://wissblog.centerblog.net/ merciii

Publié à 09:18 par chouky39 Tags : centerblog cadeau
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KYLIE MINOGUE (

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