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Date de création : 07.05.2008
Dernière mise à jour :
30.06.2017
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Grâce à Mario Gomez, l'Allemagne a battu le Portugal (1-0) et rejoint le Danemark, vainqueur des Pays-Bas (1-0), en tête du groupe B de l'Euro 2012 de football.
C'était le premier choc de l'Euro 2012. Le match que tout le monde attendait. D'un côté, l'Allemagne, une des trois favorites de la compétition. De l'autre, le Portugal de Cristiano Ronaldo, outsider du tournoi. Deux équipes techniques qui ont finalement offert un spectacle globalement décevant, symbolisé par la courte victoire (1-0) de la Mannschaft grâce à un but de Mario Gomez peu après l'heure de jeu (70e), ce samedi à Lviv, en Ukraine.
Si l'équipe du Portugal a montré un visage nettement plus séduisant à partir du moment où elle a été menée au score, en produisant enfin un jeu tourné vers l'avant, elle s'est longtemps contentée de regarder jouer l'Allemagne, lui laissant la possession du ballon et préférant défendre bas en misant tout sur les contres.
Pepe trouve la barre puis la ligne
Avant le but de Mario Gomez, qui a pu faire admirer son redoutable jeu de tête à la réception d'un centre contré de Sami Khedira, la sélection allemande s'appliquait déjà à passer par les côtés pour essayer de contourner la toile d'araignée défensive tissée par les Portugais. Sans succès.
Ainsi, les tentatives de Mario Gomez (1e), Lucas Podolski (9e, 30e) et Thomas Müller (39e) ne trouvaient pas le chemin des filets. C'est même le défenseur du Real Madrid, Pepe, qui à la réception d'un corner tiré par João Moutinho, manquait d'ouvrir le score d'un plat du pied enroulé qui terminait sa course sur la barre transversale de Manuel Neuer avant de rebondir sur la ligne et de sortir miraculeusement (44e).
24e but de Mario Gomez
Après l'ouverture du score signée Mario Gomez, son 24e but en 54 sélections, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo, plutôt discret dans ce match, ont poussé pour égaliser, mais les occasions de Fabio Coentrão (82e), Silvestre Varela (87e) ou encore Nani (82e, 92e) n'ont pas été concrétisées.
En dix-sept confrontations entre les deux équipes, c'est la neuvième victoire de l'Allemagne. Grâce à ce succès, la sélection entraînée par Joachim Löw, finaliste de l'Euro 2008 et demi-finaliste des deux dernières Coupes du monde (2006 et 2010), prend la tête du groupe B, à égalité avec le Danemark, vainqueur surprise des Pays-Bas (1-0) en fin d'après-midi.
Au prochain match, mercredi, le Portugal jouera (déjà) sa survie contre le Danemark, à 18 heures. Dans la foulée, les Hollandais, eux aussi sous pression, affronteront les Allemands en début de soirée. Les deux premiers de ce groupe rencontreront, en quart de finale, les deux premiers du groupe A, où la Russie est en tête après sa large victoire (4-1) sur la République Tchèque vendredi.
Opposée à l'Espagne pour son entrée en lice dans le groupe C, l'Italie a réalisé un bon match et réussi à accrocher le nul (1-1). Attendus au tournant, les Transalpins, alignés en 3-5-2, ont soutenu la comparaison face aux tenants du titre grâce à une défense bien en place et des attaquants dangereux en contre. Impérial au milieu, Andrea Pirlo a même laissé entrevoir la victoire grâce à une passe décisive lumineuse.
Opposée à l'Espagne pour son entrée en lice dans le groupe C, l'Italie a obtenu un bon nul (1-1). Attendus au tournant, les Transalpins, alignés en 3-5-2, ont soutenu la comparaison face aux tenants du titre grâce à une défense bien en place et des attaquants dangereux en contre. Impérial au milieu, Andrea Pirlo a même laissé entrevoir la victoire grâce à une passe décisive lumineuse.
Andrea PIRLO: 7. Le métronome de la Juve a réalisé sa partition habituelle de maestro de l'entrejeu. Beaucoup de ballons touchés et un petit peu de déchet, mais quelle qualité de passe ! Auteur d'une ouverture lumineuse pour Cassano en première période, il adresse une passe millimétrée à Di Natale pour l'ouverture du score (61e). En dépit de ses 33 ans, il est toujours aussi régulier au plus haut niveau. La classe !
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Gianluigi BUFFON: 6,5. A 34 ans, "Gigi " est toujours au top. Pour preuve, il a réalisé plusieurs arrêts décisifs, notamment sur une reprise croisée d'Iniesta (30e), un tir à mi-hauteur de Fabregas (49e) et en déviant du bout des gants une nouvelle frappe à bout portant d'Iniesta (51e). S'il ne peut rien sur le but de Fabregas (64e), il chipe le ballon dans les pieds de Torres (75e) pour préserver le nul.
Leonardo BONUCCI: 5. Un match sérieux de la part du défenseur de la Juve, qui a bien tenu son rang, même s'il a parfois souffert sur le jeu dans les petits espaces d'Iniesta. Auteur d'un superbe retour sur Silva (41e). Son tacle à hauteur du genou d'Iniesta aurait pu mériter un rouge, mais l'arbitre n'a sorti que le jaune (67e).
Daniele DE ROSSI: 5,5. Positionné en défense centrale, dans un rôle de libéro, le Romain a mis l'agressivité nécessaire pour contenir les assauts espagnols avant le repos. Il a souvent mis le pied au bon moment, mais a été plus en difficulté après la pause. Il a ainsi été surpris par la passe de Silva sur l'égalisation (64e) et couvre Torres lorsque ce dernier se retrouve seul face à Buffon (75e).
Giorgio CHIELLINI: 6. Guerrier dans l'âme, il a bien contenu les assauts espagnols et a bien muselé Silva. Souvent bien placé, il a rassuré sa défense. Il prend toutefois un carton jaune mérité pour avoir séché Iniesta (79e).
Christian MAGGIO: 5. Habitué à un schéma en 3-5-2 avec le Napoli, il a réalisé une prestation sérieuse dans son couloir droit. Offensif d'entrée, il obtient un bon coup franc sur une faute d'Alba (5e), mais a été beaucoup plus prudent par la suite. Il a lui aussi parfois été surpris par la vitesse et la qualité technique d'Iniesta.
Claudio MARCHISIO: 5. Plutôt discret, le milieu de terrain de la Juve a toutefois pu faire admirer sa classe sur une belle reprise de volée suite à un centre de Cassano (36e). Il bénéficie d'une très belle occasion en fin de match, mais n'appuie pas assez sa frappe (88e).
Thiago MOTTA: 6,5. Un match à l'image de sa demi-saison avec le PSG. Il a beaucoup couru et touché beaucoup de ballons. Il a aussi joué très juste. Pour preuve, il a réussi 100% de ses passes en première période (19 sur 19) ! Sa tête juste avant le repos sortie par Casillas aurait mérité un meilleur sort (45e). Remplacé par Antonio NOCERINO en toute fin de match (89e)
Emanuele GIACCHERINI: 5. Pour un baptême du feu, il a été servi ! Aligné dans le couloir gauche, il s'est montré très prudent offensivement, mais plutôt efficace défensivement, même s'il a été pris de vitesse par Fabregas sur le but (67e). Peu utilisé par la Juve cette saison, il a toutefois montré qu'il était au niveau.
Antonio CASSANO: 6. L'attaquant de l'AC Milan ne boude pas son plaisir d'être à l'Euro, sept mois après son opération du coeur. Très dangereux en première période, notamment sur deux tirs, l'un un peu trop croisé (22e) et l'autre arrêté difficilement par Casillas (33e), il a aussi délivré deux bons centres pour Marchisio (36e) et Motta (45e). Plus discret après le repos, il a été remplacé par Sébastian GIOVINCO (65e), auteur d'une ouverture lumineuse pour Di Natale (77e).
Mario BALOTELLI: 4,5. Très volontaire pour exercer le pressing en début de match, il n'a pas ménagé ses efforts en multipliant les courses. Mais sa prestation restera marquée par sa longue tergiversation devant le but, qui permet le retour de Ramos (54e). Remplacé par Antonio DI NATALE (57e), qui a eu le geste juste pour ouvrir le score sur son premier ballon (61e) et aurait pu doubler la mise d'une superbe reprise (77e).
La Russie a manqué une bonne occasion de se qualifier pour les quarts de l'Euro 2012 en concédant mardi soir le nul contre la Pologne (1-1). Un but de Dzagoev (37e), son troisième, avait mis les Russes sur les bons rails mais Blaszczykowski a égalisé (57e). Les quatre équipes du groupe A ont donc encore toutes leurs chances de passer ce premier tour.
Dzagoev et Arshavin sont redoutables. Respectivement meilleur buteur et meilleur passeur de cet Euro 2012, les deux fers de lance de l'attaque russe ont encore fait parler la poudre, mardi soir à Varsovie, quatre jours après avoir dynamité la défense tchèque. Mais cette fois, cela n'a pas suffi car la Pologne, chez elle, est bien décidée à s'accrocher jusqu'au bout dans ce groupe A à sa portée. Et c'est fort logiquement que cette équipe très joueuse, parfois trop, a arraché le point du match nul (1-1), qui lui permet de croire encore en ses chances de qualification pour les quarts de finale.
La Russie, qui a ouvert le score avant la pause grâce à une tête - ou plutôt une épaule - de Dzagoev sur un coup franc d'Arshavin (1-0, 37e), peut regretter de ne pas avoir su tenir le score, et même de ne pas avoir aggravé la marque lorsqu'elle en a eu l'occasion. Une victoire lui aurait effectivement assuré l'une des deux premières places de la poule, et permis de faire tourner ses cadres lors de son prochain match face à la Grèce. Au lieu de ça, les quatre équipes sont toujours en course. Même les Grecs qui, malgré leur défaite face aux Tchèques dans l'après-mid1 (1-2), peuvent encore créer l'exploit.
Blaszczykowski relance tout
Sans ce but assez inattendu de Blaszczykowski, d'une superbe frappe excentrée (1-1, 57e), tout aurait été plus clair. Inattendu parce que les joueurs de Dick Advocaat, s'ils ont manqué de réalisme dans le dernier geste, dans la dernière passe, semblaient plutôt bien contrôler les débats après une première période assez maîtrisée. Hormis sur des tentatives plus ou moins précises de Boenisch (7e) et Lewandowski (11e), Malafeev et sa défense n'avaient pas été inquiétés outre-mesure alors qu'Arshavin et Kerzakhov (25e, 29e) ont eux régulièrement créé le danger à l'autre bout du terrain. Une domination récompensée par cette ouverture du score.
Le problème des Russes, c'est qu'ils ont davantage souffert physiquement après le repos et les contres adverses ont fini par faire craquer leur arrière-garde. Sans un Malafeev une nouvelle fois inspiré sur sa ligne, Polanski aurait même pu donner l'avantage aux Polonais (69e). Voilà qui leur laisse donc de l'espoir avant leur "huitième de finale" à venir contre la République tchèque. La Russie, elle, aura a priori plus de marge face à la Grèce puisqu'elle compte quatre points en tête de ce groupe A. Mais les Hellènes ont aussi prouvé qu'ils avaient des ressources morales. Dos au mur, et sans aucune pression, ils seront peut-être dangereux.
C'est avec le sourire aux lèvres qu'Iker Casillas est passé en zone mixte après le succès de l'Espagne en finale de l'Euro face à l'Italie (4-0), dimanche à Kiev. Capitaine exemplaire, le portier de la sélection espagnole a multiplié les records dans cette compétition. La Roja est la première à remporter trois succès de rang entre Euro et Coupe du monde, il a également battu le record d'invincibilité de Zoff mais il ne semble pas encore réaliser...
Quel est votre sentiment après cette victoire ? Vous entrez dans l'histoire !
C'est inoubliable, inimaginable, on s'en rendra encore plus compte avec un peu de recul. On est ravis d'avoir remporté un troisième titre. Je crois qu'on a réussi un grand match parce qu'on a réussi à transformer nos occasions de but, on a su imposer notre jeu, notre tactique et je pense qu'on mérite de remporter cet Euro.
Vous battez le record de Zoff, vous enchaînez 10 matches en matches à élimination directe sans encaisser de but, vous remportez une 3e finale en 4 ans ce qui est inédit. Comment l'expliquez-vous ?
C'est parce que nous sommes une sélection, une équipe avec de grands joueurs, il faut en profiter. Dans deux ans, l'équipe changera, il y aura d'autres joueurs. C'est vrai qu'on a une équipe Espoirs très forte mais il faut que le groupe reste uni.
Comment gardez-vous cette envie de toujours gagner ?
On a toujours gagné quelques chose, chez les jeunes chez les Euro -16 et -18, le Mondial -20 ans, tous les joueurs qui sont là ont participé à ces aventures dans les catégories inférieures. Il y a 4 ans on nous demandait d'enchaîner avec le mondial, on l'a fait, il y a deux mois, on nous demandait de gagner l'Euro, c'est fait et là on nous parle déjà de la Coupe du monde 2014 ou de la Coupe des Confédérations !
"On a placé la barre tellement haute"
Vous avez remporté le Mondial -20 ans avec Xavi en 1999, vous rendez-vous compte du chemin parcouru ?
Oui, on en parle, on a quasiment la même carrière footballistique, on a commencé en même temps, on est tous les deux le capitaine de notre club, Barcelone et le Real Madrid, on est ravis et conscient d'avoir marqué l'histoire même si on ne réalise pas encore vraiment.
Considérez-vous que les critiques contre le jeu espagnol ont été injustes ?
Non, pas injuste, on a placé la barre tellement haute que dès qu'on baisse un tout petit peu, on a l'impression qu'on n'est plus aussi forts qu'avant. Mais nous avons une super équipe et je crois que ce sera difficile de retrouver une équipe espagnole aussi forte. Je le souhaite, j'espère le voir un jour car je suis Espagnol mais ce sera très dur.
Qu'avez-vous dit à Buffon et Casillas ?
J'ai été saluer les Italiens parce qu'arriver en finale et perdre 4-0, ce n'est pas évident. Quand il reste 5, 6 minutes qu'il y a 3-0 puis 4-0 et que l'arbitre annonce 3 minutes de plus, c'est vraiment compliqué. Cassano et Buffon, comme toute la sélection, doivent être félicités car ils ont mérité d'arriver jusqu'en finale.