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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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face

Publié à 15:57 par fandeloup
face

N'oublie pas que chaque nuage, si noir soit-il, a toujours une face ensoleillée, tournée vers le ciel



souvenirs

Publié à 15:27 par fandeloup Tags : moi

tristesse

Publié à 15:08 par fandeloup
tristesse

Le fait qu'il n'y ait plus aucune période d'interdiction des tirs est peu conforme au statut d'espèce protégée.. Ils sont lamentable de tuer pour tuer



message

Publié à 14:41 par fandeloup Tags : message

loups

Publié à 11:26 par fandeloup Tags : google nature sur france base monde homme place amis animaux mort histoire
loups

Des louves gestantes tuées pendant le confinement

Depuis le début de l'année 2020, sur les 560 loups présents en France , au moins 13 ont déjà été abattus... dont 3 pendant le confinement. 

Trois loups ont été abattus dans la Drôme par des lieutenants de louveterie au début du mois d'avril 2020. Parmi eux, deux louves gestantes ! Ces tirs, inefficaces contre la prédation, viennent de surcroît menacer la survie de l'espèce lupine, classée vulnérable par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature.

La Fondation 30 Millions d'Amis demande aux pouvoirs publics de renforcer l'efficacité des mesures de protection des troupeaux, à la faveur d'une cohabitation plus harmonieuse et équilibrée. Le confinement n'a pas toujours épargné la faune sauvage. En témoigne l'abattage de trois loups dans la Drôme au début du mois d'avril 2020.

« Alors que les citoyens (étaient) assignés à résidence, certains ont (eu) des dérogations pour aller tuer des loups, espèces protégée, en pleine période de reproduction ! », fustige l'Association Ferus. Au total, 13 des 560 loups présents dans l'hexagone ont déjà été abattus depuis le début de l'année 2020. Si l'un d'eux a été tué illégalement par un braconnier, les 12 autres l'ont été « légalement », en vertu de la réglementation française qui fixe chaque année le plafond de loups pouvant être tués. Bien que le canis lupus soit protégé par la Convention de Berne de 1979 et la Directive « Habitats » de 1992, ces mêmes textes prévoient effectivement des dérogations, pour certains motifs et sous certaines conditions, à l'interdiction de mise à mort. Les tirs de loups, inefficaces contre les attaques de troupeaux...

Deux des trois animaux  tués en avril 2020 étaient des louves gestantes issues de deux meutes différentes. « Si le tir de femelles pleines d'une espèce protégée est déjà un non sens, cela signifie aussi un risque maximal d'éclatement des meutes », alerte Ferus.

En effet, lorsqu'un alpha est tué, la meute va se disperser et les loups, seuls et affaiblis, vont préférer chasser les proies les plus vulnérables que constituent les troupeaux domestiques. De sorte que les tirs ont alors un effet inverse à celui escompté. Et pour preuve, les attaques augmentent d'année en année malgré la souplesse croissante des dérogations aux interdictions de destruction. Pour assurer la viabilité de la population lupine, un effectif de 2500 à 5000 individus est le minimum nécessaire. MNHN - OFB Du reste, en décembre 2019, le Conseil National de Protection de la Nature (CNPN) qualifiait d'inadéquate la politique du gouvernement visant à limiter la croissance des populations de loups pour limiter les dommages aux cheptels domestiques.

« Ce type de pratique n'a aucune base scientifique et à ce jour, n'a apporté aucune réelle amélioration, ni en termes d'acceptation sociale du loup, ni une meilleure protection des troupeaux, alerte le Conseil. Ce constat est confirmé par d'autres instances scientifiques : le Musée National d'Histoire Naturelle (MNHN) et le comité scientifique du Plan Nation d'Action sur le loup notamment. »

Les tirs de loups n'auraient alors pour objectif que d'acheter la paix sociale, afin d'apaiser le monde de l'élevage. ... et nuisibles à la conservation de l'espèce lupine En portant le taux de prélèvement annuel de loups à 17% de la population - voire 19% si le premier taux est atteint avant la fin de l'année - (soit un total de 100 individus !), l'arrêté du 3 janvier 2020 poursuit davantage une logique de régulation que de conservation de l'espèce. « Pour permettre à la population de s'adapter aux changements futurs et ainsi assurer sa viabilité sur le long terme, un effectif de 2500 à 5000 individus adultes constitue le minimum nécessaire », recommandent le MNHN et l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage - désormais Office Français de la Biodiversité - dans leur expertise sur le devenir de la population de loups en France (03/2017).

« Ce chiffre a été délibérément oublié », déplore le CNPN. Et ce, d'autant plus que la réglementation française autorise, aux côtés des tirs de défense - qui visent à protéger les troupeaux en cas d'attaque ou de riposte - des tirs... de « prélèvement » entièrement déconnectés des dommages causés au bétail ! Par ailleurs, la moitié des 98 loups abattus en 2019 ont été tués pendant la période de reproduction et d'élevage des louveteaux. « Compte-tenu du nombre de plus en plus important de loups abattus, le fait qu'il n'y ait plus aucune période d'interdiction des tirs, notamment en période de reproduction, semble peu conforme au statut d'espèce protégée dont l'état de conservation reste vulnérable », alertent les experts.

D'où leur recommandation, réitérée chaque année, visant à mener une « politique plus équilibrée en faveur de la population de loups ». La solution : renforcer les moyens de protection des troupeaux Le fait qu'il n'y ait plus aucune période d'interdiction des tirs est peu conforme au statut d'espèce protégée. CNPN En définitive, lutter contre la prédation du loup, tout en préservant la survie de l'espèce, implique de renforcer l'efficacité des moyens de protection des cheptels que sont le gardiennage, le recours aux chiens de protection, l'installation de clôtures électrifiées et la limitation de la taille des troupeaux.

Pour y parvenir, les scientifiques recommandent une approche plus qualitative de ces mesures protectrices, à travers notamment, l'accompagnement des éleveurs et la mise en place d'un diagnostic de vulnérabilité - sur le long terme - dans les zones de forte prédation. « Les tirs ne devraient être décidés qu'après la pose de ce diagnostic, l'échec des mesures de protection des troupeaux, puis de l'effarouchement, recommande le CNPN. Avant, c'est un non sens ». Mais pour ce faire, encore faudrait-il d'abord rendre obligatoires et systématiques l'accompagnement technique des éleveurs et l'analyse de la vulnérabilité (alors qu'ils ne sont actuellement mis en place que sur demande de l'éleveur).

Encore faudrait-il ensuite que l'administration vérifie, sur place, la mise en œuvre effective des dispositifs de protection. Encore faudrait-il enfin encourager le recours aux dispositifs d'effarouchement existants : dispositifs lumineux (« foxlights »), fils électriques (« fladry ») ou colliers répulsifs. Selon les experts, « la multiplication, la récurrence et la variation des moyens innovants - associée aux 3 incontournables : homme, chiens, enclos - permettront d'éloigner les loups des troupeaux, avec une plus grande acuité ».

La cohabitation pacifique avec le loup ne serait donc pas utopique si les pouvoirs publics et les acteurs concernés s'en donnaient véritablement les moyens !



gestes

Publié à 10:24 par fandeloup Tags : travail
gestes

Dans chacun de tes gestes , aussi simple soient ils... Glisse la tendresse et la reconnaissance d'être simplement. Ton travail sera toujours un chef d'oeuvre.



cheval

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : chez vie cheval
cheval

A partir du 16e siècle, le cheval a fait son apparition chez les natifs Américains, et il est devenu essentiel pour eux, pour la chasse aux bisons, la guerre, comme monnaie d'échange et pour se déplacer et transporter tout ce qui était nécessaire à la vie du camp .



Merci

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : merci
Merci

Merci, simplement parce que vous êtes nombreux a lire et a vibrer , simplement merci....



partage

Publié à 15:55 par fandeloup Tags : nuit vie
partage

Jamais une journée ne se termine, sans qu'il embrasse celle qui partage sa nuit et sa vie



Avatar

Publié à 15:32 par fandeloup Tags : maison histoire monde sur film
Avatar

Avatar 2 bientôt de retour en 3D mais sans lunettes !

 Alors qu'Avatar 2 devait enfin faire son retour en décembre 2020, le rachat de Fox par Disney a créé de nouveaux retards de production. Si celle-ci a débuté en septembre 2017, le film de James Cameron ne verra finalement le jour qu'en décembre 2021 et une troisième suite est prévue. Le deuxième film Avatar aura connu bien des rebondissements.

L'oeuvre, qui avait révolutionné le monde du cinéma en proposant un film en 3D, le premier d'une longue série, doit connaître une suite qui a été maintes fois repoussées.

En avril 2017, le réalisateur James Cameron avait enfin donné une date définitive en décembre 2020. Une date à nouveau repoussée Mais peu de temps après, la Fox a été rachetée par Disney et cette transaction a finalement retardé la production d'Avatar 2.

En mai 2019, la sortie du film a donc été repoussée d'un an : Avatar 2 sortira en décembre 2021, douze ans après le premier volet qui a connu un succès fulgurant en salles.

Un troisième film est d'ores et déjà prévu en 2023 et en cas de succès de la trilogie, les studios ont prévu de réaliser Avatar 4 et Avatar 5.

Ces nouvelles suites devraient sortir respectivement en 2025 et 2027 si aucun retard de production ne repousse les projets. James Cameron a bien confirmé que toutes les suites seront tournées en 3D.

Le casting d'Avatar 2 Concernant le casting, Sam Worthington et Zoe Saldana reprennent leurs rôles de Jake Sully et Ney'tiri. C'est également le cas de Sigourney Weaver qui rempile pour incarner le Dr Grace Augustine. Stephen Lang, Giovanni Ribisi, C.C.H. Pounder ou encore Matt Gerald. De nouveaux acteurs viendront toutefois entourer ce noyau dur, notamment Kate Winslet et Oona Chaplin, vue dans Game of Thrones.

L'histoire d'Avatar 2 devrait se dérouler environ 10 ans après la destruction de l'arbre maison . Pour l'instant, aucun teaser n'a vu le jour et on sait très peu de choses sur le tournage qui s'est déroulé en 2017. Suite à un accord avec le gouvernement néo-zélandais, toutes les suites devraient être tournées en Nouvelle-Zélande. Si la plupart des informations tombent au compte-goutte, la diffusion des images de cette saga devrait s'intensifier au fil des mois et plus encore quelques semaines avant la sortie d'Avatar 2 dans les salles.

En espérant qu'aucun contre-temps ne vienne perturber le montage du film...



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