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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

réalité

Publié à 14:55 par fandeloup Tags : place animal coup
réalité

C’est bien souvent la réalité. Des gens inconscientes et sans cœur, qui croient qu’un animal est un jouet ou un objet qu’on peut mettre de côté quand on a assez de le nourrir, le soigner, ou que du coup le petit chiot grandi et prend plus de place... ou qu’un bébé se pointe et les parents que jusque-là, considéraient l’animal comme un membre de la famille, décident de s’en défaire « pour le bien du bébé »... Autant d’excuses aberrantes quand on n’adopte pas AVEC NOTRE CŒUR et après mûre réflexion!

réalité

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : mort course sur vie
réalité

La réalité est immonde

Il y a longtemps que cette pratique est connue : elle concerne TOUS les pays anglo-saxons ! Cela a été dénoncé il y a de longues années par les assos britanniques de sauvetage de greyhounds. Même les étudiants en école vétérinaires en Grande Bretagne ont dénoncé cette réalité, et ont reçu en réponse des menaces sur leur avenir , sur l'obtention de leurs diplômes ! Car oui, ce sont les greyhounds de course qui en font les frais.

En Europe, on pense que seuls les galgos sont maltraités. Les greyhounds de course le sont tout aussi largement, mais vous ne les voyez pas dans les rues comme c'est le cas en Espagne : les massacres se passent derrière les hauts murs de "refuges" bidons (qui sont des centres d'extermination), derrière les murs des centres d'expérimentation "scientifique", derrière les box prison des champs de course, pour finir écorchés sur l'étal de boucherie des marchés asiatiques. I

Ils sont des MILLIERS à "disparaitre" chaque année !

Personne ne veut l'entendre, le croire, depuis des dizaines d'années, malgré le militantisme des assos de défense de greyhounds. Tous ces témoignages ont même été dénigrés, niés avec vigueur par certaines assos pro-galgo, qui se sont livrés à une guéguerre "pour leur clocher", comme s'il était question de cela... Et maintenant, seulement maintenant, à peine des yeux et les oreilles s'ouvrent ! Messieurs dames: tous les pays anglo-saxons ont cette pratique ! N'oubliez pas que les pays "anglo-saxons ont "déclassé" le greyhound dans leurs lois: il n'est plus "chien de compagnie", mais "animal de rente", ce qui veut dire que l'humanoïde le plus taré a droit de vie ou de mort sur lui, sans avoir de compte à rendre.

    PITIE POUR LES GREYHOUNDS: OUVREZ LES YEUX !

honteux

Publié à 11:42 par fandeloup Tags : photo société sur france animaux animal homme mort annonce
honteux

L'entreprise Herta de nouveau épinglée par L214

Protection/ Élevage L'association de défense des animaux L214 dénonce les traitements réservés aux porcs dans un élevage de l'Aube fournissant le leader de la charcuterie Herta, via une vidéo diffusée mercredi soir où l'on voit notamment des coups portés à des animaux. Avec AFP Sur les images, tournées en août et septembre 2021 selon l'association, un homme est filmé en train de porter une série de coups secs sur le dos d'une truie à l'aide d'un instrument en plastique. Un peu plus tôt, un autre claque la tête de deux porcelets au sol pour les mettre à mort, une pratique tolérée si les animaux sont moribonds. On le voit ensuite lancer sans ménagement des porcelets vivants dans un bac en plastique pour pratiquer avec son collègue des interventions souvent observées en élevage : section de la queue pour éviter qu'elle soit mangée par des congénères, épointage des dents pour limiter les blessures infligées aux autres porcelets et aux mamelles des truies.

UN ÉLEVAGE "FILIÈRE PRÉFÉRENCE"

Selon L214, l'exploitation appartient à la société Promontval qui compte près de 20.000 cochons (dont près de 1.500 truies - la moyenne nationale est de 250 - et leur descendance) sur deux sites et a obtenu récemment l'autorisation de s'agrandir. Elle est engagée, d'après l'association, dans la "filière Préférence" d'Herta. Dans cette filière, "nos éleveurs s'engagent à respecter un guide de bonnes pratiques", souligne sur son site la marque leader de la charcuterie en France. Dans un communiqué diffusé peu avant que la vidéo soit rendue publique, l'entreprise indique avoir été informée "de la publication imminente d'une vidéo à charge contre un élevage de porcs". Elle indique qu'elle "analysera cette vidéo, dès qu'elle aura accès aux images, et lancera un audit". "Si des manquements aux règles venaient effectivement à être constatés dans cet élevage, Herta saura en tirer toutes les conséquences", ajoute le groupe, tout en déplorant "l'acharnement de L214 contre l'élevage". L'association annonce qu'elle porte plainte pour "mauvais traitements envers les animaux et tromperie des consommateurs auprès du procureur de Troyes". Par ailleurs, via une pétition en ligne qui a déjà recueilli près de 100 000 signatures, L214 demande à Herta de s’engager à bannir l’élevage intensif de cochons de sa chaîne d’approvisionnement.

HERTA DÉJÀ MIS EN CAUSE PAR LE PASSÉ

L214 a déjà ciblé un élevage "filière Préférence" Herta de l'Allier dans deux vidéos publiées fin 2020 et début 2021. Herta avait suspendu "par précaution" ses approvisionnements après la première vidéo. Le groupe les avait repris après un audit interne et après que les autorités sanitaires locales eurent conclu à la "bonne tenue de l'élevage et à l'absence de non-conformité majeure". Les autorités avaient toutefois demandé des "mesures correctives" en matière d'abreuvement, de réduction de la densité ou de remplacement des caillebotis. L'éleveur doit comparaître le 26 janvier devant le tribunal correctionnel de Moulins pour mauvais traitement sur animal, "entreposage de cadavres d'animaux plus de 24 heures dans un dépôt non réfrigéré", et privation de nourriture, notamment. Il risque une amende et une interdiction d'exercer.

horreur

Publié à 11:45 par fandeloup Tags : moi animaux
horreur

Cette réalité des zoos vous affecte? Moi aussi.... Lutter contre la captivité des animaux sauvages, c'est aussi lutter contre les gens qui les privent de liberté !

horreur

Publié à 11:45 par fandeloup Tags : google sur bonne france place animaux mode amis demain air
horreur

Poules pondeuses : l'élevage « au sol » est-il vraiment une nonne alternative aux cages ?!

Victimes de piquage par leurs congénères sous l'effet du stress, de nombreuses poules succombent à leurs blessures non soignées.

 Alors que le consommateur se détourne – à juste titre – des œufs de poules élevées en cages, la grande distribution reporte une partie de son approvisionnement vers l'élevage dit « au sol ». L'association L214 alerte sur le (triste) sort réservé aux gallinacées dans ces exploitations, où les volailles s'entassent à perte de vue sans accès à l'extérieur.

La Fondation 30 Millions d'Amis incite chaque consommateur à vérifier le mode d'élevage indiqué sur l'emballage et la coquille, et à privilégier les œufs issus de l'Agriculture Biologique et le plein air (codes respectifs 0 et 1). D'un enfer... à l'autre !

Sensibilisés à la souffrance des poules élevées en cages, notamment grâce aux enquêtes des ONG de protection animale, davantage de consommateurs refusent d'acheter des œufs issus de ce mode d'élevage intensif.

La plupart des entreprises de la grande distribution l'ont bien compris, bannissant ces produits de leurs étals. Ainsi, la part de poules élevées en cages en France est passée de 68 % en 2016 à 47 % en 2020. Si les œufs issus de l'élevage « plein air » et de l'« Agriculture Biologique » figurent désormais en bonne place dans les rayons (et dans la composition des produits transformés), on y trouve également... des œufs de poules élevées « au sol ».

Un mode d'élevage qui représente aujourd'hui 12 % des poules élevées dans notre pays. Perchoirs en métal sur plusieurs étages, poules déplumées, blessées... La triste réalité de l'élevage "au sol". ©L214 Le leurre des slogans « terroir » ou « bien-être » L'élevage au sol est une illusion d'alternative à l'élevage en cage. Brigitte Gothière, L214 Issues de deux exploitations situées respectivement dans les Côtes d'Armor et en Vendée, les images rendues publiques par l'association L214 révèlent la triste existence des poules élevées « au sol ». Les volailles s'entassent à perte de vue dans des bâtiments fermés, sans accès à l'extérieur.

Plutôt que de rester sur le sol – comme l'appellation de ce mode d'élevage aurait pu le suggérer – en béton nu, les gallinacées grimpent sur des « perchoirs » métalliques empilés en hauteur, dont l'apparence rappelle les sordides cages que ce type d'exploitation est pourtant censé remplacer. Certaines poules apparaissent déplumées, ce qui suggérerait un fort « piquage » [agressions favorisées par le stress, NDLR] infligé par leurs congénères.

Plusieurs cadavres gisent au sol. Les perchoirs métalliques permettent d'entasser davantage de poules dans les bâtiments. ©L214 « L'élevage au sol doit son développement à la méconnaissance du public concernant ce système d'élevage intensif. Notre enquête montre qu'il s'agit malheureusement d'une illusion d'alternative à l'élevage en cage, souligne Brigitte Gothière, porte-parole de L214.

Nous en appelons aujourd'hui à la responsabilité des producteurs et de la grande distribution, afin d'éviter la construction de nouveaux élevages qui seront demain aussi réprouvés que les cages le sont aujourd'hui. » Les lanceurs d'alerte adressent à l'Interprofession de l'œuf (CNPO) et à la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) une pétition demandant l'abandon de l'élevage sans accès à l'extérieur.

Le « consomm-acteur » peut, lui, (ré)agir à son échelle en privilégiant des modes d'élevage plus favorables au bien-être des poules pondeuses... à condition d'être en mesure de les identifier ! D'autant que les boîtes d'œufs arborent parfois des visuels – trompeurs – figurant des volailles dans les prés, ou des slogans dépourvus de signification tels que « terroir » ou « bien-être »... Pour aider à s'y retrouver, la Fondation 30 Millions d'Amis avait mené conjointement avec son partenaire Welfarm une opération de sensibilisation.

A retenir : le mode d'élevage des poules est obligatoirement indiqué sur les emballages et sur la coquille des œufs vendus dans le commerce, sous la forme d'un code dont le 1er chiffre va de 0 (bio) à 3 (cage) en passant par 1 (plein air) et 2 (au sol) : à favoriser, les codes 0 & 1 ; à proscrire, les codes 2 & 3. Changeons de modèle !

Conscients que le lien entre les élevages intensifs et les pandémies est désormais clairement établi par les scientifiques, 85 % des Français sont favorables à l'interdiction de l'élevage intensif 

Plus de 927.000 personnes se sont déjà engagées en faveur du Référendum pour les animaux , prônant la fin de l'élevage intensif ainsi que 5 autres mesures phares contre la souffrance animale.

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Publié à 17:32 par fandeloup Tags : amis google sur bonne vie place animaux animal article mort texte pouvoir france
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Les animaux « êtres vivants doués de sensibilité » : l’Espagne pourrait suivre l’exemple français

Après un retard causé par une paralysie politique, l'Espagne reprend sa marche en avant sur le statut juridique des animaux de compagnie

Le Congrès espagnol vient de donner le feu vert à la modification du statut juridique des animaux de compagnie dans le Code civil, les considérant désormais comme des « êtres vivants doués de sensibilité » (

L’Espagne s’inspire ainsi directement de la France qui, grâce à la Fondation 30 Millions d’Amis, avait fait inscrire ce changement dans la loi en 2015. Les travaux de la Fondation 30 Millions d’Amis continuent de faire des émules six ans plus tard. L’Espagne pourrait en effet reconnaître – à son tour – les animaux comme des « êtres vivants doués de sensibilité » dans son Code civil.

La proposition de loi des députés socialistes (PSOE) et du parti Podemos reprend les bases d’un texte déposé en décembre 2017 par le parti populaire (PP) alors en place. Mais les crises politiques successives avaient paralysé cette avancée législative. A peine votée au Congrès - la chambre basse du Parlement espagnol - la modification législative devra également passer par le Sénat avant de pouvoir être inscrite dans le Code civil. Si elles saluent un « pas en avant », les associations de protection animale hispaniques attendent beaucoup plus du gouvernement de Pedro Sánchez, l’actuel Premier ministre.

Des avancées concrètes

Une telle modification du statut des animaux aurait une portée symbolique importante et un impact concret, notamment dans les cas de divorce ou de séparation. En effet, un juge pourra plus facilement proposer une garde partagée et répartir justement les frais éventuels dans l’intérêt de la famille et du bien-être animal. De même, un animal ne pourra plus être saisi comme un bien pour rembourser des dettes.

La proposition de loi indique également que dans le cas « où la blessure d’un animal de compagnie a causé sa mort ou une atteinte grave à sa santé physique ou mentale, tant son propriétaire que ceux qui vivent avec l’animal » auront le « droit à une indemnisation comprenant la réparation du préjudice moral causé ».

Enfin, le texte prévoit également que lorsqu’un animal perdu ou abandonné est rendu à son propriétaire, celui-ci doit payer les dépenses engagées par la personne ou l’entité qui en a pris soin. La maltraitance et l’abandon seraient considérés comme des délits. « Une bonne nouvelle » mais… Une étape nécessaire et importante pour faire progresser les droits des animaux. Aida Gascón - Animanaturalis « C’est évidemment une bonne nouvelle que les animaux cessent d’être considérés comme des biens pour être reconnus comme des êtres vivants et sensibles dans le Code civil, estime Aida Gascón, présidente de l’association AnimaNaturalis, jointe par 30millionsdamis.fr.

C’est une étape nécessaire et importante pour faire progresser les droits des animaux. » Pour autant, il est « temps de commencer sérieusement à repenser notre relation abusive et destructrice avec les animaux », poursuit la militante. Entre le récent scandale autour du laboratoire Vivotecnia, les delphinariums ou les traditions durant lesquelles la maltraitance animale règne, les défenseurs des animaux en Espagne ont encore de nombreux combats à mener pour « faire naître d’autres changements législatifs et culturels ».

« Mais nous sommes sur la bonne voie, les nouvelles générations étant plus empathiques avec les animaux », se réjouit A. Gascón. La Fondation 30 Millions d’Amis en fer de lance L’exemple espagnol, s’il se confirme, serait un témoignage supplémentaire que la réforme initiée par la Fondation 30 Millions d’Amis en 2015 - en concertation avec de nombreux intellectuels et d’éminents juristes - est une source d’inspiration hors de nos frontières. Dans l’hexagone, ce nouvel article 515-14 du code Napoléonien a véritablement levé un verrou juridique en matière de protection animale. Dès décembre 2015, la Cour de cassation a rappelé la singularité et la sensibilité de l’animal de compagnie en le qualifiant d’« être vivant, unique et irremplaçable ».

Cinq ans plus tard, dans le sillon de cette révolution, le Conseil d’Etat consacre pour la première fois un droit propre de l’animal : son « droit à la vie ». Si des progrès significatifs restent bien entendu à faire en la matière (plus de 70 % des affaires de maltraitance animale sont classées sans suite sur notre territoire), cette consécration législative a permis à de nombreux magistrats français de faire preuve d’une audace nouvelle pour améliorer le sort des animaux ; elle pourrait désormais jouer un rôle similaire en Espagne.

tristesse

Publié à 11:23 par fandeloup Tags : coeur
tristesse

Les souvenirs me hantent, partout il se faufilent, j’ai beau les évincer, il reviennent sans arrêt,torturant mes pensées en larmes de regret. ils sont une blessure qui ravive en mon ♥ cet émoi,cette émotion intense, souvenirs,vous êtes si vivants que par moment je sens encore votre présence, et je m’enfonce en vous, vous êtes sables mouvants dans lesquels je me noie avec désespérance.

horreur

Publié à 16:56 par fandeloup Tags : france monde google gain animal amis mort nature sur
horreur

Massacre des requins pour leurs ailerons : la Fondation 30 Millions d'Amis soutient l'Initiative Citoyenne Européenne « Stop Finning »

Si l'amputation à vif des requins est interdite dans les eaux européennes, la réglementation permet toutefois de sectionner les ailerons une fois au port afin de les exporter à l'étranger.

Avec 3500 tonnes d'ailerons exportées chaque année, l'Union européenne tire profit du massacre des requins, mettant en péril les écosystèmes marins au sein desquels ces poissons jouent pourtant un rôle majeur.

Pour renforcer la réglementation et mettre fin à ce commerce sordide, la Fondation 30 Millions d'Amis rejoint l'Initiative Citoyenne Européenne (ICE) « Stop Finning – Stop the Trade ». Objectif : réunir 1 million de signatures. 1,8 million.

C'est le nombre de requins bleus officiellement débarqués dans les ports en Espagne, estimé à partir des prises déclarées par les pêcheurs aux autorités... soit quelque 53.000 tonnes de carcasses en 2016. Alors que l'espèce est classée « quasi-menacée » au niveau européen sur la Liste Rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), sa capture a presque doublé en une quinzaine d'années rien que dans l'océan Atlantique. Des espèces plus proches de l'extinction sont aussi concernées, à l'instar du requin mako et de la maraîche, respectivement classés « en danger » et « vulnérable » sur la liste rouge mondiale.

Au total, entre 63 et 273 millions de requins sont tués chaque année dans le monde, selon l'UICN. Pour l'UE, la vente des ailerons de requins est un marché lucratif. Si leur chair est certes autorisée à la vente dans les pays de l'Union européenne – y compris en France où l'on en trouve régulièrement sur les étals des supermarchés – les requins sont davantage ciblés pour leurs ailerons, destinés à l'export vers les pays asiatiques... où leur « dégustation » sous forme de soupe est perçue comme un symbole de prestige.

Ainsi, l'UE exporte près de 3500 tonnes d'ailerons par an, pour une valeur totale d'environ 52 millions d'euros. Un marché lucratif, qui met en péril non seulement les squales, mais également les écosystèmes marins dans leur ensemble puisque ces prédateurs – au sommet des chaînes alimentaires – régulent les populations de proies et freinent la propagation d'épidémies parmi celles-ci en consommant les poissons malades.

Faire évoluer la réglementation Parmi les principaux progrès salués par les associations environnementales et de protection animale, l'amendement « Fins Naturally Attached » [ailerons naturellement attachés, NDLR] qui interdit depuis 2013 de couper les ailerons des requins directement à bord des navires dans l'espace maritime de l'UE. Cette réglementation vise à éviter la cruelle pratique de « l'amputation des ailerons » (finning en anglais), consistant à relâcher par-dessus bord les squales après leur avoir sectionné les nageoires à vif, les condamnant à une mort atroce en se vidant de leur sang une fois retournés dans l'eau.

Toutefois, si les ailerons doivent rester attachés « naturellement » à la carcasse de l'animal lorsque le navire est déchargé au port, rien n'empêche toutefois d'ôter par la suite les ailerons... pour les exporter. Une incohérence que cherche justement à combler l'Initiative Citoyenne Européenne (ICE) « Stop Finning – Stop the Trade », réclamant d'élargir la réglementation « Fins Naturally Attached » à l'exportation – ainsi qu'à l'importation et au transit – des requins et des raies :

« Ceci facilitera l'identification des requins et empêchera la dissimulation d'espèces commercialisées illégalement, explique Anne-Sophie Mouraud, chargée de campagne pour StopFinningEU. De plus, devoir commercialiser les requins entiers au lieu des seuls ailerons augmentera considérablement la complexité et les coûts, réduisant d'autant l'appât du gain. »

horreur

Publié à 11:26 par fandeloup Tags : amis google monde sur animaux société
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L'Espagne enquête sur un cas de maltraitance animale présumée dans un laboratoire

Après la diffusion d'une vidéo tournée dans un laboratoire d'expérimentation animale en Espagne, une inspection a été menée et l'activité de l'établissement a été suspendue.

 Les autorités espagnoles ont lancé des enquêtes contre un laboratoire d'expérimentation animale situé près de Madrid après la diffusion d'images de sévices sur des chiens, des rats, des cochons, des lapins et des singes.

"Nous avons été consternés face à ces images. C'est un cas flagrant de maltraitance animale", a déclaré à l'AFP Sergio Garcia Torres, responsable des droits des animaux au sein du gouvernement de gauche espagnol

Des animaux frappés, moqués, torturés Les vidéos publiées la semaine dernière par l'ONG Cruelty Free International ont été filmées entre 2018 et 2020 par une militante infiltrée au sein de la société Vivotecnia, qui réalise des études de toxicité et de sécurité pour des entreprises de produits sanitaires, de cosmétiques, de produits chimiques et d'alimentation.

Ces images montrent des salariés de cette société frappant, secouant ou soumettant à des tests et des expériences les animaux, provoquant parfois des cris. Une séquence montre un employé tenant un macaque tandis qu'un autre dessine un visage au feutre sur son sexe. L'AFP a tenté en vain de contacter la société .

Dans un communiqué repris par les médias espagnols, son directeur exécutif, Andres König, s'est montré "très préoccupé" par les vidéos mais a déclaré qu'elles ne reflétaient pas "la réalité quotidienne" du laboratoire. Deux enquêtes en cours contre le laboratoire Après le scandale provoqué par la diffusion de ces images, le gouvernement de la région de Madrid a annoncé dimanche qu'il avait suspendu l'activité de Vivotecnia après avoir "effectué une inspection et trouvé des signes de maltraitance animale".

Deux enquêtes sont en cours contre le laboratoire, l'une lancée par le parquet et l'autre par la Garde civile, ont indiqué lundi à l'AFP des porte-paroles des deux institutions. De son côté, le parti défenseur des animaux PACMA et d'autres organisations ont déposé une plainte contre les responsables de l'entreprise et ont demandé à l'administration une plus grande vigilance. "C'est un monde très opaque et il se pourrait que cela se produise de manière habituelle sans que nous le sachions", a déclaré à l'AFP Laura Duarte, présidente de PACMA. Sergio Garcia Torres du gouvernement central propose de placer des caméras de vidéosurveillance dans ces installations, une mesure que l'exécutif de gauche veut déjà rendre obligatoire dans les abattoirs.

Les autorités s'efforcent maintenant de transférer les animaux de ce laboratoire vers des installations appropriées.

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Publié à 15:49 par fandeloup Tags : google sur chevaux cheval bonne france animaux chez animal amis photos mort nuit
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Derrière la viande de cheval vendue en France, le supplice d'équidés abattus dans l'hémisphère Sud ?

En supermarché comme en boucherie, la viande chevaline commercialisée en France provient en majorité de l'étranger, notamment d'Argentine et d'Australie où les équidés vivent l'enfer.

Alors que la France possède le 2e cheptel équin le plus important d'Europe et qu'elle exporte ses chevaux de boucherie par milliers vers le Japon, la viande de cheval consommée dans l'hexagone provient en majorité... de l'étranger ! Un paradoxe dénoncé par l'association Welfarm – partenaire de la Fondation 30 Millions d'Amis – qui dévoile le supplice des équidés dans des « Champs de l'Horreur » en Argentine et dans un abattoir en Australie.

Les consommateurs de viande chevaline savent-ils vraiment ce qu'ils mettent dans leur assiette ?

C'est la question posée par l'association Welfarm – partenaire de la Fondation 30 Millions d'Amis – qui dévoile, avec l'ONG Tierschutzbund Zürich / Animal Welfare Foundation (TSB/AWF), une enquête consacrée aux équidés abattus en Australie et en Argentine, dont la viande serait commercialisée notamment par les supermarchés français Leclerc, Auchan, Cora, Carrefour, Intermarché et par la chaîne de boucheries Henri Boucher. Selon les lanceurs d'alerte, dans les pays de l'hémisphère Sud, les chevaux  subissent les pires sévices tout au long de leur triste existence jusqu'à leur abattage dans des conditions atroces.

Des « Champs de l'Horreur » Tournées entre août 2019 et octobre 2020, les images diffusées par Welfarm illustrent le calvaire enduré par les équidés dans les pays exportant leur viande vers la France. En Argentine, on aperçoit des chevaux faméliques, victimes de blessures aux jambes et apparemment non soignées. Sur d'autres images, des montagnes de cadavres en décomposition surmontent ce que l'association qualifie de « Champs de l'Horreur ».

Au-delà de ces visions de cauchemar, c'est tout un système et son opacité que dénoncent les défenseurs des animaux : vol de chevaux, traçabilité défaillante permettant à une « véritable mafia » de vendre ces équidés d'origine douteuse à des abattoirs exportant vers l'UE, ou encore, utilisation de substances médicamenteuses interdites sur notre sol. La viande chevaline produite dans ces 4 pays [Australie, Argentine, Canada & Uruguay est une horreur ! Adeline Colonat, Welfarm A l'autre bout du globe, en Australie, l'association s'est intéressée à l'abattoir de Meramist, le seul de l'île-continent à exporter vers l'UE, selon ses informations. Les lanceurs d'alerte y ont filmé des chevaux arrivant déjà morts à l'abattoir, traînés par une corde hors d'un camion.

D'autres images tournées quelques mois auparavant dans ce même établissement montraient des violences infligées aux équidés : des coups de bâton, des chocs électriques sur les parties génitales ainsi que des étourdissements ratés – jusqu'à 5 fois de suite ! – conduisant à la mise à mort d'animaux encore conscients.

Des images aussi terrifiantes que celles déjà révélées par Welfarm et AWF/TSB en Uruguay et au Canada, autres pays exportateurs d'équidés vers l'Europe.

Des étiquettes incomplètes ou trompeuses ?

De l'autre côté de la chaîne de distribution, en France, la transparence serait loin de constituer la norme. Selon les ONG à l'origine des révélations, sur les 12 supermarchés des Hauts-de-France [région où la consommation de viande chevaline est la plus élevée, visités par Welfarm en février 2021, un seul (Cora) proposait quelques steaks d'origine française... au milieu de produits similaires provenant, eux, de l'étranger. Toujours selon ces associations, dans ce même magasin, l'étiquette « Élaboré en France» – indiquant le lieu d'emballage du produit mais en aucun cas l'origine réelle de la viande ! – peut aisément induire le consommateur en erreur, tandis que sur les étals de la moitié des établissements visités se trouvaient des produits dont l'origine n'était nullement indiquée. Si le rayon frais réserve donc des surprises, le rayon conserverie n'est pas en reste, proposant des boîtes de la marque Equinox... elle-même liée à l'abattoir argentin de Lamar, dénoncent-elles.

« Cet inventaire n'est évidemment pas exhaustif, c'est un échantillon prélevé dans une région très consommatrice de viande chevaline, mais il est inquiétant, estime Adeline Colonat, Chargée de mission à Welfarm. Nous avons déjà alerté les distributeurs en 2019, mais ils persistent à vendre de la viande importée. Nous leur demandons de s'engager à ne plus se fournir en Argentine, Uruguay et au Canada et de ne surtout pas se rabattre sur la viande australienne… » ni d'ailleurs sur la viande d'origine belge – proposée notamment chez Intermarché – étant donné que notre voisin est lui-même un intermédiaire, ré-exportant de la viande chevaline... importée d'Australie !

Quid des contrôles ?

Des supermarchés, mais également des boucheries seraient concernées par ces ventes. Du côté de la chaîne Henri Boucher, dont le site web indique l'origine Argentine, Australie, Canada et Uruguay, les représentants se retranchent derrière le projet « Respectful Life »... censé garantir le bien-être des équidés dans les pays exportateurs, à l'aide d'inspections réalisées une fois par an dans les abattoirs par des « universitaires indépendants ».

Un écran de fumée, selon Welfarm, qui déplore le fait que les responsables soient avertis par avance des contrôles à venir. Ainsi, le rapport d'inspection de l'abattoir de Land L en 2019 faisait état d'équidés bien nourris et en bonne santé, photos à l'appui... tandis que les ONG y ont pourtant filmé l'année suivante deux chevaux gisant au sol, meurtris, laissés à l'agonie une nuit entière. Attention, ces images peuvent choquer et heurter la sensibilité du public.

Aux côtés de 10 autres organismes de protection animale, les associations Welfarm et TSB/AWF adressent à la Commission européenne une pétition demandant de rayer l'Argentine, l'Australie, l'Uruguay et le Canada de la liste des pays autorisés à exporter de la viande chevaline vers l'UE, à l'instar de la décision prise pour le Brésil et le Mexique. « La viande chevaline produite dans ces 4 pays est une horreur, conclut Adeline Colonat. [Les distributeurs et les bouchers] doivent cesser d'en vendre, ou assumer ces images ».

La Fondation 30 Millions d'Amis avait – elle aussi – soulevé le paradoxe de ces importations, alors que notre pays exporte des milliers de chevaux vers le Japon par avion, pour leur viande.