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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce que le "A", ce que le "I", Ce que le "O", ce que le "E". Ces translucides voyelles décrivent mieux, cette longue nuit qui étale son manteau-tristesse
Etre souvent à fleur de peau, vulnérable aux ambiances ou aux émotions, n'est pas forcément une pathologie.
Chopin, qui a su traduire dans ses Nocturnes toutes les subtilités d'une âme déchirée, était-il un malade dépressif?
Le poète Keats serait-il aujourd'hui diagnostiqué «personnalité évitante» dans nos services psychiatriques?
La question se pose lorsqu'on découvre aujourd'hui le monde des hypersensibles tels qu'ils se décrivent et s'encouragent - notamment sur Internet - face à une société qui les comprend mal.
Hypersensible, vous l'êtes peut-être.
Si, depuis toujours, vous ne supportez ni le bruit ni l'agitation; si vous êtes très susceptible, prenant de plein fouet la moindre remarque désagréable, et si, quand vous entrez dans une pièce, vous «scannez» intérieurement les zones d'inconfort potentiel, tout laisse à penser que vous faites partie de ces 15% à 20% de la population mondiale qu'une psychologue américaine, Elaine Aron, a décrits et commencé à étudier dès le début des années 1990.
Se définissant comme hypersensible elle-même, cette Californienne souffrait d'être trop rapidement prise pour une timide, une introvertie ou une dépressive.
Son symptôme majeur:
elle avait besoin de plus de temps que ses comparses pour observer attentivement les situations et surtout bien réfléchir avant d'agir. Du coup, elle vivait chaque événement avec beaucoup plus d'intensité que la moyenne et était facilement bouleversée, une vulnérabilité que son entourage ne comprenait pas forcément.
À travers ses recherches, Elaine Aron s'est rendu compte que sa manière de traiter l'information avait tout d'une stratégie de survie. Contrairement à la timidité, qui est probablement d'origine culturelle, cette hypersensibilité serait selon elle une caractéristique innée. «Les biologistes ont découvert que ce trait existe aussi chez la plupart des animaux, des poissons aux primates», explique-t-elle sur son site internet .
Revers positifs de la médaille:
l'extrême intuition des hypersensibles, leurs formidables capacités d'empathie, leurs talents artistiques. Aujourd'hui, ils disposent de nombreuses ressources pour s'identifier entre eux, s'entraider et entamer de vastes «chats» contre les professionnels de la psyché qui les classent un peu trop facilement dans une pathologie.
Les sites anglophones, nés peu après la sortie de livre culte d'Elaine Aron (Ces gens qui ont peur d'avoir peur, Éditions de l'Homme, 2000), sont désormais fort nombreux. Certains, à travers conseils et recommandations, permettent aux hypersensibles de se protéger plus particulièrement dans leur vie professionnelle .
D'autres présentent l'actualité scientifique sur le sujet: un magazine papier et des vidéos pour highly sensitive people sont disponibles . La France n'est pas en reste, avec un site créé en février 2005 par une mystérieuse Lawen.
Celle-ci annonce une moyenne de 150 visites par jour et les messages postés témoignent de l'enthousiasme de ses membres. La possibilité d'identifier enfin son trouble et de partager son expérience avec d'autres comme soi fonctionne à plein.
Besoin d'encouragements «Oui, je suis vraiment HS (hypersensible), écrit Iasseva. Un psy m'a parlé de cela il y a sept ans, mais je ne comprenais pas vraiment ce que ça voulait dire, parce que je le voyais seulement comme une faiblesse psychologique, une sorte de maladie handicapante qui m'a causé quelques problèmes professionnels.
On me reproche souvent mon intolérance aux choses (bruits forts, sons aigus, fumée, toucher par surprise, etc.) et on me conseille de vivre dans un univers aseptisé.
Ce à quoi je réponds: je supporte et j'accepte très bien l'air pur, la créativité et la beauté.» Pour Elaine Aron, l'une des clés du bien-être des hypersensibles est justement de ne pas chercher à vivre comme des personnalités lambda. «Vous avez besoin de plus de temps de récupération, calculez-le dans votre agenda; vous êtes particulièrement vulnérable à la caféine, évitez-la… Et dites à votre entourage que vous avez besoin de plus d'encouragements que la moyenne», précise-t-elle à ses congénères.
Particulièrement prisés, ses conseils aux parents d'enfants qui souffrent d'hypersensibilité: «Veillez à toujours sanctionner avec douceur et gentillesse.»
CRONO
Ce beau galgo bringé, très athlétique, se prénomme Crono. Né en décembre 2009, il a 4 ans.
Crono pèse 27 kgset mesure 65 cms au garrot. Il est un peu peureux, mais surtout très très bon, il aime très fort les humains.
Pour toute question ou pour l’adopter, contactez Terre des Lévriers :
Patricia : texouille@gmail.com,
Evelyne : pomavea@gmail.com,
Christine : christine.lipinski.tdl@gmail.com,
Perrine : perrinemallet46@gmail.com.
Tradition : pourquoi offrir des cadeaux à Noël ?
LES cadeaux.
Les cadeaux sont une promesse d’abondance dont on retrouve la trace dans l’Antiquité. Les Romains en échangeaient lors des Sigillae, au dernier jour des Saturnales, accompagnés de vœux. Si les premiers chrétiens critiquent la dimension païenne et superstitieuse de cet usage, l’Église se garde tout de même de l’interdire. L’usage d’offrir des jouets au lieu d’aliments ne se développe qu’au XIXe siècle, avec l’essor de la bourgeoisie. Ce geste ancestral n’est pas sans rappeler, selon l’historienne Nadine Cretin, une forme du "gaspillage cérémoniel" lié à toute fête.
LE SAPIN.
Au IIIe siècle, en Afrique romaine notamment, il était d’usage d’allumer des lampes et de disposer du laurier dans les maisons au moment du solstice. La coutume, considérée comme issue d’une tradition païenne liée au culte des arbres et à la conjuration de l’hiver, fut condamnée par les Pères de l’Église. Toutefois, des couronnes de verdure continuèrent à décorer certaines demeures jusqu’au Moyen Age. À cette époque, le conifère décoré de pommes rouges figure l’arbre du paradis.
La tradition du sapin, semble, quant à elle, originaire d’Allemagne :
"En 1419, la confrérie des garçons boulangers de la ville de Fribourg avait dressé dans la salle de réunion de l’hôpital du Saint-Esprit un grand arbre de Noël, écrit Martyne Perrot. On avait le droit de secouer cet arbre garni de sucreries, et les pauvres pouvaient ramasser fruits et friandises."
En France , c’est d’abord en Alsace que le sapin apparaît. "En 1521, à Sélestat, un édit municipal autorise les gardes forestiers à laisser les habitants couper de petits sapins pour les fêtes de Noël. Strasbourg bénéficie d’une décision identique en 1539." Longtemps, le clergé français – qui ne jure que par la crèche – regarde d’un mauvais œil ce sapin venu des terres protestantes. Sapin qui finit tout de même par s’inviter à la cour du roi Louis-Philippe en 1837. "Mais il faudra attendre encore quelques décennies pour que la coutume se popularise à l’ouest des Vosges !"
LA BÛCHE.
Jusqu’au siècle dernier, à la veille de Noël, une bûche était placée dans l’âtre. Pièce de chêne ou d’arbre fruitier – selon qu’il s’agissait de s’attirer robustesse ou fertilité –, elle devait se consumer lentement. Ce feu domestique du solstice d’hiver rappelle celui de la Saint-Jean, six mois plus tôt. On retrouve également cette union du feu et du bois dans les Saturnales romaines et le « feu nouveau » des Celtes. Tous ces rituels ont une vocation propitiatoire ou divinatoire. En outre, le feu de l’âtre permettait de condamner l’unique lien vers l’extérieur d’une demeure aux portes et fenêtres closes. Passage par lequel les mauvais esprits pouvaient s’infiltrer. Cet usage de la bûche a inspiré un dessert à l’origine controversée. On la dit inventée à Paris en 1879, mais on lui prête aussi des origines lyonnaises. Elle parvient à s’imposer en quelques décennies dans tout l’Hexagone, aux dépens de spécialités régionales.
Séquestré et condamné à mourir d’inanition
L’affaire a eu lieu à Soller-Majorque où un jeune de 22 ans a décidé d’alimenter au compte goutte son pauvre chien et ce pour le laisser mourir de faim à petit feu.
Deux mois avec un minimum de nourriture et eau ce qui a amené les voisins à le dénoncer.
Cette histoire aurait pu avoir une fin funeste mais un proche de la municipalité a décidé de l’adopter une fois que ce dernier serait sorti de la phase critique dans laquelle il se trouvait: très faible e totalement dénutri.
C’est le maire du village, vétérinaire, qui a prodigué les premiers soins à ce chien qui, à l’heure actuelle, a rejoint le domicile de sa nouvelle famille.
Il a fallu beaucoup de patience pour l’habituer à nouveau à la nourriture, plusieurs repas par jour et de petite quantité.
ANUBIS
Voici Anubis, podenco né en décembre 2011, il a donc 2 ans et toute la vie devant lui.
Anubis est un peu plaintif et craintif lorsqu'il est dans son box. Il préfère être dehors, à jouer. Il marche bien en laisse.
Pour toute question ou pour l’adopter, contactez Terre des Lévriers :
Patricia : texouille@gmail.com,
Evelyne : pomavea@gmail.com,
Christine : christine.lipinski.tdl@gmail.com,
Perrine : perrinemallet46@gmail.com
FLAMBOYANTE.
C'est une belle prise. Le télescope Subaru, au Japon, a permis de réaliser cette superbe vue de la comète Lovejoy.
Elle a été faite par les astronomes de l'Université d'État de New York à Stony Brook et ceux de l'Observatoire astronomique national du Japon (NAOJ, son acronyme en anglais) le 3 décembre 2013; le cliché révèle nettement les jets de poussières s'échappant du noyau et constituant la traîne de la comète.
À l'instant où la photo a été réalisée, Lovejoy se trouvait à 80 millions de kilomètres de la Terre et à 130 millions de kilomètres du Soleil.
Urgence pour les éléphants
Braconnage, criminalité, réseaux terroristes…
A ce rythme, l’éléphant d’Afrique aura disparu d’ici 10 ans ! Mi-mars 2013, alors que s’achève la 16ème conférence des parties à la CITES, 89 éléphants, dont 33 femelles gestantes et 15 éléphanteaux, sont massacrés par des braconniers près de la ville de Gamba au sud du Tchad.
Depuis quelques mois, les tueries se multiplient faisant toujours plus de victimes (300 éléphants massacrés en février 2012 au parc national camerounais de Bouba N’Djida), les braconniers armés interviennent rapidement, arrachent les défenses à la hache en abandonnant les éléphanteaux parfois trouvés encore vivants, prostrés, contre le cadavre de leur mère.
Nouveau plan d’action
A Bangkok, lors de la CITES, un plan d’action pour l’éléphant d’Afrique a été adopté qui impose aux pays où des stocks d’ivoire sont saisis (Chine et Thaïlande notamment), de procéder à des tests ADN afin de retracer l’origine de l’ivoire et les populations d’éléphants braconnées…
Toutefois, ces mesures sont très insuffisantes, inappropriées, face à l’urgence d’une intervention de terrain pour assurer la protection des derniers troupeaux d’éléphants.
Il resterait entre 420 000 et 650 000 éléphants en Afrique.
En 2011, 25 000 ont été tués par des braconniers et probablement plus de 30 000 en 2012.
Une étude, publiée début mars dans la revue scientifique PLoS One, précise que 62 % des éléphants de forêt ont été abattus pour leur ivoire au cours des dix dernières années (au Gabon principalement). A ce rythme, les populations d’Afrique centrale pourraient avoir disparu en 2025.
Brigitte Bardot en appelle aux forces françaises
Le 26 mars 2013, la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot sollicite l’aide du Président de la République pour une coopération des forces françaises, présentes en Afrique, avec les brigades locales de lutte anti-braconnage. Il s’agit de combattre des groupes armés qui massacrent des troupeaux entiers d’éléphants, tuent les gardes nationaux chargés de protéger la faune.
Cette guerre de l’ivoire finance désormais des réseaux terroristes, le groupe de travail d’INTERPOL sur la criminalité liée aux espèces sauvages a tiré la sonnette d’alarme mais les moyens doivent être donnés pour lutter à armes égales contre les trafiquants. Dès sa création, la Fondation Brigitte Bardot a soutenu la lutte anti-braconnage en équipant des gardes du Sénégal, du Mali ou encore du Tchad.
Pour certains de ces pays elle s’est rapprochée, via le ministère de la Défense, des forces françaises présentes sur le terrain afin d’obtenir du matériel réformé. Des appareils de transmission, des tentes et autres équipements militaires avaient été offerts par l’armée française, la FBB finançant de son côté l’achat de plusieurs véhicules d’intervention.
C’est pourquoi Brigitte Bardot a sollicité l’aide de François Hollande :
"Ma Fondation finance un projet d’orphelinat pour éléphanteaux au Tchad afin de soigner ces jeunes victimes, elle soutient également la création d’espaces protégés et de corridors pour limiter les conflits homme/animal, mais tous nos efforts sont réduits à néant si le monde ne prend pas la mesure des combats qui ensanglantent actuellement l’Afrique.
Monsieur le Président, les forces françaises sont présentes dans plusieurs pays où le braconnage finance des réseaux terroristes. La coopération de notre armée est indispensable, elle peut passer par des dons en matériel ou une participation active des troupes, l’important est d’agir aux côtés des brigades qui luttent contre le braconnage." Braconnage sans précédent
Le 7 mai, François Hollande répond à Brigitte Bardot (extraits) :
"La violence générée par ces exactions, qui en outre contribuent à alimenter financièrement le crime organisé et les groupes armés sévissant dans ces régions, est inacceptable. La France est ainsi prête à apporter son concours aux autorités nationales confrontées à ce phénomène aux impacts humains et écologiques désastreux, face auquel elles se trouvent de plus en plus démunies …/… C’est pourquoi j’ai souhaité que tous les services compétents, relevant du ministère des Affaires Etrangères, de l’Ecologie, mais aussi de l’Intérieur et des Douanes, coordonnent leurs efforts pour apporter un appui renforcé à la lutte contre le braconnage dans les régions concernées, et contre le trafic illégal d’ivoire, sur place et en France. Une réunion d’information et de concertation avec les ONG compétentes sera organisée très prochainement, à laquelle bien entendu votre Fondation sera conviée".
Le gouvernement mobilisé Le 31 mai, la Fondation Brigitte Bardot participe donc à une importante réunion de travail dont l’objectif est de faire un point sur la recrudescence du braconnage, les difficultés rencontrées sur le terrain, les réseaux impliqués, etc.
L’autre objectif de cette réunion est d’identifier les actions concrètes qui peuvent être menées par les autorités françaises dans la lutte contre le braconnage.
Une mission, conduite par Nicolas Hulot, se rend dans plusieurs pays d’Afrique centrale durant la deuxième quinzaine de juin pour rencontrer les organisations, autorités et conservateurs locaux, un travail qui devra aboutir à la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’éléphant (et autres espèces victimes du braconnage).
Echanges fructueux avec le Chef de l'Etat Pour ne pas reprendre, ici, la teneur des échanges entre le Président François Hollande et la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot, nous avons intégré à cette page (colonne de gauche) les dernières correspondances et vous invitons à en prendre connaissance.
5 décembre 2013 - A l'initiative de l'Elysée, 20 pays africains participent à une table ronde sur la lutte contre le braconnage L'engagement de François Hollande auprès de Brigitte Bardot a été tenu (même s'il est nécessaire d'aller bien au-delà des premières mesures annoncées pour assurer une protection réelle des espèces menacées).
Outre la table ronde organisée le 5 décembre, avant le sommet franco-africain, qui réunit de nombreux Chefs d'Etat, ministres, et qui doit aboutir à la présentation d'une déclaration commune visant à mettre en place une politique de lutte contre le braconnage, la France a présenté un plan d'action national particulièrement ambitieux. Déclaration commune des Etats africains et plan d'action national contre le braconnage
Parmi les différents points présentés dans le plan d'action du gouvernement, il y a un renforcement des amendes pour le trafic d'objets CITES (ivoire notamment) avec des peines multipliées pour mettre la lutte contre le braconnage au même niveau que la lutte contre le trafic de drogue. Idem pour les OPJ (officiers de police judiciaire) qui auront les mêmes prérogatives pour lutter contre ces trafics (espèces CITES comme stupéfiants).
La lutte contre le trafic des espèces protégées est donc, désormais en France, élevée au rang de lutte contre la criminalité. Par ailleurs, le ministre de l'Ecologie et Nicolas Hulot doivent annoncer la destruction, dans les six mois, des stocks d'ivoire toujours présents en France. Réaction de la Fondation Brigitte Bardot "La promesse de François Hollande n'était pas du flan, contrairement à celles non tenues par ses prédécesseurs.
Nous nous réjouissons de voir la lutte contre le trafic des espèces CITES élevée au niveau (et avec des moyens comparables) de la lutte contre le trafic de drogue. Toutefois, il faut aider plus directement les gardes qui luttent contre les braconniers en apportant un soutien logistique et matériel des forces françaises présentes en Afrique.
Nous nous réjouissons de l'engagement du ministre de l'Ecologie à défendre la préservation de la biodiversité africaine mais attendons qu'il s'engage, de la même manière, à la préservation de la biodiversité européenne en menant désormais une politique de protection et non plus d'abattage des loups."
Que cette fête de Noël soit pour tous l'occasion d'aller vers cette part d'enfance, de retrouver confiance et espoir en l'avenir. Ouvrons nos cœurs et nos bras aux gens qui nous sont chers pour un réveillon tout en tendresse.