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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La pastèque, ou melon d’eau, possède un goût rafraîchissant qui désaltère.
Rouge ou rosée, blanche ou jaune, sa chair est une importante source de lycopène, un antioxydant qui protègerait contre plusieurs maladies. Les pépins de la pastèque sont comestibles et fournissent de la vitamine C.
Les bienfaits de la pastèque :
Cancer.
Selon les résultats d’une étude, une grande consommation de pastèque serait associée à un plus faible risque de cancer de la prostate.
Hypertension.
Une étude pilote a démontré que la consommation de suppléments de pastèque en poudre améliorait la fonction artérielle chez des individus souffrant d’hypertension.
Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques.
La présence d’antioxydants dans les fruits et les légumes pourrait jouer un rôle dans ces effets protecteurs.
Que contient la pastèque?
Caroténoïdes.
Les principaux composés antioxydants de la pastèque sont des caroténoïdes, plus particulièrement du lycopène, et, dans une moindre mesure, du bêta-carotène. La consommation d’aliments riches en caroténoïdes, qui donnent la couleur vive des fruits, serait liée à un risque moindre de souffrir de certains cancers.
Les caroténoïdes sont mieux absorbés dans l’organisme lorsqu’une petite quantité de lipides (gras) est consommée au même moment. Un morceau de fromage ou quelques noix constituent un excellent accompagnement pour la pastèque.
Lycopène.
Le lycopène est le principal caroténoïde de la pastèque. Il a entre autres un effet hypocholestérolémiant, il prévient l’inflammation et il empêche la formation de certains types de cellules cancéreuses. Des concentrations élevées de lycopène dans le sang ont également été associées à une plus faible incidence de maladies cardiovasculaires et de cancer de la prostate.
Le lycopène de la pastèque coupée : meilleur avant… Si l’on désire couper à l’avance sa pastèque, il faut la consommer préférablement dans les 4 jours. Selon une étude, la teneur en lycopène d’une pastèque coupée en morceaux diminue de 6 % à 11 % après 7 jours au réfrigérateur.
Par contre, cette perte de lycopène est mineure durant les 4 premiers jours. Même si les données actuelles ne sont pas suffisantes pour définir un apport quotidien de lycopène à consommer, les études épidémiologiques indiquent que la consommation de plus de 6 mg de lycopène par jour pourrait avoir des effets bénéfiques. Une portion de 125 ml (1/2 tasse) de pastèque contient environ 3,5 mg de lycopène, soit approximativement la même quantité qu’une tomate moyenne, reconnue comme une source importante de lycopène.
Le contenu en lycopène de pastèques de différents cultivars varie considérablement, pouvant atteindre jusqu’à 8 mg de lycopène par portion de 125 ml15.
De plus, le lycopène de la pastèque serait bien absorbé dans l’organisme, puisqu’il augmenterait la concentration de lycopène dans le sang, tout autant que le jus de tomate. À noter que contrairement à d’autres caroténoïdes, le lycopène n’a pas la capacité de se transformer en vitamine A dans l’organisme.
Davantage d’études seront nécessaires afin de connaître plus précisément la biodisponibilité du lycopène de la pastèque pour prévenir certaines maladies.
Citrulline et arginine
La pastèque est l’un des aliments les plus riches en citrulline, un acide aminé. Dans le corps humain, la citrulline est convertie en arginine (un acide aminé essentiel), qui joue un rôle sur les systèmes cardiovasculaire et immunitaire et qui aurait des effets bénéfiques sur la santé des vaisseaux sanguins.
Les pastèques à chair orangée ou jaune en contiennent généralement plus que celles à chair rouge. Selon une étude, la consommation quotidienne de jus de pastèque permettrait d’augmenter les taux d’arginine dans le plasma sanguin chez l’humain.
Il était une fois... 2 compères : RINGO et MACHIN, nos 2 amis galgos erraient dans un village appelé Consolation... Les 2 amis suivaient un berger et son troupeau qui les nourrissait. La vie de RINGO a basculé le jour ou son ami MACHIN a été adopté... RINGO est resté seul dans son refuge... Jusqu'au jour ou une famille a posé le regard sur lui... Non seulement RINGO est adopté, mais il vivra à quelques kilomètres de son ami MACHIN! Bientôt ce sera les grandes retrouvailles pour nos 2 compères! Une jolie histoire qui se termine bien! Merci à Catherine et sa famille de lui avoir offert sa chance!
Cette photo a valu à son auteur, Kevin Carter, de vives critiques et un Pulitzer en 1994. Trois mois après son prix, le photographe s'est suicidé. L'enfant, lui, avait survécu plusieurs années après ce cliché.
Voici l'histoire de cette photo qui a fait le tour du monde :
Aux Rencontres d'Arles, l'artiste chilien Alfredo Jaar présente actuellement une installation intitulée "Sound of Silence". Elle s'appuie sur la photo mythique de Kevin Carter. Le public entre dans une caisse noire où défile en silence sur un écran un texte racontant la vie de ce photographe sud-africain. Des flashs violents viennent subitement interrompre l'obscurité silencieuse pour révéler la photo de cet enfant soudanais affamé, guetté par un vautour qui valut à Carter en 1994 un prix Pulitzer et un suicide.
Le Sud-Africain Kevin Carter est âgé de 33 ans quand il entre dans l'histoire du photojournalisme avec cette image. Depuis plusieurs années déjà, il travaille comme photoreporter, notamment au sein du Bang-Bang Club, association de quatre photographes qui ont documenté la transition de l'Afrique du Sud à la fin de l'apartheid.
En mars 1993, accompagné d'un membre du Bang-Bang Club, Joao Silva, Kevin Carter se rend au Soudan pour enquêter sur la guerre civile et la famine qui frappe le pays. Avec d'autres photographes, il arrive dans le village d'Ayod. Il tombe sur un enfant squelettique qui se traîne péniblement jusqu'au centre d'approvisionnement alimentaire voisin.
SOUDAIN, UN VAUTOUR VIENT SE POSER DERRIÈRE LUI
Soudain, un vautour vient se poser derrière lui. Carter a devant lui un symbole fort de la misère qui sévit dans la région et il déclenche son appareil. Il attend alors une vingtaine de minutes espérant que le charognard déploie ses ailes et accentue encore plus la force de cette image. En vain. Il va ensuite chasser le vautour avant de parcourir un ou deux kilomètres et s'effondrer en larmes.
Quand Joao Silva retrouve son ami, Kevin Carter est sonné. Vingt ans après, il raconte : "Il était clairement désemparé. Pendant qu'il m'expliquait ce qu'il avait photographié, il n'arrêtait pas de montrer du doigt quelque chose qui avait disparu. Il n'arrêtait pas de parler de sa fille Megan, il avait hâte de la serrer dans ses bras. Sans aucun doute, Kevin a été très affecté par ce qu'il avait photographié, et cela allait le hanter jusqu'à la fin de ses jours."
Le 26 mars 1993, Le New York Times publie la photo et l'impact de l'image est immédiat. Le journal reçoit alors quantité de courriers pour connaître le sort de l'enfant sur l'image si bien qu'un éditorial doit être rédigé quelques jours plus tard pour informer que l'enfant a pu regagner le centre mais que l'on ne sait pas s'il a survécu.
UNE SALVE DE CRITIQUES ACERBES
Un an après cette prise de vue, le 12 avril 1994, Nancy Buirski, alors rédactrice photo au New York Times, appelle Kevin Carter pour lui annoncer qu'il vient de remporter le prix Pulitzer grâce à cette photographie. Ce prix prestigieux apporte à Kevin Carter une reconnaissance de ses pairs en même temps qu'une salve de critiques acerbes. La plupart portent sur l'éthique du photographe dans une situation pareille. "L'homme qui n'ajuste son objectif que pour cadrer au mieux la souffrance n'est peut-être aussi qu'un prédateur, un vautour de plus sur les lieux", écrit le St. Petersburg Times, quotidien publié en Floride. Beaucoup se demandent à voix haute pourquoi Carter n'a pas aidé l'enfant.
En 2011, Alberto Rojas, photojournaliste pour le quotidien espagnol El Mundo, s'est rendu à Ayod. Obsédé par cette image, il s'était mis à chercher des informations sur elle. Il n'avait trouvé que des écrits accablant Kevin Carter, faisant croire qu'il avait laissé mourir l'enfant. Son enquête allait peut-être lui faire justice.
Rojas commença par parler avec son ami, le photographe espagnol José Maria Luis Arenzana, lui aussi présent dans ce camp en 1993. Son témoignage fut la clé qui marqua un tournant dans les recherches de Rojas. Arenzana avait réalisé une photographie similaire. Pour lui, le bébé sur la photo de Carter n'était pas seul, il était à quelques mètres du centre de soins, près de son père, de personnels médicaux. Le bracelet en plastique interpella aussi Rojas car cela constituait un signe évident de prise en charge du bébé par une organisation humanitaire. Cette information pouvait "laisser espérer que l'enfant avait survécu à la famine, au vautour et aux mauvais présages des lecteurs occidentaux". Il continua son enquête en rencontrant des employés de Médecins sans frontières qui travaillaient sur place à l'époque. Puis il se rendit sur les lieux.
Au terme d'une enquête de plusieurs jours, il rencontra le père de l'enfant immortalisé par Kevin Carter. Dans le petit village, personne n'avait jamais vu la photo et ne savait qu'elle avait fait le tour du monde. La présence du vautour, tant décriée en Occident, ne frappait personne : ils étaient très nombreux dans la région. L'enfant avait effectivement survécu à la famine mais était mort quatorze ans plus tard des suites de fièvres intenses provoquées par une crise de paludisme.
Grâce à Alberto Rojas, on sait désormais que le petit garçon n'est pas mort de faim, abandonné à son sort par un charognard de l'image. Justice est rendue. Mais Kevin Carter n'est plus là pour en profiter. Le 27 juillet 1994, trois mois donc après l'attribution de son prix, le Sud-Africain s'est donné la mort en s'empoisonnant dans sa voiture . Sur la note qu'il a laissée, il évoque "les souvenirs persistants de massacres et de cadavres" qui le hantaient. Rien sur l'enfant soudanais et le célèbre rapace. C'est pourtant cette image et le paradoxe du photoreporteur qu'elle incarne aujourd'hui encore que Kevin Carter symbolise : observer immobile l'horreur pour mieux la combattre.
Ce que je recherche dans la vie, c'est la bienveillance, un échange avec autrui motivé par un élan du ♥ réciproque
Pour ce début aout, voici une énigme du Père Fouras : « Elle a pour habitude de dire la vérité. D'amour ou d'affection elle peut témoigner. Il faut en faire plusieurs pour être reconnu. Au Neuf, mathématiquement, elle est tenue. Qui est-elle ?
On a dû te dire qu'il fallait réussir dans la vie. Moi je te dis qu'il faut vivre, c'est la plus grande réussite du monde
Dans les profondeurs farouches de l'orgueilleuse construction de l'homme s'ouvre le vaste habitat des civilisations disparues ; et c'est là que sa grandeur essentielle est enracinée dans les ténèbres avec toute sa majesté
Il suffit de continuer à monter pour atteindre le sommet de n'importe quel orage et émerger enfin dans le soleil
Un mot est un oiseau au milieu d’une page. C’est l’infini