Fandeloup

Enchaîné aux soucis, esclave des envies, je rêve d’évasion au fond de ma prison. Prison des souvenirs, au bagne du pire,! L’esprit hors la cage, le cœur qui enrage, j’ai perdu mes désirs qui n’ont plus qu’à gésir.

La vie est t'elle vraiment un beau talisman, que l'on transmet par amour à nos chers enfants? Ce jour, j'ai perdu le goût de vivre, pourtant ! Malgré tous mes efforts, pas de ticket gagnant ! Je ne suis plus qu'un oiseau aux ailes coupées! Mes larmes coulent, en buvant mon café ! Aurais je la force, encore, d'y aller ? Soucis personnels et soucis professionnels ont eu raison du feu sacré et rebelle ! Le ciel est gris sur la terre embellie, mais mon cœur est triste comme un jour de pluie. Maux, râles, dépréciation, pas facile! La patience est mise à contribution ! Ce matin, j'écris dans ma fuite éperdue, je ne suis plus qu'un animal perdu ! Dans la forêt hantée par mes pervers démons, je deviens une âme qui ne tourne plus rond !

A TOUS

Le temps s’approche de mon départ,vers la lumière des grands boulevards ! J’ai peur de l’entrée du train en gare ! Je prie souvent pour qu’il ait du retard ! Les années ont défilé trop vite.Mon dos voûté, mon poils blanchis racontent l’histoire de ma vie! Je n’ai pas eu une vie facile,mon parcours fut long et difficile ! La mort fait partie de la destinée, ce moment, je ne peux imaginer ! 

Dés nos premiers pas dans la vie-réalité, nous sommes blessés par l’épée des préjugés,et nous pointons aussi vers l’autre, le poignard des idées reçues, des ragots, sans un regard !

Préjugés envers cette mère divorcée, tombant sous les pierres des mots, lapidée !

Préjugés envers l’enfant déjà différent qui se réfugie vers sa mère, en pleurant !

Préjugés contre ce père toujours bourru, qui par pudeur, ne met pas son âme à nu,

Préjugés enves ce gamin petit voyou, qui sous ses airs de dur, cache un cœur si doux !

Préjugés contre ce professeur revêche, qui chez les enfants, jardine de sa bêche les fruits du savoir et de la connaissance, mal aimé, dans l’injustice de l’enfance !

Préjugés contre la jeunesse rebelle, car elle rêve d’une planète belle !

Préjugés : petit mot mais arme fatale. Car elle tue en tous, la bonté vitale !

Le soleil me caresse,il offre la vitamine du bien être. Je ferme les yeux et mon esprit s’égare

L’humain est parcelle de ce grand univers qui ne révèle toujours pas ses mystères. Que se passe t’il derrière les étoiles ?

Déjà fin juin et c'est l'été ! Le temps est couleur gris hiver ! La terre n'est pas enchantée, elle pleure dans son manteau vert. Le printemps est venu, courtois, affronter l'hiver de rigueur . Il s'en est allé dans le froid, chassé par lui avec vigueur. La Saint Jean a fêté sa nuit, mais l'été s'est fait très discret ! Le jour guette avec envie, le soleil qui reste secret . La nature veut la chaleur qui teinte d'or et lumière, les arbres, les prés et les fleurs. La froideur la rend austère. Une année va se passer, l'automne sera bientôt là. A son tour, il va trépasser, l'hiver goguenard reviendra.

La vie se colore sous tes pinceaux .Si tes pinceaux sont noirs, ta vie est noire. Si tes pinceaux sont de toutes les couleurs, ta vie est de toutes les couleurs .

Tu as le choix : Etre acteur ou spectateur

Vivre ou survivre

Apprendre ou se comporter en victime

Etre créatif, Joyeux et Cultiver cette Joie de Vivre ou se morfondre Et attendre...

Mais attendre quoi ? Nous sommes MAITRE DE NOTRE VIE

Les empreintes que les gens laissent dans ton ? ne s'éffaceront jamais