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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Sicile : pourquoi l'éruption de l'Etna intrigue les scientifiques ?
Le volcan le plus actif d'Europe est entré en éruption il ya quelques jours, comme chaque deux ans en moyenne. Cette éruption particulière regroupe des caractères inédits qui inquiètent notamment les spécialistes et les locaux. Situé à proximité de la ville de Catane et de Taormina,l'Etna,vieux de 300 000 ans s'est réveillée fin 2018.
Culminant à plus de 3 300 mètres d'altitude, ses caractéristiques géologiques en font une montagne unique, de par sa taille comme de par la récurrence de ses éruptions, soit tous les deux ans. Le plus haut volcan d'Europe est entré en éruption le 24 décembre 2018.
Crachant de la lave et du cendre depuis son sommet comme depuis son flan, le volcan a eu un séisme de magnitude 4,8, ce qui a engendré 30 blessés légers et provocant l'évacuation de 600 habitants. « Des gens offrent l'hospitalité à ceux qui dorment dans leur voiture », confie Giusi, du restaurant Le 5 Botti, à Santa Venerina. Dans son établissement, les dégâts du tremblement de terre se sont limités à des verres et des bouteilles de vin cassés.
« On a peur, mais on est habitués. » Plus fort que d'habitude
Selon les scientifiques et experts sur place, il faut se méfier des prochains tremblements de terre car il est impossible de les prévoir. Cependant le séisme de 4,8 sur l'échelle de Richter, d'une intensité modeste mais supérieure aux autres, a intrigué les scientifiques.
Comment l'expliquer ?
L'Etna se situe sur un réseau de failles terrestres. En entrant en éruption, il aurait fait bouger l'une d'elles. Au niveau historique, les derniers tremblements qui ont fait des dégâts remontent à 1979 lorsque le volcan avait surpris quelques touristes au sommet. Au XVIIe siècle, ses coulées de lave avaient atteint la ville de Catane. Peut-on prévoir son prochain grand réveil ?
« Non, on peut annoncer une éruption, explique Jacques-Marie Bardintzeff. Mais jamais son intensité. » En attendant, les passionnés de volcan et les randonneurs aguerris devront renoncer, pendant au moins quelques semaines, à atteindre son sommet.
Qui es-tu ? Je suis cette voix ! Je suis ta conscience. Je suis tes craintes. Je suis toi.
On vient dans ce monde, sans le vouloir, on cohabite, tant bien que mal, avec une humanité quelconque, on se bat, on tombe, on se relève, on répète ces acrobaties sans fin, ni trêve,rêvant de vivre, nous gavant d'espoirs illusoires, oubliant tout à fait notre condition provisoire, quand un beau jour, ou encore vifs, ou complètement usés, ou pleins d'énergie, ou blasés, ternes, désabusés, nous sommes appelés à aller ailleurs, dans quelque purgatoire, aussi méconnu, aussi mystérieux que la mort noire.J'aurais aimé ne rien voir, depuis le départ, ni des merveilles, ni des horreurs, juste ne pas être, ne pas prendre part au leurre, mais les jeux sont faits, et il n'y a plus aucune échappatoire, ni aucun remède, ni aucun exutoire, du moment que j'y suis, je considère qu'éternellement je serai, et j'imagine qu'encore et encore, dans cette énigme, je voguerai, contre mon gré...
Où que vous soyez, dès que vous avez un moment de libre, pensez à la lumière.
Ce chardonneret élégant n'avait pas envie de voir la petite mésange bleue venir lui piquer ses graines. Rassurez-vous la petite rusée y est tout de même parvenue.
Qu'il est bon de se promener dans les forets .Aller demi réveillé et en marchant rêver. En marchant s'épancher de ce qui nous déplaît. D'une vie décalée. Laisser les rêves l'emporter. Rêve ou réalité
Le diagnostic d’une maladie grave comme l'annonce d'un cancer, c’est rude à encaisser et les réactions sont extrêmement variables : les pleurs, le repli, l’agressivité. Comment surmonter une épreuve difficile ? Toutes ces émotions, même très négatives, ont leur rôle à jouer pour surmonter cette période douloureuse.
Réaction face à la maladie : à chacun son expression
« Il m’arrivait de sangloter deux heures sans interruption, même parfois dans la rue, en essayant de me cacher. Je pensais que ça n’allait jamais s’arrêter et que je me viderais, à pleurer comme ça ! Tout ce que je voulais, c’est que ça cesse. » Trois ans déjà que Sabine a appris qu’elle souffre de sclérose en plaques, et le souvenir de sa réaction au diagnostic est vif. À l’heure où est grande l’injonction à tout "gérer" y compris ses émotions, l’annonce d’une maladie grave est un cataclysme qui se double d’une question. Le désespoir, les larmes en continu, est-ce vraiment normal ? Ne devrais-je pas me faire soigner pour couper court à ma tristesse ? Pourtant, le chagrin, comme d’autres émotions, est non seulement normal, mais aussi utile.
« Un diagnostic de maladie grave est un traumatisme qui met dans un état émotionnel particulier, explique Rebecca Dernelle-Fischer, psychologue. Tout comme lors d’un accident, ou lors d’une après-midi bloqué dans un ascenseur, nous réagissons tous différemment à l’annonce d’une maladie. » Et de décrire : « Certains patients se mettent en marche pour "vaincre le crabe" et suivre leur traitement assidument. D’autres sont dans une crainte si grande qu’ils nient la gravité de la maladie. D’autres encore réagissent par une tristesse extrême, beaucoup de larmes, de troubles du sommeil. Toutes ces réactions sont normales face à une réalité choquante, effrayante, écrasante ».
Diagnostic grave : les phases du deuil Recevoir un diagnostic grave revient à faire face à un deuil : celui de la bonne santé que l’on avait, celui de la vie sans soins, sans inquiétude d’une mort proche…
Les réactions des personnes qui encaissent une annonce de maladie grave correspondent d’ailleurs à ce que la psychiatre Elisabeth Kübler Ross a étudié en détail dans les années 60, les "cinq phases du deuil" : déni, colère, marchandage, dépression, acceptation.
Les médecins le savent et en sont d’ailleurs informés. La Haute autorité de santé a même édité à destination des soignants le guide « Annoncer une mauvaise nouvelle », qui explique que « Le déroulement de ce processus n’est pas uniforme, il varie selon les personnalités et les situations. Ce qui est constant chez le patient : le besoin d’être entendu, compris et accompagné à son rythme ».
Une écoute et un accompagnement que Laurence Deflem garde en souvenir de sa bataille contre le cancer du colon, diagnostiqué à 35 ans alors qu’elle était enceinte et maman de deux enfants . « Ce qui m’a beaucoup touchée : tomber sur des infirmières ou des médecins hyper respectueux qui ne m’ont jamais gênée, au contraire. » Un réconfort alors qu’elle préférait garder pour elle ses angoisses face à son entourage, perdu et inquiet. « Il m’est arrivé de pleurer, mais seule… J'ai une certaine pudeur émotionnelle et pour moi il était plus facile de gérer ma maladie sans la tristesse des autres en plus. Au final, j’ai beaucoup parlé de mes traitements, des aspects techniques, mais pas de ce que j’ai ressenti. C’était mon moyen de défense »
Car c’est bien de stratégie de défense qu’il s’agit, avec la colère, la fuite ou désespoir. Elles sont un moyen de faire face, même si « comme un caillou dans la chaussure qui nous rend la marche difficile, les émotions peuvent nous déranger», souligne Rebecca Dernelle-Fischer. Pourtant, il est bon de prendre le temps d’écouter ce qu’elles nous disent : s’autoriser à pleurer, à la colère, à nier la réalité un temps… puis prendre l’émotion en main, la réfléchir et essayer d’en faire notre alliée. »
Réaction à l'annonce d'une maladie grave : se faire aider ?
À quel moment est-ce "trop" et doit-on craindre la dépression nerveuse ? Pas de réponse miracle ou chiffrée, l’important est d’échanger, avec ses proches ou un médecin. « Il peut être utile de prendre des anti-dépresseurs avant qu’un épisode dépressif soit évident, pour retrouver un certain niveau de bien-être et diminuer l’angoisse », précise la psychologue. Là encore, la décision a du sens au cas par cas et « dans le dialogue avec l’équipe médicale que se trouvera le soutien le plus adapté. » Et si on le souhaite, avec d’anciens malades. Laurence soutient aujourd’hui d’autres personnes souffrant de cancer. « J’ai une grande capacité à les écouter et les comprendre… Peut-être que si j’en avais connu avant, pendant ma maladie, c’aurait été différent. »
D'habitude elles se font manger par les renards.
Les poules du lycée du Gros-Chêne à Pontivy en ont décidé autrement après l'intrusion d'un renard jeudi dernier et ont eu sa peau. Drôle de situation dans l'élevage de poules du lycée du Gros-Chêne à Pontivy, repérée par Ouest-France. Un renard a été tué par les poules et découvert mort par le directeur de l'exploitation Pascal Daniel, le corps criblé de coups de becs.
"Il y avait des coups au niveau du col et de l'encolure" de l'animal, "un juvénile" confirme t-il contacté par téléphone. Il ajoute "parfois les renards portent des blessures liées à la gale. Là, c'était bien des coups de becs." Il a certainement été pourchassé par les poules et n'a pas pu ressortir car les trappes qui ouvrent sur l'extérieur se ferment automatiquement en fonction de la luminosité. L'animal, "un jeune renard de six ou sept mois", s'est donc retrouvé piégé par la nuit et livré à la vindicte des volatiles.
Deux intrusions de renard en deux ans 6000 poules évoluent en parcours libre, dehors, sur un site de deux hectares. "Les volatiles sont souvent la proie de buses" indique Pascal Daniel.
"Une première fois, un renard avait pu rentrer mais nous l'avions repéré et chassé. Cette fois, il a dû se faufiler lorsque nous avons fermé les portes du poulailler." Les poules sont capables de se défendre, en groupe. "L'effet de meute a peut-être aussi épuisé le renard."