Fandeloup

Vous ne vous en rendez pas compte, mais elle respire", dit Davi Kopenawa à propos de la terre des Indiens yanomami en Amazonie brésilienne. Les peuples indigènes ont vécu en harmonie avec leurs forêts pendant des millénaires. Ils en sont les gardiens originels - et en sont restés les meilleurs protecteurs. Découvrez ces peuples qui tentent de conserver leur mode de vie traditionnel>>

Cette famille de poissons des grands fonds se rencontrent entre 1 000 et 3 000 mètres de profondeur. Cette famille de poissons au corps arrondi a la particularité de posséder un long leurre lumineux devant la gueule pour attirer leur proies. Les femelles de cette famille ont une tête et une bouche énorme par rapport au reste de leur corps. Elles peuvent avaler des proies quasiment aussi grosses qu'elles. Les mâles sont beaucoup plus petits que les femelles. Les possibilités d'accouplement sont tellement rares dans l'immensité sombre des océans que quand un mâle rencontre un femelle, il s'y accroche jusqu'à ce que son corps fusionne avec celui de sa bien-aimée. Le tout petit mâles dont les organes s'atrophient devient une sorte de parasite de la femelle.

Magique, sublime, apaisant, lumineux... les adjectifs ne manquent pas pour décrire la beauté d'un ciel étoilé, la grâce d'une aurore boréale ou encore le romantisme d'une étoile filante. Partez à la découverte de ces ciels somptueux à-travers 10 clichés pris aux quatre coins du monde, et au-delà...

A partir de 200 mètres de profondeur, la lumière du soleil venue de la surface n'est plus suffisante pour la photosynthèse et à partir de 1 000 mètres, les organismes vivants évoluent dans une totale obscurité. Ou presque. La lumière que les scientifiques aperçoivent parfois n'est pas celle du soleil mais est d'origine animale. A cette profondeur un grand nombre d'animaux sont capables de produire de la lumière grace à des organes spéciaux. Méduses, calamars, poulpes, poissons émettent des flashs, des nuages, des ondes lumineuses pour échapper à un prédateur ou pour attirer une proie.

Comme chez les animaux, certaines espèces végétales, qui voient leur écosystème bouleversé (changements de températures, des précipitations, etc.) risquent de disparaitre. La modification de la flore impacte alors directement l'équilibre des espèces animales et de l'homme.

Cette photo capture un Caurale en vol, qui exhibe ses ailes impressionnantes. Pris sur le fleuve près de la Loge Cristalino Jungle, beau bassin de l'Amazone au Brésil....QUE C EST BEAU !!!

Mêmes si les pêcheurs remontaient parfois des créatures étranges dans leurs filets, avant que les hommes ne puissent plonger jusqu'au fond des océans, les scientifiques pensaient qu'il n'y avait pas de vie dans les abysses. Depuis la fin du XIXe et le début du XXe siècle et le développement de l'océanographie, les scientifiques ne cessent de découvrir et de décrire de nouvelles espèces. Sur les 15 800 espèces de poissons de mer officiellement recensées, il y en aurait au moins 2 000 dans les abysses

Certaines conséquences du réchauffement climatique, invisibles, pourraient avoir de lourdes conséquences à moyen et long terme. C'est le cas de la modification des courants marins, qui influent directement sur le climat terrestre. Nombre d'inquiétudes portent notamment sur le Gulf Stream (courant océanique de l'Océan Atlantique), qui s'il s'arrêtait pourrait entraîner une ère glaciaire en Europe. On envisagerait alors des températures de -30°C en hiver à Paris !

On ne dirait pas mais ce bébé tortue luth (les plus grosses) est en plein sprint vers la mer. Il fera le tour du monde et viendra se reproduire exactement sur cette même plage au cours de sa vie.

Cette position est la plus dangereuse qu'une girafe puisse prendre. En effet, c'est le seul moment où un prédateur peut l'attaquer

Phénomène météorologique complexe, les cyclones se forment notamment avec le réchauffement des eaux de surfaces, et donc des océans. Le réchauffement climatique global pourrait ainsi agir sur la formation des cyclones, selon certaines théories. Des chercheurs américains ont relevé que le si le nombre et la durée des ouragans restait stable depuis 35 ans, ils sont en revanche beaucoup plus violents. Le nombre de cyclones de catégorie 4 et 5 (les plus violents sur l'échelle de référence) a quasiment été multiplié par deux en l'espace de 40 ans.