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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Vaccination

Publié à 11:17 par fandeloup Tags : femmes vie bonne sur chez
Vaccination

Vaccination contre la grippe : les connaissances des Français globalement satisfaisantes

 SANTÉ ET PRÉVENTION

Les connaissances des Français sur la grippe saisonnière sont aujourd’hui globalement satisfaisantes et leur opinion sur la vaccination antigrippale est, dans l’ensemble, favorable. C’est ce que montre le sondage conduit par l’institut d’études BVA pour le compte de l’Assurance Maladie en septembre 2018 .

Ces résultats sont particulièrement bons chez les personnes de 65 ans et plus, une des catégories particulièrement concernées par la vaccination. Elles apparaissent mieux informées et plus ouvertes à la vaccination que la moyenne des Français. La grippe, un enjeu de santé publique clairement identifié par les Français

D’une façon générale, les Français ont bien compris la dangerosité de la grippe : 95 % pensent que cette maladie peut être grave et 94 % savent qu’elle constitue une cause de décès.

Ce risque de mortalité représente d’ailleurs la première motivation pour se faire vacciner (34 % l’évoquent). La crainte d’une hospitalisation arrive en deuxième position. Près d’un Français sur 3 (29 %) estime, à juste titre, que le vaccin permet une protection collective, notamment des personnes les plus fragiles.

La vaccination est largement reconnue comme le premier geste de protection à adopter contre la grippe : 70 % des Français le savent, chiffre qui monte à 77 % chez les personnes âgées de 65 ans et plus.

Et 9 Français sur 10 savent qu’il faut se faire vacciner contre la grippe tous les ans, un taux en progression de 10 points depuis 2013. Toutes les personnes de 65 ans et plus déjà vaccinées l’an dernier se disent prêtes à se faire vacciner à nouveau cette année.

Le plus difficile semble donc être de franchir le cap, car une fois adoptée, le réflexe de la vaccination s’installe. Bonne nouvelle : il est plus simple de se faire vacciner cette année, même si on l’a jamais été ! Les Français ont bien compris que la vaccination contre la grippe saisonnière est fortement conseillée pour des personnes considérées comme fragiles.

79 % savent qu’il est recommandé de se faire vacciner à partir de 65 ans (83 % chez les 65 ans et plus) et autant savent qu’il faut se faire vacciner lorsque l’on est atteint de certaines maladies chroniques, un résultat en hausse de 14 points depuis 2013. Certaines idées reçues persistent Mais un certain nombre d’idées reçues ont la vie dure.

À peine plus d’1 Français sur 2 sait que la vaccination antigrippale est recommandée pour les femmes enceintes. Par ailleurs, 2 Français sur 10 doutent de l’efficacité de ce vaccin. Le vaccin apparaît même comme une source d’inquiétude pour près d’1 personne sur 2 : 52 % des Français pensent qu’il peut donner la grippe et 53 % estiment qu’il présente des risques ou un danger pour la santé. Les professionnels de santé, des relais indispensables pour faciliter la vaccination Les médecins continuent de jouer un rôle important pour informer et convaincre leurs patients de l’intérêt de la vaccination contre la grippe.

En parallèle, la possibilité de se faire vacciner par d’autres professionnels de santé est bien accueillie par les Français. Ils sont prêts à se faire vacciner par un infirmier (69 %) ou par un pharmacien (49 %)

Ont-ils le sens de la famille ?

Publié à 10:44 par fandeloup Tags : vie sur chez photo animaux animal enfant chien place
Ont-ils le sens de la famille ?

Les animaux ont, comme les humains, conscience des liens familiaux qui les unissent. Seuls varient les mécanismes permettant la reconnaissance des membres d’une même famille entre eux

Ont-ils le sens de la famille ?  Les animaux ont, comme les humains, conscience des liens familiaux qui les unissent. Seuls varient les mécanismes permettant la reconnaissance des membres d’une même famille entre eux. Les liens familiaux ont de l’importance au sein de toutes les espèces.

Avec les membres de sa famille, plus ou moins éloignés, certains comportements sont privilégiés comme l’entraide, l’apprentissage, le soin, etc. D’autres, au contraire, sont à éviter comme la recherche d’un partenaire sexuel. C’est pourquoi il est important que les individus apparentés sachent se reconnaître.

Quand cela se produit, des conduites spécifiques se mettent en place. Des chercheurs ont, par exemple, démontré que les souris mâles à pattes blanches qui rencontrent un mâle inconnu pour la première fois n’ont pas la même attitude avec lui selon qu’il fait partie de la même famille ou non. Quand il s’agit d’un « étranger », elles vont le chasser, de manière plus ou moins agressive, alors qu’elles vont simplement l’éviter, sans conflit, quand elles ont un rapport familial avec lui.

LE RÉSULTAT D’EXPÉRIENCES PASSÉES

Identifier un membre de sa famille est donc important. La démarche est possible quand un animal est apte à percevoir et interpréter des signaux émis par ses congénères pour déterminer s’il s’agit ou non d’un individu apparenté. Chez les vertébrés, la reconnaissance d’un membre de sa famille n’est pas inscrite dans le patrimoine génétique. Aucune recherche scientifique ne l’a en effet établi. C’est pourquoi il est admis que c’est plutôt le résultat d’expériences passées, d’apprentissages durant le développement des individus qui permet l’identification d’un parent. Selon les espèces, plusieurs mécanismes permettent à de s membres d’un même groupe de savoir s’ils sont ou non parents.

Le premier d’entre eux est la proximité spatiale : les animaux utilisent des indices présents dans l’environnement (par exemple s’ils vivent dans le même nid ou dans le même terrier). Il y a ainsi une forte probabilité pour que les animaux qui nichent au même endroit soient génétiquement reliés les uns aux autres. Il arrive cependant qu’il y ait parfois des « erreurs » et que des individus soient traités comme des membres d’une même famille alors qu’ils ne le sont pas. Par exemple, chez certaines espèces de mouettes des falaises, ce qui compte pour un parent, c’est le nid : les mères vont s’occuper des oisillons qui sont dans leur nid jusqu’à un certain âge, peu importe qu’ils soient véritablement les leurs ou non. Plus proche de nous, il y a même le cas du coucou, qui pratique ce que les scientifiques appellent le « parasitisme de couvée », un comportement qui consiste pour la mère coucou à pondre dans le nid d’une autre espèce qui élèvera son oisillon comme s’il faisait partie de sa propre progéniture.

DES SIGNAUX PROPRES À UNE MÊME FAMILLE

Les chimpanzés sont capables de distinguer sur une photo les membres de leur famille par rapport aux autres membres du groupe. Il existe ensuite la reconnaissance par association : c’est la capacité d’un animal à traiter comme un membre de sa famille celui avec qui il a été lié pendant une certaine période de sa vie (appelée par exemple « période sensible »). En général, dans des conditions naturelles, quand un animal grandit avec d’autres animaux dès son plus jeune âge, il y a de fortes chances pour qu’ils appartiennent tous à la même famille (par exemple tous les individus du même âge dans un même terrier sont très probablement frères et soeurs).

Chacun apprend les signaux des autres membres de la cellule familiale dont il fait partie pour les identifier par la suite. Cela peut aussi se produire par distinction d’indices de groupe, tous les membres d’une même famille portant un signal spécifique (visuel, olfactif, etc.). Dans tous les cas, les non-apparentés ainsi associés seront considérés comme des apparentés, et inversement, des apparentés qui n’étaient pas là pendant cette période de vie commune ne seront pas considérés comme des apparentés.

Par exemple, chez le campagnol des prairies, il a été démontré que des petits qui ont été séparés de leur portée d’origine pour être mis dans d’autres portées ne se reproduisent pas avec les campagnols qui ont grandi avec eux. Inversement, les campagnols d’une même famille génétique qui ont été élevés séparément se reproduisent entre eux si on les réunit au moment du sevrage. C’est un des mécanismes les plus répandus parmi les mammifères, même chez les humains, où on a pu voir tomber amoureux un frère et une soeur qui n’avaient jamais vécu ensemble pour des raisons diverses…

SIMILARITÉS ET DIFFÉRENCES

Enfin, il y a la reconnaissance par correspondance du « phénotype ». Le phénotype est l’aspect visuel d’un individu, ce à quoi il ressemble physiquement. Celui-ci apprend et se souvient de traits physiques qui lui sont propres ou qu’il ne voit que chez les membres de sa famille. Lorsqu’il rencontre quelqu’un qu’il ne connaît pas, il évalue alors les similarités et les différences entre ses propres traits et ceux du congénère qu’il a en face de lui.

Ainsi, par exemple, il peut se baser sur les odeurs chimiques, ou encore sur des traits physiques très caractéristiques. Les chimpanzés sont capables de distinguer sur une photo les membres de leur famille (mère, frères et soeurs) par rapport aux autres membres de leur groupe. Les humains, comme les autres mammifères, sont aussi à même de différencier les individus de leur famille de ceux qui ne le sont pas par indices olfactifs. Une étude a ainsi démontré que peu après la naissance, les nourrissons allaités répondent de préférence à l’odeur unique de leur mère, tout comme les mères discernent l’odeur de leur enfant.

Ce qu’on connaît de la détermination des membres d’une même famille chez le chien suggère que tous ne sont pas caractérisés grâce aux mêmes mécanismes (parents et frères et soeurs sont identifiés par des moyens différents). Les chiots d’environ 4 à 5 semaines sont, par exemple, aptes à retrouver leurs frères et soeurs et leur mère, et les mères leur progéniture. Mais les choses changent après la période durant laquelle les petits sont séparés (pour être donnés ou vendus à une nouvelle famille humaine), entre 8 et 12 semaines. Des chercheurs ont mis en évidence ces changements en suivant plusieurs portées.

Ils ont ainsi observé que deux ans après la séparation des portées, les mères ont toutes été en mesure d’identifier leurs petits, sans exception. Les chiennes identifient toujours leurs petits, même après deux ans de séparation. Réciproquement, tous les petits ont su qu’il s’agissait de leur mère. Mais aucun des jeunes ne s’est souvenu de ses frères et soeurs, sauf dans une situation : quand ils avaient été adoptés à deux (ou plus) et qu’ils avaient donc passé du temps en contact avec au moins un de leurs frères et soeurs. Dans ce cas-là, ils étaient capables de se remémorer l’ensemble de leurs autres frères et soeurs. Tous les frères et soeurs qui avaient été adoptés seuls, et ne s’étaient donc pas côtoyés pendant ces deux années, n’ont pas montré de préférence/ reconnaissance pour les membres de leur fratrie, même s’ils se sont tous souvenu de leur mère.

Les chercheurs ont conclu d’après cette expérience que les signaux utilisés pour identifier la mère ne sont pas généralisables ni utilisables pour distinguer les frères et sœurs et donc que l’aptitude d’un chien à désigner sa mère et ses frères et soeurs repose sur des mécanismes différents. Les jeunes peuvent identifier leur mère en se basant sur des signaux individuels qui sont renforcés positivement grâce aux soins maternels (en particulier l’allaitement, le toilettage). Alors que les frères et sœurs doivent être distingués par des signes plus généraux qui requièrent une exposition continue.

jojo

Publié à 09:48 par fandeloup Tags : france vie sur
jojo

Un spectacle hommage à Johnny fin 2019 à Paris

Les billets seront mis en vente le 6 novembre. Ce show live réunira près de 30 artistes sur scène, dont un orchestre de neuf musiciens et cinq chanteurs, révèle Le Parisien – Aujourd’hui en France. Cette fois, c’est officiel.

L’annonce aura lieu ce mardi et les billets (à partir de 29 €) seront mis en vente le 6 novembre. Il y aura bien un spectacle musical en hommage à Johnny Hallyday fin 2019 à Paris.

« L’idole des jeunes » se jouera au Casino de Paris, à partir du 18 décembre 2019 et pour 36 représentations. Ce show live réunira près de 30 artistes sur scène, dont un orchestre de neuf musiciens et cinq chanteurs, âgés de 17 à 55 ans, qui interpréteront 25 classiques et incarneront la star à différentes périodes de sa vie.

« Ce n’est en aucun cas un spectacle de sosie, les artistes sont sélectionnés pour leurs qualités vocales », précise la production. Les derniers castings auront lieu fin novembre.

L’album posthume de Johnny déjà disque de diamant Échaudée par un premier accueil glacial, voire polémique, alors que les problèmes d’héritage ne sont pas encore réglés, la production du spectacle ajoute que « sa vie privée ne sera jamais abordée ».

loups

Publié à 09:13 par fandeloup Tags : merci sur
loups

Allez on enclenche :) . Merci de faire tourner un max. https://www.facebook.com/events/214860359358775/

Bilan pour cette année 2018, déjà 57 loups morts constatés dont 43 massacrés légalement. Le quota est atteint mais ne va pas tarder à revu à la hausse. Nous savons tous que ces tirs ne servent à rien, bien au contraire, ils augmentent les prédations, laissant les meutes désorganisées se retrancher sur des proies plus faciles. Nous devons prendre des rendez-vous avec les élus, manifester notre colère dans la rue, nous devons nous unir, ne restons pas spectateurs !

Rassemblons-nous !

Manif Lyon :https://www.facebook.com/events/214860359358775/

Manif Paris : https://www.facebook.com/events/689181861426456/

fonctionnement

Publié à 08:59 par fandeloup Tags : sur france chez internet coup voiture
fonctionnement

Tarif, fonctionnement, fraude… six questions sur les futurs péages sans barrières

D’ici dix ans, les barrières de péage pourraient avoir disparu en France, comme c’est le cas déjà ailleurs.  Avec la loi d’orientation sur les mobilités, le gouvernement souhaite supprimer à terme les barrières d’autoroute. Une révolution pour les automobilistes. Fini bientôt les barrières de péages sur les autoroutes. Le projet de loi d’orientation sur les mobilités (LOM), présenté dans un mois en conseil des ministres et voté par le Parlement au plus tard au printemps 2019, veut favoriser la suppression des barrières pour fluidifier le trafic et limiter la pollution.

Comment le système va-t-il fonctionner ?

Vous franchirez le péage sans ralentir en passant sous un portique équipé de caméras et de détecteurs qui repéreront votre voiture. Techniquement, le système est prêt et sera expérimenté, dès 2019, dans le Sud-Ouest pour Vinci et sur l’A4 à la sortie Boulay-Moselle pour la Sanef. « On envisage aussi de supprimer les barrières sur l’autoroute Paris-Caen d’ici 2021, espère Julien Pointillart, directeur de projet nouvelle mobilité à la Sanef. Sur cet axe, les automobilistes économiseront deux millions d’heures et dix millions de litres de carburant. »

Comment s’effectuera le paiement ?

Si votre voiture dispose d’un badge reconnu par les détecteurs, le péage sera prélevé directement sur votre compte en banque. Sinon, il faudra vous enregistrer au préalable sur le site de l’autoroute. À votre passage, vous serez identifiés par les caméras qui scanneront votre plaque d’immatriculation. Si vous n’avez pas de badge et n’êtes pas inscrit, vous disposerez de plusieurs jours pour régulariser votre situation par internet, par téléphone ou chez un commerçant partenaire. « Le législateur souhaite que l’automobiliste puisse continuer à payer en liquide, explique Julien Pointillart. Il pourra donc régler son péage dans des stations-service, les débits de tabac ou des bureaux de Poste. » Les péages seront-ils moins chers ? « Non, il n’y a pas de raison, tranche Julien Pointillart. Les économies sont pour les automobilistes, pas pour les gestionnaires. En termes d’emploi, on sera même sur le même niveau qu’aujourd’hui. » Que se passera-t-il si je passe sans payer ? Pour éviter que le nombre de fraudeur explose, le gouvernement veut durcir les sanctions financières. Il envisage notamment d’instaurer comme dans les transports publics la notion de « fraude d’habitude » sanctionnée par six mois de prison et 7 500 euros d’amende pour les automobilistes habitués de frauder aux péages.

Comment paie-t-on l’autoroute en Europe ? Comment feront les étrangers ?

« C’est l’un des enjeux importants, reconnaît Paul Maarek, directeur général adjoint de Vinci Autoroutes, en charge de l’innovation. Sur certains axes ils représentent 10 % du trafic, mais si nous avons accès aux registres d’immatriculation des voitures françaises, ce n’est pas le cas pour les véhicules étrangers. » Impossible donc de retrouver les fraudeurs. Bruxelles prévoit de donc légiférer sur le sujet l’an prochain. À quand la disparition totale des barrières ? « D’ici dix ans, veut croire Julien Pointillart. La loi LOM doit donner le coup de grâce aux péages tel que nous les connaissons. Après, tout dépendra de l’État. » Les pouvoirs publics vont devoir en effet négocier avec les sociétés autoroutières le financement des nouveaux aménagements.

tristesse

Publié à 08:11 par fandeloup Tags : animaux sur vie
tristesse

L’association L214 dénonce les conditions de vie atroces des poules pondeuses

L’association L214 a publié une nouvelle enquête, le jeudi 18 octobre, sur les conditions de vie déplorables des poules pondeuses d’un élevage de l’Essonne, appartenant au groupe Avril.

Les images, tournées à la fin du mois de septembre 2018, montrent le quotidien des quelques 150 000 volailles de cet élevage situé près de Forges-les-Bains. Les résultats de l’enquête de l’association sont sans appel et tirent la sonnette d’alarme sur la réalité vécue par les animaux .

Poules entassées à plusieurs dans des cages, cadavres en décomposition jamais nettoyés. Certains volatiles, en raison du stress extrême induit par leur condition de vie, se déplument et se blessent.

 Les œufs de l’élevage de Forges-les-Bains servent à la composition d’huiles ou de protéines végétales, que l’on retrouve ensuite dans les produits des marques Lessieur ou encore Puget. Le groupe Avril s’était engagé à cesser l’utilisation des œufs de poules élevées en batterie pour sa marque Matines, mais rien ne concernait les œufs transformés par ses autres entreprises, qui continuent donc d’avoir recours à l’élevage intensif. Ces œufs sont par ailleurs impossibles à tracer : une fois transformés, ils passent incognito dans notre alimentation, empêchant ainsi le consommateur de savoir d’où vient la nourriture qu’il achète.

Si le groupe Avril prend en compte l’opinion des consommateurs comme il le prétend, il serait incohérent qu’il continue de commercialiser des œufs liquides provenant d’élevages en batterie. C’est pourquoi nous appelons le groupe Avril à lever cette ambiguïté en étendant son engagement à l’ensemble de sa production. Avril est le premier producteur d’œufs français, avec 3,5 milliards d’œufs produits par an.

iceberg

Publié à 07:38 par fandeloup Tags : photo sur plat
iceberg

La Nasa découvre un iceberg parfaitement rectangulaire en Antarctique

Le bloc de glace en question s’est probablement formé récemment. Les icebergs tabulaires se fendent généralement le long des fissures et des crevasses naturelles dans la glace, et se détachent alors de manière nette. La coupe est nette, comme si elle avait été opérée par l’homme, voire… par des extraterrestres !

La Nasa a publié la semaine dernière la photo d’un étrange iceberg de l’Antarctique à la forme parfaitement rectangulaire, suscitant de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.

 Comme l’explique la légende de la photographie sur Twitter, il s’agit en fait d’un « iceberg tabulaire ». Contrairement aux icebergs qui peuplent le plus souvent notre imaginaire collectif, ceux-ci ne sont pas constitués d’un sommet pointu et d’une masse à l’aspect brut. Ils forment plutôt de grandes dalles de glace, au sommet plat et aux côtes verticales. Ces icebergs tabulaires se fendent généralement le long des fissures et des crevasses naturelles dans la glace, et se détachent alors de manière nette.

LiveScience précise que le bloc de glace en question s’est probablement formé récemment. L’érosion du vent et des vagues n’a donc pas encore altéré ses flancs, favorisant son aspect lisse et donc inhabituel.

loups

Publié à 06:57 par fandeloup Tags : aimer moi
loups

La liberté , voila bien des définitions a ce mot... être libre pour moi, c'est être sans artifices , être sans armures , être fragil et fort à la fois . Être libre c'est savoir aimer sans chaînes...

masque

Publié à 18:58 par fandeloup
masque

Laisses tomber les masques que tu t'oblige a porter pour plaire. La simplicité as toujours un beau visage...

Sixième extinction

Publié à 18:34 par fandeloup Tags : monde vie sur nature
Sixième extinction

Sixième extinction : la nature aura besoin de 5 millions d’années pour s’en remettre par Brice Louvet

Le Smilodon, une espèce de mammifère carnivore éteinte il y a environ 10 000 ans.

Les mammifères sauvages déclinent si rapidement que l’évolution ne peut suivre le rythme pour compenser. Si l’on continue à ce même rythme, quelques-unes des espèces de mammifères les plus emblématiques vont disparaître au cours des cinq prochaines décennies.

La nature, elle, aura besoin de 3 à 5 millions d’années pour s’en remettre. Cinq extinctions de masse ont été enregistrées au cours des dernières 450 millions d’années, toutes majoritairement entraînées par des catastrophes naturelles et des bouleversements climatiques.

La nature – du moins jusqu’à présent – s’en remet toujours. Si la vie semble coriace, elle a en revanche besoin de temps pour évoluer. Mais alors que la sixième extinction des espèces est en train de s’installer, à mettre au crédit de l’Homme, la nature pourrait avoir besoin d’encore plus de temps que par le passé.

Selon une équipe de chercheurs de l’Université d’Aarhus (Danemark) et de l’Université de Göteborg (Suède), et si les moyens sont mis en œuvre pour, il faudra aux mammifères 5 à 7 millions d’années pour se rétablir à des nivaux similaires à ceux observés avant l’émergence de l’Homme moderne. Les détails de l’étude sont rapportés dans la revue PNAS.

Les chercheurs ont ici combiné les données disponibles sur les mammifères actuels avec celles concernant les espèces éteintes après la propagation d’Homo Sapiens dans le monde.

Il en ressort que du point de vue de l’évolution, toutes les espèces n’ont pas la même importance. En disparaissant, certaines espèces ont emporté avec elles des millions d’années d’histoire évolutive.

« Les grands mammifères – la mégafaune – tels que les paresseux géants et les tigres à dents de sabre, qui se sont éteints il y a environ 10 000 ans, étaient extrêmement évolutifs. Comme ils avaient peu de parents proches, leurs extinctions ont entraîné la coupe de branches entières de l’arbre évolutif de la Terre, explique le paléontologue Matt Davis, de l’Université d’Aarhus et principal auteur de l’étude. Il existe des centaines d’espèces de musaraignes, ce qui leur permet de résister à quelques extinctions. Il n’y avait en revanche que quatre espèces de tigres à dents de sabre, et elles ont toutes disparu ».

Mais si régénérer des millions d’années d’histoire évolutive prend du temps, le déséquilibre s’installe d’autant plus lorsque les disparitions s’enchaînent à un rythme toujours plus effréné. La nature se rétablit à un rythme croissant. Les extinctions, si elles sont provoquées, peuvent être accélérées.

Ainsi, si vous dépensez plus que ce que vous gagnez, vous vous retrouvez très vite à manquer d’argent. Ici, nous manquons de mammifères, et ceux-ci auront du mal à s’en remettre.

En s’appuyant sur des simulations évolutives, et en prenant en compte un scénario positif dans lequel les humains ont cessé de détruire les espèces animales, il faudra 3 à 5 millions d’années aux mammifères pour se diversifier suffisamment afin de régénérer les branches de l’arbre évolutif qu’ils devraient perdre au cours des 50 prochaines années. Et il faudra plus de 5 millions d’années à la nature pour régénérer ce qui a été perdu au cours de ces 10 000 dernières années.

« Même si nous vivions autrefois dans un monde de géants, nous vivons maintenant dans un monde de plus en plus pauvre en mammifères sauvages. Les quelques géants restants, tels que les rhinocéros et les éléphants, sont menacés d’être éliminés très rapidement », poursuit Jens-Christian Svenning, de l’Université d’Aarhus et co-auteur de l’étude.

Rappelons que les mammifères sauvages ne représentent aujourd’hui que 2 % de tous les mammifères dans le monde. Les 98 % restants sont élevés pour nourrir les Hommes. En hiérarchisant les espèces les “plus importantes” sur le plan évolutif, cette étude pourrait néanmoins permettre de prioriser les efforts de conservation. Sauver des espèces sur le point de s’éteindre, c’est du temps de gagné pour la nature.

 À cause de l’extinction des espèces, les vaches pourraient devenir les plus gros mammifères au monde Les premiers mammifères planaient déjà il y a 160 millions d’années Pourra-t-on sauver les rhinocéros blancs du Nord grâce à la fécondation in vitro ?