Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

attentif

Publié à 14:51 par fandeloup
attentif

Comme le loup sois attentif aux signes .Car les réponses ne viennent pas toujours du coté ou on les attend !



relation

Publié à 14:30 par fandeloup
relation

Toute relation a comme base solide la confiance , si ellle n'existe pas , aucune relation n'est possible ....



insecte

insecte

Les insectes, indispensables à notre survie, sont en train de disparaître

À chaque personne sur cette planète correspond 1,4 milliard d'insectes et (presque) chacun d'entre eux nous est indispensable.

 Les abeilles sont essentielles à de nombreuses cultures, dont celles d'amandes et de pastèques. Chacun de nous a pour équivalent 1,4 milliard d'insectes. Bien qu'un microscope soit généralement nécessaire pour les apercevoir, les insectes « sont aux manettes de l'univers », selon David MacNeal, auteur de Bugged (« Ces petites bêtes qui nous embêtent »).

De nombreuses espèces sont aujourd'hui menacées de disparaître. Dans un entretien accordé à National Geographic, David MacNeal nous explique pourquoi leur disparition serait une catastrophe pour la vie terrestre et comment une abeille génétiquement modifiée pourrait sauver les ruches du monde entier, et notre alimentation.

Je pense que, comme moi, la plupart des gens voient les insectes comme... des insectes : d'ennuyeuses petites bestioles qui nous piquent, ruinent nos pique-niques... Comment se fait-il qu'ils vous émerveillent tant ?

Pris au cas par cas, les insectes n'ont certes pas un grand intérêt, à moins que vous vous allongiez par terre ou que vous les observiez au microscope afin de constater leur complexité. Mais ils sont la force invisible qui permet au monde entier de fonctionner.

Si les abeilles n'existaient pas, nous pourrions faire nos adieux aux amandes produites en Californie ou aux pastèques turques. Les insectes rendent également des substances nutritives à la terre. S'ils n'étaient pas là, la décomposition et les moisissures prendraient des proportions terribles. Ces services qu'ils nous rendent passent inaperçus car les insectes sont si petits que nous les percevons souvent comme une nuisance.

Alors qu'en réalité, ils sont aux manettes de l'univers.

Selon vous, les insectes effectuent des tâches qui se comptent en milliards de dollars...

Mace Vaughan et John Losey, deux entomologistes, ont mené des recherches approfondies sur la contribution des insectes à l'économie américaine. D'après le résultat de leurs recherches, elle s'élèverait à 57 milliards de dollars, sans compter la pollinisation.

La majorité de cette contribution provient de la faune, entretenue par les insectes qui sont à la base de la chaîne alimentaire et servent de nourriture aux poissons, aux oiseaux ou aux mammifères. Les insectes antiparasitaires représentent un demi-milliard de plus.

Par ailleurs, il est impossible de quantifier le coût que représente la reconversion d'un cadavre ou la décomposition de la vie végétale.

Vous affirmez que 2 086 espèces d'insectes sont consommées par 3 071 groupes ethniques différents à travers près de 130 pays. Pourriez-vous nous donner plus de détails sur ce menu mondial, et sur votre propre expérience au Japon ?

 Au Mexique, on vend des « chapulines » (des criquets) dans des sacs de papier marron remplis d'épices. Sur l'île de Bornéo, on mange des punaises et du riz agrémentées de piments et de sels cuisinées dans des tiges de bambous creuses. Les chenilles sont très populaires en Afrique et sont une excellente source de zinc, de calcium, de fer et de potassium.

En Sardaigne et en Corse, on mange du « fromage qui pleure », le Casu Marzu, qui contient littéralement des asticots. Au Japon, nous avons mangé dans trois restaurants, à Tokyo et à Shinjuku. Le premier proposait des chenilles de bambou qui semblaient clairement mortes depuis un bout de temps. Je n'ai pas réussi à les avaler. [Rires] Une bonne gorgée de bière a été nécessaire pour les faire descendre.

Le second restaurant dans lequel nous sommes allés proposait un large éventail d'espèces d'insectes. Parmi ceux-ci, il y avait un locuste mangeur de feuilles de riz. Il était cuisiné avec du soja et avait une belle dorure ; à cause des feuilles de riz que mangeait l'insecte, il était croustillant et suivi d'une saveur d'herbes unique. Je n'avais jamais goûté d'ingrédient comme celui-ci.

Les larves de guêpe avaient le goût des raisins blancs présents dans le couscous. Elles étaient sucrées et éclataient dans la bouche. Quand les chefs voient les insectes comme un ingrédient rempli de potentiel, ça donne des plats incroyables ! Les criquets sont consommés dans le monde entier. Lors de cette dégustation d'insectes à Brooklyn, ils ont été servis frits.

Si les humains venaient à disparaître demain, il n'y aurait pas d'énormes conséquences sur la planète. En revanche, la disparition des insectes pourrait être cataclysmique. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

La disparition des insectes est l'une des extinctions les plus étendues sur la planète. Elle est terrifiante dans la mesure où on ne le remarquera que lorsqu'il sera trop tard.

Les circuits migratoires changent à cause du climat et les insectes permettent de constater ces modifications. Dans les années 1960, un collectionneur s'est rendu dans les dunes d'Antioch, dans l'État de Californie, et a capturé des insectes. Lorsque des scientifiques sont retournés sur les lieux quelques décennies plus tard, ils ont découvert que de nombreuses espèces avaient disparu avec les plantes qui les abritaient.

Ces créatures dépendent de plantes et de certains climats et températures, une capacité d'adaptation qu'elles ont développé au cours des dernières 400 millions d'années. Il y a 20 ans, vous auriez pu voir un milliard de papillons monarques migrer vers le Mexique.

Selon les derniers chiffres, ils seraient 56,5 millions. Afin de lutter contre leur déclin, l'administration Obama a collaboré avec l'organisme Fish and Wildlife Service, en charge de la gestion et de la préservation de la faune aux États-Unis, et a promulgué la création d'une route de migration du Texas au Minnesota. Ils y ont planté des asclépiades, la plante hôte des monarques, dans l'espoir de quadrupler leur nombre d'ici à 2020. Comme je suis un cynique optimiste, je pense que les insectes nous survivront... si nous n'avons pas complètement fichu en l'air la planète avant.

Fut un temps où les sangsues étaient utilisées dans la médecine. Pourriez-vous nous expliquer la façon dont les insectes nous soignent de nos jours ?

Dans le cadre d'essais cliniques humains aux États-Unis et en Australie, une « peinture tumorale » à base du venin du scorpion appelé rôdeur mortel est étudiée.

Elle s'accroche aux tumeurs à la manière d'un aimant. Des biologistes l'ont associé à des substances fluorescentes qui permettent de visualiser les tumeurs, devenues fluorescentes, directement dans le cerveau du patient plutôt que de se référer à un graphique d'IRM.

Les neurochirurgiens voient ainsi l'endroit exact qu'ils doivent retirer et ne coupent pas de cellules saines. Dans certains cas, d'autres zones du cerveau s'éclairent, alors que le chirurgien aurait pu passer à côté d'une tumeur. C'est la révolution de la neurochirurgie !

Les cafards, quant à eux, aident les scientifiques à résoudre la résistance aux antibiotiques. Ils aiment la saleté : ils vivent dans les endroits les plus dégoûtants, alors qu'eux sont très propres. Ils sont donc devenus résistants à de nombreuses infections. Plutôt que de se pencher sur les plantes et les champignons pour concevoir de nouveaux traitements, les scientifiques commencent à étudier les insectes. Les fourmis esclavagistes (Protomognathus americanus) volent les larves et les nymphes d'autres espèces pour renforcer les effectifs de leurs propres colonies.

E.O. Wilson a qualifié les fourmis champignonnistes de « derniers super-organismes terrestres ». Parlez-nous de ces créatures fascinantes et de l'organisation de la société chez les fourmis qui reflète nos propres sociétés.

Nous pensions que la société des fourmis était organisée par classes. Vous avez l'ouvrier, le soldat et, en haut de la pyramide, la reine. Or, les entomologistes découvrent aujourd'hui que leur société repose principalement sur l'auto-administration et que les fourmis communiquent entre elles à une vitesse considérable.

Des fourmis se croisent le long d'un sentier, se font de petites tapes à l'aide de leurs antennes, comme une sorte de code morse : « Nous devons aller de ce côté » ou « Va par là si tu cherches de la nourriture ». Deborah Gordon mène d'incroyables recherches sur une espèce de fourmis qui rampent le long des feuilles des arbres sur lesquels elles vivent. Elle a découvert que lorsqu'une feuille venait à rompre, les fourmis coopéraient et la réparaient rapidement ; elles communiquent à une vitesse incroyable.

Nous pourrions ainsi étudier les moyens de réparer différents systèmes ou de schématiser le cerveau, et ainsi trouver leur lien. Avec les abeilles, les dauphins et les humains, les fourmis sont parmi les êtres les plus intelligents de la planète.

Depuis l'Égypte ancienne, les abeilles produisent du miel.Or, une crise mondiale appelée syndrome d'effondrement des colonies sévit actuellement. Quelles sont ses causes ? Pouvez-vous nous en dire plus sur le travail passionnant effectué actuellement au Royaume-Uni sur les « abeilles hygiéniques » ?

Le syndrome d'effondrement des colonies a tiré la sonnette d'alarme au milieu des années 2000. Les entomologistes savaient qu'il y avait un problème avec les abeilles depuis la diffusion des acariens varroa à l'échelle mondiale dans les années 1980-1990.

L'origine de leur diffusion demeure quant à elle un mystère. De nombreux scientifiques réalisent désormais que les causes se trouvaient sous leur nez pendant tout ce temps : les acariens varroa et les facteurs de stress issus des ruches transportées sur de longues distances pour la pollinisation, un phénomène fréquent aux États-Unis, qui l'est un peu moins au Royaume-Uni et en Europe.

Pour un scientifique, les acariens varroa pourraient être comparés à un rat attaché à votre corps qui aspirerait vos substances vitales. Des travaux incroyables sont réalisés sur des « abeilles hygiéniques » à l'université de Sussex, en Angleterre.

L'évolution favoriserait naturellement les abeilles résistantes aux acariens varroa. Dans le laboratoire de l'université, ils reproduisent donc cette caractéristique spécifique au moyen d'abeilles reines résistantes à ces bactéries.

De nombreux apiculteurs aux États-Unis et dans le monde entier sont à la recherche d'abeilles résistantes, ou « hygiéniques ».

Les scientifiques ignorent les causes du déclin du nombre de papillons monarques.

Votre périple s'est achevé sur l'île grecque d'Ikaria. Qu'est-ce qui vous y a amené ? Dans quelle mesure l'écriture de ce livre a-t-elle changé votre vie ?

C'est une excellente question ! Je ne suis qu'un individu stupide et curieux. [Rires] Lorsque quelque chose titille ma curiosité, je le pourchasse jusqu'à la fin. Quand j'ai entendu parler de cette variété de miel, auquel les villageois attribuent leur longévité (sur l'île d'Ikaria, il n'est pas rare que les habitants vivent jusqu'à 90 voire 100 ans), j'étais fasciné.

Leur miel s'appelle reiki, est aussi épais que le beurre de cacahuètes et est bourré de vitamines et de nutriments. Bien entendu, d'autres facteurs expliquent la longévité des insulaires, comme leur sociabilité. Lors des festivités annuelles du solstice d'été, ils se rassemblent dans leur village, jouent de la musique, boivent du vin et dansent en cercle, les bras joints. L'amour est partout ! Ce voyage a été différent des autres.

Adolescent, j'étais cet imbécile qui pouvait vider une bouteille de Raid sur une araignée et me voilà en train de découvrir que nous sommes entourés de petites choses incroyables. Désormais, je me promène le cou tendu vers le sol. [Rires] J'ai appris à m'arrêter, à observer et à savourer.

Nous ne sommes là que pour un court laps de temps ; il est donc réconfortant de savoir que d'autres éléments nous survivront pendant des millions d'années encore. Cette interview a été éditée pour des raisons de longueur et de clarté. Simon Worrall est le conservateur de Book Talk.

Retrouvez-le sur Twitter ou sur simonworrallauthor.com.



vagues

Publié à 10:39 par fandeloup Tags : vie
vagues

La vie nous bouscule parfois , comme une grosse vague qui nous emporte , il ne faut pas aller à contre courant , après cette grosse vague, on peut ateindre la rive ...Ne perds jamais espoir !



crabe

Publié à 10:15 par fandeloup Tags : chez photo 2010 cadre animal sur homme
crabe

Découverte d'une nouvelle espèce de crabe-yéti velu en Antarctique

Ce crustacé des eaux profondes, qui vit à proximité des sources hydrothermales, n'est que la troisième espèce de crabe-yéti connue de la science.

Ce gros spécimen de Kiwa tyleri mâle a les pattes recouvertes de bactéries, sa principale nourriture.

Il est blanc, il est velu, et il vit bien caché. C’est le yéti ! Enfin… le crabe-yéti. Découvrez Kiwa tyleri, le petit dernier de la famille des crabes-yétis et le premier à avoir été découvert dans les eaux froides de l’Antarctique.

Contrairement à l’abominable homme des neiges avec qui il partage son nom, ce crustacé à pinces varie en taille de 0,5 à 15 centimètres.

Ce n’est que la troisième espèce de crabe yéti connue à ce jour ; le premier représentant de ce groupe de créatures aux pattes velues ayant été découvert en 2005 dans l’océan Pacifique Sud.

En 2010, dans le cadre de recherches de nouveaux crabes-yétis, des scientifiques ont dirigé le véhicule qu’ils pilotaient à distance vers les sources hydrothermales de l’est de la dorsale Scotia, à plus de 2 600 mètres de profondeur. C’est à cet endroit qu’ils ont trouvé d’importantes communautés de crabes-yétis.

Ceux-ci vivent dans des conditions bien plus rudes que celles que leurs cousins. « Nous avons su immédiatement qu’il s’agissait de quelque-chose de tout à fait nouveau et unique dans le domaine de recherche des sources hydrothermales, » se souvient Sven Thatje, directeur de l’étude et écologiste à l’université de Southampton au Royaume-Uni. L’analyse des crabes de l’Antarctique a révélé qu’il s’agissait d’une espèce génétiquement différente, peut-on lire dans l’étude publiée le 24 juin dans la revue PLOS ONE.

ZONE HABITABLE

Les températures des eaux autour de la dorsale de Scotia dépassent généralement à peine le point de congélation. En revanche, le liquide brûlant qui s’échappe des sources dépasse quant à lui la barre des 400 °C. Comme l’eau se refroidit très rapidement dès sa sortie de la source, K. tyleri ne dispose que d’une petite zone habitable pour survivre. S’il se rapproche trop de la source, il cuit, et s’il s’en éloigne trop, il gèle. Les crabes-yétis mâles et femelles se rassemblent sur une source hydrothermale de la dorsale de Scotia, dans les eaux au large de l'Antarctique.

 

Ainsi, explique Thatje, les yétis de l’Antarctique s’amassent en tas bien plus serrés que les deux autres espèces connues. Il les a observés se grimper les uns sur les autres, « comme dans une boîte de sardines, occupant tout l’espace. » Il y a environ 700 individus par mètre carré. Thatje ajoute que cette espèce est plus adaptée à l’escalade que ses cousins grâce à ses membres antérieurs plus courts et plus robustes. K. tyleri est aussi plus trapu et plus compact que ses cousins des plaines abyssales.

Ce physique lui permet probablement de mieux se positionner sur les surfaces verticales des sources. L’équipe a observé des femelles s’aventurer en-dehors des zones habitables autour des sources.

Pour l’expliquer, Thatje émet l’hypothèse que, comme c’est le cas chez de nombreuses autres espèces d’eaux profondes, les larves des crabes yétis ont besoin de températures plus basses pour se développer. La mère doit donc faire un gros sacrifice.

Le froid détériore leur corps sur la durée, ce qui laisse des traces visibles sur les femelles. Il est probable que les crabes femelles ne puissent se reproduire qu’une seule fois avant de mourir.

RIEN DE MIEUX QU'UN TORSE POILU

Dans l’ensemble, les crabes-yétis font preuve de grandes prouesses pour s’adapter à leur milieu difficile. En l’absence de rayons du soleil, ils ont trouvé un autre moyen d’obtenir de l’énergie en « cultivant » leur nourriture. Ils possèdent une sorte de pilosité sur leur corps et leurs pinces, connue sous le nom de setae, qui attire les bactéries dont ils se nourrissent principalement.

Ce corps velu lui vaut le surnom de « crabe Hoff », en hommage à la star d’Alerte à Malibu David Hasselhoff. Thatje n’a rien contre David Hasselhoff, mais il avoue préférer le nom officiel de l’espèce, K. tyleri, qu’il a choisi avec son équipe pour rendre hommage à la carrière de Paul Tyler, professeur émérite de l’université de Southampton et pionnier de la recherche en eaux profondes. Andrew Thurber, océanologue à l’université d’État de l’Oregon, salue la découverte de ce crabe-yéti comme « une découverte vraiment incroyable. »

C’est particulièrement vrai étant donné que personne ne connaissait l’existence de cet animal il y a encore dix ans, continue Thurber. Ce dernier avait participé à la description de la deuxième espèce de crabe yéti découverte au large du Costa Rica, en 2011. « Cela montre bien que nous ne savons que peu de choses, » dit-il, « et que certaines des nouvelles espèces que nous découvrons sont parfois bien plus répandues qu’on ne le pense. »



analyser

Publié à 09:13 par fandeloup Tags : coeur
analyser

Ne laisse pas ton ♥ imprégné de colère , libère toi de ce sentiment , car rien de bon ne peut en sortir . Apprend à analyser le pourquoi et le comment .



ballerine

Publié à 19:02 par fandeloup Tags : danse
ballerine

nous avons un autre test pour vos yeux de lynx. Dans l’image suivante, vous devez trouver la ballerine parmi les flamants roses. La plupart des internautes ont dit qu’il leur avait fallu entre 30 secondes et 5 minutes pour trouver la ballerine.

L’avez-vous trouvée ? Cette illusion d’optique, conçue par Dancewear Central, a été créée pour sensibiliser les gens au ballet et à la danse en général



etre

Publié à 18:38 par fandeloup
etre

Sois toujours bienveillant , la gentillesse n'est pas une faiblesse , mais une force incroyable.



test

Publié à 18:15 par fandeloup Tags : monde image sur art vie animaux chien chat photo
test

Ce test est devenu un phénomène en ligne. Il vous demande combien d’animaux vous voyez dans l’image.

Les illusions d’optique et les puzzles en ligne deviennent de plus en plus populaires. Au cours de la semaine dernière, les gens sont devenus fous en regardant une image qui contenait des animaux cachés.

Prêts ? Comptons !

Après un examen minutieux de la photo, il semblerait qu’elle montre un éléphant, un âne, un chien, un chat, un rat, un serpent, un dauphin, une tortue et un poisson. Cependant, on dirait qu’il y a 13 animaux dans l’image. 

Voici la liste complète.

 Poisson Tortue Éléphant Moustique Âne Chien Serpent Chat Souris Crevette Poulet - Crocodile Dauphin



va

Publié à 17:39 par fandeloup Tags : coeur
va

Va , ose faire ce premier pas. C'est le plus difficile , celui de l'ouverture du ♥, pour aller vers l'autre....



Première page | <<< | 975 976 977 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 990 991 992 993 994 | >>> | Dernière page