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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Société

Publié à 14:42 par fandeloup Tags : enfants saint pouvoir article
Société

Ecole obligatoire dès 3 ans : que faire si votre enfant n’est pas propre ?

Jusqu’à présent, un enfant pas propre pouvait ne pas être scolarisé. Avec le changement de loi, cela risque d’être un peu plus compliqué. Les écoles maternelles ne peuvent pas refuser de scolariser un enfant qui n’est pas encore propre. Les écoles maternelles ne peuvent pas refuser de scolariser un enfant qui n’est pas encore propre.

 C'est l'une des grandes nouveautés de cette rentrée des classes 2019 : désormais, les enfants doivent obligatoirement recevoir une instruction dès l'âge de 3 ans. C'était déjà le cas pour l'immense majorité des enfants mais quelques milliers de cas chaque année y échappaient, dont certains pour une raison assez prosaïque : ils n'étaient pas propres au moment d'entrer en maternelle. Que faire désormais si l'enfant n'est pas encore propre à trois ans ?

« Tout enfant doit pouvoir être accueilli, à l'âge de trois ans, dans une école maternelle » « Jusqu'à présent, les parents ne mettaient pas leurs enfants à l'école s'ils n'étaient pas propres », assure Francette Popineau, du syndicat SNUipp.

La question ne se posait donc pas. Désormais, la loi dispose que « tout enfant doit pouvoir être accueilli, à l'âge de trois ans, dans une école maternelle ou une classe enfantine le plus près possible de son domicile, si sa famille en fait la demande » (Code de l'éducation, chapitre III, article L113).

Une mesure que redoutent les enseignants de maternelle, selon Gilles Tabourdeaud, directeur de l'établissement Irma Jouenne à Saint-Benoit (Vienne), et secrétaire départemental du SNUipp. Les écoles maternelles ne sont pas équipées Il estime que les écoles maternelles n'ont pas les moyens, humain et matériels, pour changer des enfants au quotidien

. « Cela force l'Atsem (Agent territorial spécialisé des écoles maternelles) à quitter la classe, pour s'occuper de l'enfant en question, en laissant ainsi l'enseignant seul. Si cela se produit au début de l'année, c'est problématique parce que c'est le moment où les instituteurs ont le plus besoin de l'Atsem, qui établit un lien de confiance avec les enfants ».

Sans compter que la plupart des écoles ne sont pas équipées de tables à langer pour changer les enfants. Les petits incidents arrivaient déjà avant cette loi, et les enseignants s'en sont toujours accommodés au cas par cas. Mais désormais, cela pourrait être plus compliqué. Jusqu'à présent, si un enfant scolarisé présentait trop souvent des difficultés à rester propre, alors l'instituteur pouvait décider, en accord avec les parents, d'aménager son temps à l'école, en ne le scolarisant que le matin, par exemple.

« Si le problème persistait, c'est que l'enfant n'étais pas encore prêt à être scolarisé », explique Gilles Tabourdeaud. Moins de liberté pour le cas par cas Désormais, l'aménagement de l'emploi du temps des enfants ne dépend plus des enseignants. La demande doit venir des parents, qui adressent alors un courrier à l'inspecteur de l'Education nationale, qui peut, ou non, approuver cet arrangement.

 «L'enseignant est un peu dépossédé de sa liberté de gérer ces enfants au cas par cas, déplore le directeur. Or le plus important, c'est que l'enfant fasse une rentrée maternelle réussie, car on sait que cela conditionne en grande partie son futur rapport à l'école. »

Pour autant, Gilles Tabourdeaud n'est pas particulièrement inquiet pour la rentrée 2019. Selon lui, les parents, prévenus de ce changement de loi, se sont organisés en avance pour faire en sorte que leur enfant soit propre le jour de la rentrée. Dans son établissement il a aussi pris des mesures, pour accueillir au mieux les plus petits. Ceux-ci ont droit à une rentrée un peu plus tardive que « les grands », pour que l'établissement puisse leur accorder davantage de temps et d'attention et que la transition se passe au mieux.

éléphant

Publié à 11:39 par fandeloup Tags : image place sur vie monde afrique amis animaux nature cadre animal
éléphant

Plus aucun éléphant africain ne pourra être capturé pour être envoyé à des zoos

Les instances internationales ont décidé une interdiction quasi complète de capturer et d’envoyer des éléphants loin de leur habitat naturel

Pour résoudre ce que les autorités déclarent être un problème de surpopulation d'éléphants et compenser le coût de la conservation de l'espèce, le Zimbabwe a vendu de jeunes éléphanteaux à la Chine ces dernières années.

 Hier, lors de la 18e réunion triennale d'un traité international sur le commerce d'espèces sauvages, les participants ont approuvé une proposition limitant les exportations d'éléphants d'Afrique sauvages. La nouvelle législation stipule que les éléphants du Botswana, du Zimbabwe, de Namibie et d'Afrique du Sud ne peuvent être exportés que vers des pays africains, territoires dans lesquels les éléphants vivent ou vivaient.

À noter toutefois une exception : l'exportation peut être autorisée si un pays peut prouver que l'acheminement d'un éléphant vers d'autres destinations présente un réel avantage pour la conservation de l'espèce. La proposition de loi s'est avérée être l'un des sujets les plus polémiques de la réunion de deux semaines tenue par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (CITES), au cours de laquelle 182 pays et l'Union européenne se sont réunis pour discuter des réglementations commerciales.

Des groupes de défense des animaux et de nombreuses organisations de protection de la nature ont salué cette décision, bien que certains pays d'Afrique australe s'y soient opposés avec véhémence et que les États-Unis et une association zoologique européenne aient exprimé des réserves. « L’interdiction de l'enlèvement des bébés éléphants de leur famille pour satisfaire les besoins des zoos est une grande victoire pour le bien-être animal », déclare Frank Pope, PDG de l’organisation à but non lucratif Save the Elephants, basée à Nairobi. De nombreuses autres organisations de protection des animaux et de conservation de la faune ont fait écho à ce sentiment.

La capture et la vente d'éléphants vivants font l'objet de critiques croissantes, étayées au fil des années par les découvertes scientifiques relatives à la complexité du comportement et de l'intellect des éléphants. Ce sont des créatures sociales intelligentes dont les liens familiaux, très forts, durent toute une vie. Et ces dernières années, plusieurs observations ont permis de prouver que les éléphants avaient recours à des outils, travaillaient ensemble pour atteindre des objectifs communs, pleuraient leurs morts et étaient capables d'empathie. Mis bout à bout, ces éléments rendent le fait que cet animal puisse être retiré à son groupe à un âge particulièrement jeune pour être vendu à un zoo particulièrement troublant.

« Comme nous, les éléphants ressentent de la joie lorsqu'ils retrouvent leur famille et du chagrin lorsqu'ils en sont brutalement séparés. Comme nous, ils ont besoin d'amis et d'espace pour s'épanouir. Les dommages physiques et psychologiques causés par leur capture traumatique et leur vie en captivité sont bien documentés », déclare Joyce Poole, experte en comportement des éléphants et exploratrice National Geographic.

Les jeunes éléphants sont particulièrement vulnérables. La séparation de leur groupe social peut causer un traumatisme psychologique, entraînant des troubles comme la dépression, l'anxiété, l'agressivité et peut parfois même provoquer des décès prématurés.

Quelques pays d'Afrique australe, notamment le Zimbabwe, qui abrite une population d'environ 82 000 éléphants, et le Botswana, qui compte 130 000 spécimens, se disent de plus en plus confrontés à deux problèmes qui peuvent justifier ce type de captures et de ventes : maintenir ces animaux sauvages loin des Hommes et de leurs terres, qu'ils peuvent respectivement tuer et détruire, et compenser les coûts de la conservation de l'espèce.

Selon ces pays, une des solutions consiste à vendre des éléphants aux zoos du monde entier. Le Zimbabwe, par exemple, a pris pour habitude de vendre des éléphanteaux à la Chine, et l'Eswatini (ancien Swaziland) a fait acheminer dix-sept éléphants vers des zoos américains en 2016, affirmant qu'ils auraient sinon été abattus. Les éléphants d'Afrique sauvages sont vendus à des zoos du monde entier. Le 27 août, la majorité des 183 membres du traité international qui régit le commerce mondial des espèces sauvages ont conclu que le maintien de cette pratique était inacceptable. De nombreux experts invitent à ne plus séparer ces animaux intelligents, sensibles et sociaux de leurs groupes sociaux.

La vente à l'export de jeunes éléphants d'Afrique capturés à l'état sauvage est un phénomène relativement nouveau. Selon les documents soumis à la CITES, avant le milieu des années 1990, les éléphanteaux n'étaient capturés que par voie de conséquence des opérations d'abattage des spécimens adultes. Les zoos chinois, par exemple, ont importé plus d'une centaine de jeunes éléphants capturés au Zimbabwe depuis 2012, selon Humane Society International. Les importations ont été condamnées par la communauté internationale et les défenseurs du bien-être animal. Les responsables zimbabwéens ont quant à eux déclaré que leur pays devrait être autorisé à gérer sa faune comme bon lui semble.

« CIRCONSTANCES EXCEPTIONNELLES »

Au cours du débat, l'UE a suggéré de modifier la proposition afin d'autoriser l'exportation d'éléphants au-delà des États de l'aire de répartition uniquement dans le cas de « circonstances exceptionnelles ». Cela exigerait de démontrer que le transfert de ces éléphants procure un certain nombre d'avantages en termes de conservation pour l'espèce. Les groupes d'experts sur les éléphants de la CITES et de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui définit le statut de conservation des espèces, devront être convaincus desdits avantages pour approuver le transfert des animaux.

Les États-Unis ont voté contre la proposition modifiée. Barbara Wainman, une porte-parole de la délégation américaine à la CITES, a déclaré à National Geographic que les États-Unis refusaient toute restriction géographique concernant les pays dans lesquels des éléphants pourraient être envoyés, préférant favoriser « le fait qu'un établissement est équipé pour accueillir et prendre en charge des éléphants. »

Barbara Wainman a déclaré que la préférence des États-Unis était qu'une autre disposition du traité définisse de manière adéquate l'approche fondée sur la science pour les décisions relatives au lieu d'envoi des éléphants. Elle a ajouté que d'autres dispositions n'étaient pas nécessaires pour définir les destinations « appropriées et acceptables ». Dans le même temps, l'Association européenne des zoos et des aquariums (EAZA) a fait savoir par voie de communiqué :

« L'EAZA se félicite du résultat concret du vote, qui empêchera l'importation d'éléphants sauvages capturés vers des destinations inappropriées ».

Mais l'EAZA craignait que les nouvelles restrictions ne sapent le cadre réglementaire de la CITES en considérant les éléphants comme appartenant à une catégorie moins protégée du commerce international (comme la législation en place au Botswana et au Zimbabwe) comme équivalant essentiellement aux éléphants pour lesquels le niveau de protection est le plus élevé. Les éléphants attirent le public des zoos, mais le groupe de spécialistes de l'éléphant d'Afrique de l'UICN s'inquiète « du faible succès de reproduction et de la faible espérance de vie des éléphants d'Afrique en captivité ».

Les zoos, notamment américains, cherchent donc parfois à acquérir de nouveaux éléphants pour leurs installations. « Le simple fait d'envoyer un éléphant sauvage dans un zoo ne répond pas à cette exigence », déclare Colman Criodain, responsable des politiques relatives aux espèces sauvages au World Wildlife Fund (WWF). Le groupe de spécialistes de l'éléphant d'Afrique de l'UICN partage également cet avis.

Selon Criodain, le tout sera de savoir comment les zoos en démontreront les avantages. Le groupe de spécialistes des éléphants d’Afrique de l’UICN a également déclaré qu’il ne pensait pas que les éléphants sauvages capturés en captivité seraient un bienfait pour la conservation et « n’approuve pas le retrait des éléphants d’Afrique de leur habitat naturel à des fins de captivité ». Pour le groupe, il faut fixer des normes élevées pour ce qui pourrait constituer des « circonstances exceptionnelles ».

Pour Mark Jones, responsable des politiques pour la fondation britannique Free Free Foundation, un groupe qui s'oppose à la capture d'animaux sauvages, il est préoccupant que la nouvelle législation ne s'applique qu'aux éléphants qui ne bénéficient pas des protections commerciales les plus strictes de la CITES. Les pays où les populations d'éléphants sont particulièrement menacées d'extinction, comme l'Eswatini, qui a expédié dix-sept éléphants vers trois zoos aux États-Unis en 2016, ne seraient pas couverts et pourraient continuer à exporter des éléphants. Lors de la présentation de la proposition modifiée, l'Union européenne a déclaré n'avoir importé aucun éléphant vivant au cours de la dernière décennie et n'en avoir aucune intention pour les années à venir.

Au cours du débat, la Chine n’a pas communiqué ses intentions ; les États-Unis non plus. Wildlife Watch est un projet d'articles d'investigation commun à la National Geographic Society et à National Geographic Partners. Ce projet s'intéresse à l'exploitation et à la criminalité liées aux espèces sauvages. Retrouvez d'autres articles de Wildlife Watch à cette adresse et découvrez les missions à but non lucratif de la National Geographic Society ici. N'hésitez pas à nous envoyer vos conseils et vos idées d'articles et à nous faire part de vos impressions à l'adresse ngwildlife@natgeo.com.

VIE

Publié à 10:36 par fandeloup Tags : enfants sur vie amour belle fond femme mort cadeau sourire
VIE

TRANCHE DE VIE

Un couple de la Seconde Guerre mondiale s’est rencontré lors d’un rendez-vous arrangé et était marié pendant 70 ans avant de mourir le même jour

 Ce couple s’est rencontré avant la Seconde Guerre mondiale et a servi ensemble pendant la guerre. Après sept décennies de mariage, ils ont fait leur dernière sieste ensemble dans un établissement de soins et sont décédés le même jour. Isabell Whitney et Preble Staver sont tombés amoureux lors d’un rendez-vous arrangé à Philadelphie.

Cependant, ils ont mis leur relation en suspens lorsque les États-Unis sont entrés en guerre. Isabell s’est enrôlée comme infirmière dans la Marine et était en poste dans le Maryland, tandis que Preble a servi en tant que Marine.

Cinq mois seulement après la fin de la guerre, le couple se marie, le 15 février 1946. Preble subvenait aux besoins de sa famille en travaillant comme lobbyiste et banquier.

Au cours de leur mariage, le couple a eu cinq enfants. Aucun parent ne devrait avoir à enterrer un enfant mais, malheureusement, Preble et Isabell ont dû le faire en 1975 lorsque leur fils, Peter, est mort alors qu’il jouait le dernier match de football de sa dernière année au lycée.

Un de leurs enfants, Laurie Staver Clinton, a confié à People : « À ce moment-là, nous avons commencé à voir un côté plus doux de mon père. Les parents ne sont pas censés enterrer leurs enfants, ça a vraiment eu un impact sur mes parents, mais ça les a aussi rapprochés. » En parlant de ses parents, Laurie a dit : « C’étaient des gens formidables. » Son père « était un peu une figue de Barbarie », tandis que sa mère, une personne compatissante, lui a appris que « vous ne pouvez pas changer une autre personne, mais vous pouvez changer votre attitude envers elle ».

Preble et Isabell sont restés côte à côte tout au long des années. « Ils appréciaient vraiment la compagnie de l’autre. C’était juste amusant de les voir. Ils se sont fait une belle petite vie », a partagé Laurie. Puis, en 2013, le couple a emménagé dans un établissement de soins à long terme à Norfolk après qu’Isabell a commencé à montrer des signes de démence.

Bien que Preble était frustré de voir la démence de sa femme s’aggraver et que le couple ait dû être placé dans des pièces séparées, au fond, il se souciait toujours de sa femme. « Ils ont trouvé un autre moyen d’exprimer leur amour. Papa, même après s’être arrêté de marcher et être assis dans un fauteuil roulant, se rendait à l’Unité de soins de la mémoire et rendait visite à maman », se rappelle Laurie.

« Quand je les réunissais, la première chose qu’ils faisaient, c’était de tendre la main, de se tenir la main et de se dire qu’ils s’aimaient. »

Même si la démence d’Isabell était débilitante, elle se souvenait encore parfois de son mari. « Parfois, nous devions lui dire de se concentrer et de regarder, mais quand elle regardait et savait que c’était papa, elle avait ce petit sourire », dit Laurie. Jim Need, un ami de l’église, a dit au NRP :

« Parfois, il était un peu frustré parce qu’elle ne le reconnaissait peut-être pas. Mais… quand elle le reconnaissait, on le voyait toujours avec un grand sourire. »

Alors que Preble approchait de son 96e anniversaire, il a dit à Laurie qu’il voulait faire une autre sieste avec Isabell. Le personnel a donc pris des dispositions pour que le couple puisse s’allonger côte à côte pendant presque trois heures.

« Ils ne se sont pas dit un seul mot. Ils se sont tenu la main et se sont endormis. J’ai dit à papa : ‘C’est le cadeau d’anniversaire de maman pour toi’. Il était tellement content d’avoir pu faire sa sieste avec elle », a dit Laurie.

Isabell lui a même chanté « Happy Birthday » lorsqu’elle a été amenée à sa chambre. Le 25 octobre 2017, quelques jours après la célébration, on a annoncé à Laurie qu’elle devrait faire ses adieux à sa mère. Elle a aussi fait venir son père pour qu’il lui fasse ses adieux. « Il lui a tenu la main et c’était si tendre. Je lui ai demandé s’il voulait rester après les prières et il a secoué la tête. J’ai dit : ‘D’accord, mais tu sais que ça veut dire que tu vas devoir lâcher sa main ?’

Je pleurais, et il pleurait », se souvient Laurie. Preble est décédé quelques heures plus tard après la mort d’Isabell. Phénoménalement, le couple né à 14 jours d’intervalle en octobre 1921 est également mort à 14 heures d’intervalle. Le 10 novembre 2017, ils ont été inhumés côte à côte au cimetière d’une église de Virginia Beach. Voyant comment ses parents sont restés ensemble pendant 70 ans de mariage, Laurie s’est rendu compte que « si vous prenez un engagement et, même si la vie devient difficile ou va de travers, vous travaillez toute votre vie et vous vivez votre vie ensemble. »

humour

Publié à 09:25 par fandeloup
humour

JE ME SUIS LONGTEMPS POSE LA QUESTION et J'EN SUIS ARRIVE A LA CONCLUSION QUE C’ÉTAIT CELA, " Un site de rencontre en ligne "

vie

Publié à 08:49 par fandeloup Tags : vie
vie

Suis ton cœur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie .

procès

Publié à 17:45 par fandeloup Tags : hiver sur france monde animaux soi maison
procès

 Un nouveau procès pour des animaux trop bruyants

 Après le coq Maurice, c’est au tour de canards et d’oies d’être accusés de caqueter trop fort. Le propriétaire des palmipèdes doit comparaître en justice aujourd’hui devant le tribunal de Dax, mais selon les deux parties, le procès devrait être renvoyé.

Dans cette commune de 7 600 habitants sur la côte sud des Landes, un habitant a assigné sa voisine à comparaître. L’objet de son courroux ?

« Le bruit incessant et d’autres nuisances que lui causeraient mes canards », indique Dominique Douthe, 67 ans. La propriétaire des volailles, qui habite Soustons depuis plus de trente ans, élève « une cinquantaine de canards et d’oies » dans ce lieu situé en pleine campagne, à moins de 300 m de l’étang de Hardy. 

- Signez la pétition ! http://chng.it/Fv5d2bH5 via @ChangeFrance Signez la pétition Comite de soutien des canard d'Hardy de Soustons (40) change.org

 « Ce conflit a démarré il y a environ un an, lorsque ce voisin a acquis sa propriété », raconte Mme Douthe, « il est venu se plaindre du bruit de mes volailles deux fois par semaine du mois de juin jusqu’au mois d’octobre 2018 ».

“Préserver les caractéristiques de la ruralité”

Pour l’épouse du couple de plaignants, qui ne veut pas être identifiée, « lorsque nous avons visité la maison, en hiver », dit-elle, « les oies et les canards étaient moins nombreux, donc, moins bruyants ». « Nous avions vu quelques animaux . Ce n’est que plus tard, lorsque les animaux sont revenus, que le bruit est devenu plus important », ajoute-t-elle. Son époux a vu l’éleveuse trois ou quatre fois, a fait venir un acousticien qui a préconisé de déplacer l’enclos et construire un mur : « Nous n’avons plus eu de nouvelles de cette dame, plus de contact depuis le mois d’octobre. » “On est dans les Landes tout de même !” Pour le couple, il ne s’agit pas simplement du bruit : « L’élevage est situé à proximité d’un cours d’eau qui se déverse dans une zone Natura 2000 dans laquelle il est interdit de parquer un élevage. » « Ce qui nous semble important, c’est le respect de la réglementation sur l’environnement, et c’est cela qui nous a motivés à poursuivre : les règles doivent être respectées par tout le monde », dit l’épouse. Dans ce petit hameau, « de nombreuses maisons possèdent un coin pour l’élevage des volailles. On est dans les Landes tout de même ! », s’emporte néanmoins une riveraine propriétaire de quelques poules.

La maire de Soustons, Frédérique Charpenel, a écrit sur sa page Facebook qu’il était « absolument nécessaire, à Soustons et partout en France , de préserver les caractéristiques de la ruralité (agriculture, élevage, pêche, chasse, etc.) ». Mais « il me semble aussi nécessaire, de ne pas tomber dans le panneau du repli sur soi, de ne pas déraper dans la caricature en pensant que les nouveaux arrivants, ne pourraient pas s’intégrer ou nous feraient perdre notre âme ». Plusieurs affaires de bruits ruraux, de coq comme Maurice dont le jugement sera prononcé jeudi à Rochefort, de cloches qui sonnent ou de grenouilles qui coassent, ont agité les campagnes récemment.

Le maire du petit village de Gajac en Gironde a même proposé de faire classer ces bruits au patrimoine national et fondé l’association L’Écho de nos campagnes, pour « protéger notre monde rural et nos traditions ».

sensation

Publié à 16:44 par fandeloup Tags : heureux
sensation

La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l’absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons.

horreur

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : google amis animaux sur france place
horreur

Quand les chasseurs ‘’régulent’’ des animaux… d’élevages !

Des dizaines de milliers de sangliers élevés pour le simple "plaisir" de chasseurs...

 Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, a fermement défendu la régulation des sangliers par les chasseurs en France (28/08/2019). Toutefois, la présence sur le territoire de nombreux élevages de petit et gros gibier remet en cause cette « prolifération » agitée comme un chiffon rouge… Un paradoxe dénoncé par la Fondation 30 Millions d’Amis. « Il faut tuer des sangliers et pour tuer des sangliers il faut des chasseurs ».

Sur le plateau de Cnews (28/08/19), Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture, a pris le parti de la chasse (c’est devenu une habitude pour ce gouvernement !) brandissant la menace de dégâts provoqués par l’animal si les chasseurs n’intervenaient pas : « Si nous continuons comme cela, il y aura beaucoup de cultures qui vont être ravagées par des hordes de sangliers. Il y a beaucoup trop de sangliers qui dévastent nos cultures… »

Didier Guillaume : « Il faut tuer des sangliers et pour tuer des sangliers il faut des chasseurs » Vidéo intégrée 56 08:57 - 29 août 2019 Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité 201 personnes parlent à ce sujet Une véritable hypocrisie Le public doit savoir qu’une partie du petit et gros gibier provient… d’élevages ! Reha Hutin Ce plaidoyer du ministre d’État a fait réagir les associations de protection animale – dont la Fondation 30 Millions d’Amis – qui dénoncent une véritable hypocrisie. « Le ministre agite le chiffon rouge pour alarmer les populations et légitimer l’action des chasseurs. Mais le public doit savoir qu’une partie des sangliers et d’autres petits et gros gibiers proviennent… d’élevages ! On est donc loin d’une action mise en place pour ‘’réguler’’ une expansion ‘’naturelle’’ des populations », s’insurge Reha Hutin, présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis.

« Ce que déclare le ministre de l’Agriculture est un faux prétexte, confirme Madline Reynaud, directrice de l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). L’idée d’une prolifération reprend l’argument des chasseurs depuis des dizaines d’années. Or il n’est pas question de régulation quand des sangliers sont élevés pour être tirés. Les relâchés dans des chasses privées ne sont pas rares et certains s’enfuient. Par ailleurs, plusieurs méthodes comme l’agrainage (ndlr : une pratique consistant à approvisionner les animaux sauvages dans leur environnement) sont utilisées pour maintenir les populations de sangliers. Il y a une manne financière derrière ces élevages... »

« C’est l’histoire du pompier pyromane » Selon des chiffres de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et du Syndicat national des producteurs de gibier de chasse (SNPGC), au moins 40 000 sangliers sont élevés en France. Didier Guillaume prétend donc réguler une prolifération alimentée par les chasseurs eux-mêmes !

« C’est l’histoire du pompier pyromane, lâche Madline Reynaud. Certes, 80% de ces sangliers sont utilisés pour des chasses en enclos. Mais il existe également des relâchés. La chasse est tellement décriée par les Français que l’on se retrouve dans la situation de devoir conférer un rôle aux chasseurs : celui de ‘’régulateurs’’. Mais s’ils n’entretenaient pas les populations de sangliers par des élevages, ils n’auraient plus de quoi jouer… »

Des millions d’animaux élevés et relâchés pour être tués Une enquête de l’ASPAS avait déjà démontré l’étendue de l’élevage des faisans. Sur le territoire, quelque 1 500 structures élèvent du petit et gros gibier : perdrix grises et rouges (5 000 000), les canards colverts (1 000 000), lièvres (40 000), lapins de garennes (100 000), cerfs (15 000), daims (22 000), chevreuils (7 000), mouflons (2 500). Des millions d’animaux élevés et relâchés afin d’être… tués

[Source : SNPGC & ONCFS] !

Pour rappel, près de 7 Français sur 10 rejettent massivement la chasse et 84% exigent à minima que le dimanche devienne un jour non chassé (sondage IFOP – Fondation 30 Millions d’Amis /2019).

humour

Publié à 11:10 par fandeloup Tags : humour

déforestation

Publié à 10:57 par fandeloup
déforestation

L'élevage industriel et la culture du soja pour l'alimentation animale sont parmi les principaux responsables de la déforestation.  Un autre système agricole et alimentaire est possible et il est urgent d'en changer !