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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Adoption : ils ont rendu leur enfant.
enfant , animaux même combat ! l'humain est une erreur ! même s'il en existe de bons par rapport au nombre de pourris en tout genre...
Ils l’ont rendue comme on rapporte un jouet défectueux au fabricant après Noël.
Un diplomate hollandais et sa femme viennent de « renvoyer » leur fille adoptive aux services sociaux de Hong Kong, leur lieu de vie.
Ces parents terribles avaient adopté Jade, une petite Sud-Coréenne, alors qu’elle avait à peine 4 mois.
Sept ans après, et deux fils biologiques plus tard, Raymond et Meta Poeteray ont tout simplement décrété que la petite fille n’arrivait pas à s’acclimater au mode de vie néerlandais et à créer des liens affectifs solides avec sa famille adoptive.
Agé de 55 ans, le père s’est justifié dans les colonnes du quotidien « De Telegraaf » en estimant avoir suivi les conseils des médecins : « A notre grande déception, les choses n’ont cessé d’empirer et le reste de la famille en a énormément souffert », a-t-il déclaré.
Aucune remarque en revanche sur la souffrance de la petite fille d’être une nouvelle fois abandonnée.
Cette sinistre affaire a légitimement provoqué une vague d’indignation aux Pays-Bas, à Hong Kong et en Corée du Sud où des élus commencent à remettre en question le droit à l’adoption étrangère.
En attendant, Jade, placée dans un orphelinat, est de nouveau « disponible à l’adoption ». Terrifiant.
Seraing: la SPRA fait saisir 4 chiens dans un état lamentable chez une... récidiviste, l'un d'eux a dû être euthanasié.
Un des chiens était même agonisant, couché dans ses excréments ne sachant même plus lever la tête et se contentant de lever les yeux.. En urgence, il a été confié au service vétérinaire de la SRPA qui n’a eu d’autre solution que d’abréger ses souffrances.
Deux autres chiens , un mâle et une femelle squelettiques, se déplaçaient avec peine.
Ils ont été emmenés au refuge pour y recevoir des soins urgents et indispensables à leur survie.
Un quatrième chien, plus petit, était caché par la dame mais il s’est manifesté par des aboiements qui ont permis de le sauver également.
Une plainte a été déposée et la SRPA poursuivra le dossier en justice.
Les 3 chiens récupérés vont faire l’objet d’un revalidation longue et onéreuse.
En effet, les soins à apporter à ces animaux nécessitent l’intervention du personnel du refuge plusieurs fois par jour pour les nourrir et suivre de près leur réhydratation
.La SRPA de Liège mettra tout en œuvre pour les sauver et pouvoir leur offrir une nouvelle vie auprès de nouveaux maîtres responsables.
A noter : La SRPA, qui ne reçoit aucun subside pour son travail et vit uniquement de dons, fait appel aux dons pour parrainer la revalidation de ces victimes.
Vous pouvez verser vos dons sur le compte bancaire BE16 2400 0200 5274 avec la communication « Revalidation des animaux»
Ce site spectaculaire abrite des terrasses spectaculaires qui s'étagent sur les pentes escarpées du mont Ailao et descendent jusqu'à la rive sud de la Rivière rouge. Depuis 1 300 ans, le peuple Hani a développé un système complexe de canaux qui amènent l'eau des sommets boisés jusqu'aux terrasses
Les bactéries sont des organismes unicellulaires sans noyau, donc des procaryotes.
Leur rôle pour l'environnement et nous-mêmes est multiple, leurs actions pouvant être positives ou négatives (cas de bactéries pathogènes).
On sait depuis déjà longtemps comment les bactéries se modifient, s'adaptent, en fonction de leur environnement, et depuis peu on commence à comprendre la dynamique de ces modifications, ce qui ouvre de nouveaux et fascinants champs d'étude
Les bactéries, leur monde et nous
Les bactéries sont des organismes unicellulaires sans noyau, donc des procaryotes. Leur rôle pour l'environnement et nous-mêmes est multiple, leurs actions pouvant être positives ou négatives (cas de bactéries pathogènes).
Description et étude des bactéries
Une bactérie, ça n'existe pas : un récent changement de point de vue. Comment peut-on écrire « une bactérie, ça n'existe pas », alors qu'il est si facile de regarder une bactérie au microscope !
Il existe de très gros manuels consacrés à la description des bactéries, ces organismes minuscules et innombrables, dits « procaryotes » parce que, contrairement à nos cellules d'eucaryotes, elles n'ont pas de noyau, mais un ADN replié directement dans leur cytoplasme.
Mode de vie des bactéries
Au début des années 1980, on croyait presque tout savoir sur les bactéries, sur La bactérie ! On a alors voulu connaître la manière dont ces bactéries vivent dans la nature. Et là on est allé de surprise en surprise.
Conditions de vie des bactéries :
l'adaptation En raison de leur petite taille et de leur structure dépourvue de noyau et d'organites, les bactéries sont généralement considérées comme « simples ». On les oppose aux organismes pluricellulaires, dont l'être humain est le plus complexe, et on en déduit que l'évolution est orientée vers un accroissement de complexité. Que les bactéries soient plus petites que les métazoaires, c'est clair. Mais qu'elles soient « simples » paraît moins évident.
Bactéries : les mécanismes de la régulation
Les mécanismes de ces régulations sont maintenant bien connus. C'est en étudiant la régulation des enzymes permettant à E. coli de consommer le lactose que Monod et Jacob ont pu proposer en 1961, le modèle dit de « l'opéron lactose », prototype de tous les modèles de régulation.
L'environnement des bactéries
Qu'est-ce que l'environnement des bactéries ? La définition ne va pas de soi. Les bactéries sont minuscules, leur environnement est-il une petite « couche » autour d'elles ? Mais alors de quelle taille ? Et que signifierait tenir compte des interactions avec leur environnement, si on définissait celui-ci à priori par une distance à l'extérieur des bactéries ? Donc, il faut s'y prendre autrement, et définir l'environnement précisément en fonction des interactions.
Bactéries : les relations symbiotiques
Les relations entre les bactéries et les autres organismes peuvent être conflictuelles : par exemple les nématodes ou les protozoaires mangent les bactéries, ou des bactéries nous rendent malades, voire nous tuent. Comme ce pouvoir pathogène des bactéries est très important pour nous, il a été très étudié.
Histoire des bactéries et histoire de la vie
L'environnement des bactéries ne se limite pas au microenvironnement. Certaines interactions peuvent se faire à beaucoup plus longue portée, voire embrasser la Terre tout entière. L'histoire de l'oxygène va nous servir d'exemple pour comprendre de quoi il s'agit.
Rôle des bactéries
Une autre conséquence, tout aussi importante, est souvent ignorée. C'est un équilibre entre les organismes produisant et les organismes consommant l'O2, tel que la concentration globale d'O2 dans l'air reste constante au niveau de l'atmosphère de la Planète entière !
La microbiologie et son environnement
La microbiologie est la science qui étudie les microbes, et en particulier les bactéries. Science récente, puisqu'elle date du milieu du XIXe siècle, elle a eu un développement irrégulier.
Ce site exceptionnel qui s'étend sur plus de trois millions d'hectares est le seul désert côtier où l'on trouve d'aussi vastes champs de dunes de sable sous l'influence du brouillard. L'endroit est tout particulièrement intéressant car les dunes y sont constituées de matériaux venus de très loin, transportés depuis l'intérieur de l'Afrique australe par les cours d'eau, les courants océaniques et le vent.
Des colonies de microbes dans la plastisphère océanique
La plastisphère, ce nouvel écosystème marin qui se développe sur les déchets plastiques, grouille de microbes et de bactéries en tout genre.
S’il est difficile de prévoir les effets qu’aura ce nouveau monde sur l’océan, on peut d’ores et déjà affirmer qu’il modifie le développement des micro-organismes et pourrait bien transporter des maladies.
Les débris marins les plus abondants sont les déchets plastiques.
Sur les 260 millions de tonnes de plastique produites chaque année, 10 % finit sa course en mer.
La circulation océanique entraîne les déchets loin des côtes, dans les gyres océaniques où ils s’accumulent et se dégradent lentement.
Ces zones d’accumulation sont souvent appelées continents de plastique ou îles de plastique.
La notion de plaque macroscopique de plastique est trompeuse, on devrait plutôt parler de soupe de plastique microscopique. Néanmoins, l’abondance du matériau dans l’océan a conduit à la prolifération de milliers de bactéries, fondant un nouvel écosystème, la « plastisphère ».
Ce nouvel habitat océanique soulève un grand nombre de questions.
Les nouvelles conditions environnementales vont-elles favoriser le développement d’espèces au détriment d’autres ?
En quoi la prolifération de la vie marine à même ces déchets plastiques pourrait-elle modifier la chaîne alimentaire ?
À leur mort, ces organismes vont-ils plonger au fond de l’océan ou seront-ils ingérés ?
Quel impact la plastisphère peut-elle avoir sur l’océan ?
Difficile de répondre maintenant, mais une équipe du Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI) donne quelques éléments d’analyse.’équipe a étudié des débris plastiques récoltés en différents points du gyre de l’Atlantique nord, à partir de filets au maillage microscopique.
La plupart des débris récupérés ne dépassaient pas le millimètre, mais abritaient une riche vie microbienne.
Les résultats de l’analyse, publiés dans la revue Environmental Science & Technology, font état de plus d’un millier d’espèces différentes développées sur un seul microdéchet de plastique.
Le plastique au temps du choléra Sur un bout de plastique d’à peine la taille d’une épingle, les chercheurs ont trouvé des organismes autotrophes (phytoplancton et bactéries), des animaux et bactéries qui s’en nourrissaient et des prédateurs plus gros encore.
Ils ont par ailleurs identifié de véritables relations symbiotiques entre certains de ces organismes.
La plastisphère peut être vue comme un nouveau récif microbien.
Étudiées à partir de microscopie électronique à balayage et de techniques de séquençage des gènes, les bactéries montrent un développement différent de celles qui grandissent sur des récifs naturels
Le plastique se dégrade moins vite que le bois ou les plumes sur lesquels elles vivent normalement, et fournit des éléments nutritifs bien inhabituels. L’équipe montre notamment que les microbes sont capables de dégrader le plastique.
Ils ont observé des fissures et des puits microscopiques dans le matériau, qui révèlent que les bactéries s’attaquent aux chaînes d’hydrocarbures.
Les débris de plastique représentent donc un nouvel écosystème, mais pourraient bien être aussi un nouveau mode de transport, vecteur de microbes nocifs.
Sur un des plastiques étudiés, la population dominante appartenait au genre Vibrio, qui comprend les bactéries du choléra et les bactéries vectrices de maladies gastrointestinales. L’équipe du WHOI espère pour la suite être en mesure d’identifier e
t de séquencer toutes les bactéries que l’on peut trouver dans ces milieux, pour ainsi parvenir à développer des cultures en laboratoire et étudier leur mode de fonctionnement.
Comme chaque année, l'Unesco a ajouté à sa liste du Patrimoine mondial quelques uns des plus beaux sites du monde, parmi lesquels le Mont Fuji au Japon. La beauté de ce volcan solitaire, souvent couronné de neige, s'élevant au-dessus de villages, de la mer et de lacs bordés d'arbres, a inspiré artistes et poètes. Il s'agit d'un lieu de pèlerinage depuis des siècles. Le Mont Fuji (3 776 mètres) figure dans l'art japonais dès le 9e siècle, il a eu une profonde influence sur l?art occidental de l'époque.
S'abstenir de tout mal, cultiver le bien, purifier son ♥, voici l'enseignement
Everland Resort est un parc de loisirs situé à Gyeonggi près de Séoul en Corée du sud. Le complexe comprend un parc à thème, un zoo et un parc aquatique. 6,9 millions de personnes ont franchi ses portes
Multiplier par 7 l’âge de son chien pour connaître l’équivalent en années humaines est une méthode très répandu mais fausse.
Rien d’étonnant que l’on arrive à des âges qui nous semblent records si on les compare avec ceux de l’âge des humains.
En procédant de la sorte, tous nos toutous sont facilement des centenaires.
Mais ce n’est pas tout à fait vrai .Chez le chien tout dépend de la race.
Pour les chiens:Tout dépend chez lui de sa taille.
Le calcul s’effectue différemment suivant qu’il appartient à la catégorie des petites races (jusqu’à environ 15 kg), des moyennes et grandes races (15 à 45 kg) ou des très grandes races (à partir de 45 kg);ces poids sont bien entendu les poids des chiens adultes.
Donc si votre chien à six mois, cela correspond en équivalence humaine à 15 ans chez une petite race, chez une moyenne ou grande race à 10 ans, et chez une très grande race à environs 8 ans.
Vous voyez, la règle du "7" est déjà dans les choux !Et rien n’est totalement proportionnel.
Le chien de petite race, arrivé à l’âge de 12 mois va passer, pour son équivalent en âge humain par des tranches de quatre ans, jusqu’à ce qu’il ait 17 ans ; à partir de cet âge là, ce sera ensuite des tranches de 2, 4, et 6 ans pour arriver centenaire.
Chez le chien de moyenne race, on passe par tranches de 6 ans jusqu’à l’âge de 10 ans : c’est-à-dire qu’à 18 mois, cela correspond à 21 ans pour nous, à 2 ans, cela correspond à 27 ans pour nous, etc. jusqu’à l’âge de 10 ans ou la tranche varie.
Chez le chien de très grande race, il en va encore autrement : par tranche de 4 ans de l’âge de 12 mois à 2 ans, puis par tranche de 9 ans pour la suite.
Le chien de petite race est donc « vieux » plus tôt, mais reste « jeune » plus longtemps !
En effet, comparé aux chiens de moyenne et grande race et aux chiens de très grande race (dont l’espérance de vie est la plus faible, aux alentours de 10 ans), à 12 mois il a 20 ans alors que les autres ont respectivement 18 et 14 ans… mais à 11 ans, il a en correspondance humaine 64 ans, contre 80 et 100 ans pour ses congénères.
Cet inversement des tendances est dû au fait que les petites races ont une croissance très rapide par rapport aux chiens de grande race.