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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
En un soir anonyme,tel chaque nuit d'une vie,la lune est venue frapper un ♥ prisonnier prisonnier, d'une désolation sans fin. D'une calamité innombrable. D'un tourment inépuisable. Un ♥ assoiffé d'amour et liberté. Un ♥ altéré d'ardeur et charité. Une âme brûlée .Un esprit saccagé. Une vie pillée .Un destin clôturé
Un rêve. Juste un instant transparent Un sentiment que l’on hume… Juste un accord pour le vent, Comme un talent qu’on présume… Juste un espoir dans le temps, Qui prend l’allure d’une plume… Nous ne sommes que passants, Cette minute est trop brève… Ne dérangeons pas l’enfant, Et laissons-le à son rêve…
En étant enrobé de mal incessant, je cherche une issue à mon inquiétude perpétuelle, à mon chagrin éternel.
Il arrive parfois que deux êtres aient cette impression de se retrouver sur le chemin de la vie . Comme s'ils n'avaient été jusque là que provisoirement séparés. Comme si l'un et l'autre s'attendaient.
Je marche. Sans savoir où je vais, sans savoir pourquoi je le fait. Je marche, dans cette ville oppressante, au beau milieu de cette nuit frémissante. J'aimerai hurler tout ce qui me broie le cœur, briser toutes les chaînes qui m'asphyxient. J'aimerai laisser tout ça derrière moi. Oublier, oublier la moindre parcelle de souvenirs, oublier jusqu'à mon nom. Et puis me reposer, juste un peu. Je voudrais recommencer, à zéro, repartir de rien
Etre de nouveau en couple… c’est tout refaire, tout recommencer. Devoir repasser chaque difficile étape. Devoir à nouveau se dévoiler. Prendre le risque d’être de nouveau blessée, brisée. C’est savoir comme la fin fera mal, savoir que l’amour n’est pas éternel, savoir que finalement, on est sur le point de sauter d’un pont et que la chute sera mortelle, et malgré tout, sauter quand même. C’est prendre le risque de souffrir, de pleurer, mais surtout c’est prendre le risque d’avoir de nouveau quelqu’un à perdre. Ça fait peur. Ca fait perdre la tête. C’est se torturer, doucement mais surement. C’est grandir. Savoir que nos rêves d’enfance sur le prince charmant ne se réaliseront jamais. Savoir que la fin ne sera que rarement « et ils vécurent heureux pour toujours ». C’est avoir quitté le monde d’illusions liées au premier amour. C’est de nouveau s’assumer, c’est également tourner la page. C’est terrifiant, surtout pour une terrienne en détresse. Mais c’est tenter le tout pour le tout quand même.
Si tu savais. Si tu avais conscience de l'état dans lequel je me trouve, tu t'en voudrais peut être. Ou peut être pas. Tu ne m'aimes plus. C'est la fin, ma fin. Sans toi, je ne suis rien, je pensais que tu l'avais compris, mais ton cœur a fini par oublier. Oublier de m'aimer. C'est arrivé si vite. Et si vite reparti. Ça a commencé un lundi et a disparu un vendredi. Bordel, comme j'ai mal. Ça me tue, à petit feu. Mais tu ne m'aimes plus. Des mots, tes mots, tels des poignard me perforent de part en part. Tels un poison, ils sont venus se ficher dans mon cœur, ne me laissant aucune chance. J'ai sombrer. J'avais pris ce risque, le premier jour de notre amour. Je m'étais dis « fonce la tête la première, tu n'a rien à perdre ». Je me trompais. Et j'ai percuté le mur. C'est douloureux.
Et je m'empoisonne, injectant mon propre venin, abîmant mon ♥ et écrivant ma fin. Je me brûle, je me glace. Je vis, et me tue à coup de larmes. J'avance une épine dans la main, appréhendant chaque lendemain. Parce que je ne suis rien, rien qu'une ombre qui erre, qu'une âme qui se perd. Parce que je ne sais que m'autodétruire, jusque dans la moindre parcelle de ce que je suis, m'autodétruire et fuir. Parce qu'on est de ceux qui guérissent, de ceux qui résistent, de ceux qui croient aux miracles. Mais je fais quoi moi, si ma force prend le voile?
Mes oreilles sonnent, la douleur tressaute. Mes jappements m’égorgent. La poitrine en morceau par ce monde hypocrite, jamais je ne me laisserai charmer. Je suis pourtant tombé dans le piège de ces petits bonheurs.
Pour certaines puissances, le Capitaine Paul Watson est devenu un symbole à abattre. Et donc pour nous, un symbole à sauver. A l'heure où nous lançons la neuvième mission de défense des baleines en Antarctique ... NE L'OUBLIONS PAS.