Fandeloup

Il se peut que l'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs, qui les confondaient avec des animaux rares, comme les lamantins ou les Dugongs. Dans une logique Évémériste, la longue queue des lamantins, leurs mamelles, qui évoquent des seins, ainsi que leurs cris plaintifs sont rapprochés de l'apparence physique et des chants que la tradition prête aux sirènes. Il semble probable que Christophe Colomb ait pris des mammifères marins de ce type pour des sirènes. D'autres descriptions mettent en scène des sirènes à tête et à buste de femme, avec une queue de poisson : ce sont les nymphes de la mer, filles du dieu de la mer Phorcys. Elles seraient alors aperçues à la surface de l'eau ou bien, assises sur un rocher, elles peigneraient leurs longs cheveux et tiendraient un miroir dans leur main. Selon certaines interprétations, les sirènes d'Homère n’étaient autre chose que des courtisanes qui demeuraient sur les bords de la mer de Sicile et qui séduisaient les marins.

Le loup n'est pas un solitaire, c'est un animal social, et la présence de ses semblables lui est indispensable. Les loups vivent en meute de 3 à 15 individus, tous parents entre eux. Chacun occupe une place bien précise dans une hiérarchie à respecter.

L heure du muguet arrive,preparez vos bouquets

moi ca va

johnny

Rêverie sur le lac gelé Une étoile achève le décor Signant la toile d'un reflet Que tes yeux mirent encore La pierre dont j'ai gravé ton nom Repose sur la berge du loup Le chemin des âpres saisons Ramène le voyage à nous Mon âme erre un instant La maison devient lointaine Un flot de lumières descend Ta destinée est la mienne Rêvons sur le lac argenté Ton étoile scintille en ton corps Nous signons la toile aimée Ton coeur de louve bat plus fort....

J'ai croqué les mots, J'ai gommé ma vie . J'ai donné mon sourire J'ai oublié mon amour ,J'ai aimé mes souvenirs ,J'ai rangé pour toujours. J'ai enfoui tant de larmes, J'ai pleuré ma colère ,J'ai maudit toutes les armes ,J'ai abandonné cette terre .

amitié

Comme un oiseau sur fond de soleil couchant, Tu montes à présent rejoindre le firmament. Et malgré la tempête qui déchire nos sentiments, Tu voles, petite âme, loin de tous tes tourments. Le ♥fourbu d'avoir tant aimé, Le corps brisé d'avoir autant lutté Tu voles, petite âme vers la douce clarté Tu laisses cette terre pour l'éternité. On aurait tout tenté pour prolonger ta vie, Mais la mort t'as fauché et emporté Pars sans regrets, il n'y a rien à regretter Pars délivré, tes souffrances ont toutes cessé Pars et surtout ne te retournes pas, Pars sereinement, on est tous avec toi ! Vole petite âme, vole vers la lumière Quitte la souffrance et ce corps de misère, Pars et emporte nos ♥ avec toi Vole comme un ange, on ne t'oubliera pas.

Il est parti comme il est venu ,Discret, fragile, fatigué de tout .De l'hypocrisie et des parvenus ! Il en était arrivé à bout. Il est parti un bel apres midi, Me laissant seule et orpheline. Lui-Même mon ange-gardien. Sa disparition m'assassine. Qu'il parte, qu'il vole de ses ailes, Qu'il brille tout la haut, Qu'il sublime, qu'il étincelle .Je regarderai les étoiles et il me guidera à nouveau. Adieu mon ange de peine ,Réserve moi une place à tes côtés .Je veux sourire à nouveau ,même Si c'est aux cieux que je le ferai. Je ne t'oublierai jamais !